Saison 2




Fan art par Woolute

S02 EP01

S02 EP01- 01/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1914410024
https://youtu.be/Kr2p4Th2n-w?si=nV6y59pTiJ2S3Lv-


Un retour : sous le signe de formation de cadets

Désormais de retour, le lieutenant Kurt Schröder, toujours leader SWAT, prend son service dans le commissariat de Vinewood tandis que l’autre est en travaux. Et ce soir il y a du travail, une nouvelle fournée de cadets tous frais à former.

Pour l’instant, les agents présents se retrouvent sur le parking, le temps que tous se réveillent et prennent tranquillement leur service, et Kurt en profite pour parler de sa proposition pour le commandant : prendre tous les cadets en même temps pour un moment global de formation à la base militaire. En attendant son aval, les agents présents discutent des dernières nouvelles, des futures gradations, puis 07 et 68, le sergent Gérard Hartmann, partent en patrouille.

Entre deux discussions cigarettes, vapes, et promotion canapés, les deux hommes évoquent avec un peu plus de sérieux la vie du LSPD et l’arrivée des cadets. Certains sont prometteurs, pas encore pour le SWAT c'est un peu tôt, d’ailleurs d’autres préfèrent rester sans spécialité pour l’instant. Hartmann transmet ses retours sur ceux qui ont travaillé avec lui, les points forts, les éléments à revoir et les exercices réalisés.

En parlant de cadet, le commandant Parpaing est présent et appelle son lieutenant (TC 00:48:50) qui lui parle de son idée de formation à l’ancienne, à la base militaire. 10 approuve l’idée, 07 prendra 68 et 27 avec lui, et est chargé d’appeler tous les candidats en attente pour en récupérer un maximum pour ce soir. Smith est ravi d’avoir une occasion de gueuler sur des petits nouveaux et se tient prêt.


De retour au poste, Parpaing et Schröder se répartissent les candidatures en cours (TC 00:54:00) mais il est encore tôt et aucun ne répond aux appels. 68 et 27 se joignent à lui pour continuer à contacter les futurs cadets, quitte à laisser un message lorsqu’ils n’ont pas de réponse tandis qu’un autre agent fait le tour pour rassembler les cadets déjà présents. En attendant ils s’occupent en renseignant un nouvel arrivant en lui donnant toutes les zones à éviter sur l’île, celles occupées par des criminels. Une fois renseigné, le nouveau semble même intéressé par le LSPD mais son évanouissement devant le commandant risque de compromettre sa future candidature ! (TC 01:10:30) Heureusement, les agents du LSPD n’hésitent pas à lui rappeler les gestes essentiels pour sa survie : boire et manger, une fois remis sur pied par les médecins. 


Peu de réponses pour l’instant, la formation est décalée d’une heure, heureusement il y a toujours de l’animation à l’accueil. Un duo se présente, avec un discours un peu approximatif (TC 01:19:55), mais a priori une histoire de bagarre. Totalement perdu, Kurt essaye d’éclaircir tout ça mais ne comprend pas tout. Les deux hommes se révèlent finalement être deux candidats pour le LSPD ! Il est temps de remettre de l’ordre dans ce duo atypique, le lieutenant prend donc les choses en main en commençant un entretien avec un des deux. Un entretien qui dérive vite vers le récit de la vie de l’homme, et de ses déboires amoureux… C’est un sacré phénomène, comme l’autre homme, mais les deux passent la première étape et lieutenant et sergent leur donnent une chance.

C’est décidément la soirée des drôles de rencontres, Kurt trouve cette fois à la porte un cadet perdu (TC 01:30:30). Après un mois d’absence pour soucis familiaux celui-ci ne sait pas où aller et n’a plus son badge mais pas de soucis, Hartmann le reconnaît et va bien s’occuper de lui ! Avec tout ça, les appels commencent à affluer du côté du lieutenant, deux candidates sont là et arrivent au poste pour leur entretien. Schröder donne le programme de la soirée et des prochains jours à Smith : formation, terrain et formation. Celui-ci est d’accord, mais déjà à deux doigts de s’endormir, il échange sa place pour la partie base militaire avec 95, Lloyd Lipton était justement déçu de ne pas pouvoir venir. 


En profitant d’un passage à la banque pour délester le commandant de 500 000$, Kurt lui explique son programme plus en détails : formation ce soir, terrain demain et reprise d’un peu de formation dimanche pour que tous soient opérationnels d’ici lundi. C’est au volant d’un RIOT tout neuf que le leader du SWAT retourne au poste pour s’occuper de son projet de la soirée (TC 01:43:25)

Justement, les deux candidates que les agents attendaient sont arrivées (TC 01:46:10), 07, 27 et 10 peuvent donc s’occuper de leur entretien et de la visite des lieux. Les deux femmes ayant déjà une expérience dans les forces de l’ordre, elles sont accueillies à bras ouverts, il suffit simplement de leur présenter le LSPD et de s’occuper des formalités administratives. Et de les prévenir que pour l’instant avec les nouveaux c’est un peu le zoo…


Il y a du boulot pour les bleus : mais tout n’est pas perdu

Les choses sérieuses vont pouvoir enfin commencer, mais pour cela, le lieutenant fait d’abord le plein de boissons et nourriture pour tous ces cadets, il ne faudrait pas que certains tournent de l'œil. Les poches et le coffre bien remplis, après quelques efforts conjoints avec l’employé du UwU, Kurt retourne au poste, désormais d’attaque pour la formation.

Il y a du travail avec ces nouveaux cadets, qui risquent de passer un moment à courir, certains ne sont pas très disciplinés ! (TC 02:10:10) Face à tout ce monde, le lieutenant ne sait même pas comment tous les transporter jusqu’à la base militaire, même s’il a par contre déjà repéré ceux qui se croient plus en colonie de vacances qu’en formation. Prévoyant, il préfère d’ailleurs s’équiper en armes lourdes pour être prêt en cas d’attaque du convoi (TC 02:18:20). Il ne reste plus qu’à répartir tout ce beau monde dans les voitures et enfin, direction la base militaire !


Accompagné de 95 et 68, 07 présente le programme et les lieux (TC 02:24:30). Pour commencer : tout le monde est mis au pas avec 5 tours de terrain, et 5 de plus pour celui qui a déjà râlé à la mention du sport. Kurt charge Lloyd et Hartmann de se répartir les cadets en deux groupes tandis que lui restera mobile pour surveiller tout ça. L’objectif est qu’ils puissent patrouiller dès le lendemain sans être des boulets, et de remettre à leur place ceux qui en ont besoin ! Les groupes sont faits et chacun rejoint sa zone d’entraînement, même si 07 doit rester quelques instants avec ce qui semble déjà être le duo infernal le temps des allers-retours (TC 02:33:30).

C’est tout naturellement vers leur groupe que Kurt se dirige pour son observation (TC 02:35:45), avant d’aller vers l’exercice de la supérette qu’il surveille en hauteur, accompagné de sa vapoteuse, prodiguant parfois quelques conseils ou remarques. Et avec le soutien aérien du commandant, en hélicoptère. Il y a bien un militaire sans doute ivre qui pose un peu problème, mais vite géré par le lieutenant (TC 02:50:00), qui retourne à son observation. Hartmann est en train d’apprendre à son groupe le fonctionnement de la tablette et les bases pour les arrestations, avec quelques suggestions de 07. Du côté de Lloyd, il remarque des difficultés pour la prise en main de la radio, mais les exercices permettent au moins un entraînement, et que cela n’arrive plus par la suite sur le terrain. De retour vers 68, les cadets ont droit à une présentation des unités, avec plus de précisions sur le SWAT, puis Kurt retourne du côté de la supérette avec l’arrivée de l'agent 21, Alex Gordon, en soutien (TC 03:04:40), avant de repartir vers le deuxième groupe, en pause entre deux exercices. Si certains semblent un peu déprimés, trouvant le temps long (TC 03:10:40), de l’autre côté d’autres sont un peu trop vifs car Lloyd en prend une au passage (TC 03:12:45), puis ils passent à l’atelier menottes (TC 03:16:50). La fatigue commence toutefois à se faire ressentir, car certains exercices prennent la forme d’une mêlée générale (TC 03:18:20) et des cadets sentent bien passer les coups de taser Clip. Il y a des binômes plus efficaces que d’autres…. La définition parfaite de deux salles deux ambiances entre les deux différents groupes en formation.

Mais comme l’heure tourne, le lieutenant accélère un peu la fin des formations des deux côtés, et termine par la présentation des différentes spécialités au deuxième groupe : BE, unité anti-gang, SWAT, pôle coordination/communication. Tout le monde recrute et ils pourront choisir dès leur passage en officier 1. Les exercices sont désormais terminés pour tous, il ne reste plus que les derniers mots du lieutenant Schröder (TC 03:36:15) : il sait que la soirée a pu être longue pour certains, mais vu le nombre de cadets c’était nécessaire. Dès le lendemain ils vont aller sur le terrain et retravailleront ensemble prochainement, qu’ils n’hésitent d’ailleurs pas à faire part de leurs lacunes. Mais il part du principe que ce qui a été vu ce soir est désormais semi-acquis, et qu’ils vont pouvoir aller sur le terrain. 


C’est donc un retour au poste pour tous ! Dans la discussion pour la voiture de Kurt qui répond aux questions et demandes de précisions, et avec quelques taquineries. 


Petite patrouille : pour passer de la théorie à la pratique

Sur le parking du PdP, il y a désormais un sacré paquet d’agents avec le retour des cadets, heureusement que le commandant est là pour remettre de l’ordre dans tout ça (TC 03:44:45) et répartir les équipes.


Sur le chemin des vestiaires, Kurt et Lloyd débriefent la formation : il y a du potentiel, certains cadets à surveiller, notamment 12, mais globalement ils vont bien rigoler ! Déjà qu’entre eux ils ne se gênent pas pour se chambrer (TC 03:48:00). Mais retour aux choses sérieuses, 07 part en patrouille, avec son cadet attitré comme tous les autres officiers. Et c’est avec 03, Alessia Belinelli, qu’il forme une Adam (TC 03:49:00). Ils débutent par un tour de la ville, une présentation des points d’intérêts, des choses à savoir et des activités à faire comme le parc d’attraction ou le karting. Leur première étape est la découverte du UwU, où ils croisent des collègues, Lloyd et son cadet, 40, puis d’autres (TC 03:58:00)


La patrouille reprend, et avec elle la découverte de la ville et les questions du cadet 03, et des interventions, par exemple pour venir en aide à des collègues à sec sur le bord de la route (TC 04:09:00). Pour ce qui est des questions du cadet, 03 sait déjà quelle unité l’intéresse : le SWAT ! Elle est donc à la meilleure place pour avoir des informations. Kurt se lance donc dans des explications sur l’unité : tout d’abord, elle est souvent enviée par les autres pour son esprit d’équipe. En effet, au SWAT il n’y a pas de vouvoiement, tous ont leur surnom (pour lui c’est Casper car il a dû s'absenter longtemps, juste après avoir mis cela en place) pour renforcer les liens au sein de l’unité. Actuellement ils sortent peu, en-dehors de quelques sollicitations ces derniers jours, leurs missions principales sont d’intervenir sur des braquages de banque ou des prises d’otages. Il explique ensuite que pour l’avenir, il souhaite que l’unité soit vraiment à part du LSPD mais pour l’instant ils sont intégrés aux effectifs classiques, en essayant de faire le maximum d’entraînement. Dans l’idéal tous les jours, la base militaire est adaptée, ce que n’ont pas vu les cadets aujourd’hui. Pour les véhicules ils ont des VSTR et des RIOT et il négocie pour un Insurgent dans le futur. Le plus important est que l’unité est soudée, ce qui se passe au SWAT y reste, ils ont une vraie vie d’unité, font des sorties, du sport ensemble, des sessions tirs, etc. C’est sans doute pour ça que d’autres unités peuvent les envier. Cet esprit d’équipe est obligatoire pour l’intégrer, c’est pour cette raison que les recrutements se font sur trois sessions. Pour l’instant ils sont 9 au total, pour sans doute 10 membres au maximum, il reste donc une place ! Pas d’inquiétude toutefois, les cadets montent normalement vite en grade. Pour terminer sur le SWAT, 07 explique que chaque membre a une spécialité : pilotage d’hélicoptère, 2 armes pour lui (pompe et M4 en même temps), pilotage du RIOT, plans d’intervention, entraînement et plus tard tireur en hélicoptère.


Après ces explications, les deux agents reviennent sur des sujets plus classiques, comme une voiture qui roule un peu vite (TC 04:22:00), puis le tour des quartiers de gang occupés. Il y a le quartier Families, les Aztecas, les Marabunta, un groupe sur les docks, les AOD sur la plage et la Zcorp dans un manoir. Il n’y a pas de groupe vraiment virulent en ce moment, ceux qui l’ont été se sont fait casser les genoux, comme les Verts il y a quelques temps à force de provocations. Le lieutenant explique qu’ils privilégient malgré tout la discussion, certains agents sont un peu bruts et doivent éviter les négociations mais de manière générale ils essaient de discuter. Les Verts par exemple ne veulent parler qu’avec lui, malgré ce qu’il a pu se passer auparavant. Le but avec le temps est d’arriver à une forme de confiance réciproque. 

Pour ce qui est du Nord, tout le monde peut y aller mais le braquage y est peu recommandé, les shérifs ont des fusils à pompe et ne discutent pas. A l’avenir cela pourra changer. Il donne ensuite quelques infos en vrac : la radio doit rester clean, pas la peine de raconter sa vie. Les grades fonctionnent de manière classique, à partir du grade officier 3 la montée se fait surtout sur la base du volontariat. Les gradations sont rapides, peut-être un peu trop selon son avis, cela dépend du commandement et de la manière dont il gère les choses. Lorsque lui était commandant, il fonctionnait plutôt à l’inverse. Pour répondre à l’interrogation de 03, Kurt explique avoir dû s'absenter un long moment et a donc renoncé à son grade, et maintenant celui de lieutenant lui convient bien.


Entre deux explications sur le fonctionnement des arrestations, des amendes, etc, comme il y a peu d’activité, 07 fait aussi la visite de la ville et de certains points d’intérêt : la salle d’arcade (TC 04:43:30), le karting (TC 04:50:30), le parking pour tester les véhicules (TC 04:50:30). Il ajoute des informations sur l’armement des criminels (Uzi, très rarement des AK), les conflits entre gangs qui sont pour l’instant plutôt en reconstruction mais cela risque de changer, sur le fonctionnement de l’ordinateur central ou du dispatch en autonomie. Après un rapide contrôle de permis (TC 05:04:50), l’Adam se rend dans le Nord pour découvrir la zone, très boisée et rurale, et expliquer sur le chemin le fonctionnement cette fois des garde à vues, et l’entraide entre les différents services de police de l’île. Et si vraiment il n’y a personne en service, les agents peuvent même récolter des fruits et légumes dans les champs du Nord pour le UwU, en dehors de leur service au LSPD. 

Si il y a peu de monde habituellement dans cette partie de l’île, le lieutenant s’étonne d’y voir un taxi en circulation et préfère le contrôler (TC 05:17:25). Effectivement, la jeune femme confirme qu’elle vient de déposer un client et qu’elle a déjà eu d’autres courses dans le secteur, principalement à Sandy shore. Kurt en prend bonne note, le LSPD fera désormais plus de passages dans le secteur. Pour ce qui est des criminels, le Nord est vide, même Stab City a été vidé de ses occupants. Il faut dire que le groupe qui occupait les lieux a tenté une attaque suicide sur les agents du LSPD en opération, pile pour le retour du leader SWAT ! 

Il est temps pour l’Adam de retourner au poste, les autres agents sont en train de faire de même et il n’y a plus guère d’agents encore en patrouille, sauf 25 ! 07 en profite pour prévenir son cadet : le sergent-chef Larry Becker est un excellent collègue, avec qui elle rigolera sans doute beaucoup, même s' il faut parfois être vigilant.


Un after-work : pour bien terminer la journée

C’est donc une fin de service pour 03 et 07, mais pas la fin de la soirée. Les agents encore sur le parking décompressent tranquillement (TC 05:24:35) puis se chambrent gentiment dans les vestiaires tandis qu’ils se préparent à sortir pour fêter la fin de la journée de travail (TC 05:27:00), le tout sous les commentaires de 25 qui ne se gène pas pour critiquer les goûts vestimentaires de Kurt.

C’est malheureusement sans alcool et en grande partie à pied, que les agents en fin de service se dirigent vers la place des Cubes, mais dans la bonne humeur, et pour Becker sur son magnifique bolide (TC 05:32:30). Une fois tous sur place, la fête est toujours sans alcool malgré les tentatives de 25 auprès du groupe AOD, et des doigts d’honneur aux Marabunta (TC 05:39:10), mais les discussions vont bon train, même si elles tournent beaucoup autour du boulot ! Le rapport avec le travail n’est parfois pas évident au premier abord, par exemple lorsque vient le sujet du “cadet strip-tease” (TC 05:41:05), qui n’est autre que 66, déjà repéré comme fauteur de trouble. Ce qui redirige vite la discussion sur la toute nouvelle fournée de cadets, et justement, 66 se joint à la fête. 

Après une discussion animée entrecoupée des commentaires et anecdotes de Becker, il est l’heure pour tout le monde d’aller se reposer, toujours au PdP pour Kurt !


S02 EP02

S02 EP02- 02/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1915332049

https://youtu.be/vmK9B8UGdr4?si=mgJXMntdbrvthEff


Toujours commencer sa journée : par une remontée d’infos

La soirée du lieutenant Schröder démarre dans les bureaux du poste de police, avec un peu de travail de gradé comme répondre aux messages et demandes des entreprises, par exemple le karting pour prévoir une sécurisation future. Sans réponse, il s’occupe comme il peut en attendant le capitaine, ça tombe bien il y a un camion abandonné devant le PdP à faire récupérer par le Otto’s. Puis il ne lui reste plus qu’à attendre devant l’entrée, vapoteuse à la main, jusqu’à l’arrivée du capitaine Zepel (TC 00:21:20). Celui-ci a un peu de travail avant d’être disponible, Kurt le rejoint donc sur le parking afin d’apporter son aide pour transporter du nouveau matériel tandis que Lloyd (95) remonte un petit souci. Il a été appelé par le lieutenant Turner (33) suite à une remontée des médecins qui ont trouvé inadmissible que Gordon (21) ait été tasée plusieurs fois lors de l’exercice de la veille. Les tasers étaient pourtant réglés au minimum, le capitaine propose de mettre un gilet de protection la prochaine fois mais de manière générale ils ne vont pas se prendre la tête avec les médecins pour ça. Mais Kurt ne peut pas s’empêcher d’envoyer un message à Turner lui demandant de lui trouver des mannequins pour les prochains exercices…


De toute façon ce soir il y a à faire : vider les saisies (mission du SWAT), faire les plans du bâtiment du karting, de la patrouille, etc. Justement, avant de partir sur le terrain, il tient au courant Hartmann des dernières remontées des médecins puis les deux agents décident de partir ensemble en patrouille (TC 00:39:50). 68 a à peine le temps de dire qu’il a enfin pu prendre du temps pour se reposer après avoir passé les derniers jours à former des cadets que l’Adam raccroche déjà à une course poursuite en cours. Heureusement plutôt courte, les malandrins arrivent vite à court d’essence (TC 00:43:10) et les agents procèdent au contrôle et à l’amende avant de repartir sur le terrain. En parallèle, 07 et 33 continuent d’échanger par sms mais le dialogue est un peu difficile.


La patrouille aura été de courte durée, Kurt préfère retourner au poste pour retrouver les membres de l’état-major pour une discussion sur plusieurs questions, par exemple celle de l’armement des cadets. Le débat commence déjà dans le couloir avec 44 et 45 en attendant le capitaine. Mais le sujet du taser travaille toujours Kurt, qui en discute à part avec Kazenko (44) qui semble globalement du même avis (TC 00:54:40). Les tasers sont réglés au minimum et au pire les prochaines fois ils prévoient un GPB. C’est plus ou moins la réponse que Kurt apporte au final à 33, avec en plus un petit taquet sur les agents BE…


Mettre les choses à plat : avec le lieutenant Turner

Le temps de dire au revoir à l’agent 55 qui quitte définitivement le LSPD et de fait le SWAT(TC 00:57:00), Kurt est rejoint par Turner pour régler de vive voix le problème dont ils discutaient par sms (TC 00:58:00). Il donne son point de vue sur la situation : il a eu de son côté plusieurs remontées, des médecins, d’un cadet et doit donc réagir. Kurt reconnaît qu’il manquait le gilet pare-balle, ce sera pour la prochaine fois, mais il n’a pas d’autre solution. L’intensité des tasers était baissée au minimum, il n’a pas d’autre possibilité, ils font déjà la même chose au SWAT avec des flash ball. Les deux hommes comprennent et entendent chacun le point de vue de l’autre mais la différence entre chaque est évidente. Turner propose à la limite 2-3 coups de taser maximum puis de changer d’agent mais entendre qu’il y en a eu 10… Kurt temporise, il pense que 10 c’est sans doute exagéré mais ne voit surtout pas de solution, une fois encore. Turner propose de certifier avec les EMS la baisse de l’intensité du taser et s’assurer que ce n’est pas dangereux si c’est 2-3 coups maximum mais Kurt est dubitatif. Il a l’impression que les médecins vont plutôt vers le conflit en ce moment et imagine que cela risque de tourner plutôt au dialogue de sourd. Et la question de l’intensité baissée du taser est soumise à débat, surtout qu’il ne peuvent pas vérifier que c’est toujours le cas à l’instant T. Turner lui explique qu’il doit faire face à ces remontées à gérer, aux cadets qui voient ça et en parlent mais Kurt ne comprend pas que ces derniers ne soient pas capables de faire la différence avec une formation. Il reconnaît son erreur, il n’a pas fait mettre de GPB à 21 mais il s’agissait de plusieurs mises en situation, ce n’était pas plusieurs coups d'affilée. 

Turner tique toujours, pour lui la vie des agents passe avant tout mais Kurt répète que de son point de vue il n’y avait pas de danger, pas dans le cadre d’une formation, ce n’était pas en pleine ville. Mais Turner préfère malgré tout l’utilisation de mannequins, ou de plots… Kurt explique que cela n’a pas d’intérêt dans ce cadre-là, il a besoin d’avoir quelqu’un en résistance, les mannequins ne servent que sur des stands de tirs. Pour plus de clarté, il explique également l’exercice de progression en supérette tel qu’il est réalisé sur la base militaire, et donc l’intérêt d’avoir quelqu’un en résistance. Turner comprend, mais la discussion n’avance pas, pas tant qu’une solution n’est pas trouvée car les deux lieutenants n’ont pas le même point de vue, même sur le sujet du lieu des formations. Cela montre d’ailleurs la nécessité d’une harmonisation sur les formations, comme le pôle dédié qui était prévu au départ. 


Finalement, un consensus semble se dessiner. Turner propose d’utiliser des pistolets flash ball, il discutera avec les EMS pour expliquer la situation de la veille et fait cette proposition pour les prochaines formations, quitte à s’assurer en amont avec les médecins que cela ne pose pas de problèmes. Il fait confiance à Kurt pour la veille, mais pas forcément à tout le monde pour autant et cela leur permettra d’être sûrs du matériel pour le futur, et l’agent qui joue la résistance aura son GPB et ils échangeront régulièrement. Toute cette discussion préfigure d’ailleurs la réunion qui suit car le sujet des PPA des cadets est sur la table. Si cela est approuvé, l’utilisation des pistolets flash-ball devient de fait plus logique également.


Réunion de l’Etat-Major : des décisions à prendre

Ceci étant réglé, 07 et 33 peuvent retrouver les autres dans le bureau. L’état major est désormais au complet et prêt pour sa réunion. Les 4 lieutenants et le capitaine sont présents et après une vanne sur 07 qui s’amuse à taser à tout va, la réunion peut commencer ! (TC 01:12:40) Malheureusement le commandant n’est pas là, il n’y a plus qu’à espérer qu’il sera d’accord avec les décisions prises pour que tout cela ne soit pas inutile. Le sujet du jour est le PPA des cadets : l’ensemble de l’état major présent approuve sa mise en place. Ils décident également de demander désormais la validation du test psychologique avant toute embauche de nouveau cadet. Cela permet de faire passer dès le premier jour le test pratique et d’avoir ainsi des cadets aptes plus rapidement. Kurt rebondit directement sur la discussion qu’il vient d’avoir avec 33 : comme ça ils pourront prendre des pistolets flash ball lors des formations. La condition à cet usage sera que les cadets aient obtenu leur PPA. Cela annonce du travail pour l’EM : il y a tous les nouveaux à inscrire ! 

C’est justement l’occasion de faire le point sur les récentes arrivées, tous n’ont pas encore de mentor et il y a déjà quelques têtes qui sortent du lot. Kurt évoque notamment le matricule 12, qui a besoin d’un bon mentor pour le canaliser. La discussion dérive ensuite sur les prochaines montées en grade et une rétrogradation envisagée pour 22. La proposition vient de 33 car elle est partie seule, a mis en danger un autre agent (50) de ce fait, et elle même surtout qu’elle avait interdit aux agents de partir en solo. Le LSPD a également dû passer un deal avec le groupe des AOD pour protéger sa vie, groupe dans lequel un agent de police était infiltré. Pour empêcher des représailles futures, ils ont dû se résoudre à ne pas communiquer sur le fait que le groupe avait un agent infiltré parmi ses membres, et surtout s’engager à ne pas utiliser les informations récoltées dans ce cadre. Autant dire que l’opération est grillée. Elle a certes sauvé l’agent infiltré, mais cela ne peut effacer l’erreur commise. Et le LSPD se doit d’être exemplaire. L’ensemble de l’état-major donne son accord pour une rétrogradation puis passe en revue les agents à monter en grade. L’occasion de constater que 01 fait l’unanimité pour son passage officier 3, c’est un excellent agent, et que 29 est à surveiller. Il n’a pas la faveur de l’EM, il vient de revenir après une absence et même après avoir rendu sa plaque, et, s’il a été un bon agent BE, a un caractère difficile. Mais comme le fait remarquer Mulberry, il sait d’expérience qu’il est possible de s’améliorer et de progresser même avec un mauvais caractère au départ. Et ce n’est pas Kurt qui va le contredire.


Turner fait remonter des demandes de certains agents : la création d’une unité VIR pour gérer les véhicules rapides (voiture, moto et plus tard hélicoptère). Après une discussion sur les éventuelles possibilités et le fonctionnement de l’unité, l’EM souhaite surtout que les agents s’impliquent et démontrent avec un dossier complet leur motivation et des missions pour justifier la création d’une nouvelle unité supplémentaire alors qu’il y a déjà une formation. Une formation qui malheureusement n’a pas vraiment de suivi, Turner voit cette unité comme d’autres, si elle est créée, une unité d’élite qui implique donc un entraînement régulier. Finalement l’EM invitera les agents à faire des propositions, sans spécifiquement évoquer la VIR, pour voir ce qui peut ressortir.


En parallèle de la réunion il y a toujours les affaires courantes à gérer et personne du SWAT n’est encore passé au karting pour en faire les plans. Kurt prend donc l’air quelques instants pour demander à Hartmann de s’y rendre (TC 01:30:00)

Retour dans le bureau où la discussion est sur une proposition de 21 : que chaque lead d’unité se rende disponible ou fasse une présentation de chaque unité en dispatch, surtout pour les nouveaux arrivants. Les lieutenants feront donc une première présentation puis les lead de chaque unité se rendront disponibles pour faire des points hebdomadaires. De toute façon les lieutenants ne peuvent être lead d’unité au quotidien, c’est leur rôle en tant qu’EM qui prime, et cela sera encore pire si certains montent en grade. Par exemple, si le commandant Parpaing part, il y aura soit une place de commandant, soit de capitaine si celui-ci prend la suite, libres. Turner annonce directement que si quelqu’un le nomme capitaine, il rend sa plaque. Kurt réfléchit aussi, si il doit abandonner le SWAT, il n’est pas certain de vouloir la place dans le futur. Et le poste implique beaucoup de communication et de social… En parlant de communication, l’EM souhaite désormais rendre les montées en grade publiques, au minimum pour la partie état-major, et de manière générale communiquer plus souvent auprès de la population, par exemple sur les opérations. Mais toujours avec une validation EM avec l’agent chargé du pôle communication. L’idée dans le futur est par exemple d’organiser une conférence de presse après une fusillade en ville, avec le leader SWAT qui répond aux questions. Le lieutenant Schröder approuve totalement l’idée, il vit pour les caméras !

Toujours en parlant de communication, il va falloir informer tous les agents du deal passé avec les AOD pour la vie de 22 lors d’un prochain dispatch. Et cela rappelle à Kurt qu’ils ont besoin de communiquer plus facilement au sein de l’état-major, pour qu’ils se tiennent au courant de tout ce qui est fait. Un espace de conversation dédié sera donc créé. Pour la fin de la réunion les dernières idées et suggestions fusent : pour 07 la mise en place d’un recyclage tir, un passage au stand de tir pour tous au moins une fois par semaine. Pour 33, l’ajout d’exercices physiques plus réguliers, Kurt est d’accord pour débloquer le parcours d’exercice SWAT pour tous les agents. Et ceux qui ne veulent pas, l’EM leur casse les genoux ! L’occasion de faire ressortir le matricule 12, qui a déjà quelques remontées sur le dos. Ce sera un cadet à surveiller de près, comme Trapu à son époque ! Et justement Trapu, l’ex éternel cadet, est proposé pour un passage en officier 3. Tous sont d'accord, il le mérite. Même si ce n’est pas le pingouin qui glisse le plus loin, il n’est pas leader, mais il est fiable et fait son travail.

La réunion se termine sur une information : 27, Jey Smith, va sûrement prendre sa retraite, peut-être même d’ici la semaine prochaine. Et sur quelques ajustements concernant la décision du PPA pour les cadets, il y a du monde à informer, et peut-être du recrutement à temporiser en attendant. Mais enfin, le lieutenant va pouvoir aller voir le soleil et retourner sur le terrain !


Une patrouille : en compagnie du cadet 66

Ayant rejoint le parking et surtout la personne s’occupant de la centrale, les lieutenants revenant de la réunion souhaitent partir en patrouilles avec des cadets. Pour 07 il ne reste que deux choix, 97 ou 66, un sacré personnage. Les deux cadets étant en compagnie de 68, envoyé vers le karting, Kurt s’y rend rapidement. À l'intérieur du bâtiment, la discussion va bon train entre les forces de l’ordre et l’équipe sur place. Ils évoquent surtout l’arrivée récente de plusieurs cadets haut en couleurs. Sans surprise, 66 fait quelques commentaires qui déplaisent au lieutenant. La menace de courir derrière la voiture lors de la prochaine patrouille semble faire effet. La cadet tente quand même de le soudoyer avec quelques cacahuètes trouvées sur le comptoir mais rien n’y fait. Au même moment, l’équipe du lieu rapporte les paroles du capitaine : celui-ci avait évoqué l’idée que les punitions ne soient plus des tours de PdP mais des tours de circuit à pied. Aussitôt dit, aussitôt fait, 68 embarque 66 sur la piste pour le faire courir et après un rapide résumé des dispositions prises pour l’ouverture du circuit du lendemain le reste se dirige à l’étage pour observer le cadet. Celui-ci ayant une cheville en vrac, tombe à plusieurs reprises, se relève et atteint difficilement la ligne d’arrivée en rampant (TC 02:03:10) Clip. Après ce spectacle, les deux Adam se forment pour reprendre leurs patrouilles. Avec 97 auprès de lui, le lieutenant s’engage vers la voiture. Seulement 68 préfère lui laisser le jeune 66 pour la suite de la patrouille. 

La patrouille commence mal pour 66, qui nomme le lieutenant par un autre grade. Celui-ci le fait descendre immédiatement du véhicule pour qu’il rattrape sa bourde. Le cadet souhaitant sans doute s’excuser, il est stoppé net par 07. Les excuses c’est pour les faibles. La patrouille peut enfin reprendre. Le call de deux individus ayant tenté d’enlever des FDO fait s’enclencher les sirènes de l’Adam qui raccroche la course poursuite. Après quelques minutes, les individus tentent de s’enfuir à pied à travers un parking (TC 02:11:05). Les deux unités se lancent à leur poursuite, malgré les sommations, l’un des suspects continue sa course et pointe même 07 avec son arme. Seulement ce parking n’a que peu d'échappatoires l’individu se retrouve rapidement coincé, neutralisé dans la foulé par 66, celui-ci lui lisant ses droits. Le lieutenant tente bien de connaître l’identité de la personne mais sans succès, le dialogue n’est pas évident. La fouille étant faite, la personne donne enfin son nom, Andrescu. La suite de la procédure se fera au poste de police. Sur la route, le cadet en profite pour discuter des calls qu’il a pu donner. 07 le rassure, ce n’est pas évident et ça viendra avec l’habitude. 

66 s’occupe de toute la procédure sous le regard averti du lieutenant. La discussion se fait plutôt dans une bonne entente, le détenu les informe qu’il fait partie d’un nouveau groupe, les Affranchis, il donne quelques informations sur le gang et son fonctionnement. 07 tente d’avoir de plus amples informations notamment sur leur lieu de vie. Andrescu lui donne sans trop de cérémonie. A la vue des réponses données, ils réfléchissent à la peine à donner. Après avoir vérifié une information auprès du capitaine, ils partent sur un délit de détention d’arme légale sans PPA. avec 3000 $ d’amende. Le lieutenant en profite pour donner quelques conseils au détenu. Le dialogue reste et restera toujours plus judicieux entre eux que l’escalade de la violence. Les deux individus interpellés sont relâchés (TC 02:39:50).  Profitant de croiser les autres lieutenants à l'accueil du PdP, il leur fait passer les infos à l’oral sur le groupe des Affranchis. Laissant le cadet déposer les saisies récupérées lors de l’arrestation, 07 retourne à leur véhicule, prêt à repartir en patrouille.


Le cadet 66 l’ayant rejoint, la surveillance peut reprendre dans le calme. Après une dernière vérification du dossier rempli par 66, le lieutenant le questionne alors sur la formation donnée la veille. Malgré une formation technique qu’il a trouvé légèrement soporifique, dû surtout à l'intonation de voix de Hartmann, le cadet semble plus que satisfait de la formation pratique, qu’il n’a eu que peu de fois. Il évoque aussi le retour du lieutenant 33, relançant le débat pour 07. Il lui explique son point de vue et la problématique de l’utilisation de mannequin plutôt qu’un exercice réel. il le rassure, la procédure va changer et une discussion a bien eu lieu sur ce sujet. 


La patrouille continue dans le nord. La discussion reprend sur l’ambiance générale au sein du PdP que le cadet apprécie grandement. Le lieutenant le questionne sur sa potentielle envie de se spécialiser. 66 attend la réunion de présentation des spécialisations prévue le lendemain, pour se faire son avis. 07 lui partage alors les valeurs attendues dans son unité SWAT (TC 03:04:00) : l’esprit de famille, les entraînements hebdomadaires, les convois de saisie à gérer tous les dimanches, le fait de ne pas divulguer les infos du SWAT aux autres unités. La discussion est fluide et le cadet semble vraiment intéressé et curieux de comprendre le fonctionnement des différentes unités.


Le cadet fait alors la remarque qu’une patrouille avec le lieutenant le rend “sobre”, que sa patience et la lenteur du véhicule le calme étrangement (TC 03:25:00). 07 lui fait remarquer que l’on voit bien plus de choses au ralenti. La conversation va bon train, le lieutenant découvre le jeune homme sous un autre angle, plus impliqué et ayant soif d’apprendre. Il lui confirme à demi-mot que ce dernier passera sûrement officier 1 dans la semaine qui vient, le cadet peut être rassuré sur son évolution au sein du LSPD. 

Après quelques taunts lancés par Kurt sur la passion tuning de 66, celui-ci rétorque à son lieutenant que, l’ayant vu dans les vestiaires, il lui conseillerait plus de protéines pour ses muscles ( TC 03:38:40). Piqué au vif, 07 lui rappelle  une certaine séance de strip-tease. Le cadet est décontenancé. Il aurait été aperçu par deux cadettes dans un magasin. Il souhaite rectifier la chose, il était déjà nu quand il les a croisés, ce qui n’est pas mieux au final. Au détour de la conversation, le cadet glisse le fait qu’il n’a toujours pas son PPA. ni une ni deux, le lieutenant sort son téléphone à la recherche du formulaire à remplir et l’envoie à 66.


Une mission sans fin : le PPA pour 66

Direction les EMS pour essayer d’avoir un rendez-vous psy pour le PPA de son cadet 66. Rapidement ce dernier se met à faire le chaud, à deux doigts de lancer un strip-tease. 07 arrive à le calmer, et la psy arrive. Elle a déjà un rendez-vous pour un autre cadet de LSPD mais en attendant l'arrivée de son patient, elle en profite pour échanger avec le lieutenant sur l’organisation des rendez-vous psy LSPD.  

07 et 66 patientent donc pendant le rendez-vous, le cadet sera pris juste après. Pendant cette attente, le directeur des EMS rappelle légèrement à l’ordre les forces de l’ordre, le hall d’entrée n’est pas un endroit pour les discussions professionnelles entre services. Le discussion suit son cours et dérive rapidement vers le nouveau bâtiment des EMS. Le lieutenant devrait envoyer un agent SWAT demain afin de faire un plan des lieux et surtout un plan de sécurisation. Le directeur propose donc une visite avant l’heure. Les salles sont spacieuses et bien équipées. Arrivés à la salle d’isolation de la cellule psychiatrique, 07 propose à son cadet de rentrer dans la salle. Ce dernier se retrouve enfermé pour 5 min de calme.  Mine de rien, malgré la folie de son cadet, cela fait plaisir à Kurt de voir un cadet à la foi motivé et détendu comme lui. EMS et LSPD discutent librement, c’est une bonne chose au vu des tensions induites par l’affaire du taser. 

Apparemment, la vague de nouveau arrivant sur l'île n’a pas particulièrement servi les EMS. Beaucoup ont candidaté au LSPD ou à d’autres entreprises, mais peu chez les médecins. 

(TC 04:10:00) Quelques patients débarquent alors, tandis que le cadet 66 doit aussi se faire soigner avant d’aller à son rendez-vous psy. Le lieutenant patiente tranquillement et profite de l’attente pour faire un aller retour en boutique de vêtement. 


(TC 04:18:00) La psy revient de son premier entretien pile à l’instant où 66 revient de sa consultation pour entorse, en fauteuil roulant. Comment une simple entorse à pu se transformer comme ça ? Bon ce n’est pas ça qui va l’empêcher de voir le psy. 07 reprend donc son attente. Il discute un peu avec une future recrue des EMS dans la salle d’attente de tout et de rien. Il se prénomme Justin Oreo et a débarqué sur l'île il y a moins d’1h. Rapidement, un EMS vient le chercher pour passer son entretien et 07 se retrouve à nouveau seul dans la salle d’attente. 


(TC 04:45:00) Des collègues du BE débarquent alors. L’un d'eux porte la caméra réglementaire du BE et doit filmer en permanence. Cependant, cela le dérange pour se changer en tenue discrète, surtout hors service. Il passe donc aux EMS en espérant que ces derniers puissent lui prêter une robe de chambre pour se changer. Cette affaire gérée, 66 est de retour de son rendez-vous psy, toujours en fauteuil. 

Son test est validé, mais la psy souhaite bien du courage au LSPD pour la gestion de ce cadet. En effet, la discussion tourne encore vers la tendance de 66 à faire des strip-tease. Sa réputation n’est plus à faire à présent. 


Après une dernière discussion animée avec les EMS, une visite de contrôle pour libérer ce dernier du fauteuil roulant, 07 et 66  prennent enfin la direction du poste. Il est temps pour le cadet de passer son PPA. 

(TC 05:14:00) Direction donc le stand de tir après un passage au poste pour récupérer le matériel nécessaire à la formation. 07 commence donc sa formation : 


Cela se conclut par l'obtention du PPA de la part de 66. 


De retour au poste après un passage au garage, Kurt part se coucher, fatigué par sa soirée avec 66.



S02 EP03

S02 EP03- 03/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1916032732

https://youtu.be/LnF_82Y4Y9o?si=4ACOg5GUMfVm9THb


Un début de service : pas si tranquille

Le début de service est plutôt calme pour le lieutenant Schröder, il retrouve un collègue sur le parking, Johnny Colman (16), qui s'enquiert de sa fin de soirée avec 66. Kurt en est presque encore fatigué, le cadet est motivé mais énergique, bien trop pour lui. Il passe son tour pour la prochaine fois qu’il faudra s’occuper de lui. Quelques infos sur les groupes criminels, notamment les Affranchis qui commencent plutôt mal avec leur envie d’enlever des agents pour prévenir de leur installation. Ils sont à surveiller, et prévenus que s’en prendre à la police c’est une très mauvaise idée. Info générale à tous : les travaux du commissariat sont terminés mais la peinture n’est pas sèche donc personne n’y met les pieds pour l’instant, sauf en cas d’appel là-bas.

Il est l’heure de commencer la patrouille, 07 part avec 05, Raoul Marshall, et l’Adam commence par se diriger vers une alerte de supérette, puis une progression pour un contrôle des lieux (TC 00:17:45). Les alertes s’enchaînent et avec elles les courses-poursuites. La première de la journée est sportive, les individus sont un peu provocateurs et elle se termine malheureusement par un accident avec un civil (TC 00:25:55). Voilà un début d’après-midi déjà bien occupé ! Le passage au Otto’s permet à 07 et 05 de discuter, ce dernier a quitté le BE par manque de temps et préfère s’investir sur le terrain. De retour en patrouille les agents se remettent immédiatement au travail en raccrochant sur une CP. Les alarmes de supérette continuent de sonner dans tous les sens, et les voitures de police font de même dans le centre-ville, à la poursuite des malandrins. Changement de pilote pour l’Adam après cette fois la rencontre entre la voiture et un arbre (TC 00:40:15), c’est désormais le lieutenant qui prend le relais, et avec son propre véhicule de patrouille, préférence personnelle. Et c’est reparti pour les alertes et les courses-poursuites !


Une fois de plus, aujourd’hui les malfaiteurs sont joueurs, et avec une conduite plutôt agile. Après une longue poursuite où Kurt ne lâche pas d’une semelle la voiture prise en chasse, c’est malheureusement la VIR qui arrête net toute tentative d’arrestation (TC 00:54:25). Dommage pour ce barrage contre son camp, mais après une nouvelle réparation au Otto’s, l’Adam est prêt à repartir. 07 ne manque tout de même pas de lancer une ou deux piques à 95, conducteur de la VIR, lorsqu’il le croise devant le commissariat (TC 01:03:20). Toutefois ils n’ont guère le temps de plaisanter, les courses-poursuites continuent (TC 01:07:20), une fois de plus avec rapidité et dynamisme. Mais cette fois-ci, avec une arrestation à la clé (TC 01:11:45). C’est d’ailleurs l’Adam de 05 et 07 qui récupère les deux malandrins à mettre en garde à vue (TC 01:19:00), surtout que le cadet 66 a déjà critiqué leur voiture et que de toute façon la VIR n’a que deux places. Mais il ne faut pas exagérer non plus, après la mise en garde à vue c’est Trapu et le cadet qui gèrent la procédure, 05 et 07 eux repartent sur le terrain.


Il y a en parallèle des missions à gérer pour le SWAT, notamment la sécurisation des bâtiments. 07 prend donc une minute au Otto’s pour faire le point avec Stan Moore (86) (TC 01:28:30). Les plans du karting sont à finaliser et surtout ceux de l’hôpital, c’est d’ailleurs pour ça que Kurt souhaite bon courage à 86 ! Ce dernier en profite aussi pour évoquer les prochains entraînements à prévoir pour le SWAT puis l’Adam rentre au poste pour la fin de service de 05.


Un peu de calme et de discussion : avant de repartir …

C’est désormais seul que le lieutenant Schröder repart en patrouille (TC 01:40:00). L’activité semble s’être un peu ralentie, il décide alors de faire un arrêt au karting pour rejoindre les agents SWAT en pleine prise de notes (TC 01:46:30) et leur souhaiter à nouveau bonne chance pour la suite, bien content de pouvoir déléguer tout ça !

Si l’activité est désormais plus ralentie, elle n’est pas stoppée pour autant, les alarmes des supérettes sonnent toujours (TC 01:54:45). Après une longue course-poursuite en voiture, celle-ci se termine à pied (TC 02:09:20) et alors que l’étau se resserre sur l’individu avec l’arrivée d’autres agents, le malandrin vole sous leurs yeux la VIR, malheureusement toujours ouverte (TC 02:10:00) Clip. C’est bien énervé que Kurt retourne à son véhicule, où il retrouve heureusement la VIR, abandonné à la place du véhicule de l’individu pourchassé, qui l’a récupéré. 

Plus de peur que de mal finalement, Trapu, qui était conducteur VIR, appelle son lieutenant pour en discuter, et poursuit lorsqu’ils se retrouvent au garage (TC 02:16:40). Il explique qu’après la première perte de visuel il suivait de loin mais dès qu’il voulait couper l’individu partait dans la direction opposée. Ce qui explique que Kurt ait pu se sentir seul. Ce dernier comprend, ce sont des choses qui arrivent, Trapu pensait d’ailleurs avoir verrouillé son véhicule mais visiblement non. A cela s’ajoutaient des soucis de GPS avec le cadet, bref il fera mieux la prochaine fois. Ceci étant dit, il va prendre sa fin de service et il faut donc que quelqu’un récupère le cadet 66 ! Kurt refuse net, il cherche donc quoi en faire, c’est à 86 que revient la tâche de le gérer. Après avoir souhaité bonne chance à Stan, 07 récupère 21 et repart en patrouille.


A peine le temps de partager leurs impressions sur le cadet et ses envies de rejoindre leur SWAT, au grand dam de Gordon, qu’il y a encore une supérette qui sonne, avec une course poursuite qui se termine sur une arrestation (TC 02:31:00). Il est enfin temps de faire une pause au UwU pour se ravitailler. 21 en profite pour faire une remarque sur Trapu : avec ce qu’il vient de se passer avec la VIR, elle veut bloquer la gradation en officier 3 prévue prochainement (TC 02:42:25). Le lieutenant n’est pas de cet avis, c’est une erreur certes, mais celle-ci peut arriver à tout le monde, surtout s’il pensait bien avoir verrouillé son véhicule.

De retour sur le terrain, la fatigue commence à se faire sentir au sein de l’Adam. La discussion se tourne vers le sujet du commissariat rénové, et des saisies à vider prochainement. En parlant justement de saisies, ils ont des sacs de supérette à déposer, retour donc au PdP pour cela. Et comme 21 fait une pause, 07 repart ensuite avec 72, toujours là (TC 03:01:40).


En patrouille : dans une ville de plus en plus violente 

Trapu profite de l’occasion pour discuter d’un sujet qui lui tient à cœur : la réutilisation du matricule 03. Kurt comprend, mais il s’agit d’une décision du commandant, il ne peut pas aller contre. Il explique que cette décision est aussi motivée par le fait que tous les agents risquent de mourir à tout moment, s'ils réservent les matricules à force il n’y en aura plus de disponibles. Cela fait quelques temps depuis le décès de 03, désormais les matricules pourront être réutilisés après un certain temps. Et puis 10 ne l’a pas donné à n’importe qui, le cadet qui l’a récupéré est une ancienne capitaine de police. Ceci étant dit, retour aux alertes, ce n’est toutefois pas facile avec 72 qui a besoin de boire en urgence, et en plus casse la porte de la voiture (TC 03:07:20). Bien sûr, une fois à la supérette il n’y a plus personne. Tant pis, au moins ils ont le temps de faire un arrêt au UwU pour que Trapu récupère à boire, et en plus ils récoltent des informations : les Verts sont de plus en plus nombreux, ils en ont compté 7 sur le parking, une info à faire remonter. 

Des infos ils en ont aussi au Otto’s, où ils retrouvent plusieurs collègues, mais ils évoquent surtout le PdP, que tous ont hâte de découvrir, et les nouveaux cadets. Des pépites, surtout 12 et 66 ! C’est d’ailleurs la cheffe des AOD à qui il a dit sur un contrôle que son véhicule était nul… il finira par apprendre s’il se fait attraper par un gang. Il est temps pour Kurt de faire une pause au commissariat, surtout que Trapu vient de casser une vitre en partant du garage et qu’il se retient de craquer ! (TC 03:27:00)


C’est reparti, cette fois au volant du RIOT (TC 03:34:00), il est tout neuf et doit donc être peint en noir SWAT ! C’est un peu juste mais le blindé rentre dans les cabines de peinture et en ressort en noir métalisé. Le leader de l’unité n’est pas sûr que les autres soient de la même couleur mais tant pis, au pire il repassera ! Et la couleur plaît aux badauds sur le parking (TC 03:43:45)


Alors que l’Adam repart sur le terrain, la situation semble se corser pour les collègues en course-poursuite, ils essuient des tirs en route (TC 03:50:20) avant de perdre le visuel. 07 et 72 poursuivent dans la direction de fuite annoncée et montent dans le Nord, tandis que Kurt demande la sortie de l’unité anti-gang, pour se tenir prêts à intervenir. Ils font chou blanc pour l’instant, Trapu signale juste qu’à chaque fois que lui et 07 patrouillent ensemble, il se passe des dingueries, la dernière fois c’était des tirs d’AK. De là à dire que le lieutenant Schröder est un chat noir… En tout cas, il cause bien des frayeurs au pauvre Trapu ! (TC 04:02:28)

Pas de nouvelles de la voiture recherchée, 72 saisit l’occasion pour aller faire une pause, Kurt récupère donc un nouveau partenaire, cette fois-ci le cadet 30 ! (TC 04:07:35) Il a bien évidemment refusé 66, heureusement le sergent Grealish (04) s’occupe de son cas.


Faire un point formation : pour se remettre 

Le cadet 30 a pris son service il y a peu mais s’est déjà fait tirer dessus ! Un bon début de journée, non pas que cela le dérange tant que ça, il n’aime pas trop subir mais apprécie l’action. Une bonne potentielle recrue pour l’unité anti-gang. La patrouille suit son cours habituel, alertes, courses-poursuites, arrêt aux EMS pour soigner un bobo du cadet, et un peu de discussion pour passer le temps. Le lieutenant est d’ailleurs content d’apprendre que la formation à la base militaire a plu au cadet. Ce dernier lui annonce qu’il a déjà validé son test psy pour le PPA, ni une ni deux 07 fait demi-tour pour retourner au poste et faire passer la partie pratique de l’examen. Comme il a un fusil à pompe avec lui, Kurt remet sa tenue SWAT, ce qui lui vaut des compliments du cadet sur sa tenue, et sur son physique…(TC 04:21:30)


Au stand de tir, les exercices se déroulent sans problèmes et 30 répond correctement aux questions. Le lieutenant rappelle comme d’habitude les conditions nécessaires à la légitime défense, le fonctionnement de l’arme et les règles de sécurité à suivre, dont le cadet doit bien se souvenir. C’est un examen réussi pour ce dernier, qui peut désormais patrouiller armé d’un 9mm et plus d’un simple taser. 07 le prévient également que les agents vont devoir s’entraîner régulièrement pour ne pas perdre la main et conserver leur permis.


L’Adam peut ensuite reprendre sa patrouille (TC 04:37:40), l’activité s’étant ralentie, le lieutenant Schröder en profite pour faire des compléments d’informations et expliquer que lors de son passage en officier le cadet devra acheter son véhicule, et aura le choix entre deux. Il explique également que tous les dimanches il y a un dispatch général avec généralement les promotions, ce qu’il y aura à faire la semaine suivante et les informations à partager à tous les agents. Et ce soir, du fait de la vague de cadets, il y aura une présentation des différentes unités. Après un temps de discussion sur le nouveau sujet inépuisable : le cadet 66, enfin une alarme de supérette sonne et une course-poursuite s’engage. Mais malheureusement stoppée net par un mur sur le chemin (TC 04:49:55)

La pause repas semble terminée car une vague d’agents s’annonce en radio, mais pour l’instant l’Adam reste sur le terrain, pour s’occuper et discuter sur les missions des différentes unités, et ça tombe bien car il y a toujours des alertes en ville. Et cette fois, la CP, ponctuée d’accidents, se termine par une arrestation (TC 05:06:55). C’est l’occasion pour les agents de questionner un peu les malandrins et de mettre à jour leurs informations, et de se faire quelques remarques sur la conduite de chaque partie.


Il est finalement temps pour l’Adam de retourner au PdP. Le commandant a pris son service, l’heure de la découverte du nouveau commissariat approche. 



Surprise du soir : Les nouveaux locaux sont enfin prêts 

De retour au poste, Kurt se prépare à la réunion et au déménagement à venir. Au détour d’un couloir, il croise l’officier Prigent seul, comme perdu au milieu de l'accueil. Celui-ci lui confirme qu’il patiente prêt à accueillir toute personne arrivant au poste tout en s’occupant de ses affaires. Un peu dépité, le lieutenant le renvoie vers le garage, où se trouve la centrale et d’autres collègues. Les troupes arrivent petit à petit après un call général du commandant pour la réunion et la visite des nouveaux locaux. Les effectifs sont plutôt nombreux ce soir, ce qui réjouit quelque peu l’état major. 


Les patrouilles étant toutes rentrées, la réunion peut enfin commencer ( TC 05:29:30). Les travaux des nouveaux locaux étant finis, ce sera bien opérationnel dès ce soir. 07 embarque donc toute son unité du SWAT dans un Riot et direction Mission Row. Le départ est un peu chaotique, les véhicules semblent pressés et aucun convoi ne se forme vraiment. Après un rappel à l’ordre et quelques minutes d’attente, le convoi au complet peut enfin partir. Les agents sont déjà admiratifs des nouveaux garages. La visite peut enfin commencer, il va falloir bien se repérer entre les cellules, la pièce des saisies, l’armurerie. Arrivés dans l'immense accueil, le commandant indique les différentes zones de bureaux pour se repérer. La visite se passe dans une ambiance bon enfant. Quelques taunts sont lancés entre les agents ayant pris les escaliers et les agents ayant choisi l'ascenseur.  Les pièces se succèdent, la salle de pause, le bureau du BE, le laboratoire, quelques bureaux et la future salle du Swat. 


Le commissariat est immense, les équipes commencent déjà à se perdre dans les couloirs. Chacun est d’accord pour dire que les travaux sont incroyables et que les équipements mis à leur disposition sont vraiment optimaux (TC 05:45:33). Après quelques recherches, Kurt découvre les vestiaires et remarque que quelqu’un a déjà personnalisé son casier. De retour vers ses équipes, le commandant leur indique que les différentes unités auront leurs clés spécifiques dès le lendemain. Le problème des clés des cellules demeure, la décision est prise de continuer les garde à vue dans l’ancien commissariat pour la soirée. 


Le bâtiment étant tellement grand qu’il est facile de s’y perdre. 07 et certains collègues ne trouvent d’ailleurs pas la salle de dispatch où à déjà commencé la réunion (TC 05:50:00). Le lieutenant se place auprès du commandant pour la suite de la réunion. Après un rapide résumé, la présentation des différentes unités peut alors commencer. C’est tout d’abord la section Antigang qui est présentée, leur mission étant simple, surveiller et contrôler les groupes criminels au quotidien pour ainsi empêcher qu’ils se développent trop. 07 prend alors la parole pour présenter le SWAT. Il explique que l’unité est déployée pour la libération d’otages, pour les rétablissements de l’ordre en cas d’émeutes et sur la sécurisation d'événements à haut risques. La parole passe à la présentation du bureau d’enquête et ses opérations de surveillance, de planque pour obtenir toutes informations susceptibles de mettre à mal les criminels visés. Il indique cependant que l’intégration à cette unité est très contrôlée, au vu des informations sensibles qu’ils collectent. 


Le commandant informe que les cellules sont au final opérationnelles dès maintenant. Avant de passer aux promotions des équipes, le lieutenant Turner souhaite prendre la parole concernant une opération qui s’est déroulée quelques jours auparavant. Il s’agit d’une affaire d’infiltration d’un policier dans un groupe criminel qui s’est terminée. Cet agent étant à ce jour exfiltré, l’état Major ordonne à l’ensemble des forces de l’ordre de ne divulguer strictement aucune information sur cette affaire sous peine de sanctions pénales. Ce rappel est important, en particulier pour les nouveaux agents. 


Place maintenant aux promotions (TC 06:01:23). Le commandant appelle Max Trapu (72), après 10 mois au sein du commissariat, il passe officier 3 sous les félicitations de ses collègues. plusieurs officiers 2 passent sous le même grade dans la foulée. Peu après, Stan Moore, qui avait été rétrogradé, est appelé par le commandant. Celui-ci le félicite, il a montré qu’il s’était nettement amélioré et peut donc retrouver son grade de sergent. Ce qui clôt les promotions du jour. 


Après quelques informations sur le passage de PPA pour les cadets, ainsi que quelques remontées des agents, la réunion peut prendre fin. 



Faire le tour des unités : boostées comme jamais !

(TC 06:12:00) Une fois les agents libérés de cette réunion et l’embouteillage à la sortie de la salle passé, il est temps de se perdre au travers des couloirs. Direction le bureau du commissaire pour les gradations. Kurt en profite pour échanger avec la brigade anti-gang. En ce moment, les activités des différentes unités tournent un peu au ralenti. L’idéal serait que chaque unité puisse tourner tout en laissant des agents sur le terrain. Les nouvelles recrues devraient aider à cela. Par ailleurs, le BE obtient beaucoup d'informations de la part des Brokers, ce qui freine la brigade anti-gang qui souhaiterait les attraper. 

(TC 06:30:00) Après une discussion sur différentes unités, le moral des troupes, leur sérieux et leur motivation, tout l’état major entre dans le bureau du chef. 22 est là, il faut discuter de son cas. Elle a pris des risques, mis sa vie en danger et la vie d’autre agent. En tant que sergent, cela doit être puni. Elle sera dégradée au rang d’officier 3. Bien sûr, elle pourra remonter si son comportement est exemplaire. Cette dernière comprend parfaitement la sanction et l’accepte. 


C’est à présent le tour d’un autre agent de se faire remonter les bretelles. Il s’agit de 29, Prigent. Il revient d’une longue absence et a eu un mauvais comportement en centrale. Lui aussi sera rétrogradé. 


Pas le temps pour l’état major de se remettre des émotions de la réunion, ils ont reçu un appel des Aztecas, ils se sont fait attaquer par la légion. Il s’agit d’un groupement cherchant à faire justice eux-mêmes. Mais avec des méthodes de gangs. Cela n’a rien de bon. Il va falloir monter une enquête du BE sur le sujet. Le BE a rendez-vous avec le groupe criminel qui s’est fait attaquer. De son côté, Kurt va tenir le SWAT prêt à intervenir. Il faut rester vigilent sur un Youga noir. 


Avant de repartir en patrouille, les lieutenants se répartissent les salles de travail. Kurt se montre conciliant, tant qu’il peut bosser. Il laisse donc la préférée de l’anti-gang et prend la salle la moins lumineuse. Elle fera quand même largement l’affaire. Elle contient deux bureaux en plus de l’Open Space. il va falloir choisir lequel sera le sien. Probablement l’affaire la plus compliquée qu’il a à résoudre. Après avoir enchaîné les aller-retour entre les deux bureaux, Kurt fait finalement son choix, ça sera le bureau avec la machine à café ! 


Nouveau tour en ville : avec un cadet, pour changer

(TC 07:00:00) Une fois bien familiarisé avec son nouvel environnement, le lieutenant peut prendre une patrouille. Il part seul dans son véhicule paré à toutes éventualités. Pour commencer direction le Otto’s. La patronne à l’air à bout. Elle aussi semble avoir des nouvelles recrues un peu trop en forme. 

Direction le PDP, le Lincoln va devoir se transformer en Adam. Il y a un cadet à récupérer. Il s'agit de Graves Rodney, matricule 30. Les deux hommes papotent, satisfaits de leur nouveau lieu de travail. 30 projette de rejoindre l’unité anti-gang dans le futur. Encore un peu d’entrainement au volant et il fera un bon officier. 


Bien que des sirènes se font entendre, le nombre d'unités sur le terrain permet de trouver un semblant de calme en ville. 


Enfin l’action semble se profiler pour l’Adam, au plus proche de la supérette sonnante, le duo se retrouve face aux braqueurs fuyeurs (TC 07:18:35). Un 10-31 s’engage, soutenu par une deuxième patrouille. Au loin, les malfrats semblent narguer les agents à leur suite, tant par les propos lancés que par la casse faite sur leur passage. Malheureusement pour eux, un mur les prend de court et la sérigraphiée peut enfin les interpeller. Les braqueurs, en récidive, se retrouvent, malgré un changement de rôle (conducteur/braqueur), pour l’un en GAV, pour l’autre avec une nouvelle amende à payer.

Ceci fait, l’Adam reprend sa patrouille dans les rues de Los Santos, non sans un arrêt au garage pour quelques vérifications sur le véhicule. Ce périple les amène à effectuer un contrôle de vitesse, la gestion d’un véhicule abandonné. C’est au cours d’un support à un 10-31 que les deux agents retrouvent le véhicule du malfrat dans un chantier. Alors que l’individu reste introuvable, Kurt décide de faire une recherche de plaque. Après avoir lu le nom du propriétaire, il annonce en radio que l’engin appartient à M.Diouf (TC 07:53:10). Le lieutenant décide, non sans demander des renforts, de quand même de rapatrier la voiture au PdP. Il préfère prévenir le cadet qui l’accompagne du caractère dangereux et imprévisible de l’homme recherché. Ceci fait, sans encombre, le duo fait quelques relevés avant de prévenir la fourrière.


La fatigue de la journée se faisant sentir, 07 décide de prendre une fin de service bien méritée, non sans une pensée pour ses collègues encore présents ce soir.



S02 EP04

S02 EP04 - 04/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1916971708

https://youtu.be/28xuKiouy6c?si=pLZK42WgjO3Sipx8


Petit point sur les cadets : et les prochaines recrues SWAT

C’est dans son tout nouveau bureau que Kurt commence sa journée, malheureusement il n’avait pas pris les clés avec lui la veille, il est donc enfermé dans les locaux SWAT ! Heureusement que Hartmann est là pour venir le délivrer, et a priori ce n’est pas le premier membre de l’état-major qu’il sauve aujourd’hui. Une fois sorti, 07 s’empresse donc de récupérer son trousseau pour que la situation ne se reproduise pas. Il va enfin pouvoir présenter les lieux au reste de l’équipe. Mais avant que tous rentrent au poste, il continue la visite et après quelques détours arrive jusqu’au toit (TC 00:21:00). Hartmann se voit déjà installé comme sur une terrasse de rooftop et le temps d’une pause clope, 68, 16 et 07 partagent leurs impressions, globalement positives. Notamment sur l’aspect très pratique du rez-de-chaussé, avec vestiaires, armureries, saisies et parking au même endroit. Il n’y a plus qu’à former la vague de nouveaux et ça devrait bien se passer ! Ce sont d’ailleurs toujours les mêmes noms qui reviennent sur ce sujet… 12 notamment, en mélange de Trapu et Becker, inquiète. Et bien sûr 66 ! Kurt prend d’ailleurs des nouvelles de 04, qui l’a géré une bonne partie de la journée la veille. Et comme Kurt auparavant, 04 s’en est sorti mais pas tous les jours ! Il y a heureusement d’autres cadets très prometteurs, comme 03, qui a déjà de l’expérience dans les forces de l’ordre. De quoi grossir les rangs des unités spécialisées. Notamment 03 au SWAT et pourquoi pas 66 au BE ! L’unité d’enquête est à favoriser dans tous les cas, ils ont besoin de monde.


Hartmann et Kurt se tiennent prêts à accueillir les autres membres de l’unité pour la découverte, qui arrivent petit à petit. Déjà 95 semble de mauvaise humeur, et lorsqu’il répond que “l’EM fait ouin-ouin” à la remarque de Kurt sur son port de GPB, cela ne plaît pas à ce dernier. Une question sur la centrale gérée plus tard, les membres SWAT présents sont là, la visite peut commencer (TC 00:39:40). Le leader fait passer une consigne : les clés des bureaux sont à reposer avant de partir sur le terrain, afin d’éviter toute perte ou vol. Pour le choix du bureau de chacun c’est premier arrivé, premier servi. Ils en profitent ensuite pour faire une visite des bureaux des autres unités mais celle-ci est vite stoppée lorsque des tirs sont annoncés à Grapeseed. Ni une ni deux, tous les agents sautent dans un véhicule pour se rendre sur les lieux, GPB sur le dos (TC 00:46:00).


Alerte au Nord : mais que font les shérifs ?

Les premières infos arrivent : l’individu serait vêtu d’un casque de moto, d’un pull de Noël, d’une salopette, avec un mousquet dans le dos. Arrivés à la ferme de Grapeseed, ils tombent rapidement sur l’homme en question (TC 00:49:50) qui s’annonce comme le propriétaire des lieux. Après contrôle, il est d’ailleurs connu des services de police pour plusieurs possessions d’armes illégales. Le lieutenant ne se laisse pas embobiner lorsque l’homme tente d’éviter le sujet de la provenance de ses armes, il évoque des caches aux alentours avec des armes et des grenades suite au crash d’un avion sur le terrain des Grimion. Et que les shérifs sont au courant. Mais Kurt a bien du mal à croire l’histoire de Chen Grimion et de son terrain plein d’armes. Un appel du lieutenant Turner interrompt ces explications (TC 00:55:00), ce dernier explique que des shérifs seraient en train d’arriver parce que le LSPD n’aurait rien à faire là. Kurt donne donc sa version et la raison de leur présence sur place mais selon 33 ce n’est pas leur juridiction, c’est celle des shérifs. Les civils peuvent faire une plainte au LSPD, qui sera transmise au bureau des shérifs, mais les agents du Sud ne peuvent normalement rien faire de plus. 07 n’est pas d’accord lorsque 33 lui dit que cela s’est toujours passé comme ça, surtout qu’il est déjà venu protéger des employés et qu’il n’a pas vu les shérifs mais soit, ils prennent l’arme, mettent l’amende et repartent.

Et justement, voilà que les shérifs arrivent, enfin, fusil à pompe sur le dos et bière à la main (TC 00:57:20). Le lieutenant Schröder explique la situation, et la raison de leur présence dans le Nord. Les shérifs semblent bien connaître M. Grimion et ne voient pas de mal à ce qu’il s’est passé, même si du côté du LSPD ça a du mal à passer, les agents expliquant à l’homme que s’il voit du monde sur sa propriété il doit plutôt appeler la police. Entre les FdO du Sud et du Nord ce sont deux visions différentes qui s’affrontent. Pour Kurt les choses sont simples : si ce n’est pas la juridiction du LSPD, les shérifs n’ont qu’à intervenir plus vite ! Et prendre les appels des travailleurs du UwU. La discussion se transforme rapidement en dialogue de sourd, et après le quatrième “Et pourquoi ? Vous êtes pas dans le Sud ici, c’est le Nord”, Kurt lâche l’affaire. Discuter avec une vache serait plus efficace. Le fusil est confié au shérif, l’homme a reçu son amende, le LSPD rentre dans sa juridiction ! (TC 01:01:50)

Sur le chemin du retour, le lieutenant transmet un ordre aux agents : jusqu’à clarification avec le commandant, les effectifs ont interdiction d’intervenir dans le Nord, même si des travailleurs du UwU sont en danger. 95 et 07 sont quelque peu dépités par leur rencontre avec leurs collègues, plus… ruraux. Mais ils passent rapidement à autre chose, le Sud les attend !


Ah le Sud : ses quartiers, ses habitants…

En attendant la réparation de la voiture au Otto’s, 07 fait un topo sur la situation à 33, pas de mal en soit, les deux parties remontent leurs problèmes mutuels, pas de soucis si c’est leur juridiction mais il faut qu’ils soient présents ! Le reste est entre les mains du commandement. Turner a déjà eu des échos sur la famille Grimion, qui a priori a bien un accord avec les shérifs, mais interdiction de prendre leurs armes dans le Sud. Pour le UwU, les employés peuvent remonter les choses au LSPD et si les shérifs n’interviennent pas, ce sera remonté au commandement LSPD. Kurt n’avait visiblement pas toutes les infos, à vérifier avec le commandant mais pas de soucis s’ils ne doivent plus intervenir dans le Nord. Il ne reste plus qu’à écrire un rapport sur tout ça.

Concentré, 07 ne remarque pas tout de suite qu’il est toujours dans sa tenue SWAT, au Otto’s puis au UwU passe encore, mais en patrouille ce n’est pas possible. Retour donc au poste pour se changer.


Désormais avec le bon uniforme, Kurt repart en patrouille avec Lloyd pour un concours de regard avec une voiture bleue (TC 01:31:00) et plus sérieusement de la surveillance de zone de deal (TC 01:33:00), Kurt s’étant équipé pour l’occasion d’un paquet de chips. Pas de flagrant délit mais au moins une info, à voir toutefois si le BE pourra en faire quelque chose (TC 01:42:00). Pour l’instant la ville est calme, les deux agents ont même le temps d’aider une demoiselle en détresse (TC 01:44:50). Une travailleuse du UwU qui a garé un véhicule dont elle n’était pas propriétaire et ne peut donc pas le ressortir du garage. Entre ça, les alertes de deal ou une moto qui passe un peu trop près, il n’y a pas grand chose à faire, ils se retrouvent même à jouer avec les sirènes de la voiture ! (TC 01:49:45)


Heureusement, rien de tel qu’un passage dans les zones de gang du Sud pour retrouver un peu d’activité. Tout est tranquille du côté de Forum Drive, même si les Verts sont de plus en plus nombreux, mais ils entendent des tirs du côté de l’ancien quartier des Souls (TC 01:52:55). 07 et 95 rentrent au poste pour s’équiper de GPB et y retournent, accompagnés d’une Adam supplémentaire en renfort. De retour sur les lieux (TC 01:57:35), ils rencontrent un homme dans le quartier (TC 01:58:50). Celui-ci prétend être un Vagos, il ne fait pas partie des Souls, le lieutenant lui explique donc que les Vagos ne sont pas chez eux. L’homme veut reconquérir ce qu’il dit être son quartier, mais il n’a rien conquis pour l’instant. Il n’est pas très coopératif et refuse de présenter une pièce d’identité. Après plusieurs demandes et refus, il est menotté mais finit par changer d’avis. Kurt commence à s’impatienter, surtout que l’individu bouge sans cesse et répond “pourquoi ?” à chaque demande des agents. Il n’est pas connu des services de police et ne reconnaît pas le tir qui a eu lieu plus tôt. Il n’est pas le chef des soi-disant Vagos, qui serait son oncle. A force de le voir marcher dans tous les sens en refusant de s’arrêter, le lieutenant Schröder perd patience et le tase (TC 02:03:05), au même instant d’autres échos de tirs se font entendre. Les agents quittent les lieux, en laissant à Lorenzo Arroyo un message à faire passer à son chef : ils ne sont pas chez eux, pas tant qu’ils n’auront pas eu de discussion avec le commandant et le capitaine, sinon ils n’auront plus qu’à trouver une nouvelle maison, il y a suffisamment de ponts dans la ville pour ça. Les deux Adam font un dernier tour du quartier sans rien voir de plus et retournent au poste. Voilà du travail dans le futur pour l’unité anti-gang, et sur le cadet 66, un peu trop fébrile, mais 16 se charge déjà de lui expliquer.


Retour en patrouille après le passage au poste, Kurt s’occupant de taper dans la voiture son 2ème rapport de la journée. Et comme visiblement il veut en taper d’autres, il continue à faire le tour des quartiers, cette fois il y a du monde à Forum Drive, parfait pour une nouvelle battle de regards au feu rouge (TC 02:18:20). Lloyd n’y voit pas d’inconvénient, mais se sentirait plus en sécurité avec un fusil à pompe si 07 s’amuse à chercher les problèmes. Il faut bien donner du travail à l’anti-gang. L’ennui commence à se faire ressentir dans l’Adam, les deux membres SWAT se cherchent, faute de mieux à faire. Le dialogue étant particulièrement recherché “t’es aigri”, “ta soeur elle est aigrie” (TC 02;24;00) Clip Il est grand temps de faire une pause au commissariat ! (TC 02:25:50)


Rien de mieux que le parking : pour un peu de RH

Visiblement les histoires ne sont pas terminées car à peine revient-il de sa pause que 95 arrive pour se plaindre d’un truc que 21 aurait dit à 33 (TC 02:30:25) mais il n’a pas le temps de finir sa phrase que Kurt s’éloigne pour appeler 45 et dire au lieutenant Mulberry de faire son job avec l’unité anti-gang pour les Vagos. De retour vers Gordon (TC 02:32:50) 07 réexplique qu’il n’a pas son BAFA et se fout de leurs histoires. De toute façon 95 est un connard, ce n’est pas nouveau ! 

Lieutenants et sergents se retrouvent sur le parking, entre 07, 45, 90 et 21.Le sergent Wil Sobre (90) est de retour de vacances et ça tombe bien car il est chargé de la communication et 45 aimerait bien que les journalistes arrêtent de dire que c’est un connard ! C’est certes vrai mais il voudrait que cela ne finisse pas non plus en article, surtout que 07 conseille d’être très vigilant sur la formulation. La dernière fois qu’ils ont essayé de calmer les choses sur une situation similaire cela s’est terminé par un article à charge contre 59. Mais 45 se ravise, il s’agit d’une simple blague, 90 n’a pas besoin d’intervenir, de toute manière ils savent bien en interne qu’ils sont parfois une belle brochette de cons. Pour un peu plus de sérieux, Kurt fait à nouveau le résumé de l’intervention qui a eu lieu plus tôt dans le Nord et qu’il a remarqué beaucoup de mouvements autour des quartiers de gangs qui commencent à vouloir dégager les flics. Pour l'instant, il considère le quartier Souls comme toujours pacifié, à voir pour la suite. 

L’arrivée de Trapu est l’occasion de réexpliquer ce qu’il s’est passé avec les shérifs et les consignes qui en découlent, soit de ne plus intervenir même si des civils demandent de l’aide. Mulberry temporise en disant que de toute manière ils ne peuvent pas aider tout le monde partout, mais le problème pour 07 est qu’ils n’ont pas eu jusqu’à maintenant d’informations claires à ce sujet. Encore quelques jours plus tôt ils étaient montés aider les travailleurs du UwU.

Il est désormais temps pour tous de retourner sur le terrain, Kurt part avec Trapu mais le prévient tout de suite : c’est lui qui garde le volant ! (TC 02:47:50)


En patrouille : avec Trapu

Le lieutenant continue de faire le résumé de l’après-midi à 72, globalement la journée a été calme, en-dehors du quartier des Souls et des shérifs. D’ailleurs Kurt a une question pour Trapu : ‘Qu’est-ce qu’on dit à une personne en danger dans le Nord ?” : ‘Nique ta maman” ! Tout à fait.

72 a lui aussi quelques infos, déjà le besoin de mettre à jour leur carte des quartiers de gangs et qu’il a discuté la veille avec les Verts au karting, ils étaient effectivement 7. Ils sont pour l’instant en vacances, et vont reprendre du service d’ici un à deux mois. C’est en tout cas ce qu’ils disent. Kurt s’étonne de ces criminels qui prennent des RTT, et le risque de se faire dégager de chez eux s’ils ne sont pas là pour défendre, mais n’oublie pas de rappeler à Trapu de transmettre ces infos au BE. Mais dans tout ça ce qui est aussi à retenir c’est que le kart, c’est sympa ! En tout cas, cela leur permet de discuter en attendant le Otto’s pour récupérer une voiture abandonnée et verrouillée en plein milieu de la route (TC 03:05:00). Arrivé sur place, le mécano rencontre des difficultés pour remorquer le véhicule et préfère attendre sa patronne, 07 met donc le véhicule à l’écart et attend avec l’employé du Otto’s. C’est l’occasion de discuter tranquillement sur l’activité en ville, la vague de nouveaux arrivants, et de montrer que tous les agents ne sont pas malpolis. A peine arrivé le mécano a déjà eu une mauvaise expérience avec 45… ce dernier n’a pas été aimable, même plutôt agressif. Kurt reconnaît, de façon un peu abrupte, que les FdO ne sont pas exempts de connards ! Et ce qui est arrivé n’est pas normal. Mais heureusement de manière générale l’ambiance est bonne, comme au Otto’s. Même avec les criminels cela se passe bien. Pour le LSPD aussi, suivant l’agent en face ! 

L’arrivée des patrons débloque la situation et apporte surtout des informations : des tirs entendus en passant devant Forum Drive, potentiellement des tirs d’arme automatique. Kurt transmet les informations à la radio et des agents se rendent sur les lieux.

Du rififi à Forum : quand les médecins s’en mêlent…

Le problème de voiture enfin réglé, le lieutenant Schröder récapitule les infos et se rapproche aussi de Forum Drive. Les agents déjà aux alentours signalent du monde et des EMS devant le quartier, ce qui est confirmé par l’Adam 07 et 72 qui arrive sur place (TC 03:24:30). Première chose, les médecins semblent débordés et sont plutôt désagréables, il semble y avoir de multiples blessés, potentiellement des Brokers et des Verts. Les FdO restent sur place pour sécuriser les médecins et iront les contrôler par la suite aux EMS. Cela ressemble à un conflit entre les deux gangs, un Vert vient d’ailleurs demander aux agents ce qu’ils font là, ce à quoi Kurt répond qu’ils sécurisent les EMS et qu’ils s’en iront en même temps qu’eux (TC 03:27:00) Le dispositif est d’ailleurs levé, l’Adam ainsi que les autres voitures se rendent aux EMS. 45 annonce qu’il sort l’anti-gang et 95 est chargé de la sécurisation des lieux et le contrôle de ceux qui sortent de l’hôpital et tous s’organisent lorsque des médecins viennent voir ce que les FdO font devant l’hôpital (TC 03:30:50). Ceux-ci répondent qu’ils attendent les individus en cours de soin, quand d’autres médecins reviennent pour poser la même question (TC 03:31:20) et annoncer qu’il n’y a pas de blessés par balle, seulement un médecin qui a eu un accident. Mais ils évoquent aussi une bagarre entre membres de gangs et tous parlent en même temps. Ne comprenant rien à ce capharnaüm, qui ne correspond en plus pas aux éléments qu’il avait, le lieutenant Schröder prend à part le responsable EMS pour éclaircir tout cela.


Kurt explique que lui de son côté a eu une info de la part de civils pour des tirs à l’arme automatique à Forum Drive, sur place ils découvrent un médecin et plusieurs individus au sol. L’homme lui explique que 2 personnes d’un même groupe se sont tapées dessus et qu’un médecin est passé à travers le pare-brise de l’ambulance en arrivant. Il n’a pas trouvé cela bizarre, ce n’est pas la première fois qu’il intervient pour une bagarre au sein d’un gang, mais Kurt pointe l’aspect incongru d’avoir 2 Brokers qui se battent devant le quartier des Verts. Mais soit, il précise juste une dernière chose : il travaille beaucoup sur le relationnel avec les deux patrons des EMS et veut que cela reste comme ça. Il va donc falloir calmer le médecin qui a été relevé et a été particulièrement désagréable avec eux. Il comprend que tous soient énervés dans cette situation mais les FdO sont là pour sécuriser les médecins. Le médecin en face comprend bien, il fait lui aussi partie de la direction en tant que RH et a la même vision et la même politique, il est d’accord, il n’y a pas besoin de conflit entre les deux services et va faire un rappel à son médecin.


Ceci étant éclairci, le dispositif à l’hôpital est levé. Le lieutenant Schröder appelle le lieutenant Mulberry pour le tenir au courant (TC 03:35:25), il lui transmet les infos telles que rapportées par les EMS sur ce qu’il s’est passé, même si globalement il n’a pas tout compris. 45 confirme que l’unité anti-gang tourne et interviendra dès qu’il y en aura besoin. 07 a aussi eu par sms une remontée de 28 qui explique qu’un médecin sur place a demandé à lui et 95 de dégager… C’est bien pris pour 07 qui lui annonce que tout cela est géré, mais envoie tout de même un message à Mme Adrianna DIAZ, la directrice adjointe, pour en discuter.


Un peu de calme : pour former les cadets

C’est désormais avec Hartmann que Kurt retourne patrouiller sur le terrain, avec quelques infos supplémentaires de Mulberry sur ce qu’il s’est réellement passé. Ce dernier a eu le chef des Brokers qui explique que deux de ses gars se sont battus dans leur quartier, mais que les EMS ont eu leur accident devant Forum Drive sur le chemin du retour. Ce qui explique la présence de tout ce monde au même endroit. Et pour ce qui est des soi-disant Vagos, il n’y a pas eu de nouveaux tirs, tout est calme. 

Les coups de téléphone ne sont pas terminés, le commandant est disponible, 07 s’empresse donc de l’appeler pour lui expliquer ce qu’il s’est passé plus tôt au Nord (TC 03:44:20). Après avoir relaté les faits, Kurt ajoute que comme il était déjà intervenu en protection du UwU, il ne s’est pas posé de questions et est monté directement dans le Nord en voyant le message. Le commandant n’a pas vu beaucoup plus souvent les shérifs, pour lui aussi ils interviennent très rarement. Mais il émet une hypothèse : peut-être que le commissaire Zamal a mis en place des choses sur leur gestion interne et qu’ils bossent plus souvent. Il va en tout cas se renseigner. Si nécessaire l’EM peut intervenir en cas de force majeure, et être présent pour discuter avec eux. Une affaire à suivre !


Tout est calme en patrouille, même si Kurt se méfie, cela ressemble surtout au calme avant la tempête ! Mais pour l’instant, il y a encore des cadets à former. 68 et 07 se séparent donc et Kurt récupère le cadet 18, Brandon Hill (TC 03:58:40)

Ce dernier est chargé de la radio et semble un peu perdu mais heureusement, le lieutenant Schröder se révèle parfois très pédagogue, et le guide au fur et à mesure. Et le cadet se retrouve rapidement dans le bain avec une course-poursuite, il y a finalement de quoi s’entraîner ce soir. Ce n’est pas évident au début, mais 07 prend le relai dès que 18 commence à perdre pied et continue ses explications au besoin. Si le cadet a bien sûr des difficultés, c’est le début, il se montre motivé. Kurt passe en revue le fonctionnement de la radio, des patrouilles, de quand et comment faire les calls radio en course-poursuite, etc. Les occasions de s’entraîner ne manquent pas, les CP s’enchaînent et une arrestation permet à 18 de se familiariser avec les procédures et la tablette (TC 04:32:00). Et à Kurt de discuter avec un Marabunta qui s’interroge sur ses tatouages et qui trouve que son uniforme le boudine, d’autres habits, de style tenue de gang, seraient plus adaptés ! (TC 04:33:10)


Au Otto’s après l’arrestation, 95 et 07 expliquent au cadet qu’il y a une forme de géométrie variable sur les arrestations, cela dépend de son caractère, s’il est très procédurier ou s’il préfère discuter, et suivant comment se déroule le contrôle. Puis, d’humeur magnanime, Kurt autorise à son cadet un arrêt au UwU pour qu’il récupère de quoi se sustenter ! Et après un détour par le parking du PdP où ils admirent la Tempesta du commandant, l’Adam reprend sa route. Le lieutenant continue sa conversation avec le cadet, qui a été recruté très récemment, c’est seulement sa deuxième patrouille, et n’ayant jamais fait partie des Forces de l’ordre il est très stressé. Mais il se montre intéressé et a beaucoup de questions. Il n’était pas présent lors du dispatch de la veille et n’a pas eu de présentation des unités spécialisées. C’est une nouvelle occasion pour Kurt de répéter le même discours depuis quelques jours et de les présenter de manière générale. Puis les courses-poursuites reprennent, il y a de l’activité en ville ce soir ! 

L’exercice est intense pour le cadet car la CP est longue, mais 07 ne lâche rien et finit par intercepter le véhicule (TC 05:04:50). Voilà une nouvelle formation pour le cadet Hill : contrôle et arrestation. Comment procéder, quelles questions poser… Face à la panique de 18, Kurt prend le relais et creuse un peu le sujet du vol de véhicules. Il ne reste plus au cadet qu’à décider du montant de l’amende, guidé par son lieutenant qui fait preuve de clémence. Tout dépend des cas, si l’individu est coopératif et correct, s’il donne des informations intéressantes. 07 prend encore un peu de temps pour expliquer comment remplir la tablette et le casier, le cadet est d’ailleurs un peu trop efficace car il note quatre infractions au lieu d’une mais heureusement le commandant arrange ça. Puis l’Adam se rend au garage pour effacer les stigmates de la course poursuite. Du moins c’était le programme avant un call radio indiquant une prise d’otage (TC 05:19:20).


En fait, c’était un peu : beaucoup trop calme

Toutes les unités convergent vers le chantier (TC 05:20:00) et l’Adam de 07 tourne ensuite aux alentours à la recherche d’un véhicule et pour intervenir si besoin. Et alors qu’ils s’arrêtent au niveau d’une voiture suspecte, ils essuient des tirs (TC 05:20:55). Kurt réplique immédiatement mais la voiture est déjà loin, avec un pneu crevé, l'Adam ne peut malheureusement pas suivre. L’info est transmise par radio tandis que Kurt immobilise la voiture et se place en sécurité avec le cadet. Il le charge d’appeler le garage tout en restant vigilant. Ils sont rapidement rejoints par le commandant (TC 05:22:45) pour les sécuriser en attendant le Otto’s, qui repart aussi vite lorsque la voiture en question est signalée à proximité. Le cadet n’a qu’une consigne à suivre : si ça tire il s’abrite !


Alors que les sirènes résonnent dans toute la ville et que les calls radio fusent, 07 reçoit un appel d’un EMS (TC 05:23:45). Le lieutenant répond qu’il est en pleine fusillade, mais peut quand même discuter concernant le différend qui a eu lieu plus tôt avec un médecin. Il prend donc le temps d’expliquer la situation, et leur point de vue. L’EMS au téléphone explique que, par rapport à ses remontées, des agents du LSPD avaient insisté pour dire qu’il y avait des blessés par balle. Mais avec les explications du lieutenant, les choses sont plus claires : effectivement le LSPD est arrivé sur des potentiels tirs à l’arme automatique, sans aucune info des EMS une fois sur place. Ce n’est qu’à l’hôpital qu’ils ont compris, et que les tensions ont commencé à redescendre, sauf peut-être entre un médecin et 95. Une fois de plus, Kurt explique qu’il peut comprendre l’énervement, mais cela n’excuse pas tout, les FdO sont là pour leur venir en aide.


Ceci étant géré, retour à une autre situation : la fusillade ! Le commandant Parpaing et le sergent Grealish sont revenus (TC 05:27:10), pour un point d’info : ils ont attrapé un individu mais n’ont pas réussi à arrêter les véhicules poursuivis. Ils verront bien qui est responsable, il y a aussi du travail à faire en interne : c’était le bordel en radio. Il va falloir travailler pour structurer à nouveau tout ça. Car pour l’instant cela rappelle surtout les tout débuts du LSPD au commandant. Il va réfléchir à un nouveau fonctionnement, Kurt propose de passer par des appels directs dès qu’il y a plus de deux CP en cours, ou de mettre une radio dans la voiture ! Pour ça, c’est non, mais il y a une réflexion à avoir sur les procédures, les demandes de renfort lors des CP, bref du travail. Sinon, le temps se fait long à attendre le garage, surtout qu’une dépanneuse est passée devant eux sans s’arrêter et qu’ils n’ont toujours pas eu d’appel d’un mécano. Ils découvrent toutefois un élément d’explication lorsque le cadet veut s’assurer qu’il a le bon numéro : 555-AUTTO (TC 05:32:45) Forcément, ils pouvaient attendre encore longtemps ! Cela donne au moins l’occasion à l’EM de chahuter un peu le cadet 18. Et de lui apprendre quelques règles de bases : si des hommes surarmés arrivent et leur tirent dessus il se met devant le commandant afin de le protéger des balles ! Si toutefois le commandant est équipé d’un GPB et s’est mis à couvert, il peut se cacher aussi. Et pour ça 10 a une technique spéciale, qui lui a déjà sauvé la vie lors d’un assaut SWAT ! (TC 05:37:40) 


Enfin, une dépanneuse arrive, et après un dernier bizutage du cadet (TC 05:39:35), 18 et 07 n’ont plus qu’à attendre au OTTO’s que leur voiture ait tous ses pneus. Ce qui prend malheureusement un peu de temps, alors qu’il y a quelques personnes habillées en jaune sur le parking, plutôt hyperactives, bien trop pour 07 qui se met le plus à l’écart possible ! (TC 05:44:35)


Toute cette journée a raison du lieutenant Schröder, après un dernier tour avec le cadet Hill alors qu’une voiture similaire à celle recherchée auparavant tourne autour des agents, heureusement sans échanges de tirs cette fois, il prend sa fin de service et part enfin se reposer. Avec une annonce du commandant : ce sont les Brokers qui sont responsables des tirs.



S02 EP05

S02 EP05 - 06/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1918760294

https://youtu.be/zjFRtF9jSaE?si=Pqn3rCne7_UyquVG​​

Un peu de gestion : et ça part ! 

La journée du lieutenant commence comme à son habitude au poste de police. A la radio les calls s'enchaînent rapidement, alors qu’il finit tranquillement son café. C’est un appel de 90 qui le sort de sa pause. En effet le sergent Sobre lui rappelle une histoire avec le sheriff. Une voiture aurait effectué un excès de vitesse dans le nord et la course poursuite aurait été terminée dans le Sud. Après un rapide call avec le sheriff pour éclaircir l’histoire, Kurt descend aux vestiaires pour enfiler sa tenue, prêt au travail. Il embarque Colman avec lui en Adam pour un début de patrouille (TC 00:21:40).

Ils évoquent ensemble l’idée de profiter d’un convoi de saisies à détruire, pour permettre au service anti-gang de s’installer vers les docks pour de la surveillance.De nombreux officiers étant arrivés, l’Adam se sépare pour que chacun puisse en récupérer. 07 demande alors l’officier Roche (28) pour la suite de la patrouille. En l’attendant, 07 s’occupe de la centrale et gère les différentes unités circulants en ville et le dispatch. 22 l’appelle d’ailleurs pour le prévenir qu’elle part faire une patrouille en voiture banalisée (TC 00:32:50). Se rappelant qu’elle avait déjà repéré quelques officiers ou cadets intéressés à découvrir cela, 07 lui demande de prendre 40 avec elle et lui indique qu’il lui enverra sûrement un ou deux cadets par la suite. 

L'officier Roche s'interroge sur le fait que l'EM soit contraint de prendre la centrale alors même qu'il y a du monde pour le gérer. Même si le fait de prendre la centrale ne dérange pas en soit le lieutenant, il est d'accord avec 28 sur le fait que ce n'est pas pratique. Surtout si une urgence intervient. Mais il a surtout conscience que peu de monde aime avoir à gérer la centrale. L'échange est très intéressant et l'officier indique même qu'il souhaiterait prendre plus de responsabilités en particulier sur ce niveau. 

Ils évoquent aussi l'envie de 28 de créer une unité d'intervention rapide. Sachant que le lieutenant Kazenko (44) est justement en pleine rédaction d'une proposition sur ce sujet, 07 incite fortement Roche à prendre contact auprès de lui. 

Sur ces paroles, un call radio leur indique un braquage de supérette proche de leur position, ils raccrochent la course poursuite (TC 00:42:30). A peine arrivés vers 5016, un individu les dépasse. La moto fonce à pleine vitesse vers le quartier des villas. Les deux unités de polices sont à ses trousses mais les rues sont étroites et les accidents peuvent vite arriver. La CP se poursuit sur les grands boulevards. L'individu est appréhendé après quelques minutes. Voyant la seconde unité auprès du braqueur, l'Adam repart en patrouille.

En quelques minutes seulement, la voiture aperçoit deux hommes masqués vendre un produit dans la rue et partir à vive allure (TC 00:53:30). Après quelques rues seulement, le conducteur de la moto dépose son coéquipier et s'enfuit. Il s'agit de monsieur Andrescu. Conciliant, 07 lui prend seulement le restant des pochons de coke qu'il avait sur lui et le laisse repartir. Ce geste sera le seul qu'il fera de la soirée, Andrescu est prévenu. 

À la radio. Un agent appelle les autres unités en renfort. Il aurait été menacé à l'arme blanche par un individu lors d'une arrestation. Dès leur arrivée, le lieutenant Schröder prend en charge l'individu violent, le fouille et récupère la batte de baseball ainsi que sa radio et téléphone.  Le laissant ensuite à la seconde unité sur place. Dans le même temps, 07 en profite pour recontacter le cadet Bodein qui vient d'arriver. Voulant tester la patrouille en banalisée, il le renvoie vers 22 qui le prend en charge. 


Mais un peu de calme : avec les cadets 

Les call radios fusent de toutes parts, il faut dire. Ce soir il y a 15 agents à gérer à la centrale. Après plusieurs interventions sans retrouver les auteurs des délits. 28 repère un braquage en cours à proximité (TC 01:21:15). Alors que la course poursuite s'enclenche. 07 doit aussi gérer plusieurs call radios et notamment des agents ayant arrêté l'individu plus tôt. Ils souhaiteraient lui rendre son portable et sa radio. Seulement c'est le lieutenant qui les a gardé sur lui après l'arrestation. La CP étant perdue, l'Adam se rend au poste pour faire l'échange des objets dans les saisies. Cela étant fait, la patrouille peut reprendre. 

Enfin pas vraiment. Les différentes courses poursuites ont eu raison de leur véhicule qui doit être réparé chez Otto's. Sur place, ils croisent certains agents dont la conversation semble très détendue. Il faut dire que 66 fait partie de la bande et quand il est dans les parages "magic Mike" comme le surnomme 07, fait quelques ravages. En croisant l'officier Jones, le lieutenant s'excuse de l'avoir appelé par son ancien grade de cadet. Les promotions ont été faites récemment et il lui est difficile de suivre toutes les prises de service ce soir. 

Peu après 44 l'appelle et lui propose de l'aider à exercer les cadets au tir. 07 refuse en lui expliquant qu'il souhaite rester auprès de l'officier Roche ce soir. Il veut voir sa façon de travailler dans l'optique de faire évoluer prochainement. Sur ce call, 44 reprend la centrale pour la suite de la soirée. Il renvoie d'ailleurs 07 et 28 aux EMS pour récupérer un cadet et le sergent chef Becker sans vraiment expliquer pourquoi. 

A leur arrivée, la médecin leur explique que le sergent-chef devait passer sa visite médicale mais s'est effondré après seulement quelques mouvements. L'effort physique n'est vraiment pas son truc. Kurt propose alors aux médecins de motiver 25 avec de la bière (TC 01:51:16). 

Après avoir vu avec les médecins pour leur envoyer quelques cadets pour l'entretien psy lié à l'obtention du PPA, la patrouille peut reprendre. La soirée est relativement calme.

En route, Roche demande au lieutenant quel est son hymne personnel du LSPD. Si c'est aujourd'hui " protéger et servir" il se souvient qu'il y a quelques mois en arrière c'était surtout " avouez ou prenez ce coup de matraque", pas vraiment la même ambiance. 28 lui propose alors "protéger ou punir" comme hymne du SWAT. 

La patrouille continue dans une bonne ambiance. Les deux partagent leurs visions et avis sur l'état actuel du LSPD. Ils sont d'accord sur le fait que les entraînements sont trop peu nombreux et pourtant primordiaux pour l'avenir au sein du service. 07 presse 28 à recontacter le lieutenant Kazenko au sujet de l'unité VIR. Afin de l'aider à constituer un bon dossier, il lui envoie même le dossier qu'il avait rédigé pour l'ouverture du SWAT et lui indique quoi y indiquer : les missions voulues, les soirées types à décrire, les tests d'entrée, les véhicules concernés ainsi qu'un règlement intérieur à l'unité. 28 est reconnaissant de l'aide apportée par le lieutenant. 


Encore et toujours : des histoires de gestion 

Quelques minutes après, l'Adam se rend sur un braquage de supérette (TC 02:28:30). La voiture poursuivie est joueuse. La musique à fond et le pied au plancher. 28 perd le visuel après quelques minutes. Le lieutenant lui propose alors de le déposer au poste de police et de prendre un cadet avec lui pour la suite de la soirée. 

La radio secondaire du LSPD semble être compromise. 07 en profite pour charrier la personne présente en radio et se présente sous le nom de Bobby (TC 02:39:00). Après quelques échanges. La radio est changée et cet interlude est un bon divertissement pour tous les agents. 

07 propose au lieutenant Kazenko de visiter les bureaux du SWAT. Il évoque aussi à 44 et 33 qui les a rejoint, son accrochage avec 90 le soir d'avant (TC 02:46:30). Le chef du pôle communication, a appelé 07 pour le prévenir que 21 allait aussi faire partie du pôle com à l'avenir. Le lieutenant n’était pas particulièrement ravi d’apprendre cela. Le commandant lui-même lui a rétorqué qu’il ne doit pas la bloquer dans sa carrière. 07 a alors prévenu la sergent Gordon et 90, à la première connerie, elle devra quitter le SWAT. 90 a commencé à hausser le ton, n'appréciant pas du tout le fait que Kurt envisage de bloquer l’avenir professionnel de 21. Kurt l'a alors remis à sa place et a indiqué à 21 qu’elle restera au pôle communication le temps de recruter d’autres personnes. Il n'apprécie surtout pas que la jeune sergent se soit cachée derrière le commandant. Il a l'impression d'avoir été pris en otage sur cette décision. 

Les lieutenants en profitent alors pour évoquer le cas du lieutenant Mulberry (45). Un employé du Otto's ainsi que d'autres citoyens se sont plaint de son caractère et de ses propos plus que vêtements et limites. Les remontées sont assez nombreuses pour en faire un rapport au commandant et au capitaine. 

Après de multiples calls radio, 33, 44 et 07 décident de partir ensemble en patrouille (TC 03:00:00). Le Tango des trois lieutenants s'avance vers l'une des courses poursuites en cours. Le véhicule orange est en visu rapidement. La CP dure de nombreuses minutes et les individus tirent même quelques flares sur les véhicules de police. Le véhicule est hélas perdu de vue après que le véhicule où se trouvait 07 se soit pris un muret. Laissant 44 aller réparer sa voiture. 07 et 33 repartent en Adam.

Les courses poursuites s'enchaînent et se ressemblent, c'est au tour d'un véhicule gris de se faire prendre en chasse par deux unités du LSPD. 07 la suit pendant un certain temps (TC 03:17:30). Après quelques virages hasardeux. Le véhicule est perdu de vue, 07 et 33 repartent donc au poste de police.


Sans oublier les gangs : toujours présents en ville

Mais aussitôt arrivés, aussitôt repartis (TC 03:30:00) en voyant le message entreprise indiquant qu’un homme a été menacé par des individus armés. Décidément, l'heure est maudite. Pour la peine Kurt sort la VSTR, ça ne rigole plus !  Turner ne manque pas de remarquer que 07 a le privilège d’avoir encore ce véhicule. Effectivement, il a l’excuse SWAT et surtout la voiture a une valeur sentimentale puisqu’elle date de son époque au poste de commandant. 

Les agents sur le terrain sont déjà à la poursuite des présumés malfrats, à bord d’un Buggy à trois roues, que les deux lieutenants retrouvent rapidement (TC 03:32:00). Les individus à bord du Buggy ne semblent pas avoir envie de s’arrêter pour un contrôle et montrent clairement qu’ils sont armés. La course poursuite s’engage alors, avec des passages dans des lieux publics et donc l’autorisation de pit qui va avec. Devant les culbutes de l’engin à trois roues (TC 03:35:00), 33, blasé, ne sait même plus qualifier ce qu’il a devant lui. Et lorsqu’ils passent en plein milieu du quartier des Aztecas, les agents passent à la vitesse supérieure : la neutralisation. Et face à une VSTR, la grenouille sur roue ne fait pas long feu (TC 03:36:40). Il est désormais possible de contrôler les malandrins, et malgré la glissade de 66 qui menotte son lieutenant (TC 03:37:45), les deux sont envoyés au poste pendant que 33 et 07 s’occupent du véhicule sans traîner. Il ne fait pas bon rester dans les quartiers sud, surtout après les tirs des soi-disant Vagos.


33 a lui aussi dû gérer des problèmes avec des gangs dans la soirée, surtout les Brokers, énervés par un nouvel arrivant un peu ingénu qui a foncé dans leur véhicule… Prévoir un guide des personnes et des lieux à éviter en ville pour les nouveaux pourrait être une bonne idée sur laquelle travailler. Sans nouvelles du Otto’s, 33 gère seul la mise en fourrière et les deux lieutenants décampent avant qu’une intervention ne leur tombe encore dessus. Et justement… il y a du monde sur le parking de l’auto-école (TC 03:43:00), mais dans le calme, et la sonnette du commissariat vient de résonner ! 


Retour donc au poste pour l’Adam de l’EM, au départ pour une fin de service de 07, après un dernier tour en VSTR, mais la sonnette sonne encore. 33 et 07 se retrouvent donc à nouveau ensemble pour discuter avec l’homme qui a justement rencontré des problèmes avec les Brokers plus tôt. Les deux lieutenants sont déjà bien trop fatigués pour cette histoire et voilà que d’autres personnes sont là pour acheter des armes, perdues dans un déménagement. Mais Kurt a encore un peu de patience et de politesse en lui et s’exécute sans sourciller, puis prend même le relais de 33. L’homme est inquiet après son altercation, 33 propose donc une mise sous protection pendant quelques jours et face à ses inquiétudes persistantes, 07 propose de s’en occuper lui-même ! Il donne son numéro à et lui demande de le prévenir lorsqu’il viendra travailler, il se rendra disponible pour l’accompagner sur ses livraisons. Il pousse même la gentillesse jusqu’à le raccompagner à sa voiture ! Et après quelques conseils et même l’envie de refaire le taxi pour les deux malfrats arrêtés plus tôt, partis avant qu’il ne revienne, il est grand temps pour le lieutenant Schröder de prendre du repos ! Après tout de même un dernier tour de VSTR, pour veiller sur la ville et une sombre histoire de doigts et de fourchelangue avec 28…



S02 EP06

S02 EP06 - 07/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1919569379

https://youtu.be/0hXchMIS2wg?si=vjwQx7qxHCylw6gx


Commencer la journée : par annoncer une mauvaise nouvelle

Prise de service pour Kurt. Ce soir, le lieutenant est chargé d'annoncer une mauvaise nouvelle à 22. Il profite d’un moment calme au PDP pour se préparer à ce qu’il va suivre. Être oiseau de mauvais augure n’est jamais très agréable. Alors qu’il est perdu dans ses pensées, 45 se joint à lui. À croire que ce sont les agents les plus diplomates qui ont été désignés. La jeune femme arrive enfin et les voilà à devoir lui expliquer que suite à une demande de plus haut, elle va devoir le temps d’effectuer quelques examens psy, déposer sa plaque et les armes dès ce soir. Les dernières semaines ont été compliquées et le mieux est qu’elle prenne un peu de temps pour elle. Contre toute attente, 22 ne pose pas plus de questions. Elle se doutait que cela pouvait arriver. Par contre elle ne comprend pas pourquoi maintenant et pas il y a quelques jours. Le lieutenant ne peut lui répondre, il faudra qu’elle prenne rendez vous avec 33. Il se permet alors d’ajouter que malgré cette mise à pied, elle continue à faire partie de la famille et que si besoin ils seront là. Sur ces mots, la jeune femme n’en demande pas plus, se retourne sans dire mot. Au moins une chose de faite. Il ne reste plus qu’à gérer, une fois de plus les EMS. Fort heureusement, ils ont été intransigeants, ils veulent quelqu’un de l’EM, une très bonne occasion pour déléguer cette tâche.

Ceci fait, une question reste en suspens, celle de l’attitude de 33. Car il est vrai que Turner a souhaité des leads dans les différentes unités. Mais quand ces derniers prennent des initiatives, cela ne lui convient pas. Il garde encore trop la main la main mise, sans possibilité de d’échanges. C’est donc, là aussi, à surveiller de près. On ne sait jamais.


Réunionite EM : afin de balayer un max de sujets

Profitant de la présence du capitaine, Kurt et Milton en profitent pour remonter les histoires du moment (TC 00:28:35). Notamment sur la récrimination d’un employé du Otto’s envers 45, en rapport à des paroles inappropriées. Le présumé coupable étant présent pour se défendre, il préfère remettre les choses dans leur contexte. Le ton du contrevenant n’a pas été très agréable non plus. Il n’a fait que remettre l’autorité là où elle doit être. Surtout, que cette manière de fonctionner était plutôt répandue en ce moment, en référence avec des événements liés aux Taxis, qui n’hésitent pas à propager des rumeurs, lorsque l’on n’accède pas à leurs demandes de protection, suite à du racket. Les Brokers ne seraient pas tout blanc non plus. Bref, il faut laisser l'enquête se mener tranquillement pour y voir plus clair…

Alors que la conversation se termine sur le sujet, Turner (33) fait son apparition, pile au bon moment pour débriefer la mise à pied d’Ivy Washington quelques minutes plus tôt. 07 explique que cela s’est, au final bien passé, même si la jeune femme à clairement une dent contre le lieutenant. Rien de plus normal répond l’intéressé et elle le lui a déjà bien fait comprendre, via SMS. A la vue de ces mots, 33 a pris conseil. Les différents retours étaient unanimes. La jeune femme était en pleine décompression après sa prise d’otage. Elle aurait dû être prise en charge immédiatement. Ce qui n’a pas été le cas. Il faudra prendre cette affaire en compte pour l’intégralité des agents, la prochaine fois. En effet, personne ne devrait reprendre le service sans que cela soit validé par une autorité compétente. Les interlocuteurs acquiescent avant de s'apercevoir de la présence d’une quatrième personne dans la pièce.


Très discrètement, Guy Parpaing se lève de son fauteuil, ravi de son effet de surprise, afin de se joindre à la discussion (TC 00:40:20). Relisant leurs notes, les quatre hommes décident de continuer l’échange sur l’accident d’une sérigraphiée sur un cycliste, affilié au gang des Mara. Il va donc falloir être attentif dans les prochains jours car, même si les premières tensions ont été apaisées et que le dialogue a été retrouvé, ils n’hésitent pas à rappeler l’incident aux agents dès qu’ils le peuvent.
Autre sujet pour lieutenant 07, celui de Will Sobre, alias 90. En effet, le sergent semble privilégier le pôle com au SWAT en phagocytant ses agents, comme 21 et lorsque Kurt le lui a fait remarquer, des propos intolérables pour un subalterne ont été tenus. Il faudrait vraiment que ce pôle, certes important, fasse attention aux autres spécialités toutes aussi essentielles, voire plus. 33 ne comprend pas pourquoi toute la partie communication n’est plus rattachée à l’EM, cela éviterait ce genre de comportement.
De fil en aiguille, la conversation dévie sur les agissements de certains agents qui se sentent surpuissants ou au contraire ne sont pas en forme pour le service. De quoi rebondir sur les cadets et les futures promotions, avant de partir sur de potentiels team building.


L’heure de la patrouille : pour se mettre en jambe

Voyant que la conversation tourne en rond, les quatre hommes décident d'arrêter là pour ce soir. Le lieutenant 07 en profite pour partir en patrouille solo (TC 01:13:30), non sans donner quelques indications à 68 sur la prise en main de la condition physique de 25.

La soirée commence par une courte CP avec une moto sur une supérette. A peine partie et déjà sur le parechoc Clip. Les agents sur place commencent par porter assistance au motard, avant de lui prendre les quelques sacs en sa possession. Rien de bien palpitant mais de quoi se mettre en jambe pour la soirée, juste avant d’être appelé par la centrale pour prendre en charge un officier 1 nouvellement nommé : Graves Rodney (30) qui doit acheter son véhicule de service, une Interceptor, avant de prendre le sien.
Ces formalités faites, les deux hommes prennent enfin la route. Malgré les sirènes en fond, le duo n’est pas trop sollicité, ce qui permet à Graves de contacter des civils ayant déposé plainte récemment. Quelques vols de véhicules puis enfin un peu d’action avec une alarme de supérette et la course-poursuite qui va avec, ponctuée de compliments de 30 sur la conduite de son lieutenant. Ce dernier l’informe d’ailleurs du projet de création d’unité rapide qui pourrait l’intéresser. Et c’est après un accident du véhicule poursuivi que la CP se termine, ils peuvent procéder au contrôle du malandrin (TC 01:59:50). Là encore, l’homme n’a que quelques malheureux sacs en sa possession, 07 joue donc la carte de la demande d’informations, en particulier sur le groupe des Verts. L’homme, qui fait partie des Brokers, ne les voit plus guère, ils n’ont pas l’air de beaucoup bosser dernièrement et ressemblent plus à un groupe de touristes qu’à des criminels. Cela convient au lieutenant Schröder, qui laisse l’homme repartir sans rien, simplement délesté de ses sacs. Il faut dire aussi qu’il a subi une arrivée plutôt agressive d’une seconde patrouille au début de la CP (TC 01:53:00). Le conducteur a donc droit à un rappel de son lieutenant.


Comme souvent après une course-poursuite, la voiture de patrouille a besoin de quelques réparations. Cela laisse le temps à Kurt de consulter ses messages, et de voir que Mme Diaz des EMS a pu voir 22, et qu’elle la déclare apte à reprendre le service, avec toutefois un suivi de quelques séances supplémentaires. 07 prévient directement le capitaine et 22. Celle-ci ne préfère pas reprendre le service le soir-même mais reste disponible si besoin.


Ça chauffe : sur les supérettes

Le travail reprend pour la patrouille de 30 et 07, notamment lorsqu’ils remarquent une voiture étrangement garée devant une supérette (TC 02:15:00). Pas d’alerte de braquage pour l’instant, 07 fait donc le tour du quartier et se gare en face en jouant de ses sirènes, pour peut-être prendre des malandrins sur le fait. Et ça ne loupe pas, à peine l’alarme commence-t-elle à sonner qu’ils sont déjà sur les lieux (TC 02:17:35), et la course-poursuite s’engage. Une autorisation de pit est très vite donnée car le véhicule pris en chasse n’hésite pas à traverser des lieux publics, comme le parking du garage (TC 02:19:30). Après quelques poussettes, la situation se tend lorsque le passager sort une arme et pointe la patrouille (TC 02:21:20). Kurt ne perd pas son sang-froid, demande à 30 de se tenir prêt, et lorsqu’ils commencent à essuyer des tirs, Graves est prêt et réplique (TC 02:21:50), même si dans la panique ses calls radios sont confus. Avec un pneu en moins, la voiture ne peut plus continuer, ce sont donc les collègues venus en renfort qui prennent le relais. Heureusement les agents ne sont pas blessés et sont escortés au garage.


Le véhicule a été retrouvé abandonné, mais sur la route vers le Otto’s, Kurt semble reconnaître les deux hommes qui étaient à son bord et va directement à leur rencontre (TC 02:28:00). Sans preuve concrète, il ne peut que les interroger sur ce qu’ils faisaient quelques minutes auparavant, et l’arrivée de cinq voitures jaunes en convoi n’aide pas (TC 02:28:30). Ce sont en fait les taxis, qui ont bien du mal à obtempérer lorsque 07 leur demande de circuler, obligé de hausser le ton. Retour aux deux hommes, qui ne disent rien permettant de pousser plus loin le contrôle. Le lieutenant leur accorde le bénéfice du doute et les laisse repartir.

07 et 30 peuvent enfin se rendre au garage pour attendre les réparations de leur véhicule, et éclaircir les choses avec le capitaine et le lieutenant Mulberry. Tous les discours ne sont pas les mêmes, en particulier du côté des taxis. Une fois la version de 07 et 30 entendue, il apparaît tout à fait justifié de les avoir envoyé balader ! L’affaire semble réglée pour l’instant. Le parking du Otto’s apporte décidément plein d’informations car 88 et 66 confirment le doute de Kurt : un des deux hommes en face de lui quelques minutes plus tôt est bien celui arrêté la veille et qui doit être convoqué, et donc celui qui a tiré sur eux. Autant dire qu’il aurait pu l’arrêter directement à l’instant… Si il avait eu l’information à temps après le contrôle du véhicule abandonné. Tant pis, ils vont bien réussir à avoir M. Kazoruko plus tard. 

Après une dernière discussion sur les shérifs et les différentes juridictions, surtout que les Brokers ont menacé à demi-mots de s’en prendre aux intérimaires du UwU mais que les shérifs ne semblent guère présents, il est temps de repartir en patrouille.


Encore à la poursuite : des malfrats 

La soirée est décidément particulière, voilà qu’une moto de police a disparu et que l’individu recherché, M. Kazoruko, a prévenu qu’il allait refaire des supérettes, et tirer à nouveau sur des agents ! Tous s’équipent de GPB et l’unité anti-gang se prépare à tourner en ville. Désormais lors des alertes supérettes, les agents interviennent à deux patrouilles, si possible en même temps. 

C’est donc reparti pour les courses-poursuites après braquage de supérette (TC 02:42:50), avec un supplément de prudence. Après quelques surprises (TC 02:48:25) et une menace “attention c’est 07 je vais devenir méchant” (TC 02:48:25), la CP se termine et le véhicule se range sagement sur le côté. Mais revoilà le motard de tout à l’heure ! Heureusement pour lui il roule cette fois en voiture, c’est moins dangereux. Le lieutenant laisse 30 s’occuper du contrôle et après quelques questions, 07 décide à nouveau d’être clément. L’homme est libre de repartir sans amende, il n’a même pas de sac de supérette, mais c’est la dernière fois. Il y a surtout plus urgent, pendant le contrôle des calls radio ont été passés signalant trois véhicules devant une supérette, il y a peut-être besoin d’eux ailleurs.

Finalement tout est géré par d’autres unités, l’Adam peut reprendre sa patrouille, faisant le tour des supérettes. Sur le chemin, ils croisent une voiture avec semble-t-il des hommes masqués à son bord (TC 02:59:35). Pour s’en assurer, ils se mettent à la suivre. Un jeu du chat et de la souris s’engage pour un temps, puis la patrouille reprend son cours.


Après une CP express, la voiture est tout de suite perdue de vue, la tension se relâche un peu dans l’Adam avec une discussion sur des sujets aussi variés que l’amour, les codes 10, la chaleur. Un bref moment d’action interrompt ces échanges lorsque l’homme recherché est signalé, mais personne dans le magasin (TC 03:09:45). Par contre, M. Kazoruko et son acolyte ont été signalés dans une Komoda noire, comme celle garée devant la supérette sur laquelle 07 et 30 interviennent (TC 03:11:40). La prudence est de mise pendant la course poursuite. Plusieurs unités sont à ses trousses, la conduite de Kurt est vive, mais avec beaucoup de tension, la moindre erreur peut causer un accident. Et après une longue poursuite acharnée, ponctuée d’arrêts pour l’essence, de tentatives de barrage, de chocs (TC 03:26:50), et en poussant la voiture au maximum, le duo est enfin interpellé. C’est en tout cas ce qu’apprendra l’Adam par radio sur le parking du Otto’s, le dernier choc a eu raison de la voiture. 

Ce moment d’attente au garage est presque plus compliqué que la CP pour le lieutenant Schröder, il y a beaucoup de monde et il ne comprend qu’un mot sur deux lorsque quelqu’un vient lui parler. Heureusement le passage au zoo se termine, il peut retourner sur le terrain à la poursuite des malfaiteurs, avec cette fois 30 au volant.


Il a tout de suite l’occasion de se mettre dans le bain car c’est une nouvelle longue course poursuite, ponctuée par 07 qui râle lorsqu’il ne comprend pas les zips donnés par 90 (TC 03:46:40). Et à peine ont-ils décroché pour laisser les autres gérer, qu’il faut cette fois se lancer à la poursuite de plusieurs Club qui filent dans tous les sens après un braquage de supérette (TC 03:54:00). Après avoir fait le tour de tous les recoins du centre-ville et avoir poursuivi plusieurs Club différentes, l’Adam parvient finalement à en stopper une et à interpeller sa conductrice (TC 03:59:40). Le contrôle se déroule dans le calme et dans une ambiance bon enfant, et dans la discussion.


Cela signe la fin de la patrouille avec 30, et du service pour Kurt qui enfile son pyjama SWAT pour un peu de repos.



S02 EP07

S02 EP07 - 10/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1922108211

https://youtu.be/4oVrWg-Q0hQ?si=Ic0crH4qDQd5CFQr


Effectuer une tâche SWAT sous-cotée: le dépôt des saisies

Une prise de service, avec en fond sonore, à la radio, une CP. Alors qu’il s’affaire pour préparer la mise en saisie hebdomadaire, ses collègues se pressent autour de lui pour avoir la confirmation que ce sera leur mission du soir. Kurt acquiesce, c’est une tâche à effectuer, que la ville soit mise en état d’urgence ou non, alors autant la faire maintenant pour être rapidement sur le terrain. Il se permet d’ajouter que les saisies font partie des missions SWAT, tout comme le reste. Cela est non négociable.
Une fois les sacs et les produits illicites placés dans le blindé, les duo formés et les consignes transmises (TC 00:38:50), le convoi s’élance. Dans le véhicule qui les mène au commissariat de Vinewood, 07 se retrouve avec 21. Le lieutenant tente bien de prendre des nouvelles de la jeune femme, blessée, mais cette dernière semble dans ses pensées. Kurt n’en prend pas rigueur, concentré sur sa mission. Le premier arrêt s’effectue sans encombre, 07 observe ses collègues et comprend bien que l’horaire des saisies n’est pas simple pour tout le monde, il promet de réfléchir à une autre organisation. C’est lors du deuxième arrêt, au niveau du commissariat, que la parole d’Alex Gordon se libère quelque peu, lorsqu’elle évoque les difficultés de ce week-end, avec le peu de présence et les futures intégrations (TC 00:56:40). En route pour le 3ème stop, la conversation dévie, non sans être attentif aux mouvements dans les alentours. Notamment une VSTR qui semble suivre le convoi depuis quelques minutes. 07 annonce à son équipe que suivant les agissements de ce véhicule suspect, il n’hésitera pas à faire un pied à terre et tirer, le mot d’ordre pour le blindé sera de rentrer au commissariat au plus vite. C’est bien pris pour tous, plus concentrés sur leur tâche. 

C’est lors du 4ème et dernier arrêt qu’un individu masqué décide de venir au contact. Le lieutenant, lourdement armé, se charge de la prise de contact, à la demande de 95 (TC 01:11:20). Le ton monte rapidement sous prétexte d’une présence non souhaitée au niveau des docks. Kurt tranche fermement que les hommes présents font partie d’une unité qui,en temps normal, tire rapidement. Cet avertissement est le dernier. Il somme l’homme de se démasquer et découvre que sous le bandana se cache un Brokers. Après sa “mise à nu”, l’individu préfère couper court à la discussion, non sans souhaiter une bonne soirée. Il faut dire que 07 n’a pas une once politesse en lui, son ton est acerbe et ne laisse pas beaucoup de place pour des réponses. Sentant la menace, il prévient en radio de la présence du groupe dans les alentours et conseille à tous les membres du LSPD d’être sur ses gardes ce soir. Ceci fait, le SWAT fait un retour au PdP. 

Mais au moment de déposer l’équipement, le lieutenant réalise qu’en cas de recrutement, il manquerait des armes lourdes. C’est accompagné de 21, qu’il se rend au commissariat de Vinewood pour réarmer les nouveaux locaux (TC 01:22:50).


Alerte en ville : les FdO sous tension

Le réassort à peine déposé qu’une alarme sonne. Un employé du pôle emploi se serait fait menacer (TC 01:33:00)… Ni une, ni deux, le SWAT se remet en tenue prêt à intervenir. Kurt contacte la victime et apprend qu’un homme torse nu l’aurait menacé avec une arme en lui demandant d’envoyer un message au LSPD de le laisser tranquille. La seule caractéristique à noter est une flash GTO multicolore. C’est bien pris pour l’agent qui envoie les patrouilles tourner en ville, en espérant croiser le malfrat.

En duo avec 21, 07 se renseigne sur les modalités de l’Etat d’urgence et découvre avec étonnement qu’il n’est indiqué qu’une fouille n’est possible qu'à la sortie des EMS, après une fusillade. C’est vraiment étrange car pour lui, c’est plus que ça. Sans la présence de l’EM ce soir, il s'octroie le droit d’élargir ce champ si besoin. Il verra par la suite.


Après quelques allées et venues, Alex annonce avoir besoin d’une pause. Kurt en profite pour contacter 95, afin qu’il intègre leur véhicule.


La patrouille SWAT reprend donc avec 07, 95 et 68. Kurt en profite pour donner plus d’explications sur les niveaux d’alertes, et ce que cela implique pour eux, car 68 a plusieurs questions et suggestions. Cela dépend aussi de la situation, mais en tout cas pour ce soir 07 envisage une seule voiture, de 4 agents. Il va sans doute y avoir du mouvement, même si l’état d’urgence se termine bientôt, rien qu’à cause des Brokers qui risquent d’être passablement énervés… On se demande bien pourquoi. Hartmann constate en tout cas l’efficacité de négociation de Kurt, un “ta gueule” et c’est réglé, il l’a d’ailleurs déjà remarqué lors de ses premiers jours. 

Ce dernier profite de ne pas conduire pour faire un rapport de l’altercation avec le groupe sur les docks, puis prévient le lieutenant Turner. Il vient en plus de recevoir un petit sms d’un numéro inconnu “Tkt on fera pas de sommation non plus”. L’EM va en discuter mais il n’y a pas de raison de plier, les convois existaient avec les Brokers. Et justement le capitaine vient de prendre son service, 07 se fend d’une réponse claire au Broker et prévient ensuite 32 qu’ils vont devoir discuter avant le dispatch ! La discussion, ou plutôt les menaces, continuent avec le Brokers, sous les railleries de 95 et 68 qui se moquent gentiment des calls à rallonge de 07.


La soirée semble sous le signe des menaces aux agents, voilà qu’un nouveau message entreprise annonce qu’un anonyme va s’amuser à en retrouver un (TC 02:17:45). Décidément. Au moins ce n’est pas 07 cette fois. Celui-ci trouve d’ailleurs le temps long à sécuriser les arrestations des collègues, et va voir directement ce qu’il se passe (TC 02:21:00) pour quelques blagues de bonne guerre avec un Marabunta. Et après encore un peu d’attente, ils peuvent enfin rentrer au poste. L’heure du dispatch approche et il y a beaucoup, beaucoup de choses à voir.


Le meilleur moment de la journée : réunion de l'État major

Le lieutenant Schröder arrive devant un bureau rempli d’EM et de cadets ! (TC 02:26:30). Il rejoint directement 44 dans un coin, à l’abri de l’effervescence, avant que la réunion commence. Tous sont là ce soir, le commandant, le capitaine et les quatre lieutenants. Les agents font un point sur le recrutement en cours, et prennent leur décision, Kurt s’occupe d’ailleurs d’informer le seul qui n’a pas été retenu qu’il raccompagne avec quelques paroles d’encouragement, pendant que les autres s’occupent de recruter pour de bon les nouveaux cadets. Les trois sont confiés aux bons soins de 11 qui s’occupe de la visite. 

La réunion commence (TC 02:38:00) par une question sur la sécurisation des agents par le SWAT, 45 se questionne sur l’utilité lorsqu’ils sont un peu loin et restent en voiture. Justement 07 fait remonter que les contrôles sont bien trop longs en état d’urgence. Quitte à les emmener en garde à vue pendant cette période. Mais il reconnaît qu’ils peuvent être plus visibles et sera vigilant sur ce point. 

Autre point : 22 souhaite faire une pause et va poser sa plaque pour un temps, pour prendre un peu de repos et de recul. 

Puis le point Brokers ! Kurt fait donc un résumé de ce qu’il s’est passé à tous, et des échanges par sms. Parpaing s’étonne de tout ce cirque pour au final un simple demi-tour devant chez eux, l’EM propose de commencer à envoyer des patrouilles sur place, beaucoup de patrouilles, ou l’anti-gang. Eux aussi peuvent revenir sur le deal et mettre la pression. Le commandant propose aussi de faire des faux convois de saisies, avec plus d’agents que d’habitude mais Turner se demande quel est l’objectif : voir leurs réactions. 45 explique que le deal de départ n’a jamais été vraiment respecté de toute façon, ils peuvent aussi faire un barrage et contrôler tout ce qui se présente. Ils auront par contre besoin d’un gros dispositif. Cook, qui a fait les menaces à Kurt, semble fermé, mais Turner souhaite tout de même tenter la discussion, ou au moins une prise de contact. Pas avec 07, mais avec un autre EM, quitte à aller devant le quartier. Le commandant prend une décision : un appel dans la soirée et ils agiront en fonction. 

Point suivant : les promotions du jour, qui sont rapidement balayées.

Point suivant : l’état d’urgence à cause des agissements de Diouf. Qui a d’abord été interpellé avec un katana, puis libéré et a commencé à se balader avec un lance-grenade, la blessure de 21 en résulte. Peut-être qu’un Insurgent serait plus efficace qu’un Caracara en protection, et justement Kurt n’oublie pas sa demande !

Dernier point : 22 voulait s’expliquer avec l’ensemble de l’EM concernant sa décision. Elle a besoin de prendre une pause, et préfère pour cela poser sa plaque pour réussir à prendre du recul, surtout qu’elle va rester sur l’île et ne pas partir à l’étranger. Tous sont d’accord avec cette décision et sont prêts à l’accueillir à nouveau dès qu’elle en exprimera le souhait.


Il est désormais l’heure du dispatch ! (TC 02:57:00) En attendant que tout le monde arrive, 07 et 44 discutent un peu du SWAT, de l’Insurgent, des places encore disponibles. Les effectifs enfin au complet, le dispatch peut commencer (TC 03:01:45). Le capitaine fait un premier point pour expliquer l’état d’alerte : M. Diouf qui voulait faire du kart mais a pété les plombs, il a été interpellé avec un katana, puis est ensuite revenu armé d’une AK47 et d’un lance-grenade, voulant se venger du karting, et a lancé plusieurs grenades sur le Caracara SWAT, blessant 21 à cause de l’explosion. Le même soir, il y a également eu une banque faite par les Marabunta, avec des otages Marabunta. Et les Brokers commencent à s’énerver, ils vont s’en occuper !

Le commandant passe ensuite aux promotions, pour les promotions officier 1, aucun cadet n’est présent, pour les promotions officier 2 les trois sont présents (28, 29 et 54), pour les promotions officier 3 11 est présente, et est promue avec les félicitations du commandant. Vient ensuite le temps des plus hauts grades : 16 est promu sergent et 68 sergent-chef ! Le dispatch se termine sur une recommandation de 07 : pied à terre du SWAT lorsqu’ils arrivent sur un contrôle et les agents sont invités à ne pas faire durer les contrôles trop longtemps.


David en ville : le SWAT en patrouille

Le lieutenant Schröder doit désormais s’occuper du dispatch de ses équipes, il recueille d’abord la candidature de 30 qui montre son intérêt pour intégrer l’unité. Il retient ça pour la prochaine session et prévient : il y a deux places disponibles et les tests sont ouverts à tous. Retour aux patrouilles : 02, 86, 95 et 68 dans une voiture, 23, 21 et 07 dans l’autre. 86 pointe que normalement dans un état d’alerte 1, il n’y a normalement qu’une voiture qui tourne. 07 voit mal comment gérer des contrôles multiples avec une seule voiture mais demande tout de même l’avis du commandant, qui approuve. Ce sont donc bien deux véhicules SWAT qui vont tourner en ville ce soir. Après quelques consignes et un bon courage général, l’unité se met en route (TC 03:16:35).


La discussion se tourne sur le départ de 22, qui a surpris tout le monde, puis sur les vacances de 23 tandis que la VSTR tourne en ville. Kurt lui transmet donc les dernières infos, il en a un peu marre de devoir mettre le SWAT de côté pour assurer les effectifs en patrouille, donc à partir du lendemain grosse semaine d’entraînement, chaque jour, et par la suite 2 à 3 sessions par semaine. Pour les saisies ils vont privilégier désormais le début de soirée, pour ne pas y passer tout leur temps. Il y a beaucoup de nouveautés pour 23, des piratages d’ATM, des nouveaux groupes et même un nouveau poste de police ! Heureusement il a échappé à la transition de Vinewood qui n’était pas terrible, et il lui reste la salle SWAT à découvrir. 

21 s’intéresse aux futures recrues SWAT, Kurt évoque 03, 30 et d’autres ; 30 a déjà fait une patrouille en unité gang et s’est ennuyé mais 21 et 07 ont quelques doutes car le SWAT ne sort pas énormément. Ou alors c'est parce qu’il ne supportait pas 45, ça ils peuvent le comprendre ! Pour les membres actuels, Kurt et Alex expliquent que 08 est absent pour le moment mais que son comportement s’est amélioré, mieux que 95 en tout cas ! Kurt le surveille pour l’instant, afin de voir s’il est toujours motivé et présent. En tout cas 23 remarque qu’il y a plus d’activités maintenant ! Les agents continuent de balayer tous les sujets, un nouveau groupe qui voudrait s’installer au Tequilala. Il faut bien s’occuper car si il y a beaucoup de CP, il y a peu d’arrestations à protéger !


Il y a par contre l’annonce de 95 : Hartmann est inconscient ! Peut-être une simple déshydratation mais 07 préfère se rapprocher (TC 03:38:40). 68 est remis d’aplomb, sans trop comprendre ce qu’il s’est passé mais plus peur que de mal au final. La patrouille reprend, et 07 continue de faire parler de lui : 21 a reçu un sms d’un Brokers lui demandant de reprendre la tête de l’unité car il manque quelques cases à son leader ! Ce dernier n’en a pas grand chose à faire, il en est presque content, s’ils parlent de lui ça veut dire qu’ils le craignent ! 

Quand, enfin, un pied à terre pour contrôle est annoncé ! Kurt s’élance et la VSTR file dans la ville pour se rendre sur les lieux et remplir leur mission (TC 03:49:45). Et en plus ils ont droit à un peu d’animation puisque des hommes dans une voiture jaune se garent à proximité, sans se rapprocher toutefois. Les Vagos commencent à vouloir s’affirmer mais le contrôle se déroule dans le calme et sans problèmes. 


En se rendant sur une nouvelle arrestation, le SWAT passe à côté d’une supérette en train de sonner. En voyant une moto, les motos ont déjà beaucoup tourné ce soir causant des difficultés aux agents, ils décident de s’arrêter pour stopper le braquage et juste récupérer les sacs (TC 04:03:00). Le braqueur ne comprend pas tout le dispositif face à lui mais Kurt explique qu’il ne lui est pas destiné, le but n’est pas de faire de la répression. Ceci fait, ils retournent à leur mission principale. et sécurisent des agents, puis se remettent en route. C’est l’occasion pour 23 de faire le tour des nouveautés, et pour l’ensemble du SWAT de faire attention à ce qu’il se passe en ville, les derniers mouvements dans les quartiers ou zones revendiquées. 


Les Brokers prêts : à se faire entendre

Alors qu'un call sur un véhicule abandonné après une course poursuite fait démarrer les gyrophares du Tango, le véhicule est percuté par une Sultan rose à une intersection. Reconnaissant les Brokers, l'unité les laisse partir rapidement puisqu'au même moment les calls se font de plus en plus nombreux. Une patrouille se serait fait tirer dessus (TC 04:20:40). Si l'un des deux individus a bien été appréhendé, le second est encore introuvable. Les unités remarquent aussi deux voitures circulant aux alentours une Buffalo et une Sultan rose, 21 et 07 pensent directement aux Brokers croisés à peine 5 minutes plus tôt. A la radio, l'unité banalisée aurait retrouvé une Buffalo, cachée sur un parking en hauteur de la zone. Le Tango s'y dirige et appréhende deux individus. S'agissant du véhicule correspondant à la voiture bélier qui aurait aidé aux tirs sur les FDO, les deux hommes sont embarqués au poste, ils seraient membres des Brokers (TC 04:29:30).

Le commandant vient aux nouvelles mais 07 le renvoie vers l'unité qui a subi des tirs car eux-mêmes sont arrivés bien après le début de l'altercation. Les individus déposés au poste, l'unité SWAT repart en patrouille car de nouveaux tirs ont été entendus auprès du LSPD. Une course poursuite avec les assaillants démarre, seulement comme aucune unité ne peut raccrocher, le SWAT s’y rend (TC 04:51:00). Les individus tentent de les semer par divers moyens plus étonnants les uns que les autres. Après plus de sept minutes, 07 perd le visuel du véhicule en dessous de la freeway.

Une visite chez Otto’s s’impose alors (TC 04:58:28). Le lieutenant refuse le café offert gentiment par une des garagiste, de peur que son énervement soit plus intense qu'accoutumé. Près d’eux, les employés du garage évoquent l’histoire du katana ayant provoqué l’état d’urgence. A peine repartis, une nouvelle course poursuite est engagée. La soirée est décidément bien chargée pour le LSPD.

07 et son équipe SWAT rejoignent un contrôle fait par le sergent chef Lipton auprès de deux Brokers. Seulement, le capitaine, au téléphone avec l’un des deux individus, bloque le début du contrôle. Les deux Brokers sont véhéments auprès des policiers et prennent à parti 07 et 95. Le lieutenant tente de discuter, d’expliquer qu’avec l’état d’urgence, il n’est pas très judicieux de suivre les véhicules de police puisque cela alimente les tensions. Le retour au poste de police se fait sous l'énervement des unités (TC 05:19:58). 21 vient d’ailleurs de recevoir une photo et un sms d’un des Brokers encore en cellule ! Le Sergent Hawkins ne l’aurait pas fouillé malgré ses consignes. 

Un nouveau call en radio tend encore plus les policiers. Un véhicule en patrouille se serait fait drive-by, laissant ainsi la voiture avec des pneus criblés de balles. C’est la troisième fois ce soir que cela arrive. Le SWAT a alors un plan : prendre une voiture sérigraphiée pour tendre un piège aux personnes s’amusant à tirer dessus. Le cabriolet correspondant au descriptif des agents ayant été ciblés est aperçu et aussitôt arrêté. Le contrôle se passe plutôt mal, les deux hommes refusant de donner leur identité et de se laisser fouiller malgré l’état d’urgence. Ils sont donc embarqués au poste pour la suite de leur arrestation. 

Laissant les équipes gérer les gardes à vues, 07 reçoit un appel de 95 qui souhaiterait un briefing des événements de la soirée. Kurt préfère remettre ça au lendemain, à tête reposée. Épuisé par la soirée, il annonce une fin de service.


S02 EP08

S02 EP08 - 11/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1923001333
https://youtu.be/3N5ICMLl6W0?si=terbY9N1A5OvTuzQ


Réu SWAT : débriefer et avancer

Contrairement à d’habitude, le service du lieutenant Schröder ne débute pas par une patrouille sur le terrain. Ce soir il y a réunion, et en interne cette fois, entre les membres du SWAT. En attendant que tous les présents reviennent au poste, il retrouve 23 et 21 dans le couloir et donne le ton de la discussion : il a bien des choses à dire après des discussions houleuses avec l’EM. Et justement, ses deux collègues lui apprennent que la veille, le capitaine ne s’est pas gêné pour casser du sucre sur son dos après sa fin de service. 21 explique qu’il lui a demandé s’il ne trouvait pas que le SWAT avait été “too much”, ce qui est difficilement compréhensible, il n’y a eu aucun tir, ils avaient juste les armes à la main lors des pieds à terre, comme Alex l’a expliqué au capitaine Zepel. Toujours aussi direct, Kurt résume brièvement ses échanges avec 32 : entre les lignes, il lui a bien fait sous-entendre que c’était un connard ! 21 reconnaît bien là son leader, tout en délicatesse ! Même 23, loin de son surnom “Bébou” commence à être remonté, contre l’EM, contre le BE, il constate beaucoup de compromis faits avec les criminels, sans les en informer, et le SWAT se retrouve à devoir en gérer les conséquences sur le terrain. Et essuie en plus des reproches. Kurt le rejoint sur ce point, il pense que 32 a en travers de la gorge l’altercation avec les Brokers, mais le problème de base c’est le deal qui a été passé avec le groupe et qui n’a pas lieu d’exister. La situation lors du transfert des saisies n’est que la conséquence de son accord foireux. Sinon il n’a qu’à y aller lui-même ! 


Le but de la réunion SWAT est de faire un résumé des échanges entre Kurt et l’EM et d’instaurer des bases et la conduite à tenir dans les prochains jours. Il en a surtout marre de n’entendre que des reproches alors que tous font leur travail, et même plutôt bien. Il n’a pas constaté de problème ou même de zèle la veille lors des patrouilles en David. Alex ajoute quelques points sur les paroles du capitaine : a priori des civils se seraient plaints du SWAT, et Parker ajoute aussi que le “ta gueule” de Kurt à un Brokers était pour le capitaine inacceptable de la part d’un lieutenant. En tout cas, l’avenir du commandement avec 32, et 45, l’inquiète. Surtout que 07 ne sera ni capitaine ni commandant, hors de question de lâcher le SWAT, qui est la condition pour sa candidature. 

Rejoints par 68, les membres d’unité poursuivent leur discussion, Kurt voulant en savoir plus sur la discussion entre 32, 23 et 21. Au départ il semblait surtout solliciter leur avis mais au fur et à mesure il en est surtout ressorti que, selon le capitaine, le SWAT avait apporté encore plus de problèmes, et qu’ils seraient liés à 95 et 07 en particulier. En parallèle, les agents sur le terrain font face à une annonce de prise d’otage, mais ils semblent avoir la situation en main et en nombre suffisant pour faire des recherches, la réunion d’abord !


Laissant 25 s’égosiller à la radio, le lieutenant Schröder démarre officiellement cette réunion avec l’arrivée de 86, et après un recadrage en règle sur les ondes (TC 00:23:45). Reprenons. Il explique à nouveau s’être pris la tête avec l’EM, sur le sujet des missions du SWAT de la veille. L’unité cause trop de problèmes, serait trop brutale et la cause de tous les maux ! Comme expliqué plus tôt, Kurt a donc rétorqué que les problèmes sont surtout liés aux deals absurdes passés entre le capitaine et les Brokers et que dans tous les cas, la procédure utilisée est celle existante depuis le début. Le vrai problème que lui voit dans cette situation c’est que 32 croit plus des criminels que ses agents. En tout cas, ils n’ont pas fini d’en parler.

Concrètement, il y a des modifications sur les niveaux d’état d’alerte : niveau 1, plus de SWAT, anti-gang, sécurisation des contrôles et GPB. Niveau 2, même chose avec cette fois les patrouilles SWAT. Pour être totalement transparent, Kurt prend le temps de lire à ses agents la conversation qu’il a eu sur l’intranet (TC 00:26:40). Les tirs ont fusé dans tous les sens par écrit, mais globalement, le désaccord est conséquent entre 32 et 07, et les autres lieutenants en ont rajouté une couche. Beaucoup de reproches ont été faits au SWAT mais Kurt laisse une porte ouverte à la discussion. Il a rappelé à tous que le soutien au sein du LSPD est le plus important, ils ne doivent pas fonctionner en désignant des cibles auxquelles ils font porter tous les problèmes mais constater et repérer les anomalies pour faire en sorte que ça ne se reproduise plus, travailler ensemble. Sinon ils ne sont rien de plus que des criminels en uniforme.

Les membres du SWAT accusent le coup, voyant venir le moment où à la moindre petite erreur tout l’EM leur tombera dessus mais Kurt les rassure : le seul qui aura à subir ce sera lui, et il saura y répondre. Et si tout cela prend de trop grosses proportions c’est simple : plus de SWAT ! Standby pour tous. Mais avant d’en arriver là, il voudrait surtout voir le commandant pour clarifier les choses, fatigué de la mentalité de ses collègues. Et comme le fait remarquer Hartmann, si le commissariat se tire dessus en interne, ils ne seront pas efficaces sur le terrain.

Le leader de l’unité rappelle une chose essentielle : il prendra toujours leur défense. Il ne peut pas prévoir les conséquences mais demande simplement que tous gardent cette ligne directrice en tête : la famille. Si il y a une sanction, elle sera générale afin de faire passer le message, le reste de l’EM fera sans eux. Il n’apprécie pas qu’ils se contentent de prendre pour acquis les dires des criminels. Si ils ne peuvent pas faire confiance à leurs propres collègues, cela va devenir difficile dans le futur. Et lui n’a pas oublié son idée de faire du SWAT une unité totalement indépendante. 

Pour terminer, 21 et 23 font le récap de leur discussion de la veille à 68 et 86 (TC 00:36:50) et 07 conclut avec toute la délicatesse qui le caractérise : la vision qu’a 32 du SWAT, il n’en a rien à foutre !


On avait pourtant dit : session entrainement tous les soirs 

Sollicité par Becker, Kurt fait un crochet par l’accueil pour y découvrir des Brokers (TC 00:40:30). M. Cook, le chef, vient se dénoncer pour le kidnapping qui a été signalé un peu plus tôt. 25 voulait voir avec un EM pour d'éventuelles questions au chef ou pour décider de l’amende mais 07 lui laisse vite carte blanche. L’amende est de 30 000$ au maximum, pour le reste 25 peut gérer. Ce dernier décide donc d’aller s’enquérir de l’état de l’homme enlevé, et de convoquer par la suite M. Cook pour l’amende. Si Kurt pensait que la situation était gérée et qu’il avait réussi à déléguer, il rencontre malheureusement juste après un journaliste du Life, dont c’est le collègue qui s’est fait enlever. Comme le principal concerné ne souhaite pas porter plainte, lui vient au commissariat pour voir ce qui peut être fait. Mais comme 07 a autre chose à faire, il transfère l’affaire à 90 et 30 qui passaient par là (TC 00:45:50).


C’est pas le tout mais il a prévu des entraînements avec le SWAT toute la semaine, même si 44 en centrale lui explique qu’il n’a pas beaucoup d’Adam sur le terrain. Pour ce soir, il envisage quand même quelque chose de simple : du sport. Un simple footing jusqu’à la plage. En parlant de sport, Kazenko lui transmet des infos : le cadet 12 a bien besoin d’en faire, 11 l’a donc emmené aux EMS pour un test physique, et du côté de 66, possiblement hyperactif, lui aussi doit passer un test, mais psychologique. A chacun son BAFA, 44 pour les cadets, 07 pour l’EM !


C’est donc l’heure de l’entraînement, avec trois propositions : session footing et sport sur la plage, entraînement au tir ou départ direct en patrouille. Comme 21 souffre encore de sa jambe, même si elle pense pouvoir courir, les agents préfèrent commencer par une session de tirs. Ils verront au retour si ils enchaînent avec le sport ou si ils vont sur le terrain. Tout le monde s’équipe donc de sa M4, avec un fusil à pompe en supplément pour le chef, direction le stand de tir de l’Ammunation. Une fois sur place, Kurt lâche les chiens : tous s’en donnent à cœur joie pour vider leur chargeur (TC 00:58:45), lui-même n’y résiste pas. Et lorsque les armes sont vides, les agents entraînés et défoulés, ils rentrent au poste.


Au même moment, des tirs sont annoncés, près du Life, tous rechargent donc leurs armes et se tiennent prêts à intervenir si besoin. Mais a priori, il s’agit d’une fusillade entre criminels. En attendant, certains comme Stan font un peu de sport, et d’autres comme Kurt partagent des informations (TC 01:09:00). Le fameux journaliste enlevé plus tôt, a aussi eu des déboires avec les Vagos, il s’est fait tabasser pour une simple raison : il est passé devant le quartier. Certains agents, comme 90 et bien sûr 07, vont donc essayer de pousser auprès de l’EM pour intervenir dans le quartier du groupe en jaune. Affaire à suivre. Car maintenant il faut être patient…

En entendant les calls radio, Kurt réalise que le SWAT ne sera, hélas, pas de sortie ce soir. Il demande donc à ses collègues de ranger la tenue et de préparer pour une patrouille. Car comme le dit l’adage, quand le chat n’est pas là… Los Santos en profite.


Pas de répit : pour le SWAT

C’est donc en Tango que les agents se dispersent en ville. Bien que concentré sur la route en direction d’ATM braqués, il est compliqué de rester focus quand la radio est incessante, que les alarmes n’arrêtent pas et qu’Alex le contacte pour une histoire d’une personne à l’accueil souhaitant vérifier si son argent ne contient pas de faux billets. Chaque chose en son temps ! En priorité les ATM de la plage. Sur place, le trio apprend qu’une patrouille a pris en chasse les malfaiteurs, mais sans succès. Bon, ça ne sera pas pour ce soir. Autant continuer la to do list, non sans mal car au moment où le Dispatch annonce un changement de coéquipier, une annonce prévient qu’un EMS s’est fait tirer dessus. Fort heureusement, pour ce dernier point des agents sont déjà dessus, alors autant faire un retour au PdP.
07 se retrouve donc avec avec 44 qui tente tant bien que mal de faire la conversation (TC 01:25:15). Mais face à lui, ou plutôt à côté, le conducteur préfère rester focus sur les alarmes, ayant toujours en travers de la gorge que l’EM ait cassé du sucre sur son dos. Après tout cela l’arrange, pour une fois c’est calme. Bref rien de bien palpitant, jusqu’à ce que son œil soit attiré par un drôle de convoi. Intrigué, il découvre des véhicules mal garés devant la banque, place des cubes (TC 01:35:45). Préférant se montrer plus que d’entrer dans un affrontement, l’Adam signale aux individus que leurs stationnement n’est pas dans les règles avant de reprendre la route. Mais quelques minutes plus tard, le duo les retrouve au même endroit, toujours aussi mal stationnés. Du vrai foutage de gueule. Les deux hommes décident donc de sortir de leur voiture afin d’effectuer un contrôle bien senti. Et comme quoi la menace est efficace car à peine ont ils prononcer quelques paroles que le groupe se disperse.

Mais la soirée n’est pas terminée, on annonce en radio des individus en GPB dans un Taurus bleu (TC 01:40:00). L’Adam commence à se rendre sur les lieux et croise en sens inverse un véhicule correspondant au signalement. Demi-tour à sa suite, pour l’instant en suivant de loin, 07 hésite à procéder à un contrôle et voyant le Taurus s’arrêter plus loin, les deux agents s’équipent de GPB et demandent des renforts pour le contrôle. Le conducteur n’a visiblement pas envie d’obtempérer, c’est donc une course poursuite qui s’engage. Et comme le travail d’un lieutenant ne s’arrête jamais, 07 autorise en même temps une planque du BE à proximité de la maison présumée de Diouf. 

Malgré de nombreuses unités, réduites en cours de route il n’y a pas non plus besoin de l'entièreté du commissariat sur une CP, le Taurus tient le coup. Et voilà que 88 prévient que Diouf, justement, a été repéré au karting (TC 01:46:20). L’homme est recherché, il faut donc intervenir et il va falloir être vigilant pour que l’intervention ne se retourne pas contre les civils ou les employés. Et voilà qu’en même temps les occupants du Taurus commencent à tirer… Une chose à la fois ! L’Adam des lieutenants laisse donc de côté la CP, ils sont de toute façon à côté du karting et vont observer les lieux. Les Brokers sont aussi sur le parking, l’interpellation risque d’être tendue.


07 fait quelques tours puis se positionne dans une ruelle, prêt à intervenir, tandis que d’autres unités se placent aux alentours, en attendant que Diouf sorte du bâtiment. Le temps se fait un peu long, les deux lieutenants regrettent déjà d’avoir loupé leur timing pour prendre une fin de service qui leur aurait évité tout ça. Un homme sort enfin (TC 01:55:25), tous se rapprochent mais malheureusement c’est une fausse alerte, suivie juste après par la véritable sortie de Diouf des lieux. Et l’arrivée de toutes les unités sur place (TC 01:56:00). Une nouvelle course poursuite s’engage alors mais après quelques minutes, une glissade de la sérigraphiée de 07 et 44 bloque momentanément celle de collègues (TC 01:58:00) et ils finissent par perdre le visuel sur la voiture de Diouf. Kurt charge 44 de transmettre ses excuses à 29, qui était conducteur, mais Kazenko, un peu dépité, remarque aussi que Kurt n’est pas seul fautif. Sur toutes les unités ils n’avaient l’air de n’être que deux à suivre, sinon ils ne l’auraient pas perdu si vite. Mais ce n’est pas la peine de ressasser les problèmes éternellement, et Kurt ne peut pas approuver l’idée de 44 de pit directement la prochaine fois. Il va encore se prendre les foudres du capitaine !


Il profite du relatif retour au calme pour saisir l’opportunité qui lui est offerte : retour au poste pour prendre sa fin de service ! Déjà en pyjama SWAT et dans son bureau, prêt à se reposer sur son canapé, il hésite un instant en entendant en radio qu’une unité a Diouf en visuel et que celui-ci tire mais la fatigue l’emporte, il coupe tout pour ne pas être tenté, les autres agents s’en sortiront sans lui.


S02 EP09

S02 EP09 - 15/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1926280531

https://youtu.be/-6Ir08L76Tc?si=6IZvRrTkS2kA5Eqx


Un soupçon de patrouille : et beaucoup de RH

Une nouvelle soirée en service commence pour le lieutenant Schröder, qui retrouve 86 et 88 dans le hall du poste de police. L’agent Lebrun a d’ailleurs une info pour lui : M. Park, des taxis, s’est plaint de lui ! Cela n’étonne guère 07 qui l’a eu au téléphone plus tôt dans la journée, le patron ne doit son salut qu’à la plaque sur l’uniforme du LSPD. Sinon le lieutenant ne se serait pas retenu de lui dire le fond de sa pensée. Surtout qu’il n’y a pas vraiment de reproches à lui faire, il s’est simplement mis à côté d’un taxi et lui a demandé de ne pas rester garé sur un emplacement réservé à la police. Le conducteur a expliqué qu’il récupérait juste un client, ce qui n’a pas dérangé 07, le taxi saura pour la prochaine fois. Rien de plus. Bien loin du discours du patron qui disait qu’il n’avait pas été correct avec son employé. Il a plutôt l’impression qu’ils cherchent les problèmes. Mais pas de soucis, lui aussi peut jouer au con, il sait très bien le faire. Le prochain taxi qu’il croise à rouler n’importe comment ce sera retrait de permis et véhicule à la fourrière !

Les agents ont de toute façon mieux à faire que de gérer les envies de guerre du patron des taxis, il la fera tout seul, eux ont encore une flopée de cadets à former. 88 s’étonne d’ailleurs, elle pensait que les recrutements étaient clos. Dans les faits oui, le temps que les premiers soient formés et autonomes, mais ils peuvent quand même enregistrer les candidatures pour plus tard. Pour ce qui est du SWAT, Stan confirme à Kurt la décision de 02, il va bien quitter l’unité. C’est bien pris pour le leader, il prévoit prochainement une session de recrutement, et pour l’instant il part en patrouille, accompagné de 86 (TC 00:14:50).


Les deux agents peuvent continuer à discuter du SWAT, Stan évoque d’ailleurs l’intégration de 08, qui n’a pas encore été faite. Ce n’est pas faute de le vouloir, mais 07 n’arrive jamais à le croiser ces derniers temps. 86 ajoute qu’il n’a pas eu de très bon retours sur l’agent dernièrement, mais il se méfie aussi de ce qu’il peut entendre et cela n’influe pas sur sa décision. Une vision partagée par Kurt.

Le travail sur le terrain commence comme souvent par une course-poursuite, rien qui sort de l’ordinaire, et qui permet donc à 07 et 86 de continuer à discuter. Et il y a des changements à évoquer, avec le départ en retraite de Parpaing, c’est désormais 32 qui est commandant, le poste de capitaine est donc vacant pour le moment. Si Kurt avait bien postulé, il a retiré sa candidature en apprenant qu’il aurait dû abandonner le lead de son unité. Et impossible qu’il lâche le SWAT. Leurs suppositions se tournent plutôt vers 45, surtout que 07 confirme qu’il a postulé. Retour au sujet principal : encore et toujours le SWAT. 02 vient d’envoyer un message à son lieutenant pour l’informer officiellement de sa décision, même s’il s’est fait couper l’herbe sous le pied par 86. Kurt reste philosophe face à ce départ, car la vision de 02 de l’unité n’est pour lui pas la bonne, sur le long terme ça n’aurait de toute façon pas marché. Par contre Stan remonte quelque chose qui peut aller un peu dans le sens de 02 (TC 00:21:10). Car le fameux soir des patrouilles David, si tout s’est bien passé du côté de 07, du côté de 86 il y a bien eu un souci et des Brokers braqués pour un simple doigt d’honneur. C’est bien pris pour Kurt, dans tous les cas 86 et 95 en ont déjà parlé entre eux. L’important aussi est de régler ça en interne, et pas sur l’intranet à la vue de tous, même sur la partie SWAT, car l’EM y a accès. Il ne nie pas qu’il y a des choses à régler mais il faut éviter de donner une opportunité au reste de l'État major de venir leur chercher des noises. Comme le dit Stan, ils sont une famille dans une famille, et le linge sale se lave en famille, donc entre les membres de l’unité.


C’est pas le tout, mais il y a quand même des malandrins en ville, notamment en train de pirater des ATM (TC 00:34:50). Lorsque le suspect s’enfuit à pied, 07 et 86 se séparent, en voiture pour le premier, jusqu’à ce qu’il poursuive à pied, et découvre l’individu caché derrière un poteau (TC 00:37:00). C’était bien tenté mais pour cette fois ça ne fonctionne pas, dommage ! Le contrôle se déroule dans la bonne humeur, les amis du voleur, M. Frak, l’attendent tranquillement et donnent même quelques conseils à Kurt mais ce dernier s’en sort bien. Même s’il a besoin de déployer toute sa pédagogie (TC 00:39:45). Il fait en tout cas preuve de clémence, surtout que l’individu est honnête et lui donne directement les fruits de son larcin. Ils se quittent donc avec la promesse d’une palpation supplémentaire la prochaine fois… en garde à vue !

La patrouille peut reprendre, et pendant que les collègues s’occupent des Grimion, la famille du Nord, qui se balade au garage avec des mousquets, et un cochon, 07 et 86 viennent en aide à un homme dont la voiture est bloquée sur un parking, impossible de l’ouvrir ou de l’emmener au garage (TC 00:48:35). Kurt tente bien de la forcer plusieurs fois mais sans succès, malheureusement il est obligé de l’envoyer en fourrière. Une fois le journaliste déposé au garage, et la voiture récupérée en bon état de marche, il est temps de retourner au poste. 86 a pris la centrale et préfère rester sur place, il n’arrive plus à gérer la patrouille en même temps.



Partir en patrouille : est rarement de tout repos

C’est donc un changement d’Adam partner pour 07 (TC 01:01:40). 08, James Dener, s’enquiert de l’état de son lieutenant, qu’il a peu vu ces derniers jours. Effectivement, Kurt avait beaucoup à penser. Mais cela fait des choses à raconter pour 08 qui s’est fait planter la veille par un Vagos ! Diablito, ou l’enfant hyperactif du groupe en jaune, sans vraiment de raison apparente mais l’affaire est traitée et l’homme amendé. Et Dener a aussi besoin de conseil pour traiter une plainte contre la compagnie des stations essence, suite à l'explosion de l’une d’entre elles, et donc d’un véhicule. La personne demande un dédommagement complet de son Asbo, 07 renvoie donc vers le commandant ! Il y a autre chose de plus intéressant, une supérette et en plus avec un véhicule jaune ! Ce qui tombe bien, 08 a une revanche à prendre, mais il est vite calmé par son lieutenant, qui a déjà eu des remontées sur son matricule. Même si la raison est compréhensible, un oubli de lecture de droit dans ce cas, il doit quand même faire attention. La CP est gérée par une autre Adam, et après une recherche d’un second individu qui s’est enfui à pied, sans succès, 07 et 08 viennent en soutien du contrôle (TC 01:11:15), pour s’occuper du véhicule du malandrin. Et surtout le surveiller en attendant le Otto’s, des hommes habillés en jaune tournent aux alentours en moto. Au moins l’attente n’a pas été vaine, il reste des sacs de supérette dans le coffre !

La patrouille peut reprendre, directement par un contrôle sur un piratage d’ATM (TC 01:18:15), avec à nouveau des individus habillés en jaune. Et voilà que Dener retrouve Diablito ! Le lieutenant Schröder doit faire preuve de pédagogie pour expliquer à Diablito que les deux doivent être fouillés dans ces situations mais de son côté, le contrôle sur M. Panocalido se déroule bien. Et 08 repart en un seul morceau. Ils peuvent donc repartir sur, une nouvelle alerte pour piratage d’ATM (TC 01:24:00). Contre une moto la CP n’est pas facile, Kurt s’occupe donc de faire un récap SWAT pour 08. En tant que dernière recrue qui n’a pas encore été officiellement intégrée, Dener n’a pas encore fait de convoi de saisies, il apprend aussi le départ de 02, qui trouve qu’ils sont trop bourrins… Mais il était prévenu, ils ne sont pas déployés pour discuter. Ils vont en tout cas trouver le temps pour une intégration, si tous les membres sont d’accord. Qu’il ne s’inquiète pas trop sur les remontées, pour le SWAT les membres se fient à ce qu’ils voient, pas ce qu’ils entendent.

Mais trêve de bavardages, il faut raccrocher sur une CP, qui se termine vite à cause de la panne d’essence de la pirate d’ATM (TC 01:29:25). Elle choisit d’ailleurs le grand chelem, contrairement aux autres brigands de la soirée, ce sera la garde à vue avec contrôle de son argent. Mais au moins Mme Bishop n’aura pas à payer la fourrière, c’est le lieutenant qui a réglé la facture ! 

Une fois en cellule (TC 01:40:30), elle répond aux questions de 07 qui tente de récupérer quelques informations générales. Mais il est interrompu par un appel de 11 (TC 01:43:20) qui fait face à un problème épineux qu’elle ne sait pas gérer. Elle fait surtout face à un prêtre, dont elle ne sait que faire car il semble avoir un sérieux problème psychologique. Lors de la sortie moto de la soirée, il a par exemple béni les véhicules avec… de l’essence. Elle pense qu’il a clairement besoin d’un suivi psy, de manière urgente ! Kurt se rappelle de sa visite aux EMS, et de la présence d’une cellule capitonnée dans l’hôpital et lui recommande de voir directement avec les médecins. De toute façon eux ne peuvent rien faire de plus, à part une amende pour trouble à l’ordre public, mais ils ne peuvent pas forcer un suivi psy. Ceci dit, retour en cellule pour des dernières questions, même si Mme Bishop a semble-t-il déjà eu l’occasion d’expliquer tout ça à d’autres agents. Elle est en tout cas coopérative et écope d’une amende réduite, bien qu’en récidive.


C’est avec la tête qui résonne de tous les calls radio de la soirée que Kurt décide de prendre une pause un instant, avant de repartir, toujours accompagné de l’agent Dener (TC 01:59:30)


Entre les ATM, les sup’ : il faut gérer les cadets et un cochon

Le lieutenant Schröder a bien besoin d’un environnement un peu plus apaisé, et accueille avec plaisir l’envie de 08 de passer au UwU. En l’attendant, il peut prendre l’air à l’extérieur et gagne même un soin des EMS. Mais il faut bien reprendre la patrouille un jour, surtout que les alertes de piratage d’ATM ne s’arrêtent jamais. Heureusement que de temps en temps il y a aussi des braquages de supérette (TC 02:14:00) ou des appels d’urgence. Enfin celui-là, Kurt s’en serait bien passé lorsqu’il découvre la situation (TC 02:18:15) Le problème étant un cochon, visiblement agressif. On n’est pas loin de la scène de crime. Après quelques tentatives de régler la situation pacifiquement, 9mm en main pour Kurt et le commandant, ce dernier se voit obligé de se défendre (TC 02:21:15). Voilà une affaire rondement menée, et de quoi prévoir un barbecue. Malgré les compétences vétérinaires d’un médecin (TC 02:23:10). Le LSPD est d’une efficacité redoutable ce soir. 


Retour aux choses sérieuses en croisant d’autres agents au détour d’une pompe à essence : l’éternelle question, que faire des cadets qui arrivent par vagues ? Comment les gérer ? Comment gérer aussi les vagues d’officier 1 qui ne sont pas encore autonomes non plus ? Plusieurs idées ou propositions fusent mais cela dépend de la vision du nouveau commandant. Il faut bien avouer par contre qu’au bout d’un moment cela fait beaucoup, beaucoup de monde à former. Le problème n’a pas de solution immédiate, les agents retournent donc sur le terrain où il y a toujours autant de piratages d’ATM, entrecoupés de braquages de supérette (TC 02:38:00). Après une longue CP qui se termine par un accident du véhicule poursuivi (TC 02:45:35), Kurt retrouve une tête connue : M. Andrescu ! Le contrôle se déroule sans problème, les deux hommes ont l’habitude à force de se croiser sur des arrestations ou des CP, le membre des Affranchis est même presque admiratif des qualités de conducteur du lieutenant. Il avait par contre quelques sacs de supérette dans son coffre, que 07 et 08 vont déposer aux saisies du PdP avant de repartir. Non sans renverser 29 sur le chemin (TC 02:52:10). Plus de peur que de mal, et en plus le BE annonce une bonne nouvelle : sans doute bientôt du travail pour le SWAT !

La ville semble se calmer, c’est donc le bon moment pour faire un dernier tour, aller sur 2-3 alertes et prendre sa fin de service. La fatigue se fait sentir et Kurt en est presque à s’endormir dans les escaliers.

S02 EP10

S02 EP10 - 16/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1927204390

https://youtu.be/14EUcU17hSU?si=j-Mkyw7GY7gJWatO


La soirée commence à peine : que tout s’accélère

Et c’est un 10-08 de 07 qui décide de partir immédiatement en patrouille avec Jacques Roche, alias 28, histoire de ne pas rester au PdP. A peine partie, l’Adam prend en charge un fugitif, avec en fond sonore Santiago, à la suite d’une alarme de sup’ (TC 00:31:15). Cette première CP est longue, le contrevenant ne voulant rien lâcher, ce qui permet aux deux agents d’évoquer les changements possibles au sein de l’EM, suite au départ du commandant : Rétrogradation ou pas, tout est possible...  Mais la discussion s’arrête lorsqu’au bout de plusieurs minutes, une erreur de conduite fait rentrer le malfrat dans un mur. C’est un homme seul qui descend du véhicule accidenté. Sans être coopératif et plutôt bavard, il n’hésite pas à répondre, de manière nonchalante, aux quelques questions posées par 28. Enfin répondre, juste l’aiguiller pour le faire chercher un peu et ne pas tout donner clés en main. Il repart donc avec une amende. De retour dans la sérigraphiée, Kurt note quand même qu’il préfère un individu comme ça plutôt que quelqu’un qui insulte sans raison.

En radio, une annonce : Une personne vient d'être portée disparue. Un canal radio particulier s’ouvre donc pour toutes les informations importantes concernant cette recherche (TC 00:51:25). 45 se charge du lead OP, 07 se greffe à l’opération en se mettant sur la fréquence. Les hommes recherchés seraient aux couleurs vagos. Le lead Op se charge de répartir les unités afin de quadriller la zone. Tous se dispersent, non sans entendre en radio que des coups de feu ont été tirés en direction d’agents en service. D’après les premiers éléments, tout indique une action des Punk à chiens. Alors que les échanges en radio se poursuivent, 07 ne peut s'empêcher de bondir lorsqu’il entend la question : “c’est sur vous ou votre véhicule les tirs ?. Pour le lieutenant cette demande n’a aucun sens et il le fait savoir à son coéquipier qui ne peut qu'acquiescer, avant de se recentrer sur la recherche.


L’Adam évolue quand un code 99 est lancé (TC 00:56:25). La sérigraphiée raccroche immédiatement sur le zip donné. Arrivés sur place, les deux hommes découvrent le carnage de la scène de crime, sous les arcades du pont. Alors que 07 et 28 tentent de se faire une idée des événements, un de leur collègue se précipite vers eux, en indiquant que plus loin d’autres agents ont besoin d’aide. C’est au pas de course qu’ils évoluent dans le chantier avant de tomber nez à nez avec un individu en treillis et armé. Après lui avoir pris son arme et identité (c’est Frack), ils comprennent que lui aussi est blessé. Ses premières explications indiquent qu’il n’est pas à l'origine des tirs, que lui aussi s’est fait tirer dessus, mais qu’il a bien vu les assaillants partir en courant. En radio, l’identité des agents à terre est annoncée : 95 et 68, suivi d’un message de prévention car une menace sur les FdO plane et du fait qu’aucun médecin ne soit en ville. La soirée va être longue… Kurt propose donc à Frack de l’accompagner voir l’unité X afin de se faire soigner. C’est contre son gré que l’homme accepte cette aide, en suivant les deux agents dans la sérigraphiée. 

Cependant Schröder n’est pas dupe et après avoir installé ce potentiel suspect confortablement, il demande aux unités présentes sur la scène s’ils ont aperçu un homme avec une crête bleue. Affirmatif, il aurait même ouvert le feu. C’est bien pris pour le lieutenant qui l'emmènera au poste après avoir vu un médecin de réserve. Au loin, dans la sérigraphiée, le présumé coupable peste comme un pou sur la lenteur des FdO. Kurt, tout en restant calme lui explique qu’ils peuvent se rendre aux EMS mais cela signifie abandonner les véhicules. Entre se vider de son sang ou perdre ses biens, Frack préfère serrer un peu plus son garrot, non sans râler. Une fois que tout semble se mettre en route pour l’évacuation des véhicules, l’Adam et son blessé se dirigent vers les EMS où il retrouvent des collègues.
Alors que le suspect se rend vers l’unité de réserve, Kurt fait un rapide topo aux agents présents (TC 01:09:35). C’est bien pris pour tous, qui se chargeront de son transfert et de son interrogatoire. 

La radio toujours en fond sonore crépite et relate un regroupement de Punk dans les alentours. La centrale tente de répartir les rôles et les actions de chacun, mais à sa voix on comprend qu’il est débordé.


Frack sort enfin de ses soins et après une incertitude sur un départ ou non vers le poste, Kurt décide d’attendre quelques instants que plus d’unités se regroupent aux EMS. Des agents le rejoignent pour évoquer les premiers éléments de l’enquête (TC 01:14:40). Cela viendrait d’une altercation plus tôt dans la soirée où l’un des punk se serait pris un coup de matraque. Affaire à suivre donc.
C’est avec ces quelques éléments que 07 et 28 prennent la route du PdP pour l’interrogatoire de Frack Larry et de Ladislav Devis. 


Sur place, alors que Roche se charge de l’homme à la crête, Schröder commence à mettre en cellule celui qui porte le blouson (TC 01:17:40). Après la fouille et le contrôle d'identité obligatoires, les droits du prévenu sont lus et l’homme est emmené en cellule. Alors que Kurt se dirige vers la pièce des scellés pour y déposer quelques éléments, il croise une agent du BE venue aux nouvelles. Le temps de faire les premières transmissions et d’effectuer le dépôt, le lieutenant est malheureusement réquisitionné pour chercher des véhicules au Otto’s. 


Pas d’EMS, tensions en ville : coïncidence ?

A défaut d’assister aux interrogatoires, le débrief se fera dans la voiture qui le transportera avec ses collègues en ville, ainsi que sur le parking du garage. Tous sont d’ailleurs unanimes, personne n’a réellement compris ce qu’il s’était passé et comment ils en étaient arrivés là (TC 01:29:55). Mais voilà, eux qui pensaient avoir quelques minutes de répit, sentent leurs téléphones vibrer. De nouveaux messages d'entreprise tombent : les EMS étant aux abonnés absents, ce sont les FdO qui reçoivent les demandes d’intervention pour des citoyens blessés.
C’est donc dans un soupir que Kurt se rend sur les lieux, n’écoutant que son devoir. Sur place, il découvre un accident de circulation, à cause de la violence du choc, le motard blessé s’est retrouvé projeté plusieurs mètres plus loin. Le conducteur de la camionnette, encore sous le choc avoue ne pas avoir eu le temps de réagir. C’est bien pris pour le lieutenant, qui après avoir rassuré le blessé de sa prise en charge rapide par les services de secours secondaires, décide d’envoyer un message au Life, afin qu’ils préviennent la population du service médical restreint.


Une fois que tout est en règle, 07 fait un retour au poste, pour une petite pause bien méritée, avant de repartir en patrouille avec Garza Ines (81) (TC 02:00:00). L’Adam n’a pas le temps de s’ennuyer car à peine les ceintures bouclées qu’une CP s’engage, très vite arrêtée avec l’aide d’un cul de sac et d’un blocus de la sérigraphiée. Fort heureusement, les contrevenants préfèrent rire de leurs mésaventures plutôt que de s'énerver. Cela rend la verbalisation plus agréable pour tout le monde. 

Alors qu’ils attendent tranquillement la réparation de leur véhicule, 81 et 07 discutent avec des collègues. Kurt évoque d’ailleurs une plainte du patron des Taxis qui serait arrivée dernièrement. Il les prévient que ce dernier à une dent contre lui et le LSPD en général et qu’il fera tout pour faire chier. Sa plainte semble d’ailleurs bien dérisoire, à voir ce que ça donne. 

La patrouille peut repartir et l'officier Garza en profite pour parler de son avenir au sein des différentes unités du LSPD. Le problème c’est que beaucoup de choses l'attirent. Le lieutenant lui confirme alors que pour le SWAT, elle devra s’y consacrer entièrement. Il lui indique que des sessions de recrutement seront faites dans les prochaines semaines.

Quelques minutes à peine après leur passage au garage, ils doivent y retourner en effet après une course poursuite dans les rues étroites des villas au nord de la ville, où 81 ne semblait d’ailleurs pas vraiment rassurée de la conduite du lieutenant, 07 percute une voiture de plein fouet (TC 02:31:02). Les réparations étant clairement nécessaires, un tour chez Otto’s est effectué.  A leur arrivée, Kurt remarque directement plusieurs Brokers. Ceux-ci ayant envie d’en découdre avec lui, il fait une demande à la centrale pour raccrocher une unité en surveillance autour du garage. Las d’attendre une réparation qui ne se fait toujours pas alors que la tension avec les Brokers est palpable, 07 décide de reprendre la patrouille. 


Encore une fois, la zone des villas semble être en vogue pour des activités louches. En effet en arrivant sur place, les unités découvrent plusieurs personnes avec des pancartes se précipitant à leur voiture, tous hilares et tentent d’échapper au contrôle (TC 02:42:00). La course poursuite est peu évidente, l’une des deux voitures est poursuivie par deux unités, n’hésite pas à les pit et les insulter. Ils ont même failli rentrer dans le quartier de Forum Drive ce qui n’aurait pas été bon pour eux.  Après de longues minutes, la deuxième voiture apparaît et semble vouloir sortir la première voiture de la CP. Seulement elles s’engouffrent dans une impasse. La première voiture réussit à sortir mais les deux unités de police bloquent la seconde (TC 02:49:04). 

Les individus tentent de s’échapper à pied, en vain. Le lieutenant gère l’un des médecins sur place, car l’impasse est celle qui conduit au parking des EMS. La voie étant dégagée pour les ambulances, il prend alors l’un des individus pour l’interroger. Il s’agit de Kyron Cheesman, connu des services de polices seulement pour trouble à l’ordre public. Il faut dire que le personnage est atypique et chante son nom à 07. A part un refus d'obtempérer pour le conducteur, ils ne pourront pas faire grand-chose de plus puisqu’aucun élément illicite a été retrouvé sur eux. Le lieutenant propose alors un jeu : celui qui avoue être le conducteur a gagné … une amende de 1000 $. Et c’est monsieur Cheesman qui remporte le jeu (TC 02:57:18). Après cette arrestation plus que cocasse, la patrouille peut reprendre direction le Otto's pour enfin pouvoir réparer le véhicule qui a pris quelques coups entre les deux dernières courses poursuites. 



Surtout lorsque les Brokers : se font entendre

La soirée se poursuit mais réserve toujours quelques surprises puisque l’Adam découvre une limousine rose en train de braquer une supérette. 07 remarque directement qu’une Sultan et un Rebla, avec des individus ressemblant aux Brokers, suivent de près leur CP avec la limousine. Leur véhicule étant sur la réserve, ils laissent une autre unité reprendre la limousine en visuel pour effectuer le plein. Ayant eux aussi repris le visuel, la course se poursuit pendant un certain temps jusqu’à un moment où la limousine s’arrête net sur le boulevard devant les EMS et pas moins de 4 individus sortent, battes de baseball en main, menaçant les unités sur place (TC 03:17:25). 07 repère l’individu qui est sorti de la supérette et l’éloigne pour le contrôler et le fouiller. Les sacs d’argents récupérés et l’amende payée par monsieur Moreno, le lieutenant se dirige alors vers les autres individus. L’un joue d’ailleurs avec un cran d’arrêt. L’échange est tendu et 07 n’en démord pas, il reste droit et professionnel face aux agissements des Brokers. La limousine volée est aussi récupérée, et chacun repart de son côté aussi calmement que possible.  Alors qu’ils pensaient reprendre leur patrouilles, 07 est rappelé aux EMS par Gordon qui n’arrive pas à continuer son contrôle face à des individus outrageants et lui demande donc de l’épauler. Il recadre directement les deux individus et tente de comprendre ce qu’il se passe. 

Après avoir été conciliant et ne prenant pas en compte un potentiel outrage, le contrôle se termine enfin.  Cependant, à l’instant où les unités de police s’éloignent, l’un des deux individus crie : « bon courage… il en faut pour être con comme ça » (TC 03:36:56). C’est la goutte de trop pour le lieutenant Schröder qui accumule les tensions depuis déjà quelques heures. Il retourne voir les deux hommes, bien décidé à leur faire comprendre qu’il ne faut pas abuser de sa patience. 


Les unités sont clairement fatiguées d’avoir eu à gérer ce type de contrôle. De retour au poste de police, il retrouve les unités qui débriefent sur cette situation et les réactions de chacun sur place. Une fois la discussion terminée, 07 prend enfin sa fin de service.



S02 EP11

S02 EP11 - 18/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1928944161

https://youtu.be/LlbGe8gvsQc?si=eoxbZhOypRqztw4_




Blablater sur les promotions : pendant le transfert de saisies

Pour une fois, à peine levé, le lieutenant Schröder peut garder son pyjama SWAT. Ce soir c’est l’heure du convoi de saisies, avec un jour de retard du fait du peu d’effectif la veille, dont son absence. 07, 21, 68 et 23 se préparent et font le plein du RIOT et lorsque tout est prêt il ne reste plus qu’à prévenir Milton Mulberry. En effet, 45 souhaite en être, accompagné par 44. Soit, Kurt le prévient, avec au passage un taquet car Mulberry s’est occupé de la promotion de 09 en son absence, mais le lieutenant aurait bien aimé être présent également. Il donne ensuite quelques éléments d’info à son équipe, si 45 souhaite être là, c’est pour voir si tout se passe bien avec les Brokers, après l’altercation de la semaine précédente. Mais si sa VSTR blanche n’est pas vraiment discrète, il se tiendra normalement dans les alentours et pas directement avec le convoi pour ne pas le gêner. Et au pire si il y a un souci, Kurt les enverra en première ligne avec les gangs, comme ça au moins personne ne pourra lui reprocher quoi que ce soit.


Le convoi s’élance (TC 00:12:10) direction les différents commissariats de la ville. Kurt est avec Parker Thomas (23), en fermeture du convoi et en surveillance à chaque arrêt. Cela lui permet d’ailleurs de regarder un instant son téléphone pour consulter les sms reçus en son absence. Un d’Alessia Belineli (03), qui voulait justement proposer sa candidature au SWAT, et surtout un d’Alexander Kazenko (44), qui lui apprend qu’il a été rétrogradé. Kurt ne s'embarrasse pas avec les mots et répond un simple “?” au désormais ex-lieutenant malheureux. 44 est maintenant sergent-chef, tout cela met la puce à l’oreille à 07 qui pense à vérifier l’intranet, ce qu’il n’avait pas encore fait, et constate effectivement du changement. En plus de la rétrogradation de 44, il apprend donc que Mulberry (45) est maintenant capitaine ! Peut-être que commencer la journée en faisant des remarques bien senties à celui qui est désormais son supérieur n’était pas la meilleure idée qui soit… oups. Ni une ni deux, il lui envoie un sms pour le féliciter (et préciser qu’il n’était pas au courant). 

Tout est calme autour des postes de police, Kurt partage donc avec Parker sa boulette du jour (TC 00:21:30), qui fait bien rire son partenaire de surveillance. 07 n’a pas beaucoup de regrets non plus, déjà prêt à voler dans les plumes de 45 s’il se rend compte que celui-ci gère de près ou de loin l’unité anti-gang alors que lui a retiré sa candidature puisque cela signifiait la perte du lead de sa propre unité. Et 23 ne se prive pas d'ajouter quelques remarques sur le nouveau commandement, et ses méthodes de type “faites ce que je dis et pas ce que je fais”. Le lieutenant Schröder s’étonne d’ailleurs d’être toujours à ce poste, car il est loin de tous les brosser dans le sens du poil. Il a plutôt tendance à leur rentrer dedans. Mais peut-être que sa grande gueule apporte quand même quelque chose, ou qu’elle ne leur laisse même pas le temps de répliquer. Comme lors de l’affaire avec 21 qui a tiré sur Diouf, où il a vite établi que les affaires du SWAT ne regardaient que lui. Parker y va aussi de son petit commentaire sur la gestion de l’opération, surtout la négociation de 45… le discours n’est pas le même qu’au sein de l’EM, constitué principalement de félicitations. 

Ceci étant dit, maintenant que les bases d’une future bonne relation avec le commandement sont posées, il est temps de rejoindre le commissariat suivant ! Après encore quelques piques, Kurt fait une pause sms. Il lui reste un message à lire, celui d’Alex (21) qui l’informe d’un changement dans son travail annexe sur la communication qui se transforme plutôt en suivi RH et suivi des unités, plus proche de son travail actuel de sergent. Il continue également sa conversation avec 45, pour ne pas trop partir du mauvais pied non plus. La discussion avec Parker continue tout de même sur le chemin des docks, mais Kurt finit par temporiser lorsqu’il évoque les tendances au copinage du commandement : c’est normal au final, tous font la même chose. Lui aussi a fonctionné ainsi. Et il ne pense pas sauter non plus, ils ont besoin de lui en tant que lieutenant, et en tant que lead SWAT. Et de l’unité par la même occasion, dont ils sont globalement satisfaits.


Bonne nouvelle lorsqu’ils arrivent sur les docks (TC 00:37:25), les Brokers sont partis de leur quartier. Mais les agents restent vigilants. Même s’il n'y a guère que Bobby qui pose problème (TC 00:42:55). Kurt peut se permettre de discuter par sms, toujours avec le nouveau capitaine, qui lui apprend encore une nouvelle info : le probable départ du lieutenant Turner (33) du LSPD, car il a postulé pour un poste de procureur. Que de nouvelles.

Tout est terminé pour les saisies, il ne reste plus qu’à attendre que 23 se remette d’un mal de tête. Et il y a du travail annoncé pour le SWAT, un message entreprise évoque une potentielle prise d’otage devant une banque (TC 00:47:15). Mais après vérification, personne sur place, 68 et 07 peuvent donc tranquillement discuter sport automobile (TC 00:48:15) face à une Alex Gordon (21) peu réceptive. 23 enfin récupéré, le SWAT peut rentrer au poste pour rester en stand-by, prêt à intervenir si les infos dépassent le stade des on-dits et que les agents constatent bien la présence d’un groupe armé en ville. Charlène Lebrun (88) prévient d’ailleurs son lieutenant, le BE tique sur ce fameux groupe et pense aux trafiquants d’armes, et comme ils ont vu un convoi se diriger droit sur la zone des usines où passe le SWAT elle préfère le tenir au courant. Mais une fois de plus, ils ne croisent personne jusqu’au poste. 


Le SWAT étant réuni : autant en profiter...

En attente dans le garage, les unités reçoivent un nouveau message annonçant un braquage place des Cubes. Ils sont cette fois prêts à intervenir dès que l’ordre sera donné, déjà tous installés dans le blindé. Mais là encore, RAS sur place. Le capitaine vient aux nouvelles pour faire le point : Kurt confirme que le SWAT peut intervenir et faire dégager toute menace qui s’approcherait à nouveau de la banque de la place des Cubes. Le RIOT en lui-même est dissuasif, et si besoin ils sont assez pour faire une colonne. 45 souhaite éviter des échanges de tirs en plein milieu de la place, tout comme le lieutenant. Au pire ils restent dans le blindé, se replient et reviennent pour intervenir. Les deux hommes s’accordent sur une proposition : le RIOT, rempli d’unités SWAT, se place pour faire l’inverse d’une planque. En plein sur la place des Cubes pour surveiller la banque, et dissuader de toute tentative de braquage (TC 01:04:10)


Comme pour le moment tout est calme, Kurt prépare la suite de la soirée avec son équipe. Il envisage de faire passer les tests d’entrée aux agents qui ont manifesté leur intérêt pour le SWAT et qui sont présents : 03, 30 et 67. Il y avait bien 66 intéressé mais l’ex cadet striptease n’est pas là pour l’instant, ce qui ne risque pas de chagriner le leader de l’unité, ravi de cette bonne nouvelle. Un avis partagé par le reste de l’équipe, son comportement ne se prête pas à l’unité d’élite. Si Kurt ne veut pas lui interdire de passer les tests, il compte bien ne pas le faire rentrer. Pour ce qui est de James Dener (08), qui avait réussi les tests, il est peu présent en ce moment, ils se laissent donc encore un peu de marge avant son intronisation. Dans tous les cas, ils ont besoin de recruter. Ce soir ils ne sont que 4, et il suffit qu’un ou une, comme 21, ne soit plus accrédité.e pour la manipulation de la cat.3, ou souhaite faire une pause, et ils se retrouvent vite en nombre insuffisant. Surtout que l’actuel second, Lloyd (95) est présent de manière sporadique. Cela n’aide pas, Kurt envisage d’ailleurs de passer le relais à Gérard Hartmann (68). Et avec 02 qui a démissionné parce qu’il les trouvait trop têtes brûlées, ça commence à faire.


Pour l'instant, le leader contacte les candidats pour qu’ils se tiennent prêts. En tout cas, si il y a du passage sur la place des Cubes, toujours pas d’hommes armés prêts à braquer une banque. Il est temps pour le RIOT de rentrer au poste pour récupérer les candidats. Le pauvre 44 en centrale se retrouve dépouillé de ses unités, mais priorité au SWAT ! 07 évoque d’ailleurs la création d’une sorte de vivier lorsque l’unité sera au complet : des agents qui ont passé et réussi les tests, et prêts à prendre une place dès qu’elle se libère. L’équipe se répartit les tâches pour les tests pour que tout s’enchaîne, il ne manque plus que les candidats ! 


Tout ce temps à attendre permet de discuter tranquillement, mais laisse aussi le temps à 66 de prendre son service ! Kurt a l’excuse parfaite pour ne prendre que trois candidats ce soir : il y a besoin de monde en patrouille ! Il lui fera passer les tests dans les prochains jours… peut-être de l’année prochaine. Et comme ils attendent toujours 67, 44 en profite pour parler quelques instants avec 07 (TC 01:37:00)

Suite à sa rétrogradation, Kazenko voulait partager la vision que le commandement semble avoir désormais. Capitaine et commandant souhaitent que les lieutenants soient des chefs de pôle, un peu comme 07 actuellement. Ce qui explique la décision de le passer sergent-chef, qu’il a encore du mal à digérer. Kurt tente de le réconforter comme il peut : au moins maintenant il pourra se concentrer sur le terrain et ne plus se prendre la tête avec l’EM. Mais Kazenko aimait bien son job de lieutenant et ne risque pas d’être plus d’accord avec l’EM maintenant. La nouvelle a été dure à entendre. Il s’intéresse également aux allées et venues du SWAT, en tant qu’ancien membre il se tient au courant. 07 lui propose d’ailleurs de lui refaire passer les tests si il veut revenir, il ne fera pas de favoritisme mais ne s’inquiète pas pour sa réussite. Tout est encore en suspens pour 44, il doit s’occuper de la création d’une nouvelle unité qui regroupe la VIR, les Mary et l’hélico (si Parpaing n’est pas parti avec) mais s’il n’est pas contre, il a du mal à voir l’intérêt. Même si le dossier de 28 est très bien, il ne voit pas trop quoi faire d’un hélicoptère par exemple si chaque unité gère déjà le sien, comme le SWAT. Kurt le rejoint sur ce point, mais cela peut avoir une utilité pour par exemple une exfiltration rapide des blessés, comme proposé sur le dossier, ou sur une course-poursuite. 44 propose sinon d’avoir quelques agents d’élite qui maîtrisent parfaitement les véhicules spéciaux et peuvent intervenir directement sur des opérations mais 07 préfère gérer ça en interne en SWAT pour l’instant. Et si ça ne fonctionne pas, il pourra tester l’idée de 44. Pour le SWAT, Kazenko sait bien que c’est l’unité et rien d’autre, pour l’instant il se concentre sur cette nouvelle unité VIR mais il note que la porte reste ouverte pour plus tard.


Tout le monde est enfin là, il est temps de se diriger vers la base militaire !


...pour quelques tests : pour les futures recrues

C’est donc 21, 68, 23, 07 et Seppi Bodein (67), Alessia Belineli (03) et Rodney Graves (30) qui arrivent sur la zone d’entraînement (TC 01:50:45). Après une explication générale sur les différentes épreuves, qui se feront toutes ce soir et non pas sur trois jours comme habituellement, c’est l’heure du premier test : le sport ! Kurt fait la démonstration du parcours physique et rappelle la règle de base : pas de double spécialité, si ils choisissent le SWAT, les autres unités n’existent plus. Ceci posé, les trois candidats s’élancent les uns après les autres, et comme souvent le premier passage permet surtout de découvrir le parcours, sans réussir à respecter le temps maximum. Le tout est entrecoupé de quelques maux de têtes communs, et sous les encouragements des autres membres SWAT. Même si Alessia se perd dans les plots lors de son premier essai, le deuxième est validé, tout comme Rodney. Seppi a plus de difficultés, mais il valide son troisième essai, avec le soutien de 68, son compatriote alsacien. 


Étape suivante : le tir au 9mm, géré cette fois par Parker, tandis qu’en parallèle Kurt refait passer à Alex son accréditation cat. 3 (TC 02:16:10). C’est une formalité pour 21, qui a juste à se réhabituer au maniement de l’arme, qu’elle connaît déjà. 07 n’est donc pas très exigeant et les deux rejoignent ensuite les candidats en plein test. Voyant que 23 a bien la main sur le test, Kurt retrouve les deux agents à l’écart, chacun passant à tour de rôle. C’est l’occasion de recueillir leur premier ressenti et leurs impressions. Les installations plaisent, et ce n’est pas tout, il y a encore beaucoup à découvrir et les candidats sont curieux, et contents de leur décrassage avec le parcours sportif. En plus ils profitent du calme de la zone, sans la radio. Pour la suite du programme : si tous les tests sont validés, ils feront un tour de la base militaire pour visiter toutes les installations d'entraînement utilisées par le SWAT et ils termineront par leur salle réservée dans le poste de police. En attendant, le leader donne quelques explications supplémentaires sur le quotidien du SWAT et leurs habitudes. S’ils réussissent, ils seront pour l’instant des stagiaires pendant une période d’intégration, même s’ils prendront part aux interventions.


Le test suivant est un stress test : 07 prévient, il est plutôt bien fait et il leur recommande d’être bien attentif et surtout de ne pas se parler entre eux à l’issue pour ne rien divulguer. 

Le test commence avec 03. Après quelques incompréhensions, le test peut démarrer. Au-delà de voir si l’agent peut gérer les tirs, c’est surtout comprendre l’environnement dans lequel ils évoluent et voir la réaction et la perception des personnes testées. Le test est positif  pour Alessia Belineli. Le lieutenant envoie alors 30 passer le test qui est pour lui aussi réussi dans l’ensemble. Après un dernier test de stress, les membres du SWAT en discutent entre eux. Les trois recrues sont intéressantes. 07 proposent alors un dernier test : un combat à mains nues (TC 02:52:05). Qui relève à la fois du test et du bizutage. Le verdict est donné : les trois stagiaires sont pris au SWAT. Le lieutenant leur donne quelques conseils pour bien s’intégrer à l’unité. Car c’est à eux de faire des efforts, les membres actuels ne les prendront pas par la main.

Ils en profitent alors pour effectuer une formation au tir de cat.3 ainsi qu’une visite plus complète du centre militaire et des zones d'entraînements. Kurt est content, les nouveaux arrivés au SWAT semblent vraiment aptes et il a plus confiance en eux qu’avec les précédents stagiaires. Après un tour du propriétaire, ils se dirigent vers une salle réservée au SWAT  pour faire le brief complet de leur arrivée dans l’unité. Mais avant ça, un petit tour aux EMS pour soigner les quelques blessures des bagarreurs est nécessaire (TC 03:17:24). 


A leur retour au poste de police, toute l’unité se rend dans leurs espaces dédiés. Le speech de présentation de l’unité peut enfin commencer. 07 commence par évoquer l’importance des entraînements, et évidemment s’ils ont le temps et les moyens humains, ils iront le plus souvent possible. Il leur rappelle aussi que leur service permet de se rajouter aux autres unités au besoin. Le soir, leur prise de service sera à 21h puis quartier libre vers 23h-00h. Évidemment ça sera pour les soirées types si l’effectif global du LSPD est assez important. C’est encore un idéal pour l’instant. Il leur dit ouvertement qu’il les protégera au maximum au sein du LSPD, quitte à les défendre auprès de l’état major. Cependant, ils ont pour obligation de ne rien lui cacher et de venir directement lui parler au moindre souci. 

Ils rejoignent une famille ! Au SWAT ils auront des surnoms et non leur numéro et le tutoiement est de rigueur même avec lui. Il demande aussi de l'humilité à son unité que cela soit auprès des autres unités comme à l'intérieur du SWAT. 

Après une coupure due à un appel du capitaine Mulberry, au sujet du nouvel hôpital ouvert dès le lendemain et qui aura une zone d'accueil particulière pour le LSPD, le lieutenant finit de donner ses explications sur quelques détails pratiques mais néanmoins importants pour le quotidien de l’unité. Une conversation de groupe est créée pour les remontées et infos au quotidien, le logo de l’unité est aussi présenté aux nouveaux. Le lieutenant les prévient aussi : ils risquent de vouloir faire leur tenue actuelle leur pyjama, ils sont unanimes pour dire qu’elle est bien trop stylée (TC 03:48:11). Il les autorise évidemment, le faisant déjà lui-même ! C’est d’ailleur le moment pour le lieutenant de prendre sa fin de service, satisfait ce soir d’avoir autour de lui une belle unité.


Echange SMS de l'épisode 11 avec Mulberry et Kazenko

S02 EP12

S02 EP12 - 19/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1929774523

https://youtu.be/4Jq0nsBxhP0?si=PKrjhRFKTnN8c3yx



Etre agent SWAT : demande de l'entraînement

Après quelques soucis de clés plus tôt dans la journée, et 2-3 agents coincés dans des salles fermées, le service du soir commence tranquillement pour le lieutenant Schröder. Il se balade un peu dans le PdP, prend officiellement son service et commence à se renseigner sur le nombre d’effectifs présents. Car comme il l’a prévu, il souhaite consacrer plus de temps aux entraînements et formations SWAT, surtout avec les trois nouveaux à former. Mais avant de partir il y a certains soucis à régler : par exemple une personne arrêtée qui se retrouve coincée dans le bureau des saisies (TC 00:15:50) mais heureusement 21 gère la situation. Ensuite il faut répartir les effectifs : les 3 nouveaux à la base mili, avec Kurt et Alex. Les autres membres de l’unité restent sur le terrain à leurs occupations respectives et pour ne pas trop vider les rangs. Surtout que ce n’est pas la seule unité en formation, au grand désespoir de la centrale.


Le temps que tous les agents reviennent au poste, Kurt discute avec Kazenko (44). Ce dernier s’étonne de voir encore 07 partir en formation mais le leader SWAT ne s’en cache pas : en ce moment il a décidé de faire ce qu’il veut, donc de passer le maximum de temps à travailler avec et pour son unité. Au moins comme ça on le laisse tranquille. On ne pourra plus lui reprocher que les membres font des erreurs, ils seront suffisamment formés désormais. La discussion change de ton avec l’arrivée de Charlène Lebrun (88) qui fait bifurquer le sujet sur la chemise rose de 44. Parce qu’elle a l’impression que ça fait quand même un moment qu’il porte la même ! Les deux échangent 2-3 piques, cette fois sur la coiffure de 88, puis sur ce qui lui arrive en planque, une prise d’otage par exemple, avec les commentaires de Kurt en sus. Mais le tout dans une ambiance amicale, après tout, il vaut mieux en rire. Ce n’est ni la première ni la dernière fois qu’ils sont confrontés à des situations difficiles. Attention tout de même, si les blagues commencent à toucher le SWAT, son leader démarre au quart de tour ! (TC 00:25:30) Plus sérieusement, si le commandement ne veut plus d’erreur, il faut lui laisser le temps nécessaire pour faire les formations. Un temps qu’il prend. Comme pour le BE, Charlène approuve, les spécialisations nécessitent forcément beaucoup de travail, ça ne s’invente pas.

Après une dernière blague sur la chemise rose saumon de Kazenko, tout le monde est revenu au poste, ils peuvent donc s’équiper (TC 00:32:25), discuter quelques instants sur l’anti-gang avec Avel Grealish (04) et se mettre en route pour la base militaire. 


Direction la base militaire : pour observer l'évolution des aspirants

Ils arrivent directement dans le hangar utilisé pour travailler les progressions en colonne (TC 00:40:45) et profitent d’un peu de temps à attendre que le parcours soit totalement dégagé pour faire le point sur le programme de la soirée. Le thème c’est le déplacement en colonne, ils n’iront pas au-delà des bases mais au moins si ils ont besoin d’intervenir les nouveaux ne seront pas totalement perdus. Après l’exercice, ils passeront les accréditations fusil à pompe et SMG. Bien sûr, plus tard ils feront d’autres entraînements pour les déplacements. Pendant ce temps de calme, les nouvelles recrues tentent aussi de s’habituer à ne plus utiliser les matricules de chacun et à privilégier les surnoms : Casper (07), April (21), Perceval (86), Häml (68). Et commencent à réfléchir de leur côté. Mais attention, on ne choisit pas son propre surnom. D’autres questions fusent, par exemple sur les autres agents intéressés mais réorientés sur d’autres unités, comme 66…

Mais enfin, le parcours est libéré de tout obstacle (TC 00:47:35), ils vont pouvoir s’y mettre !


Kurt donne les consignes et quelques explications, lui reste en retrait pour observer. L’exercice est aussi l’occasion pour 21 d’expérimenter le rôle de tête de colonne, qu’elle n’a jamais tenu jusqu’à maintenant. Mais de toute façon tous y passeront, l’exercice sera répété 4 fois pour que chacun puisse expérimenter ce rôle important. Le premier passage permettra de faire plus de remarques et répondre aux questions, pour les autres, ça déroule !


Quand faut y aller, faut y aller (TC 00:51:40), April donne ses instructions et la colonne entre dans le parcours. La progression se fait avec un objectif : neutraliser les assaillants et protéger les victimes. Comme il l’avait indiqué, le leader du SWAT fait de temps en temps des pauses en plein exercice : pour rectifier un positionnement, donner des conseils, faire parler son expérience et pointer les erreurs. 

Le premier passage terminé, Kurt fait le point en sortie de parcours (TC 01:15:25). 21 relève la difficulté et le stress lié au rôle de tête de colonne : elle a la vie de ses collègues entre ses mains et la responsabilité est difficile à gérer. Mais ils doivent tous y passer pour être apte à prendre le lead en cas d’absence de leur chef et de son second.


C’est ensuite l’heure d’envoyer les nouveaux au charbon ! Et désormais ils ne sont plus que trois, April rejoint Casper en hauteur pour observer les progressions. Ils ont le droit de faire des erreurs, c’est le but de l’entraînement, mais ils ne doivent pas perdre de vue l’importance de travailler en sécurité. Pas besoin de se presser, par contre le but est que tous restent en vie. Les maîtres mots sont donc sécurité, et communication.

Pour commencer, c’est 03 qui prend la tête (TC 01:18:00). Cette fois plus de correction pendant l’exercice, 07 et 21 se contentent d’observer et de faire un simple débrief rapide après l’exercice (TC 01:28:25). Alessia partage les impressions d’Alex, c’est effectivement dur de ressentir qu’on a la vie de ses coéquipiers sur les épaules. 

C’est ensuite au tour de Rodney de prendre le lead. En plus de commencer la formation, cet exercice a aussi le mérite de faire ressortir les membres les plus aptes à prendre le lead sur une intervention, comme le fait remarquer Casper à April (TC 01:30:55). Celle-ci confirme que pour elle ce n’est pas un rôle dans lequel elle se sent à l’aise. Ce n’est de toute manière pas fait pour tout le monde, et pour Alex, prendre le lead d’une opération est encore différent d’une tête de colonne, qui lui paraît plus difficile. 

La colonne avance rapidement sous les yeux des formateurs. 30 semble avoir de bonnes idées et l’avenir du groupe semble prometteur.

Au tour de 67, Seppi Bodein, de prendre le lead, après quelques conseils donnés par Kurt (TC 01:38:10). A la fin de l'exercice, un debrief se fait sur les petites erreurs des uns et des autres, ainsi que de la volonté de rendre les progressions encore plus fluide avec des entraînements plus fréquents.


Vient ensuite, le passage au stand de tir pour se perfectionner avec les armes lourdes (TC 01:54:40). Après quelques balles, les aspirants remarquent qu’un pompe sera moins précis, lors d’une intervention. Le lieutenant les rassure, cela s’apprend et cela viendra aussi avec le temps. Car le but ultime sera d’évoluer sans bruit en colonne avec une précision de tir importante. A la question sur sa méthode d’approche sur le terrain, il explique que cela dépend surtout de la situation : Si c’est une banque sans otage, la progression est plus directe. A l'inverse, si présence de civils il y a, ils avanceront avec plus de délicatesse pour éviter les victimes collatérales. C’est bien pris pour tous qui repartent avec le sourire vers le PdP, pour passer à la partie théorique.


Pour finir par un peu de RH : et une patrouille

Faute d’accès à la salle attribuée au SWAT, le groupe se regroupe dans la salle de repos, non sans oublier de déposer les tenues ayant servi à l'entraînement (TC 02:18:45). L’ambiance dans l’équipe est détendue, une partie de air hockey se profile en attendant les instructions, cela promet une bonne cohésion à l’avenir. Profitant de ce temps calme, 07 se concentre quelques instants sur les messages reçus pendant les entraînements, dont ceux de Lipton (95). Ceci fait, c’est avec un calme revenu, qu’il se tourne vers les trois agents afin d’évoquer avec eux les spécialités actuelles au sein du SWAT : Reconnaissance terrain (pour aider sur les plan d’intervention/d’action), la conduite, pôle cohésion et tireur aérien. Il y aura d’autres spécialités, comme plongeur, dans un avenir plus ou moins proche, mais pour le moment, ce sont les seules qui existent, sachant qu’ils peuvent proposer des idées. Ils ne doivent pas se décider maintenant, juste réfléchir en toute honnêteté à leurs capacités. 

Laissant les recrues réfléchir, Kurt s'éclipse pour résoudre ce problème de clés. A peine a-t-il poussé la porte de la salle que Lipton appelle (TC 02:26:05). Ce dernier revient sur la rétrogradation qu’il a subie. Il est déçu, c’est vrai mais la comprend aussi, il s’est bien rendu compte qu’il n’était plus au fait des derniers événements. 07 le rassure comme il peut, il comprend sa position mais lui affirme que son expertise sera toujours la bienvenue. Surtout qu’il sait que lui aussi n’est pas dans les petits papiers et qu’il peut sauter à tout moment. Les deux hommes évoquent les autres changements, sans possibilité de refaire le match. Il faut voir l’avenir ! D’ailleurs Kurt y travaille. Il espère, même si tous les éléments ne sont pas encore en place, que le SWAT soit indépendant du LSPD. Il faudrait qu’il y ait sur l’île une autorité supérieure, comme un gouverneur. Bref. 


Lorsqu’ils raccrochent, Kurt, las de ne pas retrouver les clés de la fameuse salle SWAT, se joint à une patrouille. En bon “sac de sable” (coéquipier qui se met à l’arrière), il prend le temps d’observer la ville et de faire la conversation, alors que le Tango (composé de 47, 09 et 07) sort du parking (TC 02:39:30). Le premier arrêt s’effectue au concessionnaire où les STX ne semblent plus disponibles. Cette rumeur confirmée, Kurt s’empresse de prévenir le commissaire, permettant ainsi un mini débrief sur le cas 95.


Et le Tango repart, pour très vite se retrouver sur une alerte supérette, en compagnie d’une deuxième patrouille. Ne voulant pas prendre en considération les demandes de se rendre, le véhicule jaune sur les lieux préfère fuir. C’est après quelques instants et devant l’église de Los Santos que les contrevenants sont cueillis par 6 agents. C’est 09 qui se charge de l’arrestation. Au bord de la voiture jaune, se trouve le numéro deux des Vagos, en possession de sacs. Après de multiples vérifications, l’homme en jaune se voit amendé avec une demande d’avoir le permis.

Repartis sur la route, les trois agents croisent un véhicule en contresens. Le temps de faire un peu de pédagogie sur le code de la route, des priorités et de la politesse et les voilà sur une nouvelle alarme de sup’ (TC 03:01:10). Une CP s’engage dans les petites ruelles, mettant au défi 09 au volant. Mais une alerte du Life fait stopper net la course poursuite. Des tirs auraient été entendus au UwU. Sur place, laissant ses collègues collecter les premières informations, le lieutenant reste sur le parking afin d’observer les alentours. Tout semble calme. Il semblerait que les coups de feu proviennent de plus loin, vers les taxis. Ni une, ni deux, le trio se rend sur zone. Malheureusement, chou blanc. Personne en vue. Le Tango décide donc de se positionner, caché, au-dessus du Otto’s afin de planquer un peu. Tout feu éteint, dans la voiture, un débat sur les meilleures céréales se lance (il faut bien passer le temps…) et les Nesquick ne semblent pas être dans les favoris de 47 et 09, ce qui fait un peu tiquer 07 qui les menace gentiment. Tout est au final une question de lait.
Ne voyant personne, ils profitent d'être sur place pour une révision de la sérigraphiée. Les timing étant souvent surprenant, c’est le moment que choisit Hartmann, alias 68, pour contacter Kurt (TC 03:12:55). Le nouveau second a eu 95 au téléphone et il a ainsi découvert sa nouvelle fonction. 07 le félicite et lui annonce que c’est via le groupe SWAT que l’information sera transmise. C’est bien pris pour 68 qui raccroche sans plus de cérémonie.

Et alors, que le lieutenant était en pleine rédaction du message sur le groupe SWAT, un civil, tout de rose vêtu, l’interpelle sur une question de droit : Est ce qu’un excès de vitesse, annule le fait de se faire tirer dessus. Kurt, étonné par cette demande, tente tant bien que mal d’y répondre, en demandant un peu plus de contexte. L’homme explique alors qu’il a déposé plainte après un passage rapide dans un quartier, celui avec les gens en jaunes, car il se serait fait tirer dessus, mais qu’un agent (28) lui aurait expliqué que cette dernière n’irait pas plus loin. 07, sans mettre la faute sur son collègue, propose à l’homme, nommé Carlos Tobe, de se renseigner sur ce qu’il s’est passé et de revenir vers lui.

Après cet échange lunaire, le lieutenant propose un retour au poste pour un repos bien mérité.



S02 EP13

S02 EP13 - 21/09/23

https://www.twitch.tv/videos/1931444993

https://youtu.be/KIcMp3ZJ5OU?si=wysA2Jr1COYlP26b



Premières transmissions: le second du SWAT, 68

Après une petite pomme mangée pour être en forme pour le service, Kurt rejoint Hartmann et tous les deux se rendent dans la salle SWAT. Leader et second discutent d’une future opération prévue, et Kurt donne un peu plus d’infos à 68 sur son rôle. Pour lui ça ne change pas grand chose, si ce n’est que si Kurt n’est pas là, c’est lui qui prend. Il lui recommande de ne pas prendre de grosses décisions à la hâte, ils peuvent en discuter ensemble, s' il y a des sanctions à prendre il est apte à le faire, en restant vigilant, le but n’est pas de dégoûter les autres membres. La politique actuelle du SWAT est simple : entraînements tous les soirs, il y a normalement assez d’agents sur le terrain. Bien sûr, ils restent disponibles si besoin. Il n’y a pas de grands changements, c’est le commandement qui décide de la sortie du SWAT, ce qui était déjà le fonctionnement auparavant. Les rapports avec le BE sont plutôt bons, 07 et 33 s’entendent bien, sans non-dits, et sans hésiter à se rentrer dedans mutuellement. Pour l’anti-gang c’est différent, 07 ressent avec certains, notamment 25, qu’ils ont tendance à prendre le SWAT un peu de haut mais il ne faut pas y faire attention et ne pas rentrer dans ce concours inutile. Kurt ne sait pas qui est lead de l’unité pour l’instant, mais comme 25 a fait une demande pour devenir lieutenant, si elle est acceptée, il sera d’office lead de l’unité. Concernant les entraînements, il va falloir innover pour que les membres ne se lassent pas. Il ne reste plus qu’à voir avec 95 pour récupérer sa VSTR et son RIOT, surtout que pour l’Insurgent c’est mal barré pour l’instant vu son prix.


Sur ce sujet, 68 annonce que le capitaine souhaite sortir les VSTR du SWAT pour les remplacer par des Caracara, ce qui ne plaît pas du tout au lieutenant Schröder : tant qu’il n’a pas son Insurgent, il ne vend pas les VSTR ! Il s’empresse d’appeler 45 pour rappeler le deal (TC 00:16:25) et Kurt est inflexible. A priori le commandant souhaite faire revenir les VSTR au commandement mais là encore, 07 prévient : il sera buté et très têtu. Sa VSTR est un souvenir de son passage en tant que commandant, il ne changera pas d’avis. Mulberry a choisi : c’est pas sa guerre, il laisse tout ça au commandant Zepel.

Häml n’a rien de plus à ajouter, il n’a pas encore de nouvelles idées à proposer, car en tant que plus haut gradé présent l’après-midi il a eu beaucoup de choses à gérer. Mais les infos sont bien prises de son côté pour ce nouveau rôle.


Ceci posé, Kurt retourne au vestiaire pour récupérer ses lunettes de soleil et être fin prêt à affronter la soirée… et le commandant ! 23 de son côté s’installe à son bureau pour s’occuper des plans du nouvel hôpital, car les médecins ont déménagé et 68 voit avec le garage pour changer la carte grise des véhicules de 95. 07 lui, déjà bien tendu, ressasse déjà ce que lui a rapporté Hartmann. Il déteste que les autres viennent fourrer leur nez dans les affaires du SWAT, ce n’est pas faute de le répéter, et pourtant ! Il est déjà prêt à tous leur rentrer dedans, à commencer par 45. Et s’il le décide, ils se retrouveront sans SWAT, et sans les agents ! 68 soutient son leader, surtout que l’unité d’élite fait bien son travail, les faits parlent d’eux-mêmes, le commandement à tout à perdre.


07 face à l’EM : VSTR ou rien !

Heureusement, un sms permet à Kurt de penser un peu à autre chose. Il a rendez-vous avec un certain Didier Van Den Bergh qui doit lui donner une info. Celui-ci fait une entrée fracassante (TC 00:35:10) puis lui explique qu’un gang cherche à tout prix à connaître son adresse pour lui faire la peau. En parlant de prix, pour 7500$, il ajoute que le groupe est question c’est les Brokers. Ces derniers sont bien susceptibles, Kurt les a juste envoyés chier une fois ! Il leur souhaite bien du courage de toute façon, il n’a pas de maison, il dort au commissariat !


De retour au poste, 07 tombe justement sur 32, ça tombe bien il a des choses à dire ! (TC 00:38:30) Sans laisser le temps au commandant de répliquer, le lieutenant débite tout son discours et ses explications de pourquoi le SWAT garde ses VSTR et termine en disant qu’il aimerait qu’on arrête de lui casser les couilles ! Et que si 32 lui dit que c’est 45 qui a eu l’idée il va s’énerver parce que 45 vient de le renvoyer vers 32 ! Ce dernier tente de calmer son lieutenant tendu en expliquant que dans l’optique où il n’y a pas d’abus ça devrait aller, il n’a pas vu le SWAT patrouiller en VSTR en-dehors des états d’alerte de toute façon. Donc ça lui va. Mais… Il imagine bien un véhicule entre le RIOT et la VSTR. Et il trouve l’Insurgent un peu trop disproportionné, surtout vu son prix ! Que n’a-t-il pas dit là ! Kurt est certes d’accord, le prix est excessif (3M5$) mais l’Insurgent a le même blindage que le RIOT et il va à peine plus vite. Décidément ils n’arrivent pas à être sur la même longueur d’onde. D’autres agents, dont 45, arrivent ensuite au moment où Kurt rappelle sa règle essentielle : il gère le SWAT, qu’ils arrêtent de lui casser les pieds, surtout qu’il apprend ça par 68 alors qu’il déteste apprendre les choses indirectement. Qu’ils arrêtent de vouloir tout changer et surtout qu’ils viennent le voir directement.

Le débat est clos pour l’instant, 32 et 45 expliquent que c’était juste une idée, rien de vraiment précis…


La discussion se poursuit à l’écart car Kurt a tout de même l’info de son indic à transmettre : les Brokers cherchent à savoir où il habite pour lui faire la peau. Grand bien leur fasse, si à la limite ils pouvaient lui trouver un appart… 

Ceci étant dit, il reprend vite la conversation sur les VSTR, et surtout la sienne. Elle date de son passage au poste de commandant, et lui a été offerte par Parpaing lorsqu’il a posé sa plaque quelques mois pour faire une pause du LSPD. Il n’a donc pas l’intention de la vendre, elle a une valeur sentimentale. Retour donc sur la question globale des VSTR : elle ne sortent que lors des états d’urgence et comme maintenant ce ne sera qu’à partir du niveau 2 ça ne devrait pas poser de problème. Toutes les interventions se font en RIOT, ils ne peuvent juste pas patrouiller avec. Commandant et capitaine sont d’accord avec ça mais proposent tout de même des véhicules en remplacement, pour faire un entre-deux : un Granger ou un Baller par exemple. Mais Kurt le rappelle : il est têtu ! Surtout que là il réagit à chaud, il est tendu parce qu’il apprend ça de la part d’autres personnes et il n’aime pas le changement donc de base il n’est pas très souple sur ce genre de choses. 32 et 45 terminent en expliquant que 68 a peut-être aussi réagit trop vite, ils ne rappellent même plus lui en avoir parlé ! Et ils savent bien qu’ils voient ce genre de choses directement avec lui. Mais le commandant rappelle tout de même une chose, même s’ils le laissent gérer, le SWAT reste une unité du LSPD… Ce à quoi Kurt rétorque : pour l’instant ! Il n’oublie pas son projet d’en faire une unité indépendante. Bonne ambiance. Ceci clôt en tout cas la discussion.


Rien de mieux qu’une réu avec le BE : pour se calmer… ou pas

De retour au bureau du SWAT, 07 fait un rapide débrief de la discussion et classe l’affaire, de toute manière le travail l’appelle, ou plutôt Johnny Colman (16). L’agent du BE souhaite faire le point sur un dossier qui va prochainement tous les occuper. C’est donc dans le bureau du BE que 16, 68 et 07 se retrouvent. Tous ont déjà accès à l’ensemble des éléments du dossier sur l’intranet et l’ont déjà consulté et étudié. Si jamais l’opération fonctionne, a priori ceux qui vont mordre à l’hameçon seraient les Brokers. Ce ne sont donc pas de simples petites frappes. Par contre ce n’est pas pour le jour même, il y a encore le dossier à faire valider et il ne leur reste plus qu’à se coordonner dans les prochains jours. Surtout que Colman imagine que le groupe criminel risque de rester en stand-by quelques jours car des agents en planque ont été repérés. 

Sur un autre sujet, Kurt creuse un peu les relations qu’ont le BE et le commandement. Colman n’a rien à dire sur ce point, ils ne mettent pas le nez dans les affaires du BE, au contraire, il se sent plutôt isolé en ce moment sur son rôle de lead. Et pour l’opération, il ne reste plus qu’à déterminer une date, le SWAT est prêt quand l’unité d’enquête l’est ! Il est d’ailleurs possible qu’elle soit renouvelée, l’activité n’étant a priori pas quotidienne pour les criminels. 16 ajoute quelques informations supplémentaires, notamment le besoin de réactivité. L’occasion parfaite pour utiliser exceptionnellement les VSTR du SWAT… de manière totalement justifiée ! Mais l’opération préparée par le BE semble bien structurée, le SWAT mettra ses moyens en conséquence pour venir en soutien sur l’intervention. Du côté du groupe criminel, le BE a pu observer en général un homme dans une voiture volée qui rentre dans un garage, et autour du soutien en nombre, souvent dans des voitures sportives et par un trajet bien précis. Dernière question pour Kurt : qu’en est-il de l’armement des Brokers ? Pour ce que sait le BE, essentiellement des 9mm, de la cat.2, mais il est possible qu’ils possèdent aussi un pistolet-mitrailleur.


Après une traversée de couloir, retour dans leurs locaux où Parker les attend toujours en travaillant sur ses plans. Les membres d’unité discutent un peu et les interventions du capitaine en radio n’aident pas à détendre 07. Voilà qu’il veut même mettre un plan en place : sympathiser avec tout le commissariat pour être prêt lorsque tous les agents ne supporteront plus le commandement. Comme ça ils se tourneront naturellement vers lui pour lead. Hartmann explique qu’il entend déjà régulièrement des plaintes des agents. L’occasion pour Kurt de revenir sur un épisode qui l’a particulièrement énervé : des tirs signalés par des agents, repris par 45 disant que ce n’était pas la même chose si les tirs étaient sur la voiture et non pas sur eux directement. Pour le capitaine, pas la peine de répliquer si les tirs sont sur les pneus ou la voiture. Sauf que pour le leader SWAT ça ne marche pas comme ça. Cela fait peu de temps depuis la mise en place de ce commandement mais Kurt est déjà exaspéré, et chaque action ou intervention de 45 en radio en parallèle semble remettre de l’huile sur le feu (TC 01:05:28). Mais bon tant pis, il va prendre des vacances, ou laisser faire. Après tout, il faut aussi qu’ils fassent des erreurs pour réaliser que leur méthode n’est pas la bonne. C’est un peu plus compliqué en ce moment car il est pratiquement le seul lieutenant, donc le seul à gueuler, et en tant que lead SWAT, lui et son unité sont un peu des cibles. Mais c’est normal, c’est la situation qui veut ça. Lorsque l’EM sera complet, les choses finiront par se tasser. Même si il commence lui aussi à être las de tout ça. Surtout que décidément, il y a toujours une réflexion de 45 à la radio pour le faire remonter en pression ! (TC 01:13:40) L’espoir maintenant est le futur poste de procureur, qui pourra peut-être réguler tout ça. 

Se mettre en Tango : et tenter de faire le vide

Mais il est temps pour les trois membres SWAT d’arrêter de ruminer dans leur coin, il y a beaucoup d’activité sur le terrain, des go-fasts, des balises EMS qui sonnent devant des quartiers, des agents pointés au 9mm, il est donc temps de s’y mettre.

Le Tango se met en route et suit les instructions de la centrale pour intervenir là où il y a besoin (TC 01:21:30). Ils arrivent sur un contrôle où l’homme explique n’avoir rien fait, n’avoir pointé personne et ne comprend pas qu’on l’arrête. Sans raison supplémentaire de le retenir, les agents laissent l’individu repartir et la patrouille reprend. 


Le départ d’un nouveau go-fast est annoncé, et une fois de plus le véhicule prend la direction du Nord. Après avoir déjà patrouillé non loin de la limite de juridiction entre les deux zones, le lieutenant Schröder veut s’assurer de la conduite à suivre. Car normalement il était clair que les shérifs restaient chez eux, et inversement pour le LSPD. Il appelle donc directement le commandant pour mettre tout ça au clair (TC 01:33:40). Ce dernier confirme, le LSPD n’intervient pas sur la juridiction des shérifs, en cas de course-poursuite ils lâchent, pas la peine de se prendre la tête avec les shérifs imbibés de bière. Mais si ça commence dans le sud et qu’il y a eu par exemple des tirs, là ils peuvent suivre. C’est bien pris pour 07, qui reprend la route et va se positionner pour tenter d’intercepter le véhicule recherché. Sauf qu’en radio, il n’entend pas la même chose de la part de la centrale, qui indique que si ils ont un visuel dans leur juridiction ils peuvent ensuite le suivre, même juste dans le Nord. Il appelle donc immédiatement 66 pour en avoir le cœur net. Celui-ci explique que c’est le commandant qui lui a donné l’autorisation. Ah. Mais en creusant un peu plus, Kurt comprend que 32 a dit la même chose à la centrale, ils peuvent poursuivre le véhicule si il y a eu des tirs en tentant de l’interpeller dans le Sud. Sauf que 66 a omis cette partie dans son call en tant que centrale. Le lieutenant Schröder remet donc les points sur les i, ils aviseront si le véhicule est aperçu mais ils doivent faire attention avec les deux juridictions, inutile de se créer des problèmes. Au moins l’appel a fait du bien au lieutenant, qui a eu l’occasion de raccrocher au nez de 66 (TC 01:37:50). Des fois, il lui en faut peu pour se détendre.


Personne en vue, le Tango redescend donc plus au Sud. 07 tourne et tourne en ville et sur les routes aux alentours, ne sachant même plus où se mettre pour tenter d’intercepter un go-fast et finit par se caler contre un arbre (TC 01:48:30). Rien de bien palpitant pour l’instant, les agents s’amusent un peu en se moquant gentiment des calls radio pour passer le temps ou plus sérieusement en écoutant la nouvelle version du stress test retravaillée par 68. La patrouille reprend, jusqu’à une nouvelle alerte de go-fast, direction cette fois le vignoble. Mais la chance n’est pas de leur côté, ils ne croisent toujours pas le nouveau véhicule recherché, mais c’est une autre unité qui a cette chance. Le Tango se rapproche si besoin, mais le contrôle est déjà bien géré. Tout ça paraît trop facile, 07 soupçonne un leurre mais ne remarque rien de suspect aux alentours. La thèse du leurre semble en tout cas se vérifier car il n’y avait rien dans le véhicule contrôlé, ni sur son conducteur. 

Tant pis, il se met à nouveau dans un coin, on ne sait jamais si il y a une autre alerte et que le véhicule se dirige encore vers le Nord. Un appel de 66 lui permet de partager sa théorie (TC 02:09:30) et d’inciter la centrale à changer légèrement de méthode : pas la peine d’envoyer trop d’unités en même temps pour ne pas passer à côté d’un second véhicule et si il y a besoin de renforts, les agents préviendront.  


Après un passage au UwU, et une tentative de récupérer l’argent de 68 pour payer le futur Insurgent, enfin un peu d’action. Une CP en cours avec un besoin de renfort car les agents sont bientôt à court d’essence (TC 02:24:45). Elle est toutefois de courte durée, le Tango a passé plus de temps à chercher la CP pour raccrocher qu’à poursuivre le véhicule, qui termine sa course dans un poteau (TC 02:25:50). Le contrôle se déroule dans le calme et la discussion, malgré quelques menaces contre 08 apparemment dans le viseur des Vagos, mais il doit être écourté car une prise d’otage est annoncée, avec la confirmation d’un braquage de banque en cours (TC 02:31:10). 07 confirme avec 45 le stand-by du SWAT, qui rentre au poste pour se préparer et être prêt à intervenir.


Le SWAT de sortie : pour un braquage de Diouf

07, 68, 23 et 30 sont en tenue, équipés et en attente dans le blindé (TC 02:36:30). Et ils n’ont pas à attendre longtemps avant que 21, qui est lead op sur l’opération, leur demande de se rapprocher de la banque. Ils se positionnent donc à l’arrière, prêts à entrer en scène si les négociations échouent (TC 02:40:00). Trois individus et un otage sont signalés, a priori les trois veulent partir dès qu’ils auront vidé la banque. 29 en radio demande donc que les agents ne tirent pas pour ne pas mettre la vie de l’otage en danger. Voilà où en sont les négociations. Le SWAT sort tout de même du RIOT pour se rapprocher de la banque et faire une reconnaissance des lieux dès que les braqueurs seront partis (TC 02:42:45).

Et à l’instant où ils se positionnent, les criminels se mettent en route (TC 02:43:00). Le SWAT laisse les autres agents partir à leur poursuite et commence à entrer dans la banque. RAS, les lieux sont vides, à l'exception de l’otage qui est récupérée et sécurisée. L’unité reste à ses côtés pour la prendre en charge, la rassurer et attendre l’arrivée des médecins. Une fois ces derniers sur place, en parallèle les agents poursuivent les braqueurs dans les tunnels du métro, juste en-dessous. Des tirs semblent être échangés, tandis que le SWAT lève le dispositif devant la banque. Avec l’accord du lead op ils se rapprochent donc de l’action en cours.

Et à peine arrivent-ils au niveau du zip donné à une sortie de métro qu’ils cueillent un des individus poursuivis, mis en joue par un agent (TC 02:47:35). L’homme est un peu essoufflé et surprise ! Il s’agit de M. Diouf ! Et visiblement la banque était bien remplie puisqu’il a plus de 200 000$ dans les poches. Malheureusement pour lui le plan a mal tourné puisque la police a réussi à mettre la main sur les trois braqueurs. L’inspiration de “Braquage à l'italienne” était une bonne idée, mais l’exécution ratée, le LSPD a même réussi à retrouver la voiture déposée dans le métro. Le bmx abandonné dans le parking arrière ne faisait par contre pas partie du plan, dommage, il aurait peut-être dû ! Ne perdant pas ses bonnes habitudes, Kurt propose une cigarette à Diouf (TC 02:51:25), qu’il n’a bien sûr toujours pas. De toute façon, l'homme est encore trop essoufflé pour en avoir envie. Il est ensuite confié aux bons soins des agents, tandis que le SWAT remonte dans son RIOT et rentre au poste. L’opération est terminée, sans même un seul tir de leur part.


07 fait un rapide débrief à 30, qui vient de vivre sa première opération. La plus grande difficulté est de comprendre le plan du lead op, il faut pourtant réussir à l’anticiper pour intervenir au mieux. Et pour l’otage la procédure est simple : il faut lui demander de lever les mains, l’escorter dehors, éventuellement la palper et l’accompagner ensuite aux EMS. Une patrouille prend ensuite le relais pour la déposition ou le dépôt de plainte. Ce que Kurt n’a pas pu lui expliquer sur l’instant à cause d’une extinction de voix. Mais Rodney a eu le bon réflexe de sortir l’otage et de le sécuriser, tout en restant prêt à intervenir pour aider ses collègues si besoin.


De retour au poste, 07 voit avec le capitaine Mulberry ce qu’il doit faire de l’argent récupéré qui est donc saisi. Malheureusement le LSPD ne peux pas le récupérer, dommage, ça aurait permis de payer une toute petite partie de l’Insurgent ! Il retrouve ensuite les membres de son unité, et constate que à nouveau, c’est un peu la foire sur la radio. Pourtant les agents savent faire mais ce soir ça ne veut pas. Et en faisant le tour du poste, Kurt remarque un pauvre agent tout seul devant les cellules avec les braqueurs et envoie donc les trois membres du SWAT lui tenir compagnie. Il retrouve ensuite capitaine et commandant et pleine discussion avec 21. Ils évoquent notamment un agent qui a décidé de jouer au héros et de courir vers l’individu qui leur tirait dessus. Bien sûr, l’agent 29 a pris une balle, n’est pas Rambo qui veut. Pendant la discussion, Kurt se débarrasse de son argent récupéré plus tôt en le filant au commandant, et lorsqu’Alex le questionne sur ses décisions en tant que lead op il répond qu’au niveau du SWAT il n’a rien à redire. Le commandant la rassure également, c’est normal de faire des erreurs, il ne faut juste pas les répéter.

Décidément les agents sont tendus ce soir, certains font de la méditation (TC 03:14:10), 21 a vécu sa première action en tant que lead op et est persuadée d’avoir tout raté. Mais la pression est normale la première fois, et tout est allé vite, en plus en se terminant dans le métro sans visibilité, c’est forcément compliqué. 


Le lieutenant Schröder laisse le commandement aller voir les prévenus en interrogatoire et reste tranquillement discuter quelques instants avec 28 et 11, sur les go-fast et le projet de création d’une unité VIR, avant de prendre sa fin de service et d’aller se reposer.



S02 EP14

S02 EP14 - 08/10/23

https://www.twitch.tv/videos/1946009838

https://youtu.be/VhhjNxa37u0?si=lvkofDShhNPzaGdi


Une réunion EM : comme on les aime

Absent pendant quelques jours, le lieutenant Schröder a la mauvaise surprise de voir en prenant son service que la plupart de ses sms ont disparu, ou plutôt les expéditeurs, et se trouve avec une liste interminable, sans aucun nom. Tant pis, il a de toute façon bien d’autres choses à penser, à commencer par une réunion de l’état-major avant le dispatch hebdomadaire.


Il n’y a encore personne dans le bureau, Kurt déambule donc dans les couloirs jusqu’à tomber sur 68, 88 et le commandant. Les membres de l’état-major, accompagnés d’Hartmann en tant que sergent-chef, se dirigent donc vers le bureau du commandement pour débuter la réunion. Le premier point concerne les promotions, peu de monde est concerné ce soir, à la limite Prigent (29), mais il n’a pas été présent cette semaine, et de toute manière le commandant ne le voit pas monter plus haut qu’officier 3 donc rien ne presse. Pour l’instant, peu d’agents se démarquent, 66 sera à promouvoir officier 3 bientôt, il s’est amélioré et a tenu compte des remarques. Le dispatch sera donc sans promotions.

Quelques autres points sur le fonctionnement du garage et des noms des véhicules, désormais disponibles pour tous les agents, avec une évidence : ranger les voitures avec le plein et en bon état ! Une remontée un peu plus inquiétante : les agents parlent trop, notamment sur le parking du Otto’s, mais il est difficile d’agir sans nom ou matricule. Pour le fonctionnement des radios : il faut que les agents intègrent bien le fonctionnement des radios secondaires, dès qu’il y a une course-poursuite, les agents passent sur la fréquence +1, +2, etc. pour que les autres restent libres pour la centrale et les appels d’urgence. Ce qui évite aussi les maux de tête de fin de soirée. Le commandant envisage aussi un simple rappel à ses unités : ils travaillent pour que tous soient irréprochables au quotidien, cela implique donc de ne pas laisser passer les insultes, menaces ou agressions sur agents. Tolérance zéro. Le respect marche dans les deux sens.

Le capitaine rapporte lui une montée des piratages d’ATM constatés par les agents, qui ne savent plus comment agir face à cette situation. L’état-major n’est pas pour une fouille des véhicules systématiques à la recherche des cartes de piratage, mais si ils attrapent plusieurs fois la même personne en flagrant délit sur une même journée, la question peut se poser. Et que les agents n’hésitent pas à augmenter les amendes également en cas de récidive. Avec cette remontée, le sujet des casiers se pose aussi : il faut rappeler aux agents d’être vigilants et rigoureux sur les mentions et les termes utilisés.

Du côté du BE, qui a fait des remontées sur des champs de drogue, le commandant souhaite mettre en place des opérations de temps en temps en hélicoptère, à la recherche de ces champs. Et si ils en trouvent, ils les crament ! Ça fera du travail pour l’unité anti-gang. Charlène Lebrun (88), lieutenant BE, approuve, et pousse aussi à des patrouilles régulières sur les routes de montagne avec des véhicules adaptés. Et justement, 68 a déjà proposé avec le Caracara. En parlant de patrouille, 45 évoque la mise en place d’une ou deux Adam qui feraient par exemple le tour des points d’intérêt civils et criminels, une patrouille de proximité. Et pourquoi pas jusqu’aux champs du UwU si les shérifs veulent bien.

Autre remontée de Lebrun : les plaintes ! Les agents ne sont pas autonomes, sans directives claires sur quoi dire et quoi faire, rien n’avance. Sauf qu’au niveau d’un officier 3 ça ne passe pas. Tous sont d’accord pour remettre en place ce qu’ils faisaient avec Parpaing : si les plaintes ne sont pas gérées correctement et que l’agent n’est pas autonome, il ne monte pas en grade. 88 acte aussi la fin des sergents référents, un système qui ne fonctionne pas. Tous pourront être à l’appui, quitte à aider des officiers 1 ou même des cadets.


En parlant de cadets, les recrutements vont reprendre. Les vannes sont réouvertes, en veillant toutefois à ne pas surcharger les agents avec les formations. Ne pas les surcharger, certes, mais ils doivent tout de même faire leur part, et a priori certains ne laissent pas les petits nouveaux conduire, les laissant tout le temps à la radio. Voilà un nouveau rappel à faire. Les points divers s’enchaînent, un cadet qui doit repasser son test psy PPA pour la deuxième fois (deuxième et dernier essai), les agents qui passent beaucoup de temps en Lincoln alors qu’il y a du monde à former, les centrales qui doivent veiller à ne pas trop former d’Adam cadet-officier 1, des remarques positives ou négatives sur quelques agents en particulier, la fin des visites médicales (pas le temps). Bref. Rien de grave mais beaucoup de détails à évoquer en dispatch. 


Il est justement temps de se diriger vers la salle dédiée, avec beaucoup, beaucoup d’entrain de la part du lieutenant Schröder… Avant que tous n’arrivent, il fait d’ailleurs une remarque à Hartmann : c’est non pour les clés de la VSTR. En effet, 68 les a données à Molly, comme celles des autres véhicules accessibles à tous, sauf que Kurt refuse catégoriquement. Surtout que 68 sait bien que le contexte reste tendu avec le commandement sur ce sujet, alors autant ne pas donner de bâton pour se faire battre. Il peut faire l’échange avec 21 uniquement, mais les clés ne doivent pas être disponibles pour tout le monde. 

La salle étant désormais bien remplie, le commandant Zepel prend la parole (TC 00:50:00) pour faire le point sur tout ce qui a été évoqué précédemment. Les nouvelles informations à communiquer, les nouvelles consignes, et les rappels standards d’usage. Et lorsque toutes les questions ont été posées et que plus personne n’a plus rien à dire : rompez !

Profitant de la confusion en sortie de dispatch, et de la proximité du lieutenant Schröder, 66 saute sur l’occasion ! Il l’arrête pour lui demander s’il prévoit bientôt de rouvrir les vannes du recrutement SWAT. 07 ne peut qu’être honnête : le temps de titulariser les nouveaux arrivants, il restera deux places disponibles, donc sans doute prochainement.  


D’ailleurs, sentant le vent tourner à cette heure où les malandrins s’échauffent, il prend une courte pause, juste au moment où un message entreprise fait sonner son téléphone : “coup de feu”.


Une prise d’otage sur une banque : Le SWAT est de sortie

Le timing est parfait, à peine a-t-il le temps de revenir que cette fois à la radio il entend que 86 et son partenaire se font braquer (TC 01:04:00). Une demande de renfort est demandé, les preneurs d’otage semblant partir sur un braquage de banque. Kurt rassemble ses unités SWAT (trois au total), afin que tous se tiennent prêts. En radio, les calls s'enchaînent sur la mise en place du dispositif, avant l’arrivée de du groupe d’intervention. Des informations qui parviennent, le trio apprend que deux groupes qui souhaitaient s’attaquer au convoi de fond se retrouvent pris en otage dans la banque. De quoi presque commencer une bonne blague.

Enfin le SWAT est appelé. Le Riot démarre avec un fond sonore une petite chanson composée spécialement par 86 (TC 01:14:20). Presque de quoi devenir un hymne.
Le groupe se positionne, comme demandé à l’arrière de la banque, avant de se faufiler dans le parking, afin d’observer au mieux la scène. A l'affût du moindre mouvement, le trio attend. Enfin l’ordre de se rapprocher est lancé. Les hommes du SWAT se positionnent alors sur le toit au-dessus de la banque, dans le plus grand des silences (TC 01:23:35). De cette place, ils ont une vue imparable sur les braqueurs et peuvent même, par moment, entendre les conversations de ces derniers. En parallèle, la négociation se poursuit et un otage semble avoir été libéré.
Toujours concentrés et attentifs, les trois hommes veillent, main sur la gâchette, prêt à intervenir à tout moment, alors que le négociateur semble transmettre une mallette pleine de billets. Étrange se dit  Kurt mais heureusement pour lui, 44, le lead OP de ce soir, annonce que les unités se tiennent prêtes à agir, les braqueurs étant sur le point de partir. La tension est palpable. Des bruits de moteurs, des sirènes, c’est le top (TC 01:41:35). L’unité SWAT se dépêche de descendre au niveau de l’entrée pour vérifier la banque. RAS dans toutes les salles, si ce n’est que l’otage était déjà auprès du capitaine. Encore une chose incompréhensible…


Après avoir vérifié que l’otage était bien en sécurité, il est demandé au SWAT de venir prêter main forte sur les nombreuses courses poursuite. Le temps de changer de véhicule et voilà le trio, toujours armé, sur les routes de Los Santos (TC 01:45:30). Malheureusement après juste quelques tours et détours, et malgré une voiture encore en fuite, l’ordre est donné. l'opération vient de se terminer. C’est donc avec regret que les agents effectuent un 10.19, non sans quelques derniers passages dans les parkings. 



Rentrer au poste : et discuter RH avec 44, puis 04

Le temps de ranger l’équipement, Kurt retrouve 44, dans le hall du poste (TC 01:58:25). Alors que ce dernier, dans un sourire ironise sur l’OP, de son côté 07 temporise. Tant qu’il est en tenue à l’extérieur, tout lui va. Par contre, il est vrai que la présence du capitaine sur les lieux au moment du top inter, était un peu étrange car le temps que le SWAT arrive, le gradé, en première ligne aurait pu se faire descendre. Cela aurait certes été pratique mais bon, ce n’était pas nécessaire. Kazenko ne retient pas le rire qui lui bloquait la gorge. Il remarque que ce soir, les filtres n’existent plus. L’autre interrogation quant aux événements de la soirée se porte sur la rançon. Pourquoi donner des sous pour un otage, alors que les individus se trouvent déjà dans une banque, en plein braquage. Il faut croire que les voies des négociateurs sont parfois incompréhensibles.
Profitant d’avoir le lieutenant sous la main, 44 lui demande alors si la rumeur sur la retraite de 68 est vraie. Elle l’est mais uniquement pour le SWAT. Hartmann souhaite passer lieutenant, or il ne peut y en avoir deux dans l’unité. Il restera cependant présent pour les formations et autres joyeusetés. Entendant que par conséquent, une place se libère, Kazenko annonce sa candidature pour l’unité. Hélas pour lui, Schröder a déjà prévu de nommer 21 comme adjointe. Il faudra voir si le poste lui convient par contre, il peut revenir sans problème, si ce n’est qu’il ne pourra pas passer lieutenant. En effet, un gradé est chargé d’une unité. Cela permet d’équilibrer l’état major au niveau des voix. 44 le prévient qu’il comprend et comme la spécialité VIR n’est pas ce qu’il espérait, il souhaite revenir SWAT. Reste plus qu’à repasser une ou deux qualif, histoire de. 


Sur ces dires, les deux hommes retrouvent leur collègues pour les dernières nouvelles. Kurt en profite pour prévenir 86 - Stan Moore, de la réintégration de 44 (TC 02:10:25). Il le charge de lui faire repasser les tests nécessaires (dont le sport) avant de le remettre sur les listes SWAT. Au moment où le lieutenant rejoint le groupe, une alarme sonne: un civil se ferait braquer au Life. Laissant Kurt un peu désœuvré face à la blessée du soir, 11. La conversation était très froide entre les deux agents, la jeune femme préfère rentrer se reposer. 07 en profite pour se rendre en cellule voir si son aide est nécessaire.
Sur le chemin, il se fait interpeller par deux collègues, 04 et 86, qui souhaitent remonter une problématique sur les gardes à vue (TC 02:22:40). Il semblerait que les manières de fonctionner sur les saisies ne soient pas les mêmes. En effet, lors de la mise en cellule, certains laisseraient des objets pouvant être dangereux pour les prévenus (tel que les jerricans), alors que d’autres non. Cela entraîne une confusion auprès des cadets. Il faudrait donc faire une liste d'objets autorisés et ceux interdits en cellule. C’est bien pris pour 07 qui promet de faire remonter la question.
Alors que Stan s’éclipse à la suite d'un appel, la conversation dévie avec Avel sur l’attitude d’Emily Hawkins, alias 11 (TC 02:25:35). Sa manie de ne vouloir qu'être en patrouille agace au lieu de gérer l’unité antigang. Pour Schröder, il ne faut pas oublier qu’étant en colocation avec 45, elle est un peu protégée. Le capitaine n'étant pas connu pour ses compromis et de ses décisions claires. Le lieutenant conseille au Sergent de prendre la place qu’il souhaite dans l’unité antigang. C’est en soudant ses hommes qu’il pourra tenir tête au Capitaine lorsque ce dernier lui tombera dessus, si cela ne tourne pas comme lui le souhaite. Il donne alors l’exemple de sa propre unité qui le suivra quoi qu’il arrive. Mais il comprend bien la position de son interlocuteur, qu’il n’envie pas. Il faut qu’il aille parler à Frank Zepel pour aplanir le fait que 45 en plus d’être Capitaine se comporte comme le numéro 1 de l’unité antigang, empêchant 04 de faire ce qu’il souhaite en le désignant numéro 2, avec 11 également. Ce co-lead ne peut pas fonctionner. D’ailleurs, en parlant le 32, il semble être présent ce soir, autant qu’il en profite pour mettre maintenant les pieds dans le plat. Sur ces mots, Avel prend son courage à deux mains et part en direction du Commandant.


Ne sachant que faire, après avoir papillonné de groupe en groupe (ne comprenant pas forcément les conversations) et ne voulant pas repartir sur le terrain, 07 préfère prendre un 10.7 pour la soirée



S02 EP15

S02 EP15 - 18/10/23

https://www.twitch.tv/videos/1954265581
https://youtu.be/kjazi-xN95E?si=Fa5XroJ-LaC5SF9E



A peine de retour : et déjà à régler les inaptitudes des uns et des autres

Bien qu’il soit moins présent ces derniers temps, le lieutenant Schröder ne se sépare pas pour autant de son pyjama préféré. C’est donc toujours en tenue SWAT qu’il prend son service ce soir. Et rien de tel pour commencer qu’une conversation SMS avec un membre des Brokers, Syv, qui a des reproches à transmettre sur l’attitude du LSPD ! 

La discussion s’engage et Kurt rejoint les quelques agents présents sur le parking, en commençant par souhaiter un joyeux anniversaire en retard à Trapu. A priori la journée a déjà été riche en rebondissements, une histoire de lance-roquette et d'Insurgent… Au grand regret du leader SWAT, ce n’était pas son Insurgent ! Mais visiblement les agents qui n’étaient pas présents ont eu des retours plutôt négatifs, Emily Hawkins (11) évoque certains qui auraient tenté de taser les pneus de ces véhicules, ou même de rester regarder ce qu’il se passait. Kurt prend les choses avec philosophie, c’est juste qu’ils ont recruté quelques cow-boys ! Manque de pot, dans le tas il y a un membre du SWAT, Rodney Graves (30) ! Bon, peut-être plus pour très longtemps. Heureusement, tous arrivent encore à en rire, mais une discussion sérieuse est bel et bien prévue. Pas de Rambo au LSPD, encore moins au SWAT. En tout cas, la ville s’agite. Une opération a eu lieu la veille chez les Verts, sans intervention du SWAT toutefois, il n’y avait pas grand monde sur place ; mais il y aura d’autres occasions.


En parlant de cow-boys, Kurt prend Alex (21) à part pour discuter avec sa seconde de la sanction à prendre concernant 30 (TC 00:11:45). 21 hésite, les problèmes qu’a 30 sont sur le terrain, au niveau SWAT elle n’a rien à lui reprocher, mais le leader rappelle une des règles de base de l’unité : ne pas se faire remarquer. Autant dire que pour Rodney, c’est raté. Surtout qu’il n’a, a priori, pas écouté l’ordre de 21 sur le terrain, qu’est-ce que ça donnera la prochaine fois sur une OP SWAT ? Alex propose donc un avertissement, avec la menace d’être viré si cela recommence. C’est trop léger pour Kurt. Il veut lui une mise à pied d’une semaine. Pas de cow-boy, et s’il n’est pas content ou ne comprend pas, la porte est grande ouverte. A la suite de cette semaine, ils referont le point avec lui pour s’assurer que les choses sont bien acquises. 


Tandis que 21 se prépare à partir en réunion, 07 retourne vers le groupe d’agents sur le parking (TC 00:17:30). Il tente d’ailleurs de faire un échange de pokémon avec l’anti-gang en proposant 30 à Emily Hawkins, et même avec 08 en plus, prix d’ami, mais la jeune femme ne veut pas récupérer les membres SWAT que Kurt envisage de virer, pas besoin de problèmes supplémentaires. Au moins il arrive à négocier le changement de couleur du SWAT sur le dispatch…

Voilà que 66 arrive lui aussi sur le parking (TC 00:22:55), le lieutenant saute donc sur l’occasion pour lui demander si brûler une fois ne lui a pas suffit ! Pourquoi essaie-t-il alors de surveiller des Insurgents avec une VIR ? Interloqué et pris de court face à la question, 66 se défend tant bien que mal et tente une justification. Il n’a pas voulu la situation de l’après-midi, il n’avait rien demandé ! Inflexible, Kurt n’en croit pas un mot, il clôt donc la conversation en demandant à l’officier 3 de réfléchir de son côté, et de revenir lui en parler ensuite.

Les occasions pour Kurt de monter en pression ne manquent pas ce soir, voilà que c’est au tour de 44 de venir, pour reprocher aux agents présents de ne pas avoir bougé lors de sa demande de renforts, de la colère dans la voix (TC 00:24:40). Sentant Kazenko s’énerver, alors qu’il hausse le ton et continue ses reproches, le lieutenant Schröder le calme tout de suite et lui rappelle qu’il ne reste que sergent. L’ambiance est joyeuse ce soir ! Une fois 44 parti, tous en discutent, personne n’a entendu de 10-24 à la radio, sauf un cadet, qui n’en a entendu que la moitié donc sans certitude. En tout cas ce soir, des points vont devoir être remis sur des i, des rappels vont devoir être faits car la situation de l’après-midi est inadmissible. Lexie Frost (13) qui les rejoint, confirme que 66 n’a pas écouté ses demandes de reculer face aux Insurgents, qu’elle a dû s'y reprendre à plusieurs fois pour qu’il l’écoute, bien que le discours de 66 ne soit pas le même face au lieutenant. On verra lorsqu’il aura réfléchi !

Tout ceci interroge Kurt, ne serait-ce pas la pleine lune ce soir ? Qu’il se prépare en conséquence pour affronter la soirée ! Là il est au taquet, juste après la boxe, mais il peut aussi se détendre, et visiblement la pleine lune ce n’est pas pour tout de suite. Pourtant tout le pousse à rester à fond, rien qu’à la radio c’est encore le cirque. 


Avec l’arrivée de Jacques Roche (28), c’est l’occasion de faire un nouveau résumé des événements de la journée (TC 00:31:30). Pour faire simple, il y a une villa dans laquelle il ne faut pas rentrer, et deux patrouilles sont allées sur les lieux, pour faire face à deux Insurgents et un lance-roquette ! Malheureusement pour 28, la VIR est impliquée, 66 et 13 étaient dans la Coquette, malgré les avertissements de 13, 66 a voulu jouer au cow-boy, et 30 et 24 étaient présents aussi. Kurt n’a pas tous les détails, mais lui et 28 s’accordent pour se dire que les agents ont surtout de la chance d’être encore en vie. Il prévient tout de même Jacques, 66 risque d’être un peu fermé si il veut en discuter avec lui.


Enfin, les choses se calment, les agents partent au fur et à mesure en patrouille ou vaquent à leurs occupations respectives, laissant 23 et 07 seuls sur le parking. Les deux hommes discutent un peu, se demandant quelle mouche les a tous piqués ce soir, tout le monde semble tendu. 23 était d’ailleurs avec 44 lorsqu’il a eu besoin de renforts, menacé par des criminels qui ont fini par lui mettre un coup de batte, 23 a tiré sur la voiture des malandrins pour les empêcher de fuir et le capitaine veut justement le voir à ce sujet. En espérant que ce ne sera pas pour lui passer un savon.

La conversation est toutefois de courte durée, un certain M. Moreno est à l’accueil et souhaite voir un haut gradé au sujet d’une discussion qu’il a eu plus tôt avec un off. 2 et un cadet, et le lieutenant Schröder est le seul disponible.


Appréhender au mieux la situation : avec le témoignage d’un Brokers

Kurt rejoint donc le membre des Brokers à l’accueil du PdP (TC 00:39:25). Il veut discuter de la soirée de la veille. Comme le lieutenant a pu le voir, il n’y a pas eu de problème avec le SWAT, ils les ont laissé passer et travailler sans soucis, mais que le capitaine vienne sur les docks, vu la façon dont ça s’est passé, c’est un problème. Moreno explique qu’il est venu lui demander ce qu’il faisait là, et que 45 s’est immédiatement braqué en répondant agressivement. Il s’interroge donc, est-il possible de discuter avec lui ? 

Voilà une question compliquée pour Kurt, qui doit naviguer pour ne pas trop en dire sur ce qu’il pense réellement, tout en tenant compte un minimum des remarques du criminel. Il aimerait bien lui aussi que ce soit possible de discuter avec le commandement, mais le Brokers n’est pas le premier à faire ces remontées. Moreno trouve que le capitaine réagit plus comme un criminel que comme un flic, le dialogue est donc compliqué. Kurt reconnaît qu’il y a des problèmes, de toute façon il les voit, c’est pour ça qu’il tente de se placer en intermédiaire et leur a tendu la main lors d’un contrôle. Cela pour éviter l’arrêt de toute discussion entre les deux factions. Il explique donc qu’il n’a pas eu les mêmes remontées de son côté, en SWAT tout s’est bien passé, 21 est allée discuter avec les Brokers sur son ordre, sans les braquer, la discussion a été cordiale et le groupe a obtempéré et quitté les lieux. Soucieux de maintenir cette relation, Kurt prend la peine de les remercier. Et comme il l’a déjà expliqué à Syv, lui a eu comme écho que les Brokers ont tiré sur un véhicule de police et que le LSPD a riposté. Moreno confirme ce que Syv avait dit plus tôt, il y a eu juste un tir en l’air de leur part, une sommation de leur chef. Ils passent peut-être parfois pour des cons, mais ils ne tirent pas gratuitement.


C’est bien pris pour Kurt, qui a donc une autre version désormais que celle donnée par le LSPD, où 45 a expliqué qu’il s’est fait tirer dessus. Il ajoute, sans trop de détails, que la veille ils étaient sur une opération globale, qui touchait tous les gangs et passaient devant toutes les zones. Manque de pot pour les Brokers, eux sont tombés sur la patrouille de 45. Cela n’est pas pour autant une excuse, et 07 regrette le double-discours du commandement, qui est souvent “faites ce que je dis, mais pas ce que je fais”. Il conseille en tout cas de privilégier les échanges avec le commandant, seul, sans 45. 32 sera peut-être plus à l’écoute. De toute façon le dialogue avec le capitaine semble rompu. Pour les Brokers, c’est un manque de respect. Ce que comprend Kurt. Il a lui aussi du mal avec le commandement, qui doit trouver un juste milieu, soit c’est pas assez, soit c’est trop, ce qui frustre tout le monde. Il essaie donc de se placer pour arrondir les angles, mais il a un pouvoir d’action limité. Si 45 provoque trop, il finira par se faire attraper, et Kurt ne pourra pas l’empêcher. 

Moreno redonne les contours de l’action un peu plus en détail : lui et une autre membre ont vu le Caracara passer devant chez eux, il a donc foncé à sa suite, le véhicule s’est arrêté, 45 l’a braqué et menacé. Il est donc remonté dans sa voiture, puis a encore un peu suivi, de loin, avant de rentrer. Il ne s’est rien passé de plus. C’est lorsque le Caracara est passé sur les docks que leur boss a tiré trois coups de sommation en l’air. Certes le capitaine n’a pas de compte à leur rendre, mais les Brokers veulent quand même comprendre ce qu’il se passe lorsque le LSPD passe chez eux. Le lieutenant tique un peu en entendant ces paroles et fait un rappel : sans prendre la défense de 45, les docks n’appartiennent pas au gang. Si ils continuent à raisonner de cette façon, ils participent aussi à la détermination de 45, qui peut décider à tout moment de faire intervenir le SWAT pour les dégager. Personnellement, il s’en fout de l'endroit où ils s’installent, il veut juste ne pas être suivi lorsqu’il passe en SWAT. Parce que dans ce cas les procédures ne sont pas les mêmes qu’avec une simple voiture de police. 


Dans tous les cas, dans le futur il sera sans doute plus simple de faire des remontées de ce type à un procureur où à son intermédiaire. 07, en tant que lieutenant a un pouvoir limité à son échelle. Il peut en toucher un mot au procureur s’il le croise, mais de manière générale, il peut surtout arrondir les angles, au maximum. Il est dans tous les cas disponible pour discuter, du moment qu’on ne le prend pas pour un con. Il essaye aussi de faire changer les choses en interne, mais il est face à deux têtes de mule et ça risque d’être difficile. Il ne peut pas se permettre non plus d’aller contre eux en permanence. Moreno ajoute qu’il a été un peu choqué lorsque 21 lui a répondu, alors qu’il se plaignait de 45, “vous connaissez non ?”. Cela n’étonne aucunement Kurt, comme il l’a dit, ce n’est une surprise pour personne, les Brokers ne sont pas les seuls à se plaindre. Et si tous finissent par vouloir s’en prendre à lui, il ne sera pas étonné non plus. Car il est bien d’accord, les efforts ne peuvent pas être que dans un sens. Actuellement les Brokers sont dans le viseur du LSPD, car les autres groupes sont moins visibles, il y a peu c’était les Verts. Le mieux serait que les FdO soient exemplaires, et que les groupes se tapent dessus entre eux. Mais en ce moment les yeux sont sur les Brokers, car ils sont visibles, et qu’il y a un problème avec le LSPD. Mais si 45 en rajoute une couche, il n’est plus possible d’arrondir les angles éternellement. Et si il y a une réponse, il l’aura cherché. Du moins c’est sa vision des choses. Lui aussi a connu des conflits, mais ils ont toujours réussi à discuter au final. Si il n’y en a pas, il y a agression en retour. La loi de la rue, il la connaît, il en vient. Et avec le capitaine c’est difficile, même en interne il ne fait pas l’unanimité, il manque peut-être de recul sur les choses, mais pour l’instant c’est comme ça. Moreno ajoute que la différence avec Kurt vient peut-être aussi de la rigueur du SWAT, et effectivement, la rigueur, le sang-froid et l’humilité sont indispensables dans l’unité. Mais ce n’est pas forcément le cas au sein même du LSPD. Pour résumer : c’est compliqué. Il ne peut qu’essayer d’inculquer ces valeurs aux agents.


Moreno termine en transmettant la réalité du terrain : 45 est à deux doigts de se faire attraper. Le lieutenant acquiesce, il sait bien comment les choses fonctionnent. Si des agents sont irrespectueux sur un contrôle, il fait un rappel à l’ordre. Mais dans ce cas-là, il ne peut pas faire plus. Il ne veut pas savoir si les Brokers veulent faire une action, de son point de vue l’agent l’aura mérité si la discussion est fermée. Il rappelle qu’elle est toujours à privilégier, il fait son possible pour que les FdO soient corrects en toutes circonstances, mais il sait qu’il y a des limites. Et visiblement elles sont en passe d’être franchies pour le gang. Même si les Brokers font la distinction entre les actions d’un seul agent et celles de tout le LSPD, il devient difficile de faire la part des choses. La discussion se conclut par l’assurance du lieutenant Schröder qu’il est toujours disponible pour un dialogue avec les gangs, et qu’il oeuvre à ce que les agents sous ses ordres soient exemplaires, mais il ne peut pas faire de miracle avec le commandement.


Le retour du rôle : de RH

L’avenir s’annonce pour l’instant compliqué entre le LSPD et les gangs de Los Santos, mais il faut aussi s’occuper de l’interne. Kurt commence donc à rédiger un sms à Alexander Kazenko (44) pour revenir sur son moment de colère un peu plus tôt. Il appelle en parallèle Stan Moore (86) pour faire le point sur le SWAT, avant que ce dernier ne le rejoigne sur le parking. Un entraînement était prévu ce soir mais 07 préfère prioriser les tests d’entrée de 99 et 04, surtout qu’il sera absent quelques jours. La grosse session de formation est donc reportée à la fin de la semaine, après le dispatch hebdomadaire. Ils envisagent également dans un futur proche une grosse formation/mise en situation pour tous, lead-op, négociateur, SWAT, sans prévenir la plupart des agents pour un entraînement efficace. Reste à voir avec l’état-major pour trouver des dates. 


Kurt n’a pas encore envoyé son message à Alexander, mais comme celui-ci est aussi sur le parking, une discussion en face à face sera plus efficace (TC 01:12:40) Le lieutenant explique donc que personne n’a compris son énervement, tout simplement car ses 10-24 n’ont pas été entendus en radio. Même lui n’a rien entendu, et si ça avait été le cas, il serait bien sûr intervenu tout de suite, ou aurait envoyé les autres agents à la rescousse. C’est bien pris pour 44, dommage pour ce loupé. Kurt en profite pour le tenir informé des dernières nouveautés côté SWAT : 99 et 04 souhaitent revenir au sein de l’unité, ils vont donc repasser les tests. Une version allégée, comme lorsque lui est revenu. Les recrutements seront ensuite gelés, normalement avec ces retours les effectifs seront plus souvent présents. 

44 lui apprend que 66 va prendre un blâme suite à la situation de l’après-midi, ainsi que 30. L’occasion pour Kurt d’expliquer que Rodney va aussi être mis à pied du SWAT. Et si au final ça ne marche pas, tant pis, next. 07 ne va pas s'embarrasser d’états d’âmes. Il y a toujours d’autres agents intéressés. En parlant d’agents, Kurt doit aussi discuter avec 23, avec 30, faire passer les tests aux deux anciens, il y a du travail au poste ! Surtout que ce soir il n’a pas envie d’aller sur le terrain. Au pire il prendra le soleil sur le toit ! Et vu que Kazenko a fini dans un fauteuil, c’est peut-être une bonne idée de rester un peu au PdP. 

44 explique donc avoir eu une altercation avec un groupe installé du côté de go postal, qui a voulu bloquer le LSPD. Sauf qu’ils ne sont pas chez eux. Pour une fois, 45 est intervenu dans le sens de l’agent, l’homme véhément a été embarqué, et le capitaine a bien rappelé que les lieux n’appartiennent pas au gang. Si les FdO veulent passer, ils passent.

Les deux hommes discutent encore un peu, en parallèle Kurt discute avec 21 par sms. La jeune femme est avec 30 pour son blâme, en tant que sergent-chef, Kurt lui propose donc de lui annoncer aussi sa mise à pied, en tant que seconde du SWAT. Autant tout faire d’un coup.


Kazenko part rejoindre la réunion des sergents, Kurt, toujours dans le parking, retrouve donc deux autres agents. Une fois que tous sont repartis sur le terrain, 07 se retrouve seul et décide d’enfin quitter son parking. Une bonne idée car il remarque au passage une personne qui attend à l’accueil, sans doute depuis un moment (TC 01:27:45). La jeune femme souhaite simplement un extrait de casier judiciaire, que le lieutenant lui transmet rapidement, avant de reprendre son exploration des couloirs du PdP. Voyant les sms d’Alex Gordon expliquant que 30 est une tête de mule, et qu’il n’accepte pas son blâme, il décide de se rapprocher de la réunion en cours.


Faire de la pédagogie : encore et encore

Et justement sur le chemin, il tombe sur Mike Wells (66) qui semble avoir réfléchi, ou du moins vouloir discuter avec son lieutenant (TC 01:36:45). Enfin presque, puisqu’il commence par une plainte : il n’a pas aimé que Kurt lui tombe dessus de cette manière, devant tout le monde. Il accepte et écoute les critiques, mais pas de se faire remonter les bretelles devant d’autres agents. Il a été en plus pris de court par le sujet, ne comprenant pas les reproches par rapport à la situation qu’il a vécu plus tôt. Kurt n’ajoute rien sur ce point, simplement que selon 13 elle a dû lui demander plusieurs fois de lâcher avant qu’il agisse. Même s’ils ont le même grade, elle n’a normalement pas besoin de lui demander 3 fois. Ils sont en Coquette, face à deux Insurgents, à quel moment 66 arrive à se dire “je vais rester pour les spotter” ? Surtout qu’il y avait aussi un lance-roquette a priori. 07 comprend que 66 n’a sans doute pas eu beaucoup de reconnaissance de la hiérarchie, il a pourtant pris la peine de le soutenir, de lui envoyer un message et pourtant, il y a encore des problèmes dans son attitude et ses décisions. C’est pour ces raisons qu’il lui est tombé dessus devant les autres, et encore il a eu de la chance, il avait prévu de le faire au dispatch ! Il y aura de toute façon un rappel pour tous, mais qu’il n’oublie pas qu’il est déjà passé près de la mort une fois, et une deuxième cet après-midi. Le lieutenant résume la situation simplement : 66 est un bon élément, qu’il arrête d’être con ! Parce que dans le cas contraire, il finira six pieds sous terre.

Il a eu une sanction, pas de rétrogradation, qu’il le prenne comme une leçon pour avancer. Il assume, et il avance. Tout n’est pas terminé pour autant, Kurt lui-même en a fait des conneries ! Il a eu des sanctions, a été rétrogradé et il a avancé. Il est maintenant lieutenant, il a même tenu le poste de commandant. 07 veut simplement qu’il prenne conscience qu’il est passé pas loin de la mort, qu’il ouvre les yeux et rectifie les choses. Il comprend que les agents voulaient apporter leur aide à l’autre patrouille mais face à deux Insurgents, il faut aussi être réaliste. 66 demande des conseils à 07, comment réagir alors dans cette situation où d’autres agents sont pointés ? Kurt explique les choses par une mise en scène équivalente : des collègues pointés par des AK-47. Est-ce que venir avec plusieurs patrouilles autour ce ne serait pas ajouter de l’huile sur le feu et en conséquence tendre encore plus les criminels ? Ce ne sont pas de simples membres de gang, l’armement est conséquent, ce ne sont pas les Verts avec des 9mm. Le risque, si eux viennent, c’est que d’autres suivent, pour terminer sur une escalade de violence incontrôlable. Surtout que le problème de départ, c’est des agents, donc le LSPD, qui entrent dans une propriété privée. 

Visiblement calmé, 66 remercie 07 pour son honnêteté. Ce dernier explique une dernière fois qu’il ne cherche pas à lui casser les pieds par plaisir, il veut simplemement lui faire prendre conscience que oui, il a fait de la merde, mais il assume, et il avance. Et il arrête de bouder !


Les discussions ne sont pas terminées pour autant pour Kurt. Car en arrivant devant la salle où se tient la réunion des sergents, il tombe sur un Rodney (30) très bougon (TC 01:45:50). Kurt se renseigne sur ce qui a été annoncé à 30, l’homme a bien eu son blâme, et sa mise à pied du SWAT, ce qui explique sans doute son humeur. Le lieutenant tente donc sa nouvelle spécialité : arrondir les angles. Il lui conseille de ne pas voir ça comme une sanction dure, il n’est pas le premier membre SWAT à en prendre une, mais ils se doivent d’être exemplaires. Il comprend que cela ne soit pas facile à digérer, mais il vaut mieux pour lui qu’il ne se brusque pas et ils rediscuteront dans une semaine. Il reste un bon agent, il faut relativiser et comme pour 66 : il a fait de la merde, il assume et il avance !

30 entend les conseils, mais a du mal à digérer les reproches alors que de son côté il a plutôt essayé de faire comprendre aux autres qu’ils devaient fuir. Leurs collègues arrivaient de loin, et alors que l’Adam de 30 était en train de partir, en voyant les autres agents aller sur les lieux, ils ont fait demi-tour pour les rejoindre et c’est là qu’ils ont eu des soucis. Kurt explique ce que lui sait, 30 et 24 étaient en Adam et sont rentrés dans une propriété privée, ce qui a provoqué la sortie des deux Insurgents. Il imagine qu’un call radio a été fait, que la VIR est arrivée, sauf qu’en même temps on leur a demandé de partir, ce qu’ils ont fait, avant de faire demi-tour et que tout dégénère. Il rassure 30, tous les agents impliqués ont pris une sanction, pour l’exemple, et un rappel sera fait en dispatch sur les propriétés privées. Mais il fait la morale à 30, comme pour 66. Il lui explique la même chose : dans ce cas, l’armement n’est pas le même, le type de criminalité non plus, le danger était grand. 30 ne comprend qu’on lui reproche ça, alors qu’il a justement essayé de pousser les autres à partir. Encore une fois, tout le monde n’a pas forcément les mêmes versions, ou en entier, car pour Kurt, l’Adam n’aurait pas réagi aux ordres de 21. Mais lui n’était pas sur place, donc ne peut que se baser sur les retours. Dans tous les cas, dans une semaine ils refont le point, un blâme ou une mise à pied ce n’est pas la fin. Il veut juste faire comprendre à 30 qu’il se doit d’être irréprochable. Comme il l’a expliqué à 66, lui aussi a eu des sanctions, pour des bavures ! Il a assumé, a pris sa sanction, et voilà. C’est pareil dans ce cas. Maintenant, ils avancent. 

C’est bien pris pour Rodney, qui ajoute juste une chose : peut-être communiquer un peu plus sur ce type de propriété privée ! 


Penser enfin au SWAT : avec un peu d’entrainement

Il va enfin être temps de s’occuper des affaires du SWAT ! Avel Grealish (04) sort de réunion (TC 01:57:40) Kurt lui explique donc la suite. Il ne s’oppose pas au retour de 04, à la seule condition qu’il suive ses décisions, ou celles de 21. Il connaît le fonctionnement du SWAT : tout le monde avance dans le même sens. C’est leur point fort, ils forment une unité soudée et se soutiennent. Pour l’aspect pratique, il va repasser quelques tests d’entrée (sport et habilitation cat.3), pour le principe, ce n’est normalement rien de nouveau pour lui. Effectivement, Avel n’est pas surpris, il va s’investir dans son travail de sergent et dans le SWAT. Il peut également aider à la partie formation si besoin. 

21 sort elle aussi de réunion (TC 02:01:15) et fait brièvement le point avec 07 sur 30. Elle explique d’ailleurs que son blâme a été suspendu, le temps de réunir tous les points de vue. Mais la mise à pied du SWAT est dans tous les cas maintenue. Il ne reste plus qu’à s’occuper des tests de 99 et 04, dès qu’ils auront fini sur le terrain. 

Les présents s’équipent et discutent un peu avec d’autres agents, et lorsque tous sont prêts, direction la base militaire !


Sur le chemin, l’ambiance est bonne dans la voiture, même si le capitaine en prend pour son grade au passage, puis 07, 21, 99 et 04 finissent par arriver sur les lieux (TC 02:15:00). Il va falloir décrasser tout ça, les deux futures recrues sont donc directement envoyées faire des tours de terrain, tandis que Kurt délègue tout à Alex. C’est elle qui s’occupe du parcours et du chrono !

Les deux hommes s’élancent l’un après l’autre sur le parcours. C’est une réussite dès le premier essai pour Lewis (99), mais Avel (04) doit s’y reprendre à plusieurs fois. Visiblement, l’anti-gang ça ramollit. Il arrive même à tomber de la poutre ! (TC 02:22:00) Pendant que tous regardent Avel souffrir, Kurt s’éloigne pour prendre un appel, celui de 44 (TC 02:23:00). Kazenko a une situation à exposer à Kurt, en tant que lieutenant : l’état d’urgence est terminé, la fouille doit donc être motivée, ou elle est illégale. Les deux hommes sont d’accord sur ce point. Vient alors la question : si le commandement ordonne à l’anti-gang de fouiller les Verts, parce qu’ils sont verts, à la recherche de preuves, c’est illégal ? Pour le lieutenant oui, donc si le procureur le sait, même si 45 dit qu’il assume, il risque d’y avoir sanction. Kazenko lui n’a rien fait, il est juste arrivé en cours de route mais de toute façon Kurt confirme, sans motif c’est illégal. Mais pour le moment ils ne peuvent pas faire grand chose, peut-être remonter les infos à Turner, et encore. 44 propose de le contacter pour le rencontrer, lui transmettre les éléments et voir ce qu’il est possible de faire mais il faut être très vigilant, si le commandement est au courant ils peuvent sauter tous les deux. N’ayant rien à perdre, Kazenko veut se lancer, Kurt, ayant lui beaucoup à perdre, ne s’implique pas pour l’instant. Il faut jouer finement. 


Retour aux affaires du SWAT, le test sportif est terminé, place à l’habilitation cat. 3. Les deux hommes maîtrisent encore bien les armes, malgré quelques maux de tête (TC 02:30:40), c’est donc une affaire de routine pour eux. Les tests vite expédiés, il ne reste plus qu’à réfléchir aux surnoms ! A voir si ils gardent les mêmes qu’avant ou non. La réflexion est ouverte sur cette question de la plus haute importance, il est temps de rentrer au poste ! Le capitaine et ses agissements sont encore le sujet principal de la conversation, mais il est temps de clore la soirée. Kurt charge Alex de s’occuper de faire un premier test de prise en main de cat. 3 avec 90, intéressé par le SWAT, puis il prend sa fin de service. Le repos l’attend !


S02 EP16

S02 EP16 - 22/10/23

https://www.twitch.tv/videos/1957709351

https://youtu.be/wfyPX6vzoes?si=TEnkChRKqG9Hjy4p



Le SWAT c’est : des débriefs

La prise de service du lieutenant Schröder commence par un brief dans la salle SWAT pour une opération à venir. Les membres présents se rassemblent petit à petit dans leurs locaux. En attendant, comme souvent pour s’occuper, Perceval (86) fait des pompes. Une occasion parfaite pour April (21) qui s’empresse de s'asseoir sur son dos, histoire de rajouter un peu de difficulté et de donner une occasion à ses collègues aussi, celle de vanner gentiment le sportif. A côté, Casper (07) bien sûr reste de marbre, se contentant de rappeler aux derniers retardataires de se dépêcher un peu

Le brief peut commencer (TC 00:11:30): ce soir une opération LSPD est prévue. Aller chercher M. Palmer, le OG des Verts. Le SWAT reste en stand-by, prêt à intervenir si ça chauffe un peu trop, avec le commandement et les procureurs présents pour l’occasion. 


Pour April, cela ressemble à une redite, quelques jours plus tôt une opération avait déjà eu lieu, pour la même raison, à Forum Drive. Mais Palmer était resté planqué, jusqu’à ce qu’il prenne en otage 45 devant les EMS. Une prise d’otage qui s’est terminée par une balle dans la jambe pour le capitaine, et un véhicule des Verts, et ses occupants, rafalés à coup de cat. 3. Autant dire une soirée compliquée. Justement, 07 a une question à ce sujet, après lecture des rapports : comment se fait-il que 44 était lead-op, alors que le SWAT était sorti ?

Princesse a une réponse simple : le capitaine étant pris en otage, il fallait un agent avec de l’expérience pour gérer la situation, et surtout personne ne s’est porté volontaire, ne lui laissant guère le choix. Il était de toute façon prêt à revenir au SWAT si April lui en avait donné l’ordre. Celle-ci soutient la décision de 44, les unités étaient très nombreuses et un peu perdues face à la situation. C’est bien pris pour Kurt qui veut tout de même des précisions : était-il en SWAT au moment où il a pris le lead ? Effectivement. L’unité était mobilisée en amont pour sécuriser Forum Drive, puis pour poursuivre des Verts en fuite, et faire une progression à leur recherche. Au moment du kidnapping, ils étaient donc toujours sortis, sans avoir le temps de rentrer se changer. 21 prend le relais pour refaire le déroulé précis des événements, eux venaient de finir leur progression lorsqu’ils ont entendu l’info, et c’était un peu la panique du côté des agents. C’est elle qui a pris le lead des recherches, 45 a été trouvé une première fois, puis les Verts se sont stoppés du côté de la Fuente Blanca. C’est à ce moment-là que Kazenko a pris le lead-op, pour coordonner toute l’opération et tenter de récupérer le capitaine en vie. 

Le lieutenant n’a rien à dire de plus face à ce récit des événements et revient à ce qui les attend le soir même puis interroge son équipe : il y a-t-il des questions ? Il a été absent quelques jours mais est désormais disponible si besoin. Pas de question, mais Kazenko qui souhaite parler seul à seul avec Kurt (TC 00:16:35)

Il revient d’abord sur la conversation qu’ils viennent d’avoir, voulant s’assurer qu’il n’y a pas de problème auprès de son chef. 07 explique qu’il est dérangé par le fait que 44 ait pris le lead alors qu’il était déjà en SWAT. Si il le décide, il préfère qu’il retourne au PdP pour se changer avant de prendre le lead-op. En parallèle, le commandant lance le BE à la recherche de Palmer et en informe 07. Ce dernier continue son point : pour lui, l'important c’est de rester engagé dans ce qu’il a commencé, en l’occurrence le SWAT. Si aucun agent formé ne veut prendre le lead, ce qui n’est pas normal, il le comprend et ne s’oppose pas, mais préfère que Kazenko marque bien la différence par un changement de tenue. Ce qui est bien pris par celui-ci.

Concernant le sujet qu’il voulait aborder, il revient encore une fois sur cette soirée, en expliquant que lors des recherches, l’unité anti-gang s’est dirigée vers le barrage, où étaient les Verts, mais elle est arrivée tellement vite, et comme des bourrins, que les criminels ont quitté les lieux avec 45, ne voulant pas négocier. Et l’AG (anti-gang) a perdu un pneu dans l’histoire suite à des tirs des Verts. Le problème est qu'à ce moment-là, le lead de l’AG était 11, et qu’elle a appelé une patrouille suite à l’immobilisation de leur véhicule, avec laquelle elle est partie. Laissant les autres membres de son unité sur place, seuls, sans ordre, sans possibilité de bouger avec leur pneu crevé. Autant dire qu’il y a un gros problème avec le lead de l’anti-gang. Ou même qu’il n’y en a pas. 45 donne juste quelques ordres quand il est là, mais n’est pas lead, il ne peut d’ailleurs pas l’être en tant que capitaine, Hawkins (11) ne veut pas de cette place et Avel (04) est parti. Kurt propose à Kazenko d’aller voir 11, en tant que sergent, de lui donner son point de vue sur la situation et sa vision des choses, et des conseils. Et si la situation se reproduit, ils font remonter l’info, car pour l’instant 44 n’a abordé le sujet qu’avec 07. Mais à force d’en discuter, une idée émerge, que Kazenko avait déjà en tête : faire le boulot lui-même. Un transfert du SWAT pour un à deux mois, histoire de remonter tout ça. En tant que lieutenant, ce n’est pas Kurt qui décide, mais Alexander voulait dans tous les cas lui soumettre l’idée en amont, pour avoir son avis, et surtout son aval !

07 n’est pas contre, il ne fera pas d’exception et 44 serait temporairement retiré du SWAT mais pourra revenir sans soucis. Et il comprendrait aussi qu’il décide d’y rester si le commandement accepte de le placer en tant que lead. Pour le moment Kazenko veut juste rejoindre l’AG pour remettre l’unité sur les rails, puis revenir au SWAT. Mais qui sait ce que l’avenir réserve.

En tout cas, c'est entendu, c’est une bonne idée surtout qu’il serait dommage que l’unité finisse par être dissoute, il ne reste plus qu’à obtenir l’accord du capitaine et du commandant.


Ainsi que des OP : comme ce soir à Forum Drive

C’est pas tout mais il y a quand même une opération en cours ce soir, les deux hommes descendent du bureau pour s’équiper et rejoindre le reste de l’équipe. Les RIOT sont sortis et les membres se répartissent, 4 par 4. Chacun prend connaissance de son positionnement et du plan d’intervention, surtout qu’il semble y avoir une fenêtre de tir possible au Otto’s. La présence de Palmer y est confirmée, le SWAT se met donc en route pour se tenir prêt à bloquer entrée et sortie du garage. Et une fois au garage, les deux RIOT se placent, impossible désormais de quitter le Otto’s, ou d’y rentrer (TC 00:29:40)


A la demande du commandement, Kurt se rapproche pour les accompagner à la recherche de Palmer à l’intérieur du garage (TC 00:30:45) Et ça tombe bien car l’individu tente de s’enfuir en courant. Mais après un instant de doute, le leader SWAT met rapidement la main dessus et peut l’interpeller (TC 00:31:40). Le OG n’apprécie guère d’être interpellé en plein milieu du garage et devant autant de monde mais finit par se plier à la demande des FdO et suit 07 jusqu’à la voiture du commandant, où l’attend aussi le procureur. Une fois l’homme remis aux bons soins du commandement, le SWAT ouvre les accès. Une partie accompagne le retour au poste, tandis que l’autre moitié reste au garage pour prévenir tout débordement, ou toute représaille. 

Kurt reste donc sur place pour s’assurer que tout va bien du côté des mécanos. Les Verts sont partis, évidemment sans payer, mais surtout, un des employés a beaucoup, beaucoup de choses à redire sur l’opération (TC 00:36:00). Il interroge d’abord le leader SWAT : était-il le lead de l’opération ? Négatif, mais 07 se fait un plaisir de lui transmettre le numéro du capitaine pour qu’il lui fasse part de tous ses commentaires ! Mais il explique malgré tout à l’homme que la présence du procureur a décidé l’intervention, et l’interpellation au sein même du garage. Et que du côté du SWAT, ils pensaient que les employés du garage étaient au courant. Mais visiblement seul le patron l’était. Soit, mais cela ne relève pas du LSPD. Le mécano prend le numéro mais semble bien décidé à expliquer à 07 son point de vue : si le criminel était virulent il y aurait peut-être eu une prise d’otage. Kurt comprend cela, mais lorsque l’employé commence à lui faire la leçon, sous prétexte qu’il a été à sa place dans le passé, 07 clôt la discussion. Les choses ne se passent pas de la même manière à Los Santos, l’intervention s’est déroulée telle qu’elle a été décidée et organisée, et si il a d’autres choses à redire il voit avec le capitaine !

Lui a de toute façon d’autres choses à faire, Palmer est prêt pour un transfert à la prison fédérale et il faut sécuriser le convoi. Surtout que les membres des Verts sont déjà tous garés devant le commissariat.


Le SWAT se répartit : 3 dans le RIOT avec le prévenu, 4 dans la VSTR pour fermer le convoi et 1 dans la voiture du commandement. Le convoi se met en route (TC 00:45:05). Les consignes dans la VSTR sont simples : tout le monde le 9mm en main, et on ne tire pas sur son chef ! Au début tout se passe bien, les Verts ne suivent pas, Kurt peut même prendre le temps de râler sur les employés du Otto’s qui croient tout savoir, jusqu’à ce que plusieurs véhicules verts apparaissent dans ses rétroviseurs (TC 00:46:15).

Le leader SWAT joue avec les véhicules des civils sur l’autoroute pour empêcher tout dépassement tandis que le RIOT et le commandement prennent de l’avance, ils ne s’arrêteront pas, Kurt fait donc tout son possible pour créer de la distance. Les véhicules verts collent la VSTR, font quelques tentatives mais ne dépassent pas. Le capitaine annonce avoir un membre du gang au téléphone qui explique qu’ils ne sont là que pour accompagner leur OG. C’est donc à un lieutenant désabusé qu’il demande de maintenir les véhicules à distance, sans rien faire de plus. Dans la voiture, les membres SWAT sont épatés de cette décision qu’ils n’approuvent absolument pas ! Mais il faut bien suivre les ordres. La VSTR et son convoi de Verts arrivent enfin à bon port (TC 00:49:00), chacun de son côté de la barrière.

Tous se positionnent en sécurisation et surveillent les individus en face, sans manquer de faire quelques commentaires sur la gestion faite par le commandement ! En tout cas Palmer ne sera plus en ville pour les prochaines 24h, mais bien gardé derrière les grilles de la fédérale. Par contre le reste du gang inquiète un peu le LSPD, ils sont assez nombreux pour tenter des représailles, et certains sont particulièrement revanchards. Raison de plus pour ne pas accepter de les laisser suivre le convoi… Il faut presque plus de patience à Kurt pour supporter le commandement que les Verts mais enfin, le dispositif est levé, retour au PdP pour tout le monde (TC 00:56:00).


Et pour 07, il y a : une réunion EM

Finalement, l’opération s’est déroulée sans anicroche, et plutôt rapidement. Il ne reste plus qu’à en faire le débrief au sein de l’état-major, et la réunion pré-dispatch par la même occasion. 07 retrouve donc 88, 45, 32, et 21, dans le bureau du commandement (TC 01:04:15). Comme d’habitude, les gradés évoquent le comportement des agents sur le terrain. Cette fois, c’est autour de 23, Parker Thomas d’avoir les oreilles qui sifflent. En effet, il semblerait que le travail de Sergent ne soit pas sa priorité et tous espèrent qu’un coup de pression lui fasse du bien.
Concernant les remontées à faire pour l’ensemble, ils se mettent d’accord sur : 


Profitant du départ de 21, Kurt se permet de revenir sur les retours qu’il a eu de l’Anti-gang, et plus particulièrement sur 11, au sein de son unité (TC 01:15:25). Il ne souhaitait pas le faire devant la jeune femme, par manque de confiance. Il soumet alors au groupe l’idée de Kazenko d’aller stabiliser un peu tout ça. Elle semble plaire, 45 et 32 avaient déjà remarqué 44 comme candidat potentiel pour prendre le lead. Surtout que 11 n’en veut pas, même si elle a la vision que souhaite le commandement pour l’unité. Alors avoir Kazenko pour remonter tout ça en attendant que d’autres aient la confiance et les capacités nécessaires, c'est un projet qui convient à tout le monde. 07 en tout cas a donné son accord. 45 et 32 sont ouverts à l’idée et accueillent la nouvelle de manière positive. Il ne leur reste plus qu’à en discuter avec le principal intéressé, notamment de sa vision de l’unité, et tout ça devrait rouler. 

Encore une chose, Kurt prévient que le Otto’s risque d’appeler, car les mécanos ne sont pas contents de la gestion de l’OP. Mais a priori tout est géré, de toute façon les employés n’ont rien à dire si le patron a donné son accord. Et dernier point : il reste des candidatures en attente, qui vont être traitées au fur et à mesure.


Avant de se rendre au dispatch, l’état-major fait un dernier état des lieux des sujets à aborder en plus du brief sur l’opération qui a eu lieu plus tôt. Il y a déjà le groupe des Eighties qui traîne du côté de go postal, mais qui n’a rien revendiqué non plus. En parlant de zone, il y a peut-être celle des Brokers à mettre au clair pour tout le monde. Il faut aussi rappeler aux unités de ne pas foncer sur zone lorsqu’une fusillade entre gangs a lieu ! Ils ne seront jamais prêts pour intervenir à temps mais ils peuvent le faire par la suite, pour surveiller ou saisir des armes, se renseigner, etc. Le LSPD intervient si les fusillades ont lieu en pleine ville, et si il a les capacités d’intervenir. Le temps que le SWAT arrive par exemple, tout est terminé. Dans l’idée, la procédure à appliquer serait qu’une patrouille aille sur les lieux, qu’une ou deux tournent autour pour faire de la reconnaissance, mais pas que des agents arrivent à fond et sans précautions, au risque de faire une rencontre de plein fouet avec des criminels armés ou d’être pris entre deux feux. Les gradés discutent encore de quelques procédures à mettre en place, comment traiter les plaintes efficacement, comment s’assurer que des agents prennent la centrale…. Pour l’instant c’est au volontariat, mais sans certitude que cela fonctionne.


Voilà un dispatch qui s’annonce bien chargé, il est donc temps de s’y rendre (TC 01:29:00)


Avant le passage obligatoire : au Dispatch

Le commandant démarre par un récap de l’opération sur l’OG des Verts. Tout a commencé par le kidnapping de 66, qui a été enlevé et torturé, brûlé et laissé pour mort. Un acte qui a déclenché un focus sur le groupe des Verts, sur lequel le LSPD avait de fortes suspicions. L’état d’urgence a été déclenché, mais sans aveux de la part du gang en résultat, toujours sous focus. Une OP a eu lieu ensuite, le bouclage du quartier pour tenter une discussion, mais sans réussite là encore car l’opération a tourné en échange de tirs, course-poursuite, agression, pour finalement terminer en apothéose avec le kidnapping du capitaine ! Comme vu lors du débrief SWAT, il y a eu une négociation qui s’est terminée par la tentative de fuite des individus après avoir tiré sur 45, une tentative seulement car ils ont été neutralisés par une salve de tirs. Le LSPD a enfin obtenu les aveux de M. Palmer, qui a été condamné à une amende de 150 000$ pour actes de torture et de barbarie et à 24h de prison. Le commandant clôt ce chapitre par des félicitations à tous les agents et une recommandation de vigilance lors des arrestations sur les membres des Verts.

Il est temps de faire des rappels sur les sujets évoqués en réunion de l’EM : 


Il est maintenant venu le temps des promotions ! C’est 45 qui s’en occupe et annonce : 


Le commandant prend le relais pour la suite : 

Et enfin : 


07 s’occupe en envoyant un sms à Kazenko pour le prévenir que le sujet de son passage à l’Anti-gang a été abordé et qu’il n’y a plus qu’à, tandis que le lieutenant Lebrun (88) passe quelques messages concernant le BE, les points de vigilance et les dossiers en cours. En particulier un retour : il semblerait que des agents parlent des unités des autres agents (BE, SWAT, AG..), lors de contrôles, ou à d’autres moments. Aucun débordement de ce type ne sera toléré, la prochaine fois il y aura des sanctions, cela peut mettre en danger les agents concernés. 

Après un dernier rappel sur la centrale et la procédure pour la prise en charge des plaintes, le commandant informe les agents de la date de l’enterrement de 02, Leeroy Thompson. La famille invite tous les agents, qui sont les bienvenus, sans trop de cérémonie. Et finalement, 66 remercie ses collègues pour leur travail et leurs efforts pour faire la lumière et la justice sur ce qu’il a vécu.


Rompez ! Retour sur le terrain pour tout le monde.


Puis direction le camp d'entraînement : discuter encore

Du côté du SWAT, ce soir c’est entraînement ! Tous récupèrent donc leur équipement et en attendant que tout le monde soit prêt, Casper, April et Perceval se mettent un peu à l’écart pour faire le point sur la soirée. 07 veut prioriser l’entraînement sur les nouveaux arrivés (ou revenus) : 99, 04 et 67. Lui doit d’abord discuter avec Bébou (23) et Princesse (44) est de son côté en discussion pour son projet avec l’anti-gang. Kurt informe d’ailleurs ses deux collègues de la teneur de ce projet. 

Pour ce qui est de l’entraînement en lui-même, 21 et 07 préfèrent ne pas savoir à l’avance ce que 86 a prévu, 07 n’y participera pas de toute façon. 21 a par contre une suggestion, avec l’expérience de l’inter sur la prise d’otage de 45 : un exercice de tirs dans les pneus, pour maîtriser une neutralisation éclair. Ce qui permettra aussi de faire un rappel : les tirs se font en coup par coup, nourris, mais pas en rafale. Il faut être précis. 


Ceci étant dit, VSTR et RIOT sont sortis pour prendre la route de la base militaire, Casper, Dalton (04) et Perceval dans la voiture, les autres dans le RIOT (TC 01:57:00). Avec Perceval dans la voiture, l’ambiance est forcément bonne, bien qu’un poil absurde et avec une ou deux bourdes, mais avec surtout beaucoup de vannes. 

Enfin arrivés, l’équipe se prépare à débuter l’entraînement tandis que 07 prend 23 à part pour discuter (TC 02:04:55).


Le leader SWAT explique qu’il souhaite le voir pour déjà, savoir s’il va bien, et de manière générale quelles sont ses ambitions pour la suite, ses envies. Parker revient après des vacances et reprend petit à petit ses marques mais il se sent bien. Kurt s’assure que son absence était bien liée à des vacances, et non à un quelconque souci au sein du LSPD ou de l’unité SWAT. 23 confirme qu’il n’y avait aucun problème, tout va bien avec l’unité, avec ses collègues, à la limite c’est plus difficile avec le commandement mais pour qui ça ne l’est pas ! C’est bien pris pour 07, c’est tout ce qu’il voulait savoir ! 23 le rassure, il n’y a aucun problème et surtout pas avec le SWAT. Il est donc libre de rejoindre les autres à l’entraînement et c’est au tour de 21 de rejoindre son chef. 


Les deux ont pas mal de choses à voir ensemble. April fait part de son souhait de revoir les spécialités dans l’unité car maintenant qu’elle est passée seconde et sergent-chef, elle n’a plus du tout le temps de s’occuper de la préparation des entraînements avec Perceval. Kurt en a conscience, mais il attend encore un peu, pour voir comment l’unité va se stabiliser dans les prochains temps car il y a encore quelques inconnus. 23 semble bien parti pour revenir définitivement mais il attend de voir car il demande quand même un peu de dévouement, et d’être tenu au courant. A suivre. 

Ils n’ont pas revu 03 depuis longtemps, si elle reprend du service il veut faire le point avec elle et 21 pour décider de la suite, discuter d’un malaise ou problème éventuel. Car, comme le fait remarquer April, elle a plusieurs fois annoncé revenir, sans que cela ne soit suivi d’action. Casper temporise un peu, ce n’est pas la première à faire le coup, c’est parfois le temps nécessaire pour s’acclimater et accepter le changement. Mais pour le moment, si elle est toujours dans les effectifs, il ne la prend pas vraiment en compte.

90 est intéressé pour rejoindre l’unité, April lui a fait faire quelques essais de tirs à la cat.3 suite à des appréhensions qu’il avait sur ces armes et tout s’est bien passé. A voir à son retour.


L’arrivée de Princesse après sa discussion avec le commandement permet d’aborder le sujet de sa future pause SWAT (TC 02:11:00). Il confirme que l'État Major a accepté son transfert, effectif dès demain. Schröder prend note et réaffirme que sa place lui est réservée au SWAT. Sur ces mots, il ne peut s'empêcher de souhaiter bon courage pour la lourde tâche à venir, avant de le laisser annoncer la nouvelle aux collègues présents sur site.
Alors que 44 s’éloigne, Kurt et April reprennent leur discussion sur les spécialités de l’unité. Il faut bien que les choses avancent.  Concernant le lead OP, il faut bien que les agents ne changent pas de poste au cours de la soirée. Par exemple, si l’un d’entre eux prend son poste, un jour, en tant que SWAT, il reste et ne change pas de spécialité. Il faut qu'ils apprennent à se contenir dans un rôle à un instant T car on ne peut pas tout gérer. April ne peut qu’être d’accord, surtout que l’impression générale du moment est que le SWAT englobe le lead OP et l’Anti-gang, ce qui n’est pas bon.


Le sujet enfin clos, 21 profite d’être seule avec son supérieur pour évoquer un dossier du BE qui la touche personnellement (TC 02:30:40). Ne sachant pas trop comment aborder la chose, la jeune femme aborde les dossiers en cours. Mais voyant le regard dubitatif de son interlocuteur, elle se ravise et parle franchement. Il y a une enquête en cours qui la concerne. Enfin… Dont elle est à l’origine. Les Brokers, et plus particulièrement Maven sont impliqués. Ce dernier, ne sait plus trop où il en est et tente de voir si il ne devrait pas en finir avec la criminalité. Il s’est alors, entre autres, tourné vers April. Ils ont donc commencé à échanger. Il se peut donc qu’elle soit présente mais occupée avec lui prochainement. Car en plus d’être dangereux, il souhaite qu’elle soit sa seule interlocutrice. Pour être totalement transparente, elle propose à Kurt de suivre de loin l’affaire en lui partageant le dossier. Voyant la sincérité de la jeune femme, 07 ne peut qu’acquiecer à ses propos, avant de changer de sujet et de revenir sur le cas de 45.


Sans préambule, il demande à sa collègue son avis sur le fait que Milton Mulberry se soit fait prendre en otage (TC 02:35:05). Pour 21, c’est une grosse connerie, rien de moins, car rien ne devait engendrer ça, vu le nombre d'unités présent sur place, surtout qu’il était très armé, avec une SMG. A croire que tous ont préféré le laisser partir plutôt que d’intervenir. Kurt l’arrête, espérant qu’April puisse le rassurer sur une chose : l’Arme… Est ce que l’arme est revenue avec 45 ? Hélas pour lui, son interlocutrice ne le sait pas. Ni une, ni deux, les deux agents se renseignent et au bout de quelques minutes, d’appels divers et variés, 24 confirme que la SMG a bien été récupérée. 

Soulagés par cette nouvelle, les deux agents reprennent le fil de la discussion sur les canaux de diffusion sur l’intranet, ainsi que sur l’Anti-gang et le fait que 44 prennent trop de casquettes. Puis sur le cas de 30, dont le boulot est à surveiller dans les prochains jours. En parlant de Rodney, il faudrait aussi voir pour un recrutement prochainement, pour ceux intéressés par le SWAT, mais aussi des futurs achats de véhicule. Sur ce sujet, Kurt reste intraitable, il n’y aura pas de Riata dans l’unité ! Il veut bien par contre prêter un peu d’argent à April pour qu’elle en achète un pour elle. Concernant les hélicoptères, ils ne seront pas en charge de leur gestion, cependant, ils pourront être empruntés pour des formations ou autres. Bref, ceci étant dit, Schröder repense à 45 et revient sur le sujet, plus spécifiquement sur le fait qu’il ait été visé. Pour 21, c’était à prévoir, vu son attitude de manière générale. On sème ce que l’on récolte. Par contre, la peine a été à la hauteur et ça c’est un bon point. 


Au loin, les deux agents observent le mouvement et se rapprochent.


Et finir avec : un temps avec l’équipe

Voyant enfin la belle équipe revenir, Kurt va pouvoir faire le point avec tout le monde (TC 03:11:45). Bien sûr, ceux d’en face ne peuvent s’empêcher de braquer leur arme sur leur patron qui se saisit aussitôt de la sienne. Sauf que lui, c’est une vraie, pas une arme de paintball ! Il n’y a guère que Perceval qui est assez fou pour le tenter, et sentir une ou deux balles siffler près de ses oreilles. 07 ajoute une remarque à 04 qui est au téléphone mais le pauvre a une bonne excuse, son adresse a fuité ! Elle a été vendue à des criminels, il fait donc le point avec le BE.

Le lieutenant va donc faire vite. Quelques points sont à voir : 


April termine en proposant une soirée team-building SWAT, que tous approuvent, et Rockett (99) en profite pour interroger son chef sur ce qu’il s’est passé avec Rodney Graves (30). Kurt explique donc l’histoire, le côté cow-boy, l’entrée dans une propriété privée et la rencontre avec les Insurgents et un lance-roquette. Il a donc pris un blâme, et également une sanction côté SWAT : une mise à pied d’une semaine. 21 et 07 referont un point avec lui à la fin de sa mise à pied mais il est pour l’instant sur la sellette à cause de son comportement. Autre point à noter : lui et 98 sont très proches, l’autre agent part donc aussi avec un avis défavorable avant même les sessions de recrutement. Kurt rappelle qu’ils font passer les tests à tout le monde mais restent libres de la décision finale. 86 pointe toutefois que 98 n’a pas la même attitude que 30, notamment lorsque sa sanction lui a été annoncée par les sergents. Pour finir, Casper explique que 03 est malade, elle est donc retirée temporairement des effectifs sur le papier, mais toujours membre, comme 44 désormais. Puis il acte le retour à la maison pour tout le monde ! (TC 03:24:00)


07 et 21 redescendent ensemble, April étant attirée par la promesse de l’argent ! Sur le chemin, elle revient sur une affaire pour prévenir qu’elle a su que les Brokers voulaient l’attraper, parce qu’elle est passée du côté de la zone industrielle sur une course-poursuite… Kurt déplore l’attitude du groupe, qui demande du respect de la part du capitaine mais ne semble pas avoir peur du SWAT et des conséquences. 

C’est à fond que la VSTR arrive à la banque de la place des Cubes, où Kurt retire 30 000$ pour le Riata d’Alex, et gagne une balade en échange. C’est un non direct pour la balade, suivi d’un “on verra” puis d’une chute devant la banque ! (TC 03:28:20) Ce n’est pas dans le tapis qu’il s’est pris les pieds mais dans le capot de la VSTR, il est grand temps de prendre plutôt un peu de repos.

Il ne traîne donc pas à prendre sa fin de service une fois de retour au poste, non sans penser toutefois à récupérer la SMG de l’anti-gang rangée dans les saisies et à s’assurer que tout va bien pour les agents au poste qui gèrent la centrale. Il gagne d’ailleurs le droit de répondre à une question avant de rejoindre son canapé.

S02 EP17

S02 EP17 - 06/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1970412186

https://youtu.be/Z9wNUloiAJE?si=GumWENXOcOpbVk6b


Revenir : et se taper du RH avant une OP

Le lieutenant Schröder est de retour après quelques temps d’absence, pile à temps pour une grosse opération. Il retrouve ses collègues en bas, tous semblent sur des chardons ardents. April en profite pour faire part à son lead de quelques soucis, le BE semble en avoir ras la casquette et des agents SWAT sont pour l’instant bloqués sans pouvoir prendre leur service. L’opération d’ampleur commence mal, ils ont besoin d’être le maximum disponible. 07 et 21 s’occupent de récupérer un van et un premier brief se fait entre les unités et leur commandement. Le BE notamment a besoin d’instructions mais ses leads sont absents pour l’instant.

Kurt et Kazenko (44) se mettent à l’écart pour faire le point. Le nouveau lead de l’anti-gang réfléchit à mettre du monde sur un toit mais les soucis de prise de service pour de nombreux agents ne permettent pas de modifier le plan. 21 les rejoint et réexplique le plan : au top inter, le RIOT sort de sa cachette, les agents SWAT font les pneus des véhicules criminels, des sommations seront faites pour inciter les criminels à se rendre, qui seront neutralisés si ce n’est pas le cas. La question reste ouverte sur qui fait les pneus entre le SWAT et l’anti-gang mais Casper n’est pas pour tirer en premier. Il a surtout l’impression que les unités se compliquent la vie en voulant tout anticiper. Les trois agents se mettent plus ou moins d’accord sur un fonctionnement, en soulignant une chose : attention aux tirs croisés ! 


Pour l’instant, ils ne sont que 3 membres SWAT : 07, 21 et 30 (pour sa dernière avant de partir au BE !). Ils refont encore une fois le point ensemble pour s’assurer qu’ils ont tous compris leur rôle et répéter les règles de sécurité, tandis que enfin, d’autres agents arrivent au compte-goutte. Kurt répète le brief pour 99 pour éviter les tirs croisés et rappeler une consigne : il y a un individu à ne pas abattre, juste un tir suffira. 86 arrive également alors que le commandant vient aux nouvelles. Pour le moment, il manque un agent dans chaque colonne, et un van pour le plan ! Que le commandant s’empresse d’aller acheter avec 21, alors que les autres membres SWAT font le plein de chargeurs, et de sport pour Perceval comme d’habitude. 

De retour après un repérage, 44 explique le nouveau positionnement de l’anti-gang, qui sera finalement en civil, cat. 3 dans le dos. En attendant, le lancement et peut-être l’arrivée des derniers manquants, ils réfléchissent à d’autres options : 44 retournera sans doute brièvement au SWAT pour la soirée et c’est le commandant qui va conduire le RIOT !


L’heure approche, 44 remet sa tenue SWAT et tous se retrouvent pour un dernier brief (TC 00:56:15). Le commandant explique que le BE spotte la ville pour repérer le convoi qu’ils cherchent à intercepter ce soir. Ils ne savent pas encore combien ils sont, avec quel armement et quels véhicules mais ils peuvent partir du principe qu’ils ne se laisseront pas faire. 67 et 23 se joignent au débrief, le commandant sera sécurisé dans le RIOT, qui servira de leurre quand les criminels s’arrêteront à une banque. Le reste du SWAT formera deux colonnes, planquées au départ dans deux vans lambda. 


Les choses s’accélèrent lorsque le BE annonce apercevoir des hommes armés se garer à la banque (TC 01:03:00).


Une OP : finalisée, malgré quelques blessés

Les agents s’installent dans les véhicules et attendent que les criminels quittent les lieux avant de pouvoir partir et aller se placer derrière la banque. Il faut être très discret dans les placements, surtout si ils ont l’habitude de se garer à l’arrière. Le van composé de Racaillou (30), Casper (07) et April (21) se positionne sur le parking (TC 01:05:20), maintenant il n’y a plus qu’à attendre. Kurt transmet quelques consignes sur le chemin à suivre dès qu’ils descendront, avant de conclure sur un bon courage à tous. Chacun partage quelques rappels et constats et quelques banalités pour contrôler la tension, mais c’est surtout le silence qui est majoritaire dans le van. 


Soudain, des véhicules arrivent (TC 01:11:32). Tous retiennent leur souffle alors que deux 4x4 se garent à l’arrière du parking. Les agents attendent, analysent la situation. Celle-ci apparaît difficile, au moins deux individus armés d’armes automatiques, finalement trois, restent en surveillance des véhicules. Les autres se dirigent vers la banque de l’autre côté de la rue. L’intervention s’annonce très risquée mais tous sont prêts à faire face aux conséquences.


Le top inter est donné (TC 01:12:15) 30, 21 et 07 sortent en trombe du véhicule et somment aux hommes armés de lever les mains ! Ceux-ci obtempèrent, sans résistance. La deuxième colonne SWAT fait pareil depuis son côté du parking avant de s’avancer vers la banque alors que des tirs se font entendre. Un individu semble avoir été neutralisé par l’anti-gang, la colonne de Kurt reste sur le parking pour surveiller les criminels interpellés mais d’autres tirs fusent à proximité (TC 01:13:00). Un troisième véhicule circule toujours avec un individu à son bord qui tire dans leur direction. Kurt s’avance arme en main, le viseur sur la cible, prêt à tirer si la menace se rapproche. Alors que la voiture s’éloigne vers l’Ammunation, il retourne auprès des autres pour rassembler les personnes menottées et s’assurer que Racaillou et April s’en sortent. En parallèle, la deuxième colonne progresse pour appréhender l’individu restant, de nouveaux échanges de tirs résonnent. Après s’être assuré que tout est géré de leur côté, 07 ne peut s’empêcher de se rapprocher pour tenter de porter assistance à l’autre partie de son équipe mais l’individu a été neutralisé. Si 99 a toutefois été blessé dans l’opération, il n’y a désormais plus de menace. Les autres unités SWAT sécurisent l’individu tandis que Kurt rejoint les membres de sa colonne.


Toutes les unités aux alentours convergent sur la zone maintenant que celle-ci est sécurisée. Les individus sont fouillés et emmenés au fur et à mesure au poste. Casper se positionne à côté de la banque pour surveiller les alentours et faire déguerpir les curieux. Racaillou se rapproche quelques instants pour le seconder, les deux hommes partagent leurs premières impressions, 07 est étonné du déroulé, il ne s’attendait pas du tout à ce que cela se passe aussi bien. En tout cas, au vu des armes retrouvées dans les véhicules, la prise s’annonce prometteuse. Tout le monde joue son rôle et les choses s’enchaînent jusqu’à ce que le dispositif puisse être levé, Casper, lui, attrape le RIOT au vol pour rentrer au poste (TC 01:23:45) et s’installe quelques instants en sécurisation à l’entrée du garage.


Malgré tout ça : c’est plus que réussi, non sans quelques couacs 

Une fois rentré au poste (TC 01:26:00), le lieutenant Schröder constate que les unités sont bien occupées à fouiller et mettre en garde à vue les individus arrêtés. Même celui avec qui ils ont un accord, pour l’instant la procédure doit être la même pour tous afin de ne pas éveiller les soupçons. Kurt vogue donc de fouille en fouille, prêt à intervenir si besoin ou à répondre aux questions des uns et des autres. Roche (28) vient d’ailleurs lui partager sa découverte : plein de boîtes contenant des pièces d’armes prêtes à être assemblées pour devenir un Uzi, un fusil à pompe, un 9mm ou un Scorpion (TC 01:28:45). En plus de quelques armes blanches, l’attirail parfait pour devenir un marchand d’armes ! Ce que conseille Kurt à Jacques, il gagnera mieux sa vie et pourra enfin acheter une Tempesta pour l’URI ! Surtout qu’elle est disponible au concess’. 28 n’ira pas jusque-là mais compte bien avoir un jour sa voiture.

07 continue son tour, passant cette fois par les cellules de garde à vue ou le BE se met en marche pour interroger les criminels. Le lieutenant SWAT ne pouvant s’empêcher de partager son plaisir d’être dans le groupe d’intervention, et non dans celui qui gère GAV et interrogatoires. Même si pour la peine, il fait un passage en salle d’interrogatoire pour écouter celui de Harding. En parallèle, il y a encore l’AG et quelques agents SWAT à l’hôpital pour attendre 99 et le criminel blessé. 44 demande un ou deux agents supplémentaires en renfort car il y a beaucoup de passage aux EMS mais Kurt est le seul SWAT disponible, il reste donc au poste. De toute façon, les unités restantes sont en train de s’organiser pour rapatrier tout le monde.


Profitant de sa présence au poste, 07 prend à part 08 avec qui il doit faire le point sur le SWAT (TC 01:41:00). En effet, Kurt a beaucoup entendu le matricule de James Dener ces derniers temps, et pas de manière positive. Il explique qu’il en a donc parlé avec 21 et qu’il ne peut plus le couvrir. Il y a des limites et il a eu de nombreux retours expliquant qu’il serait hautain et agressif pendant les contrôles, la source du problème actuel avec les Brokers, etc. James apporte des arguments pour sa défense : il ne comprend pas l’histoire avec les Brokers car il n’en a pas vu sur un contrôle ces dernières semaines, les seuls rapports avec eux récemment se sont bien passés. 07 n’a que ces retours, après son absence de deux semaines, il lui demande donc d’éclaircir les choses directement avec le commandement. A lui de gérer ça, si les faits sont avérés il devra quitter le SWAT. Si toutefois ils ont été exagérés ou grossis, la sanction sera moins dure. Pour faire simple : il gère ce bordel et le tient au courant pour la décision finale.

Autre point : une altercation avec 66 par rapport à l’URI. Pour 08, il n’avait pas à sortir l’URI alors qu’il n’y avait que deux unités sur le terrain. Le lieutenant recadre vite son agent : il fait partie de l’unité SWAT, pas de l’URI. Celle-ci fonctionne de manière indépendante, comme eux, et il n’a pas son mot à dire dans ce type de décision. Si il y a un problème, le commandement verra avec eux directement mais ce n’est pas au SWAT ou un agent lambda de décider de la sortie ou non de l’unité.

Un coup de fil de 21, pour prévenir que le convoi est attendu, coupe 07 dans son élan d’explications. Il demande à la jeune femme de vérifier quels sont les effectifs disponibles, avant de reprendre quelques instants avec 08, pour lui signifier de se rapprocher du commandement afin d’avoir plus de détails sur le sujet.


La conversation terminée, Schröder rassemble ses troupes pour impulser le convoi tant demandé. Une fois les positions définies et les véhicules placés et le colis dans le RIOT, non sans quelques allusions aux événements du début de soirée, le regroupement s’élance (TC 01:58:00). 07 et 08 se retrouvent en fin de peloton, direction la fédérale. Le gradé est attentif, ne souhaitant pas que lors de ce transfert des individus agissent afin d’éviter les 7 jours d'emprisonnement à leur collègue. Arrivés sur zone, au grand étonnement des deux agents, RAS. Le retour au poste s’effectue donc avec un soulagement certain, en attendant la suite. Et sans surprise, elle ne se fait pas attendre car en radio, Kurt apprend que plusieurs véhicules verts se dirigent vers la prison. Un van est aussi repéré. Il va se passer des choses, c’est certain ! Prévoyant, 07 fait le plein afin que tout soit paré en cas de départ immédiat.

Mais face à l’incompétence : les hommes en ont gros !

Cependant, de retour au poste, la priorité de tous reste la vérification des saisies, car vu la prise du soir, rien ne doit être laissé de côté, les procureurs ayant besoin de toutes les preuves (TC 02:10:15). Le groupe sort donc tablettes et autres notes afin de tout mettre au clair. Malheureusement cela n’est pas simple car dans le feu de l’action, beaucoup d’éléments sont passés de mains en mains, sans traçabilité.
Alors que les agents tentent de rendre plus lisible tout ce qui a été pris, 07 comprend grâce à la radio ,qu’aucun autre convoi vers la prison n’est prévu ce soir, faute de procureurs. Autour de lui, c'est l’incompréhension : les gardés à vue seront-ils relâchés ? Ne peut-on pas les garder en GAV ? 07 ne peut il pas intervenir ? 


Le gradé décide d’aller à la source directement pour avoir plus d'informations (TC 02:15:30). Arrivé au niveau des cellules, il observe ces dernières vides. 07 se tourne alors vers les agents présents et leur fait part de ses interrogations sur le temps de préparation VS les peines prononcées. Les deux hommes le regardent et dans un sourire lui répondent d’une seule voix “Bienvenue dans le monde des procureurs !”.Face au regard incrédule de Kurt, 32 le prend à part et lui explique plus en détail le but réel de cette OP : celui de prendre le maximum d’informations pour viser potentiellement non pas de la détention d’armes cat 3 mais du trafic. La prise, selon le commandant, serait beaucoup plus intéressante. De plus, malgré le rendez vous donné, les procureurs n’ont pas pu se libérer et leur présence est nécessaire pour toute mise en prison. L’agent du SWAT écoute, comprend mais ne peut s'empêcher de voir la faille du plan. Ils ont certes maintenant une planque mais en réfléchissant comme un criminel, il ne peut qu’imaginer le groupe changer de cachette et de tout recommencer ailleurs. Son interlocuteur acquiesce, mais sans homme de loi, tout le système est bloqué. Il n’y aura donc pas plus ce soir. 

Dépité, 07 remonte donc expliquer la situation à ses hommes, toujours en plein décompte sur le parking. Le silence qui s’installe en dit long sur le ressenti du groupe. Tous sont du même avis que leur chef mais ne peuvent s'empêcher d’exprimer toute la frustration qu’ils ont ressenti, après tout le travail fourni. Kurt les arrête, il assure prendre note de ce qui se passe, pour plus tard. En attendant ils n’y peuvent rien et si 32 ne se rend pas compte de la gravité de ce qui vient de se passer, lui le voit. Sauf qu’il n’est pas membre du BE et que si cette unité décide de baisser très fortement les peines attribuées à la détention de catégorie 3 (en échange d’infos), il n’y peut rien. Mais, l’assure-t-il dans un ton qui traduit aussi bien sa colère que sa frustration, il note. Sauf qu’en face de lui, les questions fusent. Comme seule réponse, il ne peut que sortir le code pénal et de leur conseiller d’aller voir directement 32.


Voyant l’heure tourner, le lieutenant ordonne à ses hommes de se rendre en salle de dispatch, tout en espérant que la colère de certains puisse sortir et être entendue. Il ne s'empêche pas d’ailleurs, en passant à côté de son équipe de leur glisser un petit “c’est votre moment les gars, profitez !”, discrètement (TC 02:31:30).


Et la guerre se déclare à peine le commandant arrivant dans la salle. Alors que ce dernier vient aux nouvelles de 99, suite à ses blessures, l’agent l’attaque directement sur les événements de ce soir. Comme première réponse, il reçoit un bien tranché “ Bienvenue dans un Etat de droit”, avant que le gradé se positionne à son pupitre.  Dans un coin de la salle, 07 se met en retrait et observe la prise de position à venir. Après quelques minutes de silence, 99 tente de revenir sur les peines, code à la main, très vite contré. L’ambiance est électrique malgré la bonne nouvelle concernant la santé de 90.
Profitant de ce moment, Frank Zepel revient sur l’OP du soir, tout en remerciant l’implication de tous. Les saisies ont été fructueuses et les informations obtenues seront essentielles pour le BE. Alors oui, l’absence des procureurs n’a pas pu entraîner plus de mise en Fédérale (sauf celle de Harding, avec une peine de 7 jours) , cependant ils peuvent être fier du travail fourni. Finissant le débrief, le commandant propose à ceux qui le souhaitent de prendre la parole pour des remarques ou des questions. Alors que dans un premier temps, un silence se fait, une petite voix se lève pour une simple question sur la saisie des véhicules et autres montants trouvés. 


De son coin de la salle, Kurt n’en croit pas ses oreilles. Personne n’a dit mot.


Gros certes : mais de la gueule…. Très peu

Après cette tentative ratée de révolte, le SWAT se retrouve en bas, où 30, en tenue BE, souhaite officialiser son départ (TC 02:45:00). Kurt donne son accord, si Rodney a d’autres opportunités il est libre de partir, il sait de toute façon qu’il n’a pas le choix si il change d’unité, impossible de faire les deux en même temps. Mais le lead lui assure qu’un retour est toujours envisageable dans le futur. Ce n’est pas non plus un adieu, ils travaillent toujours ensemble, mais les deux hommes se remercient tout de même mutuellement. Un départ, et peut-être une nouvelle arrivée dans la foulée, il y a 87 qui doit passer les tests mais d’abord, 07 et 44 doivent se voir en privé (TC 02:47:00).

Et c’est au fond de l’armurerie qu’a lieu leur réunion impromptue. Kazenko commence par prendre des nouvelles de Kurt, qui est déçu que les agents n’aient pas fait de scandale en dispatch. D’autres remontées que les siennes montreraient que les problèmes sont majeurs, pour l’instant il est seul à râler et n’a donc pas beaucoup de poids. 99 a bien tenté, mais son timing n’était pas bon. Se faisant l’avocat du diable, 44 explique que le commandement a peut-être obtenu beaucoup d’infos et a négocié sur les amendes. Mais pour 07 la différence est trop grande. Même s’ils ont perdu des armes, difficile de dire si il y a eu un vrai impact sans en connaître les prix. Et il voit surtout des agents qui se sont impliqués dans une opération risquée, ont mis leurs vies en danger, pour un résultat qui ne semble pas à la hauteur.

L’inconvénient de faire une réunion dans l’armurerie, c’est que tous les agents ont une vue directe sur eux en prenant ou rangeant leur matériel, et que certains ne se privent pas de faire des remarques, dont 86 bien sûr qui écope d’une décharge de taser en conséquence (TC 02:49:10)


Retour aux choses sérieuses, Kazenko s’inquiète : Kurt a été beaucoup absent ces derniers temps et il espère vraiment qu’il ne va pas les quitter. Parce que Casper porte bien son nom, ce ne serait pas la première fois qu’il fait le coup. Mais ce dernier le rassure, l’absence était prévue, même si il commence à saturer de la situation actuelle avec le commandement, et ne peut donc rien promettre. En parlant des problèmes avec le commandement, 44 explique ne plus avoir de nouvelles de 33, malgré leur souhait de lui remonter les soucis en tant que procureur général. Il s’est renseigné auprès de 63, ancienne off. 3 devenue procureure, pour que cela fonctionne ils vont avoir besoin d’un dossier solide avec des faits établis. 07 essaye de montrer qu’il est digne de confiance, que les agents peuvent venir lui parler, et ils savent qu’il a une grande gueule et est prêt à monter au créneau mais il faut que les remontées lui parviennent. Et il ne peut pas être le seul à dire les choses, ils doivent se montrer unis. Kazenko approuve ce discours, il constate bien que dans l’état-major, le lieutenant Schröder est seul. Lebrun ne se mouille pas, et il n’y a plus d’autre lieutenant. Il a besoin de quelqu’un de son côté. 21 aurait pu être un bon soutien mais avec son erreur récente, ce n’est plus d’actualité. Et ça m’étonnerait qu’une candidature de 44 soit acceptée alors que le commandement l’a justement démis de ce poste. Mais il peut toujours essayer.

Pour Kurt, l’objectif premier est surtout que le capitaine et le commandant se rendent compte par eux-mêmes, et avec les remontées des agents, de leurs erreurs et œuvrent à changer les choses. Si ce n’est pas le cas, il faudra y remédier directement. Même si ça ne l’enchante pas si il se retrouve à monter de nouveau en grade, le poste de lieutenant lui convient parfaitement. Le commandement se doit d’être plus à l’écoute de ses agents, un management militaire comme au SWAT fonctionne uniquement dans l’unité qui a besoin de directives claires et ne peut pas avoir de doutes. Ce n’est pas le cas dans la gestion d’un poste de police au complet. Les agents doivent pouvoir s’exprimer, et le commandement réagir en fonction. Pourtant, ce que lui constate c’est une opposition : le PdP contre la hiérarchie. Au risque de perdre les agents avec des démissions en cascade. 


44 va donc tenter de poser sa candidature pour repasser lieutenant. Les deux hommes terminent leur discussion sur des perspectives d’entraînements conjoints entre l’AG et le SWAT. 07 n’y est pas opposé, à condition que la limite soit clairement tracée entre les missions des deux unités. Et pour ça il faut aussi que le SWAT recrute, pour que l’anti-gang ne se retrouve pas à récupérer ses missions par manque d’agents présents. Car il est hors de question pour Kurt que l’AG se retrouve à remplacer le SWAT sur ses missions. Kazenko explique être surtout en recherche d’aide à la formation des unités, pour que ses agents sachent réagir correctement en situation de crise, ou se servir de leurs armes. L’unité a encore besoin de rigueur, par exemple via des entraînements plus réguliers. Pour exemple, 07 demande 3 séances de tirs par semaine au SWAT. 44 va donc se rapprocher de 86, qui gère les entraînements, pour réfléchir à tout ça.


Enfin en attendant : il y a recrutement

La discussion terminée, il est temps de s’occuper des tests de 87. Direction donc la base militaire pour les membres SWAT encore en service (TC 03:00:15), et Robert Smith (87). Dans la voiture, 07 exprime sa déception, sur la tournure de l’opé et l’absence de remontées faites lors du dispatch. James Dener (08) est d’accord, c’est dommage que les agents ne s’expriment pas plus. Kurt pense que la peur de la sanction est sans doute un élément bloquant et qu’il est donc disponible pour écouter les remontées des agents, qui doivent comprendre que l’EM n’est pas forcément en accord avec le commandement. Un désaccord qu’il partage donc, suite aux décisions de ce soir, et sa crainte que le commandement finisse par perdre le soutien de tout le poste.


Mais cela attendra, pour l’instant il y a des tests de recrutement à faire passer (TC 03:04:00). April et Rockett se chargent du test physique, tandis que Casper et Miaouss (08) se mettent à l’écart pour revenir sur leur échange plus tôt dans la soirée. James explique avoir tout de suite parlé avec le commandant. A priori, pour ce qui est des Brokers ce n’est pas vraiment un problème, ce n’est pas le seul dont le matricule a été cité. Et il a eu peu de contact avec eux, à la limite récemment il a été plutôt sec, mais ils venaient de poignarder 28… Le commandant lui recommande de voir tout ça avec les sergents, et lors des interventions de rester stoïque, de tenter de désamorcer les situations sur place et de les régler au poste. C’est bien pris pour Kurt. Il propose donc un deal à James : il ne veut plus que des agents fassent des remontées sur lui. Si il sent que ça ne passe pas avec quelqu’un, il met de l’eau dans son vin et reste correct et professionnel. C’est un avertissement. Il n’y a pas d’autre sanction, mais si 07 a de nouvelles remontées, il sera obligé de l’évincer. Le lieutenant couvre au maximum les agents de la famille du SWAT mais il a des limites et ne peut pas tout cacher non plus. Donc il ne veut plus entendre parler de lui pendant au moins les 2 ou 3 prochains mois. C’est bien pris également pour James, qui assure à son lead que cela n’arrivera pas. Kurt lui conseille de faire table rase de ce qu’il s’est passé, de ne pas chercher à savoir d’où viennent les remontées. Ils ont un problème plus gros à gérer : le commandement. Et le but du lieutenant Schröder est de souder le poste, que tous les agents avancent dans le même sens, et que le commandement soit prêt à les écouter et à faire des compromis. Et ce, avant que les agents finissent par en avoir marre et ne viennent plus en service, ou démissionnent. Donc pas le temps pour des problèmes puérils.


Retour sur 87, qui vient de terminer un tour de parcours, visiblement pas assez vite au goût du lead, qui estime que même sa grand-mère court plus vite (TC 03:10:35) et effectivement, le temps demandé n’est pas encore atteint. Il repart donc, avec quelques conseils, certains plus avisés que d’autres, de 21 et des autres agents SWAT. Pendant qu’il se démène sur le parcours, Casper fait le point avec April sur sa discussion avec 08, mais vite interrompu par le suivi du test. Son troisième essai réussi, 87 part avec 21 et 08 pour son test de tir, tandis que 99 prépare le suivant. Kurt tient d’ailleurs Rockett au courant de l’affaire concernant Miaouss et lui en fait un résumé. Puis les deux hommes retrouvent les autres, en se disant sur le chemin qu’ils ont encore besoin de recruter. 90 était intéressé mais il est blessé, à peine sorti de l’hôpital où il était inconscient plusieurs jours, donc ce n’est pas pour tout de suite. 07 n’est pas fermé à ce recrutement, mais l’a déjà prévenu : si il ne suit pas les ordres il dégage, mais a priori ça lui va. De toute manière le plus important est de suivre les leads, et de bien s’intégrer. 99 a d’ailleurs une potentielle bonne nouvelle : peut-être que 95 (Lloyd Lipton) va revenir. Cela ferait un membre de plus, même s’il ne récupérera pas son ancienne place de n°2 pour autant !

Depuis les hauteurs, Casper et Rockett observent 87 tirer et préparent le stress test qui va suivre. Et comme le test de tir se passe bien, place à la suite (TC 03:22:15). 07 effectue une descente express pour assister dans cette partie (TC 03:23:50) et questionner 87 sur son ressenti et sur ce qu’il vient d’entendre. Après quelques questions il explique le but de l’exercice : recréer un effet tunnel, qui comme souvent, a fonctionné. L’objectif est de simuler des opérations : par exemple une banque où il faut traiter la menace, faire attention à l’environnement, au milieu de cris et autres bruits. Toute l’équipe est plutôt satisfaite et donne son aval, et change de lieu pour passer au dernier exercice : un peu de boxe. C’est 08 qui sera l’adversaire de 87, tandis que Kurt s’entraîne déjà sur les militaires (TC 03:29:53)


Sur la pelouse, 08 et 87 enchaînent coups et esquives (TC 03:31:50), alors que 21, 99 et 07 observent et commentent d’en haut. Le combat est bref, le but n’est pas de finir KO. Il est donc temps de donner une réponse à Robert Smith. Tous semblent du même avis, Kurt explique qu’il a réussi les épreuves et que la suite est plutôt un test d’intégration, et se tient donc sur plusieurs jours. 87 est apte à rentrer au SWAT et a donc l’opportunité de rentrer dans cette dernière phase, le jour 3, afin de voir s’il est capable de s’intégrer au groupe. Il sera donc évalué sur sa motivation, sa capacité à s’intégrer, pendant environ une semaine, avant d’obtenir une réponse définitive. Maintenant tout est entre ses mains pour mettre des paillettes dans la vie du SWAT ! (Voilà une nouvelle idée de surnom, parfaite pour aller avec Bébou et Princesse !)

Le lieutenant Schröder rappelle les grands principes de l’unité : quand il donne une consigne tout le monde va dans ce sens, on ne discute pas sur une opé, on discute après et on change si besoin. Pas de conflit dans le SWAT, si il y a un problème il est réglé en interne. Rien ne sort du SWAT. Si il décide que plus personne ne se met en service parce que le commandement veut taper sur l’unité, tout le monde suit. Le SWAT est une famille : ils avancent ensemble, crèvent ensemble, et n’abandonnent personne. C’est ce qui fait leur force, et les rend plus ou moins intouchables. Au final le commandement n’a que peu de pouvoir sur l’unité, car elle suit ses leads : 21 et 07. Ils sont conscients que ça ne peut pas plaire à tout le monde, ce qu’ils peuvent entendre. Mais ceux qui entrent dans l’unité le savent. Et c’est un système qui fonctionne, qui soude les gens, et qui est presque indispensable vu leurs missions.

Il passe ensuite au règlement : il ne veut pas entendre de retour négatif sur les membres de l’unité, pour lui il est membre SWAT avant d’être membre du LSPD et se doit de renvoyer une image exemplaire. Tous ont le droit de s’exprimer, de donner leur avis, mais à la fin c’est lui qui tranche. Il y a des surnoms, il faut les utiliser (même si 07 reconnaît faire souvent des erreurs sur ce point). Ensuite, être au SWAT ne donne pas l’autorisation d’être un connard ! Sauf pour Kurt. La première qualité d’un membre de l’unité c’est l’humilité. Il ajoute des précisions sur les absences, les armes, les missions du SWAT, les véhicules, l’histoire de l’unité et de sa création puis il ne reste plus qu’à faire passer à 87 son accréditation M4. Ce dont se chargent les autres membres.


Robert est désormais prêt pour son entrée au sein du SWAT. Kurt rappelle aussi qu’il n’y a pas de question bête, qu’il n’hésite pas à s’impliquer et à poser des questions. Il préfère ça à 87 qui se retrouve à devoir aller chercher ses rotules aux EMS après une erreur. En parlant de rotules, 21 rassure le nouveau, 07 a tendance a sortir cette menace à tout bout de champ, mais elle ne l’a jamais vu la mettre à exécution (TC 03:48:45). Ce qu’il met par contre à exécution c’est l’offre de la place de second à 99 !


Le groupe termine par une visite des lieux et des différentes zones d’entraînement, avant de retourner au centre-ville. Et c’est après un passage au Otto’s que Kurt prend sa fin de service pour une nuit de repos bien méritée.



S02 EP18

S02 EP18 - 08/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1972041633

https://youtu.be/QhjGpXIIucQ?si=zi0x7RCN7U4jjI1y


Perspective d’une perquis’ : mais entrainement d’abord

A peine le temps pour Kurt de se poser avec sa vapoteuse, il est attendu dans la salle du BE pour préparer une nouvelle opé ! C’est donc l’heure d’un nouveau brief, pour cette fois une perquisition. Le but est de sécuriser les lieux, de veiller à ce que personne ne s’échappe et être prêt à intervenir en cas de résistance. Comme il s’agit a priori d’une planque, il y a potentiellement moins de risque que dans un quartier, mais il faut toujours être vigilant et préparé. Ils partagent donc informations, plans et photographies pour une première prise de connaissance sur les lieux. Le SWAT formera deux colonnes pour sécuriser l’extérieur puis l’intérieur de la planque, et pour l’opération en elle-même, rendez-vous est pris pour plus tard dans la soirée.


Le brief terminé, 21 profite de la présence de 87 pour lui faire découvrir de premiers exercices, elle lui a déjà fait passer son accréditation cat. 3, direction donc la base militaire pour une initiation. Robert Smith tente de faire un peu la conversation et donne quelques infos sur la journée : quelques Brokers qui traînaient à côté des contrôles de police, juste pour observer. Ils ont visiblement envie de jouer avec la police. A leur risques et périls, avant que ce ne soit le lead du SWAT qui ait envie de jouer aussi…


Une fois arrivés sur place, Kurt commence les explications. Pour l’instant 87 ne se retrouvera jamais tête de colonne. L’objectif est de garder une distance de sécurité pour ne pas se retrouver à tirer en l’air, le premier qui ouvre le feu est celui en tête de colonne, puis les autres suivent en veillant à rester en décalage. Il faut surtout être réactif. En général le SWAT fonctionne avec deux colonnes pour couvrir deux côtés, comme ce soir. Si les colonnes se rejoignent sur un individu, ils privilégient la formation en V, ils sont à découvert mais cela leur permet de ne pas se tirer dessus, et en général le criminel est vite neutralisé face à ce dispositif. La réactivité est donc primordiale, de même que la communication.

21 et 87 se mettent en place  et commencent leur progression, sous la surveillance de Kurt (TC 00:32:00). L’initiation se fait rapidement, 07 a quelques conseils à ajouter, notamment sur son placement pour ne pas avoir son arme directement pointée sur le dos, ou la tête, de son collègue. Et donne des précisions supplémentaires : vérifier l’arrière lorsqu’il est en fin de colonne et veiller à toujours être à couvert, par exemple contre un mur. Il parle de main gauche ou main droite pour expliquer qu’il doit toujours avoir une protection à portée de main lors de sa progression. Finalement, il ne reste jamais seul, sauf les deux lead qui peuvent se le permettre, mais les membres d’une colonne se suivent. 

Il donne encore quelques exemples d’intervention pour expliquer leur fonctionnement dans certaines situations comme le braquage d’une banque.


Une courte pause de 87 permet à 07 de râler sur le commandement qui ne traite toujours pas les candidatures en attente. Il compte bien en parler au commandant, si possible avant l’opération, il est même prêt à prendre le relais si besoin mais il faut que les choses avancent. Retour ensuite à l’exercice du déplacement en colonne (TC 00:46:50), qui se termine par un petit tips du lead pour la nouvelle recrue. Kurt profite d’être sur la zone d’entraînement pour reproduire l’opération de la soirée car ils vont devoir entrer dans une maison pour la sécuriser. Il explique donc les placements à prendre et les éléments sur lesquels ils vont devoir être vigilants et par exemple comment réagir lors de la découverte d’un otage, ou dans un escalier. Puis termine par un résumé global des consignes et informations les plus importantes, avant d’ajouter son objectif : s’entraîner afin que chacun connaisse son rôle sur le bout des doigts et qu’ils n’aient presque plus besoin de parler lors des interventions. 07 et 87 font ensuite un essai d’une progression dans les escaliers puis Kurt continue ses explications : il n’y a pas de question bête mais toujours après les opérations, il y a d’ailleurs toujours un débrief et si une intervention a été particulièrement difficile, qu’il n'hésite pas à solliciter une aide psychologique. Il ne sera jamais écarté pour ça, sauf s’il en exprime le besoin ou si le lead estime qu’il n’est pas apte. Normalement ce soir, sa première opération ne sera pas trop difficile mais Robert est content d’avoir pu faire cette initiation avant.


Il est temps de retourner au poste. Sur le trajet, Kurt explique que lui aime emmener les unités sur la base militaire pour des entraînements, d’autres membres préfèrent faire des patrouilles pour rester un peu sur le terrain, avec les autres agents et pas tout le temps qu’avec le SWAT. Ce qui permet aussi d’en discuter avec les agents intéressés, même si un point est régulièrement fait lors du dispatch hebdomadaire. Dans tous les cas qu’il n’hésite pas, il trouvera toujours quelqu’un qui veut partir s’entraîner, ou partir en patrouille.


Non sans regarder : les dossiers des postulants

De retour au PdP, 21 et 87 partent manger avant le lancement tandis que 07 se fait alpaguer par 22 (TC 01:13:00). Un agent SWAT aurait donné lors d’un entraînement le nom de la taupe de l’intervention du début de la semaine. Ce n’était pas lui dans tous les cas, il n’était pas là, et voudrait comprendre aussi pourquoi il n’y a pas que les leads au courant mais il fera un rappel. Pour le moment le plus important c’est d’aller laver et réparer le RIOT, afin de s’entendre réfléchir quelque peu.


Le véhicule à peine rangé, Kurt se remet en mode EM en contactant un postulant au LSPD, Standley Ezékiel, travaillant actuellement au Life (TC 01:24:00). La rumeur d’un vol à l’arraché circulerait sur ce dernier, et le lieutenant préfére aller directement à la source. Au téléphone, bien que l’homme soit étonné (car non, en effet, il ne se permettrait pas de postuler, s’il avait agit ainsi), il se permet de préciser que selon lui, ce n’était pas du racket et propose de venir directement au poste pour en discuter.
Arrivé sur place, le fameux Ezékiel explique avoir agit par énervement mais aussi par devoir : alors qu’il se promenait sur le campus, il est tombé nez à nez avec un gars qui se permettait de déranger la tranquillité des étudiants en leur proposant des produits illicites. En bon citoyen, n’écoutant que son courage, il se masqua alors pour demander au malotru de lui donner ce qu’il avait sur lui. Face à tant de bravoure, et peut-être par peur aussi, l’homme lui a transmis tout ce qu’il avait en weed et argent, avant de disparaître. Ceci fait, le héros s’est alors dirigé vers le cimetière pour jeter ce qu’il venait de récolter. Schröder, quelque peu surpris par ce récit, tente d’expliquer que ce geste n'était pas totalement légal, même si l'intention peut être louable. En comprenant la bonne volonté du postulant et notant qu’aucune plainte n’a été déposée, l’agent ne voit pas d’inconvénient à plaider son dossier. Puis profitant d’avoir un journaliste sous la main, il demande alors la politique du Life sur les poursuite des CP et autres nouvelles instantanées. Standley confirme que ses supérieurs autorisent la suivi de courses poursuites, même si personnellement il a déjà eu quelques accrochages avec des agents de police. C’est bien noté pour 07 qui promet des nouvelles rapides, sous-entendant que l’opération prévue ce soir ne sera pas longue. En bon journaliste, Standley tente sans grande subtilité d’obtenir des informations supplémentaires mais c’est tout ce que laisse filtrer le lieutenant.


Kurt reprend donc le chemin du garage du poste, où les parties prenantes de l’opération sont rassemblées pour le brief d’avant lancement (TC 01:36:35). Voyant que le commandant s’éloigne pour une commande de GPB, 07 saute sur l’occasion pour discuter en tête à tête. Il explique avoir appelé le journaliste pour faire le point sur sa candidature et donne sa version à 32, le présentant sous son meilleur jour. Le commandant reconnaît une intention louable, mais dans les faits une action un peu débile ! Si il le recrute, il veut que les agents ne le lâchent pas d’une semelle, ce qui convient au lieutenant, qui est même prêt à s’en occuper lui-même. En voyant les motivations exprimées par certains postulants, il souhaite agir assez rapidement pour ne pas les laisser filer, espérant de bonnes recrues, contrairement à d’autres qui indiquent postuler “pour remplir le frigo” par exemple. Le commandant fait donc le point sur les candidatures en cours, ceux qui ont été contactés, certains en attente et pourquoi, et Kurt propose d’autres idées de fonctionnement pour prioriser les plus motivés. 32 explique d’ailleurs qu’il va déplacer le jour des recrutements au vendredi, le dimanche il y a trop de choses à faire. Ezékiel fera sans doute partie de la prochaine vague, qui sera la semaine suivante. Le planning est prévu pour être à jour dans toutes les candidatures d’ici 3 semaines. Cela semble long pour Kurt, qui remarque qu’il y a peu de cadets en ce moment, il est même prêt à faire sa part de formation mais pour Zepel ce n’est pas la peine, il y a des officiers 3 qui veulent devenir sergents donc ils vont s’en sortir, sur une base d’environ 4-5 entretiens/recrutements par semaine. Les effectifs commencent à être complets, les off. 2 et 3 sont nombreux et bien présents, à ce rythme ils seront bientôt à jour et pourront recruter au fil de l’eau sans besoin d’instaurer des créneaux hebdomadaires.


Une perquiz’ : qui sera plus courte que prévue

Retour sur l’opération et son déroulé : le BE donne le top inter au SWAT qui sécurise l’extérieur de la planque, puis le commandant enfonce la porte et le SWAT entre pour vérifier l’intérieur. Rien de bien compliqué, le résultat dépendra de ce qu’ils trouvent sur place, en espérant une bonne prise. Le commandant répète ces informations une fois tout le monde rassemblé (TC 01:48:10) tandis que Kurt s’équipe, ainsi que son unité.
Quand tous sont prêts, le lieutenant effectue les derniers ajustements avec les agents lourdement armés, avant de se rendre sur les lieux à sécuriser, en colonne. Et c’est à peine arrivé, que le groupe progresse, dans le calme et la concentration afin de sécuriser la maison (TC 01:56:45). Rien à signaler à l’horizon. Kurt prévient en radio les collègues qu’il peuvent intervenir sans encombre. Et ce malgré les problèmes de circulation qu’engendrent les patrouilles de police dans le quartier résidentiel. C’est donc sous les insultes, ressemblant plus à un disque rayé, des riverains, que le SWAT sécurise la zone pendant que les gradés interviennent dans la maison.

Cependant, en voyant l’étendue des lieux, il est demandé aux agents de l’unité de venir jeter un œil dans les locaux (TC 02:06:15). Malheureusement, un seul agent arrive à entrer, Kurt, qui ne remarque rien dans chaque pièce qu’il visite. Le commandant fait quelques tentatives supplémentaires mais rien n’y fait, ils ne sont que deux à pénétrer dans la maison, qui est désespérément vide. Un dégât des eaux fait craindre que la planque soit abandonnée depuis bien longtemps. 

Casper, qui porte bien son nom à cet instant précis (TC 02:12:25), quitte donc les lieux, non sans difficultés pour cette fois sortir de la maison. Alors que son équipe avait déjà fait le deuil de son lead à force de l’attendre, ce qui le motive bien sûr à leur proposer une partie de roulette russe, tous vont pouvoir retourner au poste. En entier, ou presque (TC 02:17:55). En plus d’être un fantôme, Kurt fait aussi des tours de magie avec le RIOT, qui s’envole dans les airs Clip. Heureusement tout le monde est vivant, ils s’en tirent juste avec une belle frayeur, mais un passage au Otto’s est indispensable !


07 profite d’ailleurs de ce temps de pause pour appeler M. Standley et le tenir au courant : au mieux il sera appelé en fin de semaine, ou la semaine suivante. C’est bien pris pour Ezékiel, qui en profite pour annoncer qu’il vient de se faire licencier du Life et  qu’il va donc falloir qu’il trouve de quoi s’occuper en attendant. 

Une fois cela fait, et après quelques blagues avec les agents SWAT et AG sur le parking du garage (TC 02:26:30), il est temps de rentrer au poste.


De quoi prendre le temps : de gérer un braquage en parallèle

Sur le chemin du retour, 87 partage sa joie : très belle première opération ! Surtout que comme le fait remarquer Casper, il l’a formé plus tôt en lui expliquant qu’il ne fallait jamais être seul et s’est retrouvé à faire toute la partie reconnaissance en solo. Il y a toujours des imprévus ! Mais exceptionnellement, il n’y aura pas de débrief post-opé, ça n’en vaut pas vraiment la peine.

Les agents prennent tout de même encore un peu le temps de discuter et de décompresser avec quelques vannes avant de chercher quoi faire de la suite de la soirée. Un appel du capitaine va vite décider pour eux (TC 03:37:30) ils viennent d’obtenir l’adresse du nouvelle plaque ! Rebelote !

Tout le monde se rééquipe et se tient prêt à repartir, dans la bonne humeur après le fiasco précédent. Un petit brief est fait aux agents, le commandant décide de faire comme la première fois et d’y aller seul avec 07, comme ça si il n’y a rien, encore une fois, ils abandonnent et quittent les lieux ! Lui aussi en a marre. Plus sérieusement, le plan est le même, il y a quelques plaintes pour la forme et le SWAT monte dans ses RIOT, en attente du top du BE.


Mais une nouvelle alerte va peut-être remettre l’opération en cause (TC 02:46:20). Une banque ! Ou pas. Juste la sonnette de l’accueil cette fois, mais la deuxième alerte (TC 02:47:20) annonce une prise d’otage dans un magasin. Il va falloir accélérer. Le SWAT se met déjà en route mais le commandement a besoin d’eux sur la prise d’otage. L’unité se sépare donc : une équipe sur la perquisition de la planque, et une sur la prise d’otage. C’est le RIOT de 07, 87 et 99 qui se rend à proximité du magasin tandis que le reste se met en place : négociation, lead op, etc. 

Le RIOT se planque dans un tunnel en attente des instructions, et justement 51, lead op, appelle Kurt à la recherche de conseils pour la meilleure tactique à avoir (TC 02:50:45). 07 lui confirme qu’ils sont prêts et qu’il interviendra au moindre signe de sa part. Ceci dit, les deux hommes raccrochent et dans le véhicule blindé, les agents se briefent sur les déplacements potentiels à avoir en cas de déclenchement, tout en observant les véhicules et notamment une voiture qui semble plus que intéressée par l’action en cours. Mais RAS pour le moment. La patience sera de mise.


Les premières informations tombent par l'intermédiaire de Jacques Roche, Une dominator SP jaune, avec à son bord des hommes armés serait prête, d’après leurs dires, à aider les FDO. C’est bien pris du côté du RIOT, étonné par cette proposition. Du côté de la bijouterie, les braqueurs seraient à la charge du butin et il y aurait 5 otages.
En parlant de la voiture jaune, la voilà qui justement se rapproche du blindé. Kurt armé, en sort, faisant disparaître comme par magie les visiteurs. Mais pas les observateurs placés quelques rues plus haut. Le SWAT se décide alors à les déloger en grandes pompes (TC 03:07:30).  C’est à pied, toutes armes dehors que le trio se dirige vers le parking, avant que le lieutenant annonce d’un ton ferme à ce que tous sortent des véhicules et que le ou les chefs se présentent. Un homme à la crête rouge se présente et explique qu’un de leur gars est présent comme otage. 07 prend note mais demande quand même à ce que la place soit vidée, une opération de police étant en cours. Alors que des menaces commencent à se lancer, un type arrive, attrape son chef par la manche avant de l’emmener dans une des voiture et de partir. En retournant vers le blindé, Kurt fulmine, les FDO ne sont pas des bêtes de foire. Quoi qu’il en soit, cela fait beaucoup de membres d’autres groupes présents comme otage. A voir si cela peut jouer dans les négociations. Négatif entend-t- il dire à la radio, les braqueurs les feront partir en dernier. Cela promet de l'animation dans les prochains jours…

Soudain un coup de feu, l’Anti Gang ne répondant pas (à cause d’un mal de tête fulgurant), le SWAT se précipite sur les lieux (TC 03:18:30). Il découvre plusieurs Vagos installés comme au spectacle. 07 leur demande de s’éloigner encore un peu, afin d’être hors de vue. L’un des hommes ne peut s'empêcher de remonter la lenteur de l’opération. 07 ne peut être que d’accord et lui assure que si cela ne tenait qu’à lui, il serait déjà à l’intérieur. Les hommes obtempèrent et s'éclipsent. En radio les choses s’accélèrent, le trio se positionne prêt à intervenir. 

Le top est lancé, les braqueurs partent en CP pendant que le SWAT progresse dans la bijouterie afin de sécuriser les lieux (TC 03:23:15). RAS, sur place, il ne reste qu’un véhicule fermé et non loin de là un otage un peu choqué. Le temps de vérifier auprès du négociateur que ce dernier prend bien en charge l’homme sur le trottoir, et le SWAT repart changer de voiture pour mieux raccrocher les CP en cours.


Et c’est à peine arrivés dans le nord qu’ils entendent parler d’une séparation des individus à pied, dont un est repéré sur la Great. Juste annoncé et les voilà déjà sur les lieux (TC 03:31:30). Voyant toutes les patrouilles converger, Kurt décide de sécuriser la zone (ainsi que les blessés) et de laisser ses collègues gérer. Des bribes de conversation qu’il peut entendre de là où il est, il comprend que la CP étant passée dans une zone, les propriétaires des lieux ont décidé de faire justice eux même, avec quelques dégâts humains collatéraux. Le lieutenant prend alors les choses en main. Ne pouvant pas laisser cette action impunie, il garde les blessés pour un petit passage au poste, avant de demander aux valides de déguerpir très vite, avant qu’il ne change d’avis, sous le regard incrédule de ses collègues. Lorsque que tout se calme un peu, 07 prend le temps d’expliquer la situation et son positionnement. Certes, la CP a été interrompue mais il y avait trop de monde, trop de groupes et la situation aurait pu s’envenimer très vite. Ils ont des hommes des deux camps c’est l’essentiel.

Alors que les ambulances emmènent les blessés, le SWAT décide de se pencher sur les véhicules abandonnés, en les mettant en saisie. En radio, un crépitement donne le total de la perquisition du soir 100 millions de $, une belle prise. Cependant, cette bonne nouvelle ne fait pas décolérer Kurt qui sature des personnes se permettant de juger une décision alors qu’elles n’arrivent qu’après la bataille. Vu la situation, les groupes étant plus que tendus, il fallait vraiment désamorcer la situation. Et connaissant les langues bien pendues du PDP, il préfère directement donner sa version à plus haut, soit 32 (TC 03:39:00). C’est bien pris pour Zepel qui les attend pour continuer à vider la maison de la perquisition. 


Retourner aider : et se retrouver dans un traquenard

Après de longues minutes à attendre la dépanneuse pour la Buffalo, le trio file aider 32 (TC 03:54:05). Sur place, ils se mêlent à la chaîne déjà présente qui fait des allers retours pour vider les placards et autres armoires. En même temps, vu le poids du matériel, tout ce monde n’est pas de trop. Et malgré la répétition des gestes, les agents effectuent leurs tâches dans la bonne humeur, sans oublier de se tacler par moment. A croire que les mouvements cycliques font tomber quelques barrières de bienséance et de nerfs. De temps en temps, une pensée pour le propriétaire des lieux est lancée, certains souhaitant voir sa tête lorsqu'il découvrira sa maison vide, d’autres ne voulant pas être présent, préférant se contenter d’un message entreprise avec éventuellement un cadeau de remerciement. Dans un sourire, 07 en profite pour annoncer que tous les RTT sont supprimés pour les jours à venir. Cette nouvelle, bien que comprise sur le ton de l’humour, en fait souffler plus d’un.


Les allées et venues des uns et des autres influent sur la porte d’entrée qui se bloque régulièrement, ralentissant le travail des troupes et permettant à certains de prendre un rôle de composition : regarder ceux qui bossent (comme à la DDE).


C’est après plusieurs heures que les FdO s'éloignent, toutes sirènes hurlantes, enfin, de la maison vidée, les coffres pleins (TC 04:50:00). Les derniers ordres de vérification des saisies donnés, Kurt décide de prendre une pause bien méritée.

S02 EP19

S02 EP19 - 12/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1975820496

https://youtu.be/jR7_6o0a1yg?si=fw-84OC7AkpvVUSW


Un convoi : à très haut risque

Ce soir, le lieutenant Schröder prend son service dans la précipitation. Il retrouve tous les agents dans le parking souterrain, pour un très gros brief : une opération très importante se met en place. Un convoi de saisies, mais qui n’est vraiment pas habituel. En effet, il contiendra tout ce que le LSPD a récupéré dans la perquisition qui a eu lieu quelques jours plus tôt. Il est donc à très très haut risque. Car ceux à qui le matériel a été pris, veulent le récupérer. Et tous ceux présents sur l’opération risquent de ne pas en revenir.

21 a déjà commencé à préparer un plan avant l’arrivée de 07, qui en prend connaissance tant bien que mal alors qu’il vient de prendre son service. Quelques agents remercient leurs collègues pour ce qu’ils ont vécu ensemble, au cas où, mais ils n’ont guère le temps pour ça, tout s’organise très vite. Un hélicoptère spotte déjà le PdP et des Insurgents tournent en ville. Kurt ne remet pas en question le plan, il n’était pas présent, mais essaye de comprendre pourquoi ils ne sont pas dans les RIOT. 67 explique que c’est pour qu’ils soient en capacité d’intervenir et pas occupés à vider les saisies.


C’est parti (TC 00:12:15) ! L’hélico suit déjà le convoi et un petit cafouillage dans le plan n’aide pas mais le convoi ne doit pas s’arrêter. Avoir un hélico de combat au-dessus, potentiellement équipé d’un lance-roquette n’aide pas à garder son calme. Malheureusement, à l’approche des docks, un barrage d’Insurgents les attend déjà (TC 00:14:25).


Tout le convoi tente de faire demi-tour pour prendre un autre chemin, mais les véhicules blindés sont à leurs trousses et foncent droit dans les voitures du LSPD (TC 00:15:05). Les agents tentent de remonter le convoi, les RIOT ne doivent pas s’arrêter, leur protection est la priorité, des premiers tirs se font donc entendre. 07 et 67 font pied à terre et vident leurs premiers chargeurs sur un Insurgent (TC 00:15:35). Des tirs en continu résonnent sur la zone, puis des explosions. Le duo SWAT est déjà trop loin pour toucher les blindés, ils reprennent donc la VSTR pour se rapprocher et aller aider les RIOT et les agents encore debouts. Dans le chaos ambiant, difficile de savoir qui est où. Le RIOT que Kurt rejoint est un leurre, donc vide, mais un leurre qui fonctionne car trois Insurgents arrivent sur eux. Ailleurs la confusion règne, des tirs partent aussi de l’hélicoptère, 07 et 67 essayent de rejoindre le deuxième RIOT à défendre mais retournent finalement aider le premier, entouré par les criminels et sous des salves de tirs (TC 00:18:10). Les premiers tirs effectués par Seppi et Kurt font directement d’eux des nouvelles cibles, et la VSTR, leur seule protection contre les balles, se transforme bientôt en passoire. Ce maigre bouclier ne va plus tenir très longtemps, les tirs sont continus et ne leur laissent aucun répit. Lorsque l’hélicoptère vient se placer de l’autre côté d’eux, là où ils sont à découvert (TC 00:18:35), ils n’ont plus le choix : c’est partir, ou mourir. Une courte accalmie dans la pluie de balles leur laisse une ouverture, les deux hommes sautent dans le véhicule (TC 00:18:55). Vu son état, ils ne peuvent aller bien loin et se contentent de cacher la VSTR dans un tunnel.


Pas le choix, c’est à pied qu’ils vont devoir rejoindre leurs collègues pour apporter leur aide, sans se faire repérer par les véhicules blindés (TC 00:19:55). L’ordre est donné de se rapatrier vers le premier RIOT pour en récupérer une partie du contenu et tenter malgré tout de le détruire. Sur le chemin, ils découvrent les vestiges d’une partie des affrontements qui viennent d’avoir lieu : des véhicules abandonnés, détruits et calcinés. Et pour rajouter une difficulté, le RIOT est stationné juste à la limite du quartier des Vagos, qui sont présents, armes en main (TC 00:23:30). L’ordre est donné : au moindre geste brusque, le LSPD tire. Le capitaine explique au groupe en jaune que l’opération ne les concerne pas mais les Vagos se considèrent chez eux, et refusent donc de bouger. Si les deux factions s’accordent pour éviter une escalade, la situation peut toujours dégénérer à tout moment. Et le retour de l’hélicoptère n’arrange rien et ne fait qu’ajouter à la tension ambiante (TC 00:24:40).


Lorsque malheureusement les Insurgents reviennent à leur niveau (TC 00:27:25); le LSPD se retrouve coincé : les Mask d’un côté, les Vagos de l’autre et l’hélicoptère au-dessus. Face à un lance-roquette et des AK-47, les agents baissent leur armes. Le chef des Mask, estimant qu’il y a eu assez de blessés, demande à parler. Capitaine et commandant s’approchent alors. Les agents tentent de garder un œil des deux côtés, alors que les Vagos braquent leurs armes dans leur direction. Le chef du groupe criminel explique que la police a certes récupéré du matériel qui leur appartient, mais surtout de l’argent. Beaucoup d’argent. Il a donc une proposition : récupérer sa mallette, pleine, le LSPD peut garder le reste, et ils seront quittes. Le capitaine s’assure qu’aucun mal ne sera fait à ses unités avant d’accepter la proposition. Le Mask confirme leur volonté de rester invisibles, comme à leur habitude, si ils récupèrent la mallette, personne ne sera blessé.

L’argent n’est pas dans le RIOT, rendez-vous est donc pris devant le poste quelques minutes plus tard. Le SWAT et quelques agents restent en sécurisation le temps de remorquer tous les véhicules et surtout pour surveiller les Vagos. Même si ces derniers ont l’interdiction de toucher le contenu du RIOT par les Mask.


Ce que souhaitent récupérer les Mask est clairement une goutte d'eau comparé à la saisie effectuée mais 07 regrette que cette négociation n'ait pas eu lieu plus tôt, ce qui aurait pu éviter des blessures graves à certains agents.

Le RIOT est immobilisé mais les employés de chez OTTO's refusent d'intervenir à cause d'un hélicoptère armé à proximité. Après discussion avec le commandant, un employé récupère tout de même le camion. Les autres véhicules présents sont aussi bien amochés. Signe d'une attaque violente. Les unités toujours sur place les déplacent avec précaution pour s'éloigner du quartier des Vagos et de la zone de conflit. 

Kurt est aussi amené vers son véhicule, laissé à l'abandon dans le tunnel. Hélas il a besoin d'une bonne réparation au vu de son état. Sur le trajet du retour au commissariat, le débrief commence déjà entre les agents. Ils font état des véhicules explosés notamment la VST-R de 21, que 07 promet de racheter même avec son propre argent s'il le faut. 

La décision est prise, le convois de destruction des saisies est reporté à un autre jour. La discussion tourne maintenant sur la violence de l'assaut et la force des unités qui ont tenu face aux nombreuses balles. Ce qui a permis une négociation de la part du groupe criminel.

Arrivant dans la conversation, 66 fait remarquer son avis très positif de 30 comme lead. Les autres présents sont hilares. Kurt promet de faire la remontée à 30, membre du BE et tout à fait logiquement lead depuis des semaines. Un autre agent arrive et parle de son altercation avec les Brokers. Il s'est en effet retrouvé seul avec un camion de saisie, entouré des membres du groupe qui l'ont braqué mais sont répartis sans se servir dans le camion… qui pourtant était rempli de plus d'une centaine d'Uzi et d’armes en tout genre. 

Une équipe est ensuite mise en place pour la surveillance du RIOT toujours rempli des saisies pour ses réparations chez OTTO's. Un employé arrive d'ailleurs pour récupérer le véhicule. On lui explique alors la procédure un peu particulière. A la radio, les informations défilent sur l'état de santé des plus blessés. 90 est sous coma artificiel mais sa vie n'est pas en danger, 11 aurait fait deux arrêts cardiaques et elle est aussi en observation pour la nuit, 21 quant à elle, est encore en opération. 

Arrivant au OTTO's (TC 00:59:40), 07 demande à Bodein de s'occuper de la surveillance des mécaniciens ainsi que de les fouiller après la réparation effectuée. Le RIOT de nouveau sur roue (TC 01:11:45), le convoi retourne au commissariat, la situation est encore tendue pour les agents. 

La casse n’est : pas que matérielle
        Alors que 07 est de retour au tunnel pour s'occuper de sa VST-R, un call radio leur ordonne un 10-19 pour un débrief. A peine revenu sur la route des docks que le véhicule se fait percuté par un autre (TC 01:16:12). Une seconde voiture les encercle et plusieurs membres des Brokers sortent des voitures armes en mains. Ils ordonnent à 07 de placer ses armes dans leurs coffres mais celui-ci leur tient tête et refuse de le faire. Ils repartent alors chacun de son côté. Kurt se rend immédiatement au tunnel pour protéger sa VST-R encore sur place. Au cas où le groupe s'amuse à la voler. 

En attendant que le garage intervienne, 07 appelle le commandant. Excédé par la situation avec les Brokers (TC 01:18:50). L'échange est très tendu, 07 n'en démord pas et après que le commandant lui ai raccroché au nez, il fait un call radio en disant que s’ils ne s'en occupent pas, il le fera ! Aussitôt, 32 prévient 07 en radio qu’il doit prendre sa fin de service après cette intervention et qu'il est convoqué dans son bureau. C'est un 10-10 du lieutenant, qui reste en service. Le temps est long et les Brokers sont juste en face, à les observer. D'autres unités arrivent alors pour sécuriser l'endroit. 

La colère de Kurt contre le commandement est encore bien présente. Tout autant que sa frustration concernant leur inaction face aux Brokers. Il n'arrive pas à comprendre pourquoi ils ont aussi besoin d'un débrief pour ce soir, ils se sont fait défoncer, pas besoin d'en rajouter juste pour faire du blabla pendant des heures. Les agents sur place sont d'accord avec lui. Le convoi de saisie à été décidé sans en parler en amont et certaines décisions ont été prises par le commandement en totale improvisation. 07 ajoute d'un ton las : “ si 21 crève, ça sera de leur faute”. Enfin un camion de chez OTTO’s arrive après avoir été bloqué par les Brokers, et la VST-R peut enfin repartir en réparation. 

Les agents prennent la route vers le garage et 07 se contient vraiment alors que les autres confirment ses pensées et son avis sur la situation avec ce groupe criminel. Ils restent scotchés par la violence de ce soir. Les Mask ont eu la main très lourde dans leurs munitions, il n’ à qu'à voir le nombre de trous dans les véhicules ou bien les gilets utilisés pendant l'opération. 

07 souhaite se rendre aux EMS prendre des nouvelles de 11 et de 21 avant d'aller au commissariat. Sa voiture enfin réparée (TC 01:53:13), ils s’y rendent tous ensemble. 90 est bien sorti du coma et déjà rendu au poste. 11 est encore en observation et 21 est enfin sortie. Ils la rejoignent pour discuter.

Roche appelle le lieutenant pour le prévenir que le RIOT explosé est bien le sien. Comme il s'en doutait déjà. 07 en profite alors pour évoquer une discussion qu'il a eu avec un inconnu chez OTTO’s à son sujet justement. Le jeune homme s'est insurgé d'une remarque de 28 alors qu'il demandait juste si celui-ci allait bien. Le lieutenant lui confirme qu'il ne fera pas de remontée EM, surtout avec sa relation avec le commandement actuellement. 

Après quelques minutes auprès de 21, tout le monde se met en route vers le commissariat. Ne prenant même pas la peine de déposer ses armes. Il se dirige vers le bureau où il est attendu de pied ferme.

Un débrief : en demi-teinte
          Le commandant veut déjà savoir comment 07 s'est retrouvé avec son véhicule dans ce tunnel (TC 02:06:35). 07 explique calmement la situation. Après l'altercation avec les Brokers, il a fait le choix de se rendre auprès de son véhicule plutôt que d'effectuer le 10-19 demandé par le commandant. Celui-ci considère que le lieutenant s'est mis en danger inutilement. Il lui reproche aussi ses paroles en radio. En particulier le “ soit vous vous en occupez ou je m'en occupe ?”. 

07 confirme que c'est un sujet qui le frustre énormément  et le tend. Il demande une réelle action à leur encontre. 45 reprend la parole et n'en démord pas, le call radio de 07 ne passe pas pour eux et désavoue leur autorité devant tous les agents. Il fait remarquer à Kurt qu'il y a aussi des tensions avec les Vagos, que de nombreux actes criminels se sont produits chaque soir. Rien que la soirée d'avant il y a eu quatre interventions en même temps sur une agression, une course illégale et deux prises d’otages. Il estime que 07 peut avoir des paroles dangereuses sur le bon maintien de la hiérarchie au poste. 

Le lieutenant met alors cartes sur tables (TC 02:17:30). Il a parlé aux agents du poste. Tente de faire tampon entre leurs dires et les paroles du commandement. Il leur remonte des paroles des agents qui trouvent pour la grande majorité que rien n'est fait à l’encontre des Brokers. 

Pour 45, il faut surtout baisser les tensions avec les groupes. Qu'il est impossible de tous les éradiquer. La discussion est vraiment rompue et difficile.  Chacun tente de faire accepter son point de vue à l'autre. Et le commandant qui reste silencieux. 07 veut leur faire comprendre que la situation est frustrante pour les agents. Quand 45 estime que si un agent se sent capable de prendre sa place pour ce sujet, il la donnerait volontiers. Kurt réplique aussitôt qu'il en est capable. Qu'il l’a déjà fait en tant que commandant et qu'il peut recommencer. 

Contre toute attente. 45 lui indique qu'ils ont réfléchi à cette éventualité, ils ne lui donnent pas l'autorisation mais pourquoi pas lui donner l'opportunité de cette mission. Si dans 3 semaines rien n'est concluant, il devra changer d'avis sur la situation du commandement. 

Ils se tiennent donc au courant pour la suite et le capitaine termine la réunion dans une atmosphère relativement apaisée (TC 02:25:50)

Croisant Kazenko a la sortie du bureau, 07 lui fait un débrief de sa soirée et surtout de cette dernière conversation. Ils échangent ensemble sur la difficulté des agents à faire confiance au commandement. Ce qui les inquiète tous deux. 07 est clair, il ne protégera pas le commandant, ni ses choix, ni ses décisions. Quelques minutes après, le lieutenant part prendre un repos bien mérité après une telle soirée.



S02 EP20

S02 EP20 - 13/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1976598290

https://youtu.be/yG7zi92-YNc?si=vyiIqeVkNBwNXTbk


Un début de soirée calme: ça faisait longtemps…

Le service du lieutenant Schröder débute par un message de Kazenko lui demandant s’il est prévu de passer chez les Brokers ce soir. 44 semble motivé à sortir l’anti-gang. Un passage est bien prévu, mais pour vider les saisies, toujours dans le RIOT depuis plusieurs jours. Le soutien de l’AG est par contre accepté, le SWAT aura besoin d’un coup de main pour la sécurisation et vider le blindé. Le départ est prévu pour un plus tard dans la soirée, si ils sont assez nombreux.

Descendu sur le parking, 07 retrouve 87 et 21. Blessée, 21 ne pourra pas participer aux saisies, pour le moment il n’y a donc que 3 membres SWAT, et autant de membres de l’AG. Ce qui n’est pas suffisant, à voir si d’autres prennent leur service entre-temps. En parlant de l’anti-gang, Kazenko demande à Kurt si ce dernier veut l’accompagner : il a prévu d’aller titiller le gang des Eighties qui traîne du côté de go postal, et gène les travailleurs en interdisant l’accès. Mais 07 refuse la proposition, dommage pour le petit cœur de 44, qui accuse le coup. Et ce n’est pas le seul refus de Kurt, qui ne veut pas non plus prêter d’argent à 81. Il faut dire qu’il attend toujours le remboursement d’un autre prêt. En tout cas, 81 aussi est déçue que Kurt n’ait pas envie de s’énerver ce soir. Mais celui-ci explique qu’il a déjà donné la veille, et comme il risque de voir les Brokers lors du transfert des saisies, il a besoin de rester calme !


Le sujet de la soirée de la veille étant justement évoqué, le lieutenant en profite pour interroger les agents présents sur leur ressenti et leur point de vue, sans langue de bois. 87 explique que la difficulté était de ne pas avoir beaucoup d’informations, si ce n’est que vues les saisies, ils savaient qu’il y aurait des répercussions. L’opération est arrivée assez soudainement mais de son côté il a apprécié que le PdP ait fait corps, personne n’a refusé de participer. Pour Kurt effectivement, c’est un point positif. Mais ajoute que lui de son côté n’a pas été mis au courant beaucoup plus tôt et qu’il estime qu’avoir voulu faire coûte que coûte le transfert malgré la présence des Insurgents et de l’hélico armés, était dangereux. Il aurait préféré une tentative de négociation au préalable. Même s’il reconnaît ne pas tout savoir non plus. Pour 81, il n’y avait pas réellement de bonne solution, les négociations auraient pu échouer, l’armement en face était conséquent, la situation était loin d’être évidente. Et les agents avaient le choix de ne pas participer. Elle est surtout contente de s’en être sortie en un seul morceau !


Avant de partir, Kazenko propose une dernière fois à Kurt de l’accompagner mais ce dernier préfère le laisser s’amuser tout seul. Dommage, ça aurait bien arrangé 44 d’avoir déjà un EM sous la main quand le gang va commencer à se plaindre. 21 lui rappelle tout de même d’être prudent, surtout qu’ils l’ont déjà dans le collimateur. En attendant que d’autres agents prennent leur service, 07 va contrôler les saisies : il y a encore des 9mm LSPD et des gilets à récupérer. Le grade de lieutenant a quand même du bon : c’est d’autres agents qui vont s’en charger. 21 lui explique donc l’histoire entre 44 et les Eighties : elle a déjà eu un appel de leur part demandant pourquoi il tournait autour de chez eux. Autant dire que s’il se pointe là-bas avec une cat.3, ça risque de mal se passer. 


Le parking étant toujours le point de rendez-vous officieux du poste, les agents défilent, jusqu’à ce qu’une demande de renfort les renvoie tous sur le terrain. Kurt suit également, en VSTR pour tourner autour et éventuellement faire office d’intermédiaire si besoin. Finalement tout est calme, il y assez d’unités sur les lieux, retour donc sur le parking ! Pile à l’heure pour une question de 11 : qu’est-ce qu’il fait ce soir ? Parce qu’il y a des cadets à former !


… Et un peu de patrouille : ça faisait longtemps aussi !

Le lieutenant Schröder accepte et se retrouve donc dans une tenue qu’il ne connaît plus trop : celle du LSPD, puis part avec le cadet 05. Il fait d’abord le point avec elle pour savoir ce qu’elle a déjà pu faire, et ce qu’elle souhaite faire ce soir. Pour la sécurité de tous, c’est 07 qui prend le volant et l’Adam part en patrouille. Ambre vient d’arriver et a déjà connu une prise d’otage puis l’opération des saisies de la veille ! La pauvre n’a même pas eu le temps de passer son test psy pour le PPA. Kurt explique donc le fonctionnement du poste, des grades et des unités même si 05 a déjà les informations de base et les deux discutent de ses envies pour le futur, qui prendront sûrement la direction du BE. Elle laisse le travail de bélier à Kurt qui semble être taillé pour le rôle ! Le compliment est plutôt bien reçu par 07, même s’il a plus l’impression de se battre en interne que contre les gangs. Et justement Ambre n’a qu’une seule impression négative pour l’instant : 45. Décidément. 


La patrouille est bien sûr ponctuée de diverses activités : passage aux EMS pour prévoir le test psy, course-poursuite contre une moto et discussions. Ambre est curieuse et s’intéresse à son lieutenant, et à sa carrière au sein du LSPD, ainsi que son opinion sur le commandement. Il explique qu’il souhaite moins de souplesse avec les criminels et plus de discussion avec les agents, mais n’a pas pour objectif de reprendre le poste de commandant. La gestion du SWAT lui plaît bien plus.

66 interrompt la discussion par son appel (TC 00:53:00), pour partager une idée pour le prochain convoi de saisies. Il propose d’utiliser le même principe que celui testé en urgence la veille : utiliser un véhicule banalisé en tant que mule, quitte à prendre le RIOT en leurre mais 07 n’y est guère favorable. Le fait d’utiliser une voiture sans blindage et protection lui pose problème, face à un RIOT bien plus résistant. Une banalisée n’offre aucune sécurité, le véhicule n’est pas adapté pour cette mission, mais utiliser deux RIOT dont un en leurre c’est une idée. 66 envisageait une utilisation de son idée pour un convoi équivalent à celui de la veille mais Kurt explique que celui de la veille n’est pas un exemple, face à la menace d’Insurgents et d’un hélico surarmés, ils auraient dû négocier dès le départ et non pas sortir coûte que coûte. Mais dans tous les cas que 66 se rassure, il n’y a pas d’autres groupes avec un armement équivalent. Son idée reste intéressante mais dans ce cas précis, vu la marchandise ils ne peuvent pas se permettre de la perdre.

L’appel terminé, 05 en profite pour exprimer son opinion : elle est d’accord avec 07 ! Il est bien plus difficile de s’attaquer à un RIOT qu’à une mule au milieu de sérigraphiés, surtout que les gangs sont malgré tout armés. Moins que les Maks certes, mais les Vagos avaient par exemple un fusil à pompe la veille.


Un appel radio fait soudainement réagir toutes les unités : 72 et 99 ont été pris en otage par deux individus (TC 00:59:10). Tout le monde converge vers le lieu indiqué et l’organisation se met en place : négociateur et lead-op supervisé par Kurt. Pas de sortie du SWAT, ils ne sont que deux disponibles, il peut donc épauler l’agent qui gère l’opération. 

Mais finalement, le dispositif n’a même pas le temps d’être mis en place, à peine les premières unités arrivées que les deux individus s’enfuient au volant de la sérigraphiée de l’Adam prise en otage. C’est donc une course poursuite qui se lance, à laquelle 05 et 07 tentent de raccrocher. Il n’est pas toujours évident de trouver un équilibre pour le nombre de véhicules qui sont partis aux trousses des criminels. Une voiture ne vaut pas une vie mais c’est tout de même du matériel de police et les individus sont armés, et sont finalement trois. Entre les ordres de certains, les raccrochages d’autres, les décrochages pour faire le plein ou suite à un accident, le lieutenant finit par imposer trois véhicules maximum de police sur la course-poursuite au milieu de tout ce cafouillage. 

Finalement, le LSPD finit par attraper les malandrins, Kurt aide même à l’interpellation d’un des fuyards (TC 01:08:35). La situation est sous contrôle, le duo peut donc reprendre sa patrouille, plus de peur que de mal. 


Rien de tel qu’une alerte de braquage de supérette pour se remettre dans le bain (TC 01:11:25). Une nouvelle course poursuite se lance dans la foulée, une qui semble bien partie pour durer car le lieutenant Schröder ne lâche rien, et surtout pas la voiture qu’il poursuit. Le conducteur a beau tenter de le perdre, de tourner en rond, de passer par des ruelles étroites ou de se cacher, la sérigraphiée ne le lâche pas d’une semelle. Une deuxième vient en renfort, mais finalement, après une poursuite acharnée, ils finissent par perdre le véhicule. Au moins Ambre a eu l’occasion de s’entraîner aux calls radio dans diverses situations.


Cela sonne la fin de service pour Kurt, gagné par la fatigue. Il prend tout de même le temps de faire son travail de gradé : son rapport sur 05, et de discuter quelques instants avec les agents, avant d’aller se reposer. Ce sera toujours mieux que de s’énerver ! Même si Rockett a une solution : un sac de frappe, avec pourquoi pas des têtes interchangeables à mettre dessus. En parlant de solution, Kazenko en a une aussi pour son lieutenant qui vit et dort dans le PdP : une place dans sa colloc’ ! Kurt n’a pas oublié l’invitation, mais n’a toujours pas trouvé le temps de s’en occuper. Un jour peut-être.



S02 EP21

S02 EP21 - 14/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1977434327

https://youtu.be/wrA-x6iADA4?si=C0kd7H17lXzMCSxD


Moment détente : pour prendre soin de soi et un café

C’est cigarette électronique à la main que le lieutenant Schröder prend son service pour une nouvelle soirée. Direction bien sûr le parking où sont rassemblés une partie des agents. 07 embarque déjà 08 pour récupérer un véhicule en fourrière, et au passage faire un tour chez un barbier ! Il le prévient tout de même, une activité plus sérieuse les attend ce soir, si ils sont assez nombreux il y a toujours le transfert des saisies à gérer. Et comme il hésite justement à mettre des masques ou des cagoules sur les tenues SWAT, passage au magasin. Rien n’est sûr, ça peut servir sur des interventions chez les Brokers par exemple, mais ils n’ont pas vocation à se cacher non plus. Autant tester ce que propose la boutique, ils verront bien.

En sortant, ils font même la rencontre de 63, du moins l’ancienne agent 63 désormais procureur. Celle-ci semble bien occupée et n’a malheureusement pas de réponse pour la question de Kurt : elle n’a pas du tout de nouvelles de Turner (33). En tout cas cette pause beauté étonne, 90 appelle même 07 pour connaître la raison de tous ces pieds à terre, et a du mal à croire celle que lui donne Kurt. Le garage étant fermé, retour au poste pour l’Adam.


Ils retrouvent les agents à côté du parking pour la pause café, tandis qu’en parallèle le commandement tient le bureau des pleurs à l’étage ! Autant dire que même s’il ne boit pas de café, Kurt reste en bas. Mais il encourage les agents à y aller, après tout c’est le moment de faire des remontées ou de partager des idées. Quand soudain, à la mention d’une prime de risque, 07 saute sur l’occasion. Il lui faut de l’argent ! Il rejoint donc la queue devant le bureau, sous les vannes des agents qui remarquent au passage son changement de tête (TC 00:35:00). Kurt est prêt à faire le Père Noël pour les fêtes de fin d’année ! Même si 81 pense plutôt qu’il fera peur aux enfants. La guerre est lancée entre 81, 07 et 44 ! Hawkins (11) fait part de son désarroi suite à sa prise d’otage le soir d’Halloween, elle espère un dédommagement, malgré son statut d’agent de police, la situation a été difficile à vivre. Le sujet tourne sur 45 qui a lui aussi fait un changement de tête. Le capitaine semble vouloir se cacher, peut-être des criminels. Kurt n’est pas étonné, il ne récolte que ce qu’il sème. 11 est plutôt d’accord, elle le trouve particulièrement con en ce moment, dommage elle le préfère quand ce n’est pas le cas. Déjà qu’elle ne sait même pas si elle peut se considérer comme son amie, ou son animal de compagnie… 


C’est au tour de Kurt ! (TC 00:44:30) Après quelques blagues sur les coupes de chacun, il commence par remercier le commandement de prendre ce temps pour les unités, et annonce la raison de sa venue : il veut récupérer son argent. Il a dû acheter des gilets pare-balles la veille. L’état major commence d’ailleurs à se dire qu’il va falloir rappeler quelques règles d’usage et ajouter un peu de contrôle car ils passent leur temps à racheter du matériel ! C’est tout pour 07, qui laisse la place aux autres.


Il est l’heure de faire le compte sur les membres SWAT présents, ainsi que ceux de l’anti-gang. Les deux unités rassemblées, ils sont huit. Avec un ou deux agents volontaires en plus, ils devraient être assez pour le convoi de saisies. Pendant la préparation, 26 l’arrête pour lui demander si le SWAT recrute toujours. Et l’agent a de la chance, ils sont justement en recherche de monde. Il aura peut-être même droit aux tests ce soir. Le lead le questionne tout de même sur son choix avant de faire un brief rapide sur l’unité. 


Des saisis : donc des convois

Le brief est vite interrompu par l’arrivée de 90, qui se permet une remarque sur la barbe de Kurt. Ce qui se règlera sur le parcours sportif lors de son test d’entrée au SWAT. Les agents AG et SWAT se regroupent également autour de lui, la discussion est donc repoussée à plus tard. 07 informe les membres de son unité du souhait de 26, avant de présenter l’organisation du convoi. Il propose aussi à 90 de passer son test ce soir, même si Wil a été blessé il y a peu, il veut bien essayer.


Le lead transmet aux deux unités présentes le parcours à suivre et les points de vigilance. Lors de l’arrivée sur les docks : ils ne s’arrêtent pas. Si ils sont bloqués, le RIOT fait demi-tour, il ne reste pas à l’arrêt, surtout pas là-bas vu son contenu. 

Tous terminent de s’équiper et de sortir les véhicules, 26 resté tout seul est embarqué sur le convoi pour aider, et après un dernier point sur le parcours, c’est parti ! (TC 01:08:50) Caracara, RIOT et VSTR s’élancent. 


Le convoi commence par s’arrêter au poste de Vinewood, pour récupérer des saisies, et pour Kurt, discuter barbe et coupe de cheveux avec 99, et voiture bélier et stock de chargeurs avec 08. Le SWAT se prend même à rêver d’avoir ses armes et ses chargeurs directement stockés dans leur salle au poste. 

Place ensuite à celui de Vespucci, pendant qu’en parallèle un message entreprise fait craindre un traquenard pour des agents : une moto LSPD abandonnée, sauf qu’il n’y en a aucune de sortie ce soir. En suivant ce qu’il se passe, Casper prévient Rockett et Miaouss de l’envie de 90 de rejoindre le SWAT. Il faudra bien lui expliquer que c’est le SWAT et rien d'autre, il a tendance à se disperser. Par contre sa formation de négociateur peut être un atout, même s’il ne pourra pas faire les deux en même temps sur une opération.

Dernier arrêt avant le brûleur, le poste devant le quartier des Aztecas (TC 01:26:10). Kurt en profite pour expliquer la marche à suivre si les Brokers viennent sur le convoi : c’est lui qui prend contact, si ils sortent leurs armes les agents peuvent les mettre en jour, si ils rangent leurs armes, le LSPD baisse les siennes. Par contre si il y a un tir de leur part, carte blanche.


Direction cette fois les docks et le brûleur pour l’étape finale du convoi. Sur le chemin, Casper et Rockett discutent de la démarche du commandement ce soir et des reproches exprimés, sans rencontrer de Brokers sur le chemin. Une fois en pied à terre (TC 01:32:30), la discussion continue. 07 et 99 ont le même point de vue, en particulier sur les candidatures en attente. Ils sont d’avis de donner la chance à tous les candidats, quitte à prendre la responsabilité si ça se passe mal. 99 a d’ailleurs vu avec les procureurs pour mettre en place un code du travail et empêcher ces situations de blocage. Encore une fois, il y a besoin de souplesse, pas de sessions de recrutement fixes, 2 par 2. Au pire si ils ne veulent pas, qu’ils donnent le rôle aux lieutenants, car Kurt a surtout l’impression de ne gérer que son unité et que le grade n’apporte rien. Trop de travail a été donné aux sergents, au détriment des lieutenants. D’ailleurs 07 félicite au passage 99 pour son passage au grade de sergent-chef ! Les deux hommes sont décidément d’accord, le problème c’est l’écoute et la remise en question du côté du commandement. Ils balaient tous les sujets : les sanctions, les promotions, la décision de sortie du convoi sans négociation préalable… Ce qui ressort c’est la sensation pour 07 que son rôle en tant que lieutenant disparaît de plus en plus. En parlant de lieutenant, 21 a exprimé son souhait de prendre ce grade dans un futur proche, il annonce donc à 99 qu’il sera prochainement second du SWAT.  Lewis n’espère pas de toute façon passer lieutenant avec ce commandement, il râle trop ! Et comme le dit Kurt, il a plus de choses à faire en tant que sergent-chef ! Le commandement a grand besoin de déléguer, et de faire preuve de plus de cohérence. 07 fait aussi part de ses souhaits pour le futur, il ne veut pas d’un poste plus haut gradé mais espère que 21 va faire ses preuves et monter petit à petit. Rockett estime de son côté que le poste gagnerait à ce que Kurt soit capitaine, par exemple avec 32, plutôt qu’un duo trop similaire comme actuellement. Mais pour le moment le lead SWAT veut rester lead SWAT. 


En tout cas, les deux hommes ont un sacré paquet de choses à dire sur 45 et 32. L’un a plus de mal avec l’autre et inversement, des fois les deux en même temps. Mais Kurt garde un peu d’espoir, et l’idée de ce soir va dans ce sens. Le capitaine et le commandant doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas tout faire seuls. Ils doivent déléguer. Et Rockett trouve ça particulièrement représentatif du problème que depuis son retour il n’y a toujours que deux lieutenants, ce qui est loin d’être suffisant. Casper acquiesce, il ne comprend pas non plus, l’absence de 68 n’a jamais été remplacée, et il n’a malheureusement pas pu rester plus de quelques jours. Pourtant si il a été promu c’est bien qu’il y avait un besoin !

Le sujet est infini pour 99 et 07, chacun ajoute sa remarque et sa critique, ce qu’ils ont entendu de la part du capitaine ou du commandant et avec quoi ils sont en désaccord. Par exemple, la bonne initiative de proposer aux agents de faire leurs remontées, mais pas en appelant ça “le bureau des pleurs”. Ou le commandant qui abuse parfois de l’hypocrisie et de la victimisation. Ou le capitaine qui a un très mauvais relationnel avec les agents, selon 99. Kurt relève aussi un manque de respect de la hiérarchie, ou plutôt de prise en considération des grades. Il n’y a plus que les matricules.

(En parallèle, le reste du SWAT croule toujours sous les saisies à vider, et sous les encouragements de Casper et Rockett, restés en sécurisation. Des encouragements qui tiennent en quatre lettres : cheh)


07 tente finalement de résumer : cela peut fonctionner avec le commandement actuel, ça tient finalement à peu de choses. Car personne n’en veut de cette place, lui ne veut pas y retourner, celle qu’il a actuellement lui convient et il ne veut surtout pas quitter le SWAT. Il ne manque qu’un peu d’écoute et de remise en question. En parlant d’écoute, Kurt raconte à Lewis son face-à-face avec le commandement de la veille. 99 n’est guère étonné par ce qu’il apprend, et un sms de M. Standley Ezékiel à Kurt, qui se plaint en sous-texte de l’attente avant son recrutement, relance une pièce dans la machine. 07 appelle donc le commandant (TC 01:59:15) en mettant les formes et en se contenant au maximum pour rester diplomate, tout en insistant pour faire passer son point de vue. La stratégie n’est pas très efficace, et 32 n’en a pas grand chose à faire des remarques de son lieutenant.

Il n’en fallait pourtant pas plus pour que les deux membres SWAT continuent à se plaindre, mais voilà un grief de plus à rajouter à la liste. Heureusement que des tirs entendus aux alentours les distraient un peu de leur discussion. (Un peu seulement, la pause est brève)


Enfin, le RIOT est vidé et toutes les saisies jetées dans le brûleur (TC 02:05:15). Aux alentours, tout semble calme. Le convoi peut donc reprendre le chemin du poste, désormais bien plus léger. Quelques Brokers sur le chemin rappellent leur présence avec un simple tir de flare, mais rien de plus. Voilà une opération rondement menée.


Avant de finir la soirée : par du recrutement SWAT

Finalement, avant le retour au poste, le SWAT profite du retour au calme pour faire réparer les véhicules, et récupérer ceux qui étaient en réparation suite aux dégâts causés par les Mask. Malheureusement pour le RIOT de 07, il était détruit au-delà de toute réparation possible, il va donc falloir demander l’achat d’un nouveau au commandement. 32 va sans doute être ravi de débourser 500 000$. La négociation va être rude.


En attendant que les membres SWAT restant se rassemblent pour les tests de recrutement, et que 26 et 90 soient disponibles, Kurt traîne un peu dans le PdP. Il récupère quelques infos, donne des consignes sur l’utilisation des GPB pour tenter d’enrayer le gâchis actuel, ou plutôt la très grosse consommation des agents. Il en profite également pour faire le point avec April sur 87 (TC 02:32:00) : il a passé sa semaine d’intégration et comme Perceval a prévu un team-building le lendemain, 21 pense l’intégrer officiellement à ce moment-là, ce que 07 approuve. 87 le mérite, il ne reste plus qu’à lui trouver un surnom. Casper et April annoncent presque en cœur l’un à l’autre celui auquel ils pensaient : Paillette ! Si lead et second ont la même idée, c’est parfait. Ceci est donc réglé, place aux candidats pour les tests de ce soir. Pour 90 il va falloir insister sur un point : si il rentre au SWAT, il s’y engage, pas de négociation en même temps par exemple. Kurt explique aussi à Alex qu’il a commencé à amorcer le sujet du changement de second avec Lewis, dû au départ futur de 21 pour le poste de lieutenant. Il a également relancé le sujet du côté du commandement, pour pousser en ce sens, expliquant que la jeune femme est toujours motivée. Le commandant en était déjà persuadé, et la sanction n’est pour lui pas un élément bloquant, le projet est donc toujours sur les rails. Entre 07 qui appuie la candidature, 21 qui attend juste la fin de sa sanction pour postuler et 32 qui estime que tout est prévu, la voie semble libre pour cette promotion ! Kurt préfère juste attendre que cela soit officiel pour passer officiellement le bâton à 99.


Paul Chapman (26) et Wil Sobre (90) sont fin prêts, il ne manque plus que 99, en train de se faire disputer dans le bureau du commandement. Les agents discutent un peu d’escargots puis avec 35, aka “le jaguar” qui gère la centrale. Le rendez-vous de Rockett s’éternise, il arrivera plus tard ! Le reste de l’équipe monte à la base militaire, il y a des tests à faire passer (TC 02:49:00).


Kurt étant seul avec Wil, il fait à celui-ci un rapide brief : le SWAT c’est uniquement le SWAT, donc s’il est négociateur sur une opé’, il ne pourra pas intervenir en tant que membre de l’unité. Ce qui paraît logique pour 90. Il prévient juste 07 qu’il n’est pas certain de tenir tout le long des tests car il se remet encore de plusieurs blessures, mais il espère pouvoir tenir le coup. 


Arrivés sur les lieux, les deux candidats sont envoyés faire des tours de terrain, tandis qu’April banche en urgence son téléphone à une batterie externe parce qu’avec 4% restant, elle ne va pas pouvoir chronométrer les tests très longtemps ! Après une rapide présentation du parcours et des règles, c’est parti ! (TC 03:01:20) C’est 26 qui s’y colle en premier, sous les encouragements/insultes de ses collègues. Kurt fait une nouvelle fois référence à sa grand-mère, plus rapide que la recrue, et c’est finalement le troisième essai qui sera le bon (avec un coup de pouce de 07). Au tour de 90, dont le 1er essai se solde par une chute de la poutre, le 2ème par un raccourci qui annule le chrono et enfin le 3ème est une réussite (toujours avec un coup de pouce des leads).

Place ensuite au test de tir au 9mm, entre 2 vannes sur le goût fraise de la cigarette électronique de Casper et sa nouvelle dégaine de hipster (TC 03:17:15). L’ambiance est bonne entre les membres, les vannes fusent, les futures recrues au milieu. Puis le sérieux reprend pour le deuxième test qui se déroule sans problème, malgré quelques maux de têtes des uns et des autres. Rockett prend ensuite le relais pour le stress-test. 26 passe donc l’épreuve du fichier audio, puis celle des questions sur ce qu’il a entendu et son ressenti. Et après les explications habituelles sur le but de l’exercice, c’est au tour de 90. Cette fois ça commence mal, puisqu’il s’arrête en plein milieu pour demander à 99 de baisser le son ! Il n’arrive pas à se concentrer (TC 03:33:45). Ce soir, le lead reste conciliant et ne dit rien, 90 peut donc recommencer. Il a ensuite droit à son tour aux interrogations de Rockett et Casper, et à leurs explications sur l’exercice. 

07, 99, 21 et 87 prennent 2 minutes pour débriefer et après la proposition d’abattre les deux, ils s’accordent sur le recrutement des deux. 90 est à surveiller, il va avoir besoin d’entraînement pour apprendre à rester bien focus et 26 semble fiable.


Il est donc temps d’annoncer la bonne nouvelle, après 2-3 tirs en l’air d’April, pour la forme (TC 03:40:00). Mais juste avant, Kurt se rappelle qu’il a oublié une étape : la boxe ! Les deux futures recrues se collent donc quelques beignes, sous les yeux des membres SWAT dont c’est le petit moment de détente ! Désormais un peu amochés, 90 et 26 reçoivent les félicitations du lieutenant Schröder : ils sont désormais stagiaires SWAT ! 

Le lead leur explique donc la suite du processus et la semaine d’intégration qui va suivre, avant d'enchaîner sur la présentation de l’unité, de son fonctionnement, ses missions, et de ses règles. Son discours ne change pas : s’ils ne conviennent pas ou ne s’intègrent pas, ils sont écartés sans possibilité de revenir. Si toutefois ils deviennent membre à part entière mais décident de quitter l’unité pour un temps, ils pourront revenir dans le futur. Le plus important est qu’ils prennent conscience qu’ils sont sur le point d’entrer dans une famille unie (l’esprit de corps est essentiel, par exemple si 90 dit une connerie il prend un coup de taser, et 26 aussi !), et que les ordres des leads sont absolus. Le SWAT est une unité d’élite, à laquelle le lead tient énormément et qui doit le rester ; de même que son aspect familial et le soutien entre ses membres. Bien sûr, en cas de manquements, des sanctions sont possibles, mais les différends internes restent au sein de l’unité.


Après avoir balayé l’ensemble des informations concernant le SWAT, et avoir répondu à toutes les questions et remarques de 90, Kurt ramène tout le monde au stand de tir pour les accréditations cat. 3 et fusil à pompe (TC 04:06:20). Lorsque les tirs sont effectués, il ajoute des explications supplémentaires sur le fonctionnement des interventions du SWAT en opé’ ; puis il est enfin temps de retourner au PdP. Il commence à se faire tard, il est l’heure pour les agents SWAT de prendre un peu de repos, après des dernières informations, notamment la visite de la salle de l’unité. 


S02 EP22

S02 EP22 - 20/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1982721854

https://youtu.be/QRBoP9NFsAU?si=h-dHIDOgV-RIajm7



Faire de la médiation : en attendant un déplacement chez les Brokers

Ce soir le lieutenant Schröder est fin prêt : déjà en tenue SWAT, masque à gaz et casque vissés sur la tête. Les Brokers n’ont qu’à bien se tenir. 

Mais à l’intérieur du poste, il enlève quand même une partie de son attirail en attendant la bonne heure, et pour n’effrayer personne dans un coin du parking. 

Un call radio annonçant une voiture LSPD vide fait craindre le pire, et fait sortir Kurt en trombe du parking. Heureusement, après de brèves recherches, il ne s’agissait que d’un mal de tête général, tout le monde va bien ! Il peut donc retourner au poste, où il retrouve 11 qui n’a pas l’air d’aller très bien, et 13 qui a besoin que le lieutenant achète un 9mm pour un civil. Encore une raison de réclamer de l’argent auprès du commandement. 

En parlant de commandement, c’est à présent 16 qui prend son poste, fraîchement promu lieutenant ! Son désormais collègue lui souhaite donc la bienvenue dans le côté obscur ! Puis ils discutent plus sérieusement de l’opération qui commence ce soir : le but n’est pas d’envenimer les choses, même si 07 se doute bien que les Brokers vont être tendus. Mais il attend une proposition concrète de leur part, sinon le SWAT et l’AG seront là tous les jours. Il va falloir qu’ils comprennent, le LSPD ne peut pas tout tolérer, en particulier les enlèvements d’agents. Et si ils peuvent faire des concessions, ils ne peuvent pas les laisser se développer indéfiniment, surtout vu l’image que cela renverrait aux autres gangs. 


Retour à côté du parking où Emily (11) explique que l’ambiance n’est pas au beau fixe : le poste en a gros ! Il y en a en plus des rétrogradations la veille, trois membres SWAT ! Ils ne sont pas contents c’est sûr, même si les raisons sont compréhensibles. 11 fait en tout cas part de l’ambiance, en tant que représentante de la Suisse ! Enfin la Suisse, 07 a entendu un autre discours de sa part, qui lui a été rapporté par 95, de retour. Rien d’aussi franc non plus, mais effectivement, Hawkins commence à être aussi fatiguée, même si elle n’a pas de solutions. Elle sait bien que 07 essaye, comme il l’explique, mais c’est difficile. Ce dernier se demande s’il n’a pas fait une erreur en retirant sa candidature au poste de capitaine. Il n’envisage pas non plus un putsch, mais sent que les choses vont mal se finir. 11 se demande à quel moment le ras-le-bol va prendre le dessus, elle voit bien que de plus en plus d’officiers réfléchissent à poser leur plaque, elle aussi. Leur seul espoir est une erreur, suffisante pour que les procureurs s’en occupent. 

En tout cas, si à une époque elle aurait pu les défendre, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Pour Kurt, c’est l’époque où ils écoutaient encore. Les agents ont aussi besoin de reconnaissance, et encore une fois d’écoute. Mais bon, le dernier exemple en date avec le “bureau des pleurs” ne donne vraiment pas envie. Pour Emily, il n’y a aucune proximité entre eux et les agents de terrain. Kurt explique que c’est aussi pour ça qu’il reste souvent au poste, pour rester accessible et disponible pour discuter avec les agents qui en ressentent le besoin (et puis marre des patrouilles aussi). Il pense pouvoir être encore capable de dire les choses, même s’il frôle toujours la limite de la mise à pied. Il n’est pas intouchable, mais vu son expérience, il pense que le commandement aurait plus à perdre à le virer. 11 et 07 ne comprennent pas quelle direction veut prendre le commandement, si ce n’est celle d’être détesté par tout le poste. Et elle a beaucoup à dire sur 45, qu’elle ne reconnaît plus, et n’arrive plus à considérer comme un ami. Le grade a eu raison de lui. Kurt a d’ailleurs un exemple avec la récente opération avec les Mask et son altercation avec eux, exemple qu’il raconte à Emily. Ayant le fin mot de l’histoire, elle explique qu’elle n’arrive à en parler qu’à sa psy, et justement celle-ci a appelé Kurt pour lui remonter qu’elle ne fait que recevoir des agents qui vont mal. Mais pour le lieutenant Schröder, il est difficile de trouver des solutions. La communication est un gros problème au sein du poste. A voir ce qui finira par être l’élément déclencheur.


Le duo est rejoint par d’autres agents, 99, 26 et Trapu (TC 01:05:00), la conversation dévie donc légèrement sur d’autres sujets, dont l’opération de la soirée, ainsi que les nouvelles promotions. Car il n’y a pas que 16 qui est passé lieutenant, 21 aussi ! C’est donc maintenant Rockett qui est second du SWAT, la jeune femme ayant quitté l’unité. Trapu n’avait pas tout percuté mais c’est normal, c’est Trapu !

Kurt commence à glisser quelques informations : ce soir c’est d’abord une prise d’informations, pas trop agressif. Mais la discussion repart vite sur d’autres sujets, un criminel virulent, 12 qui est officier 1 mais ne s’en sort pas tout seul, les visites médicales, le commandement bien sûr, etc. A nouveau 12, qui fait des dessins sur les plaintes et les rapports… (TC 01:15:15)


Tout le monde semble prêt, c’est l’heure du brief (TC 01:19:00). 1ère étape : la mise en place d’un contrôle routier à l’entrée des docks. Les Brokers vont sans doute venir à leur rencontre, 07 leur parlera. La consigne est simple : il faut que le LSPD soit stoïque, le plus clean possible. Malgré les insultes il faudra tenir, quitte à mettre un outrage. Si des agents sentent qu’ils ne tiennent plus, ils peuvent prendre du recul. 44 va dans son sens : tous les yeux sont sur eux, surtout ceux du commandement, et les procureurs. Il faut qu’ils restent professionnels jusqu’au bout malgré les provocations, insultes et menaces. Par contre, en cas de menaces et/ou d’insultes : outrage ! Le criminel est embarqué au poste. C’est pour ça qu’ils sont en nombre, pour pouvoir intervenir dans ce genre de cas, car les Brokers ne se laisseront pas faire. Et si ils tirent dès qu’ils arrivent, le LSPD riposte. Concrètement, ils font leur boulot, sans zèle. Le but est que tout le monde rentre ce soir. Et de montrer qu’ils peuvent être présents, sans en avoir grand chose à faire des Brokers.  

Le lieutenant insiste encore sur quelques points, prévient de la suite et laisse quartier libre de quelques minutes avant de se lancer. Surtout que Parpaing est passé dire bonjour ! (TC 01:27:20)


Sur les docks : une opération sous tension

Après ce moment de nostalgie, il est temps de s’y mettre ! Tous se rassemblent dans le parking pour un dernier récapitulatif : pas de vagues, on reste professionnel ! Le climat va être tendu mais il faut que les agents réussissent à prendre sur eux. La dernière proposition des Brokers était le déplacement du brûleur, la privatisation des docks et plus du tout de patrouille, la contre-proposition de 32 était de pouvoir suivre le SWAT et qu’il n’y aurait plus de patrouilles sur les docks, qui a été refusée. Il faut en tout cas que la situation s’apaise. 

Tout le monde en voiture, les équipes se répartissent et se tiennent prêtes à partir. Le top est lancé, le convoi démarre, non sans une dernière consigne pour les agents : ne pas avoir les armes à la main (TC 01:37:00).

Arrivés sur place, tous prennent position : 07 indiquant aux agents, à part 44 et 99 qui resteront à son contact, de se répartir dans la zone et de contrôler tout ce qui arrive, cela permettra en plus de filtrer, ralentir la circulation. Pour les Brokers, surtout pas de sur-réaction. Si ces derniers veulent passer, qu’ils passent, le plus important étant qu’il n’y ait pas de blessés. Il faut que le groupe qui squattent les lieux comprennent que les FdO s’en foutent de leur zone, qu’ils ne les espionnent pas et qu’ils sont juste là pour le boulot. Puis, se positionnant en tant que renfort, Kurt explique à ses deux acolytes qu’il tient à ce que le SWAT n’hésite pas à effectuer le boulot sans lui, mais pour cela il faut qu’un climat de confiance s’installe. Et à peine ces mots prononcés qu’un mouvement sur le pont, au niveau de l’autoroute, attire l'œil du Lieutenant (TC 01:42:15). 1…2…3…6 ! 6 Brokers observent les mouvements des officiers de police. Pour le moment, tout parait calme mais un call radio pour prévenir ne semble pas de trop. Surtout que plus loin, un véhicule rouge semble tourner aussi. Autant rester aux aguets. On sent dans l’air ambiant une certaine tension, les agents n’étant pas sereins face à ce groupe qui est connu pour partir au quart de tour.


Voyant que la destruction de saisis trouve son rythme, Schröder en profite pour demander des nouvelles de 30, qu’il trouve démotiver, à Pope et Kazenko. Alors que les deux hommes commencent à le rassurer sur l’état du collègue (plus saouler par les promesses de 32 et 45 non tenues), en radio une prise d’otage est annoncée, au niveau d’une supérette. Du côté des docks, c’est 3 SUV qui s’éclipsent discrètement du coin… Le SWAT observe, non sans garder une attitude la plus détendue possible. Fausse alerte pour la prise d’otage, la respiration se détend dans l’unité mais la concentration reste de mise. La conversation sur les gradés et leurs gestion reprend donc pour le trio qui ne comprend pas tous les tenants et de leurs gestions.


L’opération se poursuit, malgré les gestes répétitifs, la nuit tombante et un calme plus qu’inhabituel pour les lieux…Et si la grogne se passait ailleurs ? C’est ce que semble croire 45 qui contacte son lieutenant pour l’informer de la colère de Cook des Brokers (TC 01:52:25). Ce dernier ne semble pas comprendre pourquoi, alors qu’un deal a été passé sur des informations, des agents squattent son terrain. Si c’est comme ça que joue le LSPD, alors le gang jouera aussi. Kurt, étonné que le criminel ne soit pas directement passé le voir, se permet de lancer des menaces, promet au Capitaine de se tenir en stand by, au moindre fait.

Mais à peine le téléphone raccroché que la radio crépide pour prévenir l’enlèvement de deux policiers. 07 se met à réfléchir vite et fait partir l’Anti-Gang, préférant rester ici  avec 90 et 44 au cas où. Sauf que voilà, des renforts sont demandés, une position est annoncée. Le trio file donc rejoindre les autres unités.


Ce qui devait être une simple routine: devient une prise d’otages

Sur le trajet, les premières infos tombent. Les Brokers auraient braqué 45 et 35 avant de les embarquer, direction le Nord. Alors que 44 cherche à savoir si le SWAT est toujours attendu sur la position transmise, un agent les prévient que le reste du groupe et quelques agents se retrouvent au niveau des docks (TC 01:55:30). Ni une, ni deux, demi-tour pour le trio. A la demande de la centrale pour savoir si 07 prend le Lead OP, ce dernier, concentré sur la route, répond qu’il se focalise sur son unité, en pleine convergence vers 10062. Ce seront donc 97 et la centrale qui prendront le Lead. 

De retour au point de départ, 07 ordonne un pied à terre armé à tous ses agents présents, fait le point sur la situation et remonte le nombre de Brokers présent sur le lieu, en indiquant qu’il a une visue sur la discussion entre le Capitain et les criminels.
La panique s’installe dans les rangs du LSPD. De peur d’avoir été piraté, les agents changent de fréquence radio toutes les 10 secondes, ce qui a le don d’agacer le lieutenant. La tension est tellement palpable qu’un agent du BE s’approche discrètement afin de vérifier si 07 ne souhaite pas prendre en charge la négociation, il faut dire qu’à la base c’était son opération non ? Kurt décline, il a été mis sur la touche mais, il ajoute que si cela ne décante pas, il interviendra. La jeune femme, la voix un peu tremblante explique le que gros problème vient du fait que personne n’entend ce qu’il ce passe. Il faudrait donc envoyer quelqu’un pour la négociation. 


Comprenant qu'il ne va pas avoir le choix, Schröder, accompagné de deux hommes, s’avance pour prendre les choses en main (TC 02:01:30). Et alors qu’il s’avance pour s’annoncer, au loin, les cris des Brokers se font entendre, mais seuls quelques bribes de conversation arrivent jusqu’à notre homme…Et malheureusement, ces dernières ne sont pas très encourageantes… Cependant, Cook s’avance d’un pas nonchalant lorsqu’il réalise à qui il va devoir s’adresser. Stoppant net les insinuations du criminel, 07 tente d’expliquer la venue initiale du SWAT sur les docks et que si les brokers avaient été un peu plus observateurs, ils auraient dû le remarquer. En face, son interlocuteur tente de répondre mais Kurt enchaîne sur le fait qu’il va falloir trouver un terrain d’entente à cette situation. Sauf que voilà, pour Cook, c’est toujours à sens unique, lui et ses hommes donnent beaucoup au LSPD, notamment des informations régulièrement. Mais à toutes actions, il y a une conséquence et les Brokers le montrent très souvent en kidnappant des agents qu’il rendent en bonne santé. Sauf que pour Kurt, cela reste une prise d’otage. Bref, cela n’est pas la question. Cook propose donc une solution : que le LSPD et le brûleur dégage des docks. Proposition évidemment refusée. L’incompréhension entre les deux hommes est visible et ne semble pas pouvoir s'apaiser, chacun campant sur ses positions. Les docks appartiennent aux Brokers et le brûleur ne peut être déplacé. Pour tenter de trouver une solution, 07 propose une présence de patrouille sur les lieux. Ce à quoi Cook répond qu’en fait, le flambeur est plus important que la vie d’un homme. Cela est valable pour les deux camps réplique le lieutenant. Vraiment, les deux hommes ne se comprennent pas et ce n’est pas une question de fierté. La conversation s’envenime à tel point qu’un cul de crémière entre dans l’équation.


Puis contre toute attente, Cook se tait, semble réfléchir, avant d’ajouter : “c’est dommage d’en arriver là…” Kurt, comprenant que la situation peut se dégrader d’un instant à l’autre, allume sa radio en annonce : “ De 07 à tous, si un agent est blessé, feu à volonté”. Juste un 10-4 rompt alors le silence qui s’installe…


Soudain, alors que personne n’y croyait, deux otages s’avancent. Alors que Schröder donne ses consignes pour les réceptionner en toute sécurité, le chef des Brokers se lance dans une tirade, dans laquelle il exprime le regard du LSPD sur le groupe des docks (TC 02:08:00). Enfants de cœurs avec des caprices, peut-on entendre…A la fin de cette dernière, il demande à ses hommes de monter dans les Novaks. Kurt se crispe. A ses côtés, un agent exprime tout haut l'inquiétude que tous pense… 07 prévient Cook doit être neutralisée si une arme est sortie. Les véhicules s’éloignent laissant le criminel face à 45. Une dernière sommation est lancée du côté du SWAT. 


Dans un geste théâtrale Cook lève les mains. Kurt s’avance le mettant en joue.
Le Broker se tourne vers le Capitaine, le regarde dans les yeux, lui dit qu’il aimait bien et de le planter. 


La réaction du SWAT est immédiate. Ce n’est pas un homme à terre mais deux.


Une action, une réaction : un triste dénouement

Alors que les agents sécurisent la zone, prêts à toutes ripostes, 86  s’élance vers 45 pour lui porter secours, en attendant les EMS qui hésitent à intervenir, voyant le SWAT encore à l'affût. 

Au loin, un individu est repéré, puis 3 véhicules. A la radio une demande de tirs est demandé si ces derniers arrivent en mode bélier. Le lieutenant, calme, tente de temporiser : ne doivent être neutralisés que les individus armés, sinon il faudra viser les pneux. 45 est emmené, accompagné de 11. Les unités semblent un peu perdues face à la situation, sur les fréquences ça s’agite, qui? où? Pourquoi ? Tous demandent confirmation à chaque action à effectuer. Ce qui contraste avec le flegme et l’humour noir de 07 et 86, au côté du corps inanimé de Cook. Car oui, l’ambulance tarde à revenir pour le Broker. Ce qui laisse champs libre pour les réflexions et autres divagations du SWAT. Malheureusement ce qui est fait est fait (TC 02:18:45). Reste plus qu’à attendre des nouvelles de Milton Mulberry.


Plusieurs minutes se passent avec une seconde équipe de médecins prennent en charge le chef des Brokers, permettant aux derniers agents de quitter les lieux, direction les EMS afin de sécuriser l'hôpital. Sur place, le SWAT se déploie, cadriant au maximum le quartier.

Schröder se dirige alors à l’intérieur du bâtiment pour avoir un brief sur la situation des deux individus blessés (TC 02:26:30). Dans la salle d'attente, il croise Emily Hawkins sur les nerfs. La jeune femme n’a pour le moment aucune information pour 45 et sa patience est mise à rude épreuve. Ne sachant pas trop comment rassurer sa collègue, Kurt préfère revenir sur la négociation qui a eu lieu quelques heures auparavant.
C’est à ce moment précis que son téléphone vibre (TC 02:33:20). En ligne Aldo Padovano, le directeur des EMS, qui tente de joindre 32. Lorsque 07 répond que ce dernier n’est jamais présent le lundi, son interlocuteur raccroche sans plus d’élément. Etrange…Kurt tente de rappeler mais rien… Puis de nouveau Padonavo. Un peu gêné, il demande au lieutenant de le rejoindre à l’étage mais seul. Comprenant la situation, l’agent du SWAT s’exécute sans plus de formalité. 


Arrivé au niveau de l’étage supérieur, il y retrouve le médecin et son adjointe, Mme Diaz (TC 02:35:00). Après quelques indications sur la chambre de Cook et la possibilité de placement d’agents pour assurer la sécurité du Brokers, le directeur de l'hôpital annonce le décès du Capitaine Mulberry. Concernant Cook, l’homme est encore bloc. Pour la sécurité de tous, ils décident de gérer la fin de l’opération et le transfert du Brokers, avant de prendre le temps d’accompagner le LSPD dans la perte de leur gradé. Rien ne sera annoncé avant. 


Ceci étant dit, ils se séparent, permettant à 07 de mettre en place la surveillance de la chambre et la marche à suivre pour le convoi vers le commissariat. Lorsque tout est enfin calé, Kurt se rend compte qu’il va devoir rejoindre ses collègues en salle d’attente. Lui qui s’était pourtant juré de ne rien dire avant que Cook ne soit hors de ces murs, au moment où il aperçoit 11, il sait qu’il ne va pas pouvoir tenir le secret plus longtemps (TC 02:41:15). Il demande à la jeune femme de le suivre et, ne sachant pas trop comment dire les choses autrement, annonce sans détour la mort de 45. En entendant cette nouvelle, Emily s'effondre. Kurt s’éloigne, demande un clean radio et exprime d’une voix clair : 

Ce soir, suite à l’opération de police qui a eu lieu sur les docks, le Capitaine 45 est décédé dans l’exercice de ses fonctions. C’est un 10-7 de sa part.


Redescendre : et prendre le temps d’expliquer

Après quelques minutes de silence sur les ondes, des messages de respect et de condoléance se font entendre, pendant que 11 se retrouve soutenue aussi bien par les EMS que ses collègues.
Cependant quelques voix dissidentes commencent à monter. Profitant de l’agitation, 07 demande à 35 de le suivre pour comprendre les propos qu’il semble avoir entendu (TC 02:44:25). L’agent, face à lui, explique sans détour ne pas être d’accord avec la négociation qui s’est déroulée plus tôt. En restant sur ses positions, selon lui, le Lieutenant a fermé la discussion rendant toutes actions impossibles. Alors qu’il allait lui répondre, le directeur des EMS prévient du réveil de Cook. Cette information prise et les mesures enclenchées, 07 décide de reprendre avec 35 la genèse de la relation avec les Brokers, pour expliquer sa manière de fonctionner plus tôt dans la soirée. L’agent comprend très bien la situation, cependant, vu la tension et les otages présents, il été préférable de notifier une volonté de voir si le brûleur pouvait être déplacé, même si cela n’aurait peut-être pas abouti par la suite. Kurt répond qu’il a bien essayé de proposer à Cook de trouver une solution… Sauf que ce dernier été aussi braqué sur des éléments n’allant que dans son sens, c'est-à-dire privatiser les docks totalement. Ce qui était impossible. Surtout que le pire aurait été de dire oui, puis de faire l’inverse après. De nouveau interrompu par son portable, Schröder apprend par 88 qu’aucun procureur n’est en service ce soir. Il se charge donc de faire un message en interne pour avoir quelqu’un au plus vite, avant de se recentrer sur 35.
Le lieutenant ajoute donc que son deal était bien qu’il n’y ait une présence sur les docks que le week-end, pour l’utilisation du brûleur, il ne pouvait pas faire grand chose de plus, surtout lorsque la discussion était fermée dès le départ. Alors oui, il y a eu des pertes humaines et c’est désolant. Sauf que vu la gangrène dans cette situation, il était compliqué de trouver une autre manière de faire autre que plus ferme. Peut être que cela est aussi dû à une mauvaise gestion de ce conflit de la part du commandement, mais on ne peut pas revenir en arrière.
Comprendre tout ça, permet à 35 de voir les choses autrement. Il ne peut s'empêcher alors d'appréhender la suite des événements. C’est La question pour 07. Cependant il se permet d’ajouter que personne, vraiment personne, ne doit juger sur une négociation à moins de prendre la place du négociateur. Cette place n’est pas simple et ne tient souvent qu’à un fil. Joshua Bennett comprend mieux maintenant et s’excuse auprès de son gradé de l’avoir fait. Kurt n’en prend pas ombrage, préférant largement avoir une discussion comme celle-ci avec des arguments et des contre arguments, que de simples critiques. C’est avec cette manière qu’on avance et évolue. 35 explique qu’en tant qu’otage, il a eu la sensation que tout se fermait et que tout était déjà écrit d’avance, le stress peut être. Maintenant il comprend. 07 se permet d’ajouter que le blocage ne venait pas du côté LSPD, au point que si les deux premiers otages n’avaient pas été libérés, l’assaut aurait été lancé.
Pendant ce temps, petit à petit, des agents du SWAT, voyant leur chef dans en coin se sont rapprochés. Elt lorsque 35 demande si il y a une possibilité de changer de place le brûleur, 95 se met à répondre. Le Lieutenant le recadre immédiatement avant de leur demander de partir. Cette discussion ne les regarde pas. Il explique alors que le changement, à la demande d’un groupe, ne ferait que réduire l’autorité du LSPD sur l’île. Selon lui, en réaction, à chad, il faudrait même aller plus loin maintenant et faire partir le groupe des docks. Car les Brokers sont les seuls à réagir à la moindre présence policière. Il se peut que certains agents s’amusent à titiller, malheureusement, à moins de mettre une caméra dans les véhicules, il n’y pas de preuves…


Concernant Cook : Le BE fera-t-il son BE ?

35 doit finalement rentrer au poste, les deux hommes sont reconnaissant d’avoir pu échanger de manière aussi transparente après la situation critique qu’ils viennent de vivre. De son côté, le lieutenant reste encore aux EMS et annonce en radio qu’il se tient disponible pour tous les agents souhaitant échanger avec lui. Rapidement 95 le rejoint, il rapporte que les agents spéculent déjà sur le futur capitaine, remplaçant de 45. Pope (99), Kazenko (44) et ce dernier vote pour Kurt. Selon eux, c’est le seul à pouvoir faire l'affaire, et sans lui, le LSPD partira à la dérive. 

D’autres agents, notamment des personnes ayant assisté à une partie de la session d'interrogatoire de Cook, font alors surface (TC 03:29:00). C’est 88, la lieutenant BE, qui mène l'interrogatoire. Les agents rapportent que Cook ne fait que garder ses positions, il veut que le brûleur bouge. En apprenant cela, 07 s’empresse d’appeler 88. Il lui rappelle qu’il est évidemment contre ce déplacement. Cela ouvrirait la porte à tous les gangs pour malmener librement les forces de l’ordre. 88 tant qu’à elle rappelle que la position du brûleur est connue de tous les malfrats, et que cela met aussi en danger le SWAT. C’est peut être un moindre mal que d'accepter cela plutôt que de figer la situation tendue comme elle l’est aujourd’hui. Les deux lieutenants se mettent finalement d’accord pour proposer de laisser l’ensemble des Docks aux Brokers et arrêter les patrouilles et ne venir qu’une fois par semaine pour le brûleur. Mais avant toute négociation, il va déjà devoir purger sa peine, et adviendra ce qui adviendra après. 


L’appel finit, 47 l'interpelle. Est-ce que si Cook donne des informations, le BE ferra, comme à son habitude, une remise de peine ? Cette façon de faire est inadmissible selon elle. Et c’est une des raisons de ses difficultés d’intégration au BE. On parle ici d’un meurtrier. Et au-delà de 45, les enquêtes semblent montrer que Cook a tué bien plus de personnes. Alors pourquoi on ne fait que lui poser des questions futiles sur les business des gangs plutôt que de s’attaquer aux vrais sujets, la vie de personnes. 

07 l’entend très bien, mais malheureusement, aujourd’hui il préfère ne pas mettre son nez dans les affaires du BE, qu’il a lui aussi du mal à supporter. En tant que lieutenant, il ne peut rien faire de plus. Mais il annonce officiellement qu’il sera candidat au poste de capitaine, les choses doivent changer. 


C’est au tour de 95 de revenir parler, il lui explique que son père vient d’avoir une promotion à Los Santos, il est à présent responsable du bureau de la justice et pourra sans doute aider à faire de Kurt le capitaine. C’est une chose, mais 07 rappelle qu’il n’est pas impossible qu’il se fasse virer avant de pouvoir postuler… Encore une fois, adviendra ce qui adviendra… 


Le téléphone de Kurt vibre alors dans sa poche, il reçoit un SMS de la part de Pope, apparemment, pas de prison pour Cook, et toujours la demande de déplacer le brûleur. Un Capitaine de tuer pour retourner tranquillement chez soi après un petit interrogatoire ? D’après Pope, c’est 88 qui vient de dire ça à Cook. En parallèle, c’est au tour de 88 de lui envoyer en SMS, Cook serait ok pour laisser passer le SWAT 3 fois au brûleur et pour se calmer un peu. Mais si aucune décision allant dans son sens n'est prise d'ici là, la guerre s’ouvrira. Les échanges de SMS avec Pope et 88 fusent en parallèle. Finalement, voilà ce qui a été négocié : 

Un point sera fait en interne pour voir les décisions à prendre d’ici là.


C’est un début, mais qu’1 semaine de prison pour un capitaine tué… C’est bien trop doux, mais c’est à l’image du BE… 


Et maintenant ?  Entre pas sur l’avenir et prise de température

(TC 04:00:00) Un convoi s’organise pour emmener Cook en prison, cependant beaucoup reste avec 07 aux EMS pour protester contre cette situation. Le lieutenant annonce à nouveau qu’il va se présenter en tant que capitaine, mais si ça ne se fait pas et que le brûleur est déplacé, le lieutenant propose une grève générale. Mais encore faut-il que les agents le suivent dans cette démarche. Il sait déjà qu’il a des soutiens mais ça ne fait pas tout. 


En parallèle, chaque agent ayant entendu la négociation est invité à envoyer un rapport au commandant. Il y a de forte chance pour que ce dernier souhaite faire tomber 07, qu’il n’a jamais apprécié… Les rapports peuvent faire la différence dans un sens comme dans un autre (TC 04:10:00). Les prochaines jours s’annoncent plus que tendues au sein des FdO. Le sort du LSPD est à présent entre les mains de leur commandant…


(TC 04:25:00) 07 contact alors différents agents ayant potentiellement entendu les négociations pour échanger sur leur version des faits et prendre la température de leur rapport. Plus les tensions de l'action redescendent, plus Kurt réalise à quel point ce jour risque d’être son dernier au sein du LSPD. Le BE et l’état major inactif vont gagner. Il ne peut rien faire de plus que de dire la vérité. Le commandant, jamais présent, prendra la décision qu’il veut quoi qu’il arrive. Il veut un bouquémisseur, sans remettre en cause ses propres inactions ayant conduit à ce jour. 


(TC 04:55:00) En prenant un peu de recul avec 95 et quelques agents restants, réalise une nouvelle chose. Dans une situation difficile comme celle-ci pour tout le LSPD, il est inadmissible pour le commandant de se lancer dans une chasse aux sorcières. Ils ont besoin de se souder, maintenant plus que jamais. Faire leur deuil et faire front dans un objectif commun. Mais 32 veut un coupable, et renforcer les tensions internes.


(TC 05:03:00) 95 et 07 rentrent finalement au poste où ils discutent à nouveau de la situation avec les agents encore présents. 

Kurt finit la journée épuisé mentalement. Il finit par aller se coucher, sur les nerfs, pour peu qu’il arrive à trouver le sommeil…



S02 EP23

S02 EP23 - 21/11/23

https://www.twitch.tv/videos/1983630473
https://youtu.be/MaJXM4Lj-pU?si=6e4ZIUD7wZwE4Ish


Prendre des infos : en ces temps troublés 

        Avant de prendre son service, bien qu’il soit bien sûr déjà en tenue SWAT dans son bureau, le lieutenant Schröder passe un coup de fil au procureur Agaabee. Étant désormais dans une situation quelque peu délicate, il a besoin de conseils et d’informations. Il explique donc qu’il était chargé des négociations la veille, lors de la prise d’otage. Bien qu’il ait fait tout son possible pour sauver le capitaine, il s’est retrouvé face à l’impossibilité de dialoguer et de négocier avec le criminel. Une situation qui s’est soldée par la décision du criminel d’assassiner 45. Le commandant a par la suite demandé des rapports à tous les agents présents, mais au vu de son message, 07 se doute qu’il est à la recherche d’un coupable, et qu’il a déjà décidé que ce serait lui.

Kurt a donc plusieurs questions : 

Agaabee explique que si Kurt est rétrogradé ou licencié, et qu’il estime que cette sanction n’est pas normale, il peut effectivement en faire part au bureau du procureur. Il y a quelques subtilités, la suite dépend de s’il porte plainte par exemple, ou de la façon dont cela est géré par le commandement. Car il a toute responsabilité sur ses hommes, et gère le poste de la manière dont il le souhaite, les procureurs n’ont pas la possibilité d’interférer dans ses décisions. Par contre, si Kurt estime avoir subi un préjudice, ou que la sanction est excessive, il peut les en informer, à eux de voir ensuite quelles actions sont possibles. Cela peut être d’imposer des sanctions disciplinaires, ou au contraire d’en annuler une, avec preuves et justificatifs. La décision doit être étayée par des éléments.

C’est une possibilité, il est en droit de lui demander d’être présente. Agaabee prévoit de rester disponible si il y a des tensions au sein du LSPD et Kurt ne le cache pas : il risque d’y en avoir très prochainement. Si elle est témoin d’un abus elle pourra intervenir directement, dans le cas contraire, sans être témoin direct, elle pourra étudier les choses dans un second temps. Et si cela va plus loin et que 07 porte plainte, une enquête approfondie sera lancée par les procureurs.

Pour l’instant il espère une vraie discussion avec le commandant, mais si celle-ci s’envenime, il demandera la présence d’un procureur pour la suite.


L’appel terminé, riche de ces nouvelles informations, Kurt découvre un nouveau sms : Alessia Belineli (03) annonce qu’elle est de retour ! Au pire moment selon son lieutenant. C’est ensuite des messages du lieutenant Lebrun qui apparaissent sur son écran (TC 00:15:40). 88 semble comprendre ce que traverse le lieutenant Schröder, et, au lendemain de l’opération, a pris du recul sur ce qu’il s’est passé et ce qui a été négocié. Mais effectivement, la situation est difficile pour Kurt. Il a déjà perdu un collègue, et il risque de perdre plus encore aujourd’hui, persuadé que le commandant le tiendra pour responsable. Pourtant, pour 88, le SWAT n’a rien à se reprocher. Ils ont tout tenté, et ils n’auraient pas pu être plus rapide qu’ils ne l’ont été. Elle rejoint d’ailleurs 07 dans le bureau du SWAT pour en discuter de vive voix (TC 00:20:50).



Retrouver les siens : sa famille SWAT pour des avis 

Charlène ne perd pas de temps pour poser la grande question : comment va Kurt ? La réponse de ce dernier est tout aussi rapide : tourmenté. Il est aussi dans l’incompréhension, face à la réaction du commandant et la sensation qu’il ne cherche qu’à désigner un coupable. Il est surtout défaitiste, persuadé que c’est lui qui sera désigné, et qu’il n’en a plus pour longtemps au poste. 88 est malheureusement d’accord avec la vision de 07, même si pour elle, cela ne ramènera pas leur capitaine. Ce qu’approuve Kurt, ils ont tout tenté pour le sauver mais refaire le déroulé de la soirée et de ce qui aurait pu ou ne pas se passer ne changera rien à sa finalité. Cela n’empêche pas le SWAT de s’en vouloir, s’en vouloir de ne pas avoir réagi assez vite pour neutraliser Cook, s’en vouloir de ne pas avoir réussi à négocier avec lui. Mais pour Lebrun, les négociations étaient peut-être déjà vouées à l’échec : Cook avait déjà tenu plusieurs fois ce discours, et n’était sans doute pas prêt à en changer. Elle-même l’avait constaté lors d’un rendez-vous quelques semaines auparavant. Le commandement était prêt à tout céder, mais Cook n’avait malgré tout rien accepté, terminant sur des menaces. Qu’il a fini par mettre à exécution. Mais comment négocier dans cette situation ? Et malheureusement, le lieutenant Schröder n’avait pas toutes les cartes en main, c’est dans la nuit qu’il a appris de nouvelles informations, en ouvrant tous les dossiers de l’intranet. Mais trop tard.

Cela étonne le lieutenant Lebrun, considérant que le commandement lui avait donné carte blanche sur la gestion des Brokers, elle pensait qu’il avait toutes les informations pour mener à bien sa mission. Seulement, si il a eu carte blanche, c’est parce qu’il a reproché au commandement son inaction, et a voulu agir face à l’incompréhension et la frustration d’une partie des agents sur cette situation. La première mesure était un simple contrôle routier, même si certes, la présence du SWAT et de l’anti-gang n’en fait pas un contrôle si basique que ça, il n’y a eu aucune prise de contact de leur part. Les Brokers les ont juste observés, de loin. Mais visiblement, cela a été vécu comme une provocation. Que faire alors ? Comment le LSPD peut-il réagir ? Changer le brûleur de place ne fait qu’envoyer un message aux autres gangs : qu’en kidnappant un membre de l’EM ils auront forcément gain de cause. Charlène tente de prendre du recul : il ne s’agit pas de plier à chaque fois, mais peut-être que parfois, c’est préférable. Elle cite justement un discours de 45 disant qu’il ne mettrait pas la vie des agents en jeu, pour un brûleur. Surtout que maintenant que les gangs connaissaient son emplacement, cela devenait dangereux même pour le SWAT.

Et pourtant, il va bien falloir réussir à trouver un équilibre, car ils ne peuvent pas non plus accepter toutes les revendications et tous les désirs des groupes criminels. Mais la vie des agents prime. 

Kurt regrette surtout l’absence de discussion avec les Brokers, l’absence d’une nouvelle proposition de Cook. Mais ce dernier est resté buté sur la même idée. Maintenant, la suite n’est plus entre les mains de 07, mais dans celles de 32. 88 lui recommande de discuter avec lui, ce que compte faire Kurt. Toutefois il se méfie, se doutant que Zepel a déjà son idée et que peu importe ce qu’il pourra dire, il ne le croira pas. Charlène comprend que Kurt a peur de perdre sa plaque. Ce dernier acquiesce. Aujourd’hui, rien d’autre ne compte pour lui que le SWAT, et le LSPD. Si il les perd, il n’a plus de raison d’être. Plus de raison d’être à Los Santos.

Il pensait avoir fait une proposition correcte dans sa négociation, mais s’est retrouvé face à une porte de prison. Ce que Cook est apparemment devenu depuis quelques temps, comme l’explique 88. Mais pour 07 c’est l’incompréhension, car il n’avait pas ces éléments et ses derniers contacts avec les Brokers s’étaient bien passés, justement dans la discussion. Pas à sens unique comme la veille. 

Mais tout cela a duré bien trop longtemps, le problème aurait dû être réglé il y a des mois. Peut-être qu’à un moment ils ont été trop laxistes, ou trop bornés. Toutefois, en lui refilant la gestion dans cette situation, le commandement savait ce que ça allait donner comme résultat. Effectivement, Charlène confirme que l’opération allait forcément faire réagir les Brokers et qu’ils n’allaient pas l’accepter. Dans ce cas, la question reste la même : qu’est-ce qu’il faut faire ? Quelle est la vision du LSPD ?

Pour 88, il faut réussir à trouver le juste milieu. C’est ce que pense avoir tenté 07 la veille, mais finalement, beaucoup trop tard. Lebrun reconnaît que cela fait sans doute des mois qu’ils ont perdu l’occasion de le faire.


En conclusion, Kurt estime que le licencier n’est pas la solution. Bien sûr parce qu’il veut garder son poste, mais sa vision serait la même pour un autre agent. Là encore, Charlène semble d’accord avec son collègue, cela envoie un très mauvais message aux autres agents : soyez négociateur mais attention, au moindre faux pas vous serez sanctionné. Personne ne voudra plus prendre ce rôle. Et Kurt l’a déjà ressenti hier soir, personne ne s’est porté volontaire. Charlène explique qu’elle a hésité, mais comme Kurt était chargé de gérer les Brokers et qu’il avait carte blanche, elle a pensé qu’il avait tout en main. Pourtant, pour ce dernier, il n’aurait pas dû s’en charger. Il ne peut pas gérer le lead SWAT et la négociation, ça a toujours fonctionné de cette façon. Mais croyant que personne ne voulait s’en charger, il a fini par prendre la main, par défaut. 88 confirme qu’il n’y avait guère plus de choix, c’était elle ou lui. Autour il y avait surtout des agents SWAT et AG, et pas beaucoup d’autres agents formés.

Encore une fois, refaire le passé ne changera pas le résultat. Reste à voir ce qu’il va se passer maintenant, alors que le commandant Zepel demande à tout le monde de se rendre dans la salle de dispatch. 


Un dispatch : de tous les dangers

Sur le chemin, Kurt croise 99 et 44 et les trois s'y rendent ensemble, ce qui leur permet pour un temps de détendre un peu l'atmosphère avec quelques blagues.

Pendant que les autres arrivent, 07 reçoit un appel du deuxième procureur, Fitzgerald, qu'il avait également essayé d'appeler. Il lui explique donc à lui aussi sa situation, et sa crainte pour son poste au sein du LSPD. Le procureur lui conseille de se rendre directement à leur bureau afin qu'ils puissent en discuter ensemble. Surtout que, avant que toute décision ne soit prise, ou que Kurt subisse une chasse aux sorcières, il y a une enquête qui peut être faite par le bureau du procureur. Le lieutenant convient donc de prendre le temps de rester au dispatch afin d'écouter le discours du commandant, puis de se rendre au bureau pour la suite.


Dans la salle du dispatch, le silence et l'appréhension règnent, loin de l'ambiance détendue habituelle. Kurt se tient à sa place de lieutenant, face à l'ensemble des agents, seul, attendant que tous arrivent. Finalement, le reste de l'EM fait son entrée : 21, 16, 88 et le commandant se présentent ensemble, et s'installent. Après une demande de combler les trous au premier rang, le dispatch peut commencer (TC 00:44:50). D’un ton las, le commandant demande une minute de silence pour la mort de Mulberry. Il propose un temps de paroles pour celles et ceux qui le souhaitent. Avant tout, il leur rappelle qu’il leur est interdit de se venger contre la mort du capitaine. La première question concerne la suite pour les sanctions contre les Brokers. La sanction d’une semaine de prison pour Cook ne satisfait pas vraiment les agents sur place, certains se demandent pourquoi le gouvernement ne forcerait pas un emprisonnement à vie. Il parle ensuite du brûleur : si les brokers se calment et que le LSPD leur laisse de la latitude pour les prochaines semaines, un compromis pourrait être fait au début de l’année prochaine. Cette négociation permet à l’état-major de réfléchir aux possibilités qui s’offrent à eux, le déplacer vu qu’il est de toute façon connu de toute la ville, ne pas le bouger et prendre le risque de devoir à nouveau gérer des situations comme celle avec les brokers. Le commandant insiste bien sur le fait qu’un focus BE sera mené par la suite pour gérer au mieux une possible nouvelle négociation. 95 demande alors la parole : la situation n’a-t-elle justement pas été trop temporisée auparavant avec les Brokers ? 32 est ferme, pendant des semaines d'accalmie avec les Brokers tout le monde est rentré chez soi le soir, il a suffit d’une opération pour qu’après quelques minutes seulement un capitaine meurt. La tension se fait sentir tandis que les questions et remarques fusent de toutes parts.


Certains estiment que 32 tente de faire porter le chapeau sur une erreur en interne, certains redoute que d’autres groupes prennent le pas : au final, les Brokers ont tué 45 et obtenu tout ce qu’ils voulaient. 32 n’est pas du même avis et tente de justifier au mieux la volonté du commandement ces derniers mois, il propose à ceux qui le veulent de venir le voir pour qu’il leur explique leur politique et leur vision par rapport aux Brokers et aux groupes en général. Quelques agents n’acceptent pas qu’on puisse autant manquer de soutien au sein du LSPD, que oui des erreurs ont été faites de part et d’autre mais qu’il faut être uni face aux Brokers qui eux, ont tout gagné ce soir. (TC 00:58:42) Kurt coupe la parole à 44 et rectifie le tir sur le point précis des négociations de la soirée précédente. Il insiste sur le fait que personne n’a voulu prendre les négociations à part 88. Personne ne peut se mettre à la place de 07, sans tous les éléments, avec des Brokers fermés à toutes négociations. Oui il aurait pu faire autrement, mais quelques auraient été les conséquences ? similaires, meilleures, pires ? Il a fait au mieux, le SWAT à fait au mieux ! Il s'excuse devant toutes et tous de la mort de Mulberry, qu’il s’en voudra toute sa vie mais ils ont fait tout ce qu’ils ont pu pour sortir 45 de cette situation. Il finit par dire que le soutien est primordial.

La réunion prend alors fin (TC 01:03:00) après une dernière intervention d’un agent rappelant qu’ils ont tous signé pour être au service de la justice. 07 prévient le commandant qu’il a rendez-vous avec les procureurs et ne peut pour l’instant pas les rejoindre pour la réunion de l’état-major. Kurt se dirige vers 11 qui se trouve au fond de la salle, recroquevillée. Il lui fait part de sa disponibilité si elle souhaite parler.


Convocations : le couperet tombe. 

Après quelques minutes à rechercher l’entrée du bureau des procureurs, (TC 01:08:20) l’un d’eux l’accompagne jusqu’à l’intérieur. De suite, la discussion commence. Pour le bien de l’enquête et parce qu’il y a tout de même eu un mort durant l’opération, les procureurs ont besoin de la version du lieutenant pour comprendre la situation. Il leur propose de leur envoyer son rapport. La procureur Agaabee lui demande aussi si le commandant s’est entretenu avec lui, ce qu’il répond par la négative. La lecture du document prend quelques minutes mais 07 est patient. 90 lui demande de le prévenir si jamais 32 lui met une sanction, 07 le prévient alors qu’il est pour l’instant auprès des procs. Agaabee le remercie pour ce rapport très complet et lui confirme que si une décision en interne est prise par 32, Kurt peut tout à fait revenir vers eux. Elle le prévient tout de même que s’il fait cela, une enquête interne sera ouverte sur le commandement et sur le lieutenant. Le lieutenant leur promet de les informer de la décision du commandement. Sur ces mots, ils l'accompagnent vers la sortie. 


Revenu au poste de police, il rejoint Hawkins près du bureau du commandement (TC 01:22:30). Il demande directement à 11 comment elle se sent par rapport à la nouvelle. Elle est dévastée, elle lui annonce qu’elle va poser sa plaque. Il comprend, lui répète une nouvelle fois qu’il a tout tenté. Elle lui répond qu’elle ne lui en veut pas, qu’elle sait. Elle estime qu’il va être tiraillé pendant des années sur tout ça mais qu’il n’est pas coupable ! Le seul responsable c’est Cook ! peu importe ce qu’on pourrait lui dire. Après ces mots, ils se disent au revoir, 07 étant attendu par l’état-major. Arrivé devant le bureau, il hésite quelques secondes mais finit par rentrer. 11 les rejoint et les informe qu’elle va s’occuper de l’enterrement de 45, sans cérémonie, juste quelques invités. Puis elle quittera définitivement Los Santos. Elle demande un voilier, 45 souhaitant partir par la mer. Hawkins prend congés. Les autres lieutenants restent plutôt silencieux, l’ambiance est pesante. La sonnerie de 07 résonne dans la pièce. Il s’agit du procureur, il aurait besoin d’agents pour déposer une plainte. Le lieutenant prévient la centrale et retourne patienter. 


Le commandant revient (TC 01:32:00) le ton est donné. Il veut lui dire tout ce qu’il lui dérange dans la situation par rapport à Schröder. La radio empêche d’ailleurs 07 de se concentrer sur la discussion, il prend soin de la couper. 32 lui ne l’avait même pas mise, trop peu intéressé par le quotidien du poste. Ce qui le met hors de lui, c’est que 07 leur a fait part de sa frustration, qu’il a exprimé être meilleurs qu’eux, qu’ils lui ont donné carte blanche et qu’au bout de 30 minutes d’opération, celle-ci se solde par la mort du capitaine. Il s’inquiète aussi du fait qu’au travers des rapports et témoignages des otages, à aucun moment les équipes sur place, dont 07, se seraient soucier de leur sort. Que la position du brûleur valait plus que la vie d’un capitaine et cela, il ne peut pas l’accepter. Il ne voit pas comment il pourrait continuer à travailler avec le lieutenant en sachant ça. 

Kurt prend alors la parole, il réitère. Aucune autre personne n’a voulu prendre la négociation. Il a conscience que c’est son opération, cependant il insiste sur le fait qu’il n’aurait pas dû prendre ce rôle, puisqu’il était lui-même lead op. Le commandant semble d’accord avec cela. Pendant 7 longues minutes où le capitaine était déjà otage, aucun n’a pris l’initiative de prendre ce rôle. Il exprime aussi ses difficultés de discussions et de négociation avec Cook et les Brokers. En lui donnant cette carte blanche, ils lui donnaient une mission “suicide”. 32 le confirme… malheureusement c’était la seule solution pour qu’il comprenne qu’il était dans le faux. 07 exprime aussi toute la frustration des agents, qu’il a certe fait tampon mais que l’état major n’a jamais voulu croire à un réel ras-de-bol des unités par rapport aux Brokers. Il a conscience d’être le bouc émissaire, celui à faire tomber au sein du LSPD. Le commandant est formel, il a foiré la négociation et la mort du capitaine aurait pu être évitable. Kurt lui redit qu’il n’a même pas pu revenir sur la négo. Il n’accepte pas que le commandement lui mette la responsabilité de la mort de 45. Pour le commandant, l’opération n’aurait jamais dû avoir lieu, ni se passer de cette façon. 07 lui rappelle que cela a été fait sous leur ordre. 32 en acceptera les conséquences s’il y en a pour lui aussi. 


Après quelques secondes de silence, le commandant annonce au lieutenant Schröder qu’il doit déposer ses affaires (TC 01:42:35) et de revenir au bureau pour déposer sa plaque. C’est avec un simple “OK”, que Kurt quitte la pièce. Au détour du premier couloir, le choc passé, il prend alors sa radio, prend une grande respiration et dit : “De 07 à tous, c’est un 10-7 définitif, bonne continuation à tous”. S'ensuit un silence radio. 


Aussitôt, il reçoit un appel. C’est Pope, qui lui demande de confirmer qu’ils l’ont bien viré. 07 n’arrive pas à rendre ses affaires, c'est trop difficile, il pense prendre une voiture et faire un tour avant de retourner voir 32. Il est rejoint au garage par quelque uns du SWAT, tous abasourdi par la décision. Kurt envisage d'appeler les procs mais avant ça il a besoin de pouvoir respirer. Il prend la VST-R et fil à toute vitesse (TC 01:45:30). Alors que déjà des messages de sympathies et d’incompréhensions arrivent sur son portable, il contacte les procureurs pour leur faire part de la décision du commandant. Il leur indique qu’il n’a pas encore rendu sa plaque ni ses affaires. La proc lui demande de le faire le plus vite possible pour ne pas que ça  joue en sa défaveur, elle le recontactera plus tard. 


Kurt semble perdu, il erre sans but dans les rues, puis sur la free way. Les messages n’en finissent plus, 11 prend de ses nouvelles, mais aussi, 21. Celle-ci semble regretter la décision du commandant et pensait qu’il changerait d’avis. 07 est amer, il a bien remarqué qu’elle n’a pas bronché une seule seconde pendant la réunion. Il lui rappelle qu’il l’a toujours soutenu et qu’il pensait qu’elle allait faire de même, qu’il est déçu. 

Les autres membres du SWAT souhaitent retrouver 07, il décide alors de se poser sous un pont couvert en pleine campagne. Son téléphone sonne, 11 le conseil de rendre rapidement sa plaque, de voir avec les procs et ensuite il pourra gérer pour récupérer sa place. Car ils n’ont pas le droit de le licencier comme cela. Ses paroles semblent toucher 07, qui accepte de revenir au PdP après sa “balade”, il lui fait confiance mais lui dit, le coeur serré, que le LSPD et le SWAT sont toute sa vie. Elle sait, elle laider au mieux pour qu'il retrouve sa place. Aussitôt après avoir raccroché, c’est au tour du procureur de le rappeler. Kurt l’informe de son licenciement et de son départ précipité. Le procureur souhaite le voir rapidement.


Il est rejoint par les membres du SWAT (TC 01:59:30). Tous se réunissent autour de lui alors que Zepel tente de le joindre pour qu’il passe lui rendre sa plaque. 90 demande quel est le plan d’attaque de 07, celui-ci répond, las, qu’il n’a plus la force. Il a été jugé et incriminé sans pouvoir se défendre. Les autres se doutent que le reste de l’état-major n'a pas bougé le petit doigt, ce que confirme Kurt. 

Malgré le fait qu’il n’a pas encore déposé sa plaque officiellement, il vient de recevoir un message automatique lui confirmant son licenciement. Alors que certains commencent à parler de licenciement abusif, Pope leur explique qu’il n’y a actuellement aucun code du travail au sein du LSPD et que le commandant a le droit de faire cela sans justification. Ils le poussent à aller voir les procureurs le plus rapidement possible pour voir ce qui pourrait être fait. Ils le rejoindront directement là-bas, Lloyd Lipton lui propose d’appeler son père, pour voir s’il peut gérer cette affaire. Les membres du SWAT envisagent même de faire grève si c’est autorisé par la loi. 


Sur la route vers le bureau des procureurs, Kurt reçoit un appel justement du proc. Celui-ci lui propose de l’accompagner au poste pour qu’il rende sa plaque, ils iront ensemble discuter à leur bureau pour l’ouverture de l’enquête. Les membres du SWAT sont déjà arrivés sur place pour montrer leur soutien. 

Il récupère le procureur et se dirige au poste où le commandant les attend. Kurt le prévient, il refuse d’adresser la parole à 32. Après avoir déposé le véhicule du SWAT au garage, ils se dirigent à l’accueil du poste (TC 02:10:00). Le procureur prévient Zepel de leur arrivée, il lui glisse aussi que 07 ne souhaite pas lui parler. Les affaires, les clés et la plaque rendues, Kurt quitte le PdP sans un mot ni un regard vers son ancien commandant.


Retour à la vie civile : mais pas sans se battre 

Son véhicule personnel récupéré, Kurt passe par une boutique pour se changer. Voilà des semaines voire des mois qu’il n’avait pas quitté sa tenue SWAT, remettre des vêtements civils n’est pas chose aisée (TC 02:16:00). A l’arrivée devant l’immeuble, les membres du SWAT sont bien présents, ce que remarque rapidement le procureur. Attendant d’être entendu, un silence règne dans l’accueil. Kurt n’a plus les calls incessants de la centrale et des unités en vadrouille dans les oreilles, ni la messagerie du LSPD. Pope le prévient que 95 a prévenu son père et que celui-ci va arriver. Les minutes passent et Kurt en profite pour répondre aux messages reçus au cours de la soirée. Il demande à 99 à quel poste est le fameux père de Lloyd au ministère. Celui-ci est directeur du département de la justice, parfait! 

Les procureurs sont enfin disponibles pour prendre sa déposition (TC 02:33:20). Il les prévient que le directeur de la justice, James Sheldon, arrive dans les prochaines minutes et demande s’il est possible de l’attendre pour la déposition. Les procureurs acceptent sans soucis. Kurt profite de ce moment pour demander si ses collègues peuvent faire une grève. Le procureur estime qu’ils n’auront pas le droit mais qu’ils peuvent prendre leur service mais ne rien faire, sauf ordre direct.


Le directeur de la justice arrive enfin (TC 02:45:40). Il estime dommageable qu’un agent avec un tel état de service ne soit plus au service de la ville. La déposition peut enfin commencer. Kurt réaffirme qu’il conteste son licenciement. Il réexplique la négociation et les conséquences de celle-ci. Mr Sheldon demande alors pourquoi Kurt était à la négociation puisqu’il était lead op. Celui-ci lui confirme que ça n’aurait pas dû être le cas, que c’est même contre les règles du LSPD mais que personne ne s’étant proposé pour ce rôle, il a dû y aller au vu de la prise d’otage. Il lui demande ensuite s’il a déjà été formé à la négociation : Négatif. Si d’autres personnes sur place hier étaient eux formés : Affirmatif. Il aurait préféré que cela soit quelqu’un d’autre. Les procureurs s’intéressent maintenant à 88, ils souhaiteraient savoir si elle était au courant des accords passés entre le commandement et les Brokers. Kurt confirme aussi cela. Après cela, il leur fait part de sa vision des réunions et de son licenciement. Il parle tout d’abord de la réunion avec tous les agents, où, de son point de vue, le commandant a clairement fait comprendre qu’il souhaitait sanctionner une personne en particulier et qu’il a convoqué une réunion de l’état-major. Durant cette réunion, seul le commandant a pris la parole. Kurt résume rapidement la conversation. Les procureurs lui demandent s’il a senti une intimidation de la part de 32. Il confirme qu’il a été jugé vulgairement, sans prendre en compte tout son état de service. Il ressent de l’injustice, d’avoir été jugé sur une erreur, dans une mission suicide, sans avoir le temps de pouvoir s’exprimer. 

On lui demande ce qu’il souhaiterait obtenir de part cette enquête. Il aimerait réintégrer l’unité SWAT, même en tant que simple membre. Il accepte tout compromis s’il reste dans cette unité. Il confirme que s’il réintègre le LSPD et cette unité, il n’ira pas au bout de la plainte. 


James Sheldon propose aux procureurs de recevoir les différents agents qui attendent en bas de l’immeuble, lui-même ira voir le commandant Zepel pour prendre sa déposition. Kurt est donc raccompagné une nouvelle fois, sa déposition étant terminée (TC 03:00:00).



Envisager le futur : n’est pas si simple…

Arrivé sur le perron du bureau des procureurs, il rejoint les gars et les prévient qu’ils risquent d’être appelés à témoigner dans les prochaines minutes. Au détour de la conversation concernant l’entrevue avec les procureurs, Kurt regrette de ne pas avoir pu proposer de délocaliser l’unité SWAT au commissariat de Vinewood le temps de la procédure, ce qui permettrait de continuer de travailler. 95 se propose d’en parler lorsqu’il sera avec les procs. 

Les gars sont unanimes, ils ne vont pas le laisser tomber, ils en sont à lui réclamer de supprimer son message à tous les agents qu’il a mis sur l’intra du LSPD. Il reviendra, point ! 

Alors que plusieurs d’entre eux dont 99 et 95 se dirigent vers les procureurs, le reste du groupe discute de l’avenir. D’un monde où le commissaire tombe, qui pour le remplacer ? d’un autre monde où 07 revient mais pas en tant qu’EM, de toute façon il ne pourrait pas travailler avec 32 avec ce qu’il vient de se passer. Kurt s’éloigne quelques minutes pour appeler Ines Garza pour l’informer de son licenciement. 81 aimerait en savoir plus sur la façon dont ça s’est passé, Kurt lui fait un résumé concis. Il lui conseille de ne pas prendre part à des négociations à l’avenir, car à la moindre erreur, elle risque de sauter. Elle lui demande ce qu’il compte faire en attendant un potentiel retour. Après avoir émis la folle hypothèse de travailler en tant que mécano, il l’informe qu’il a bien saisi les procureurs sur l’affaire. Il lui demande aussi de ne pas se positionner sur la situation, elle est parfaitement d’accord. La conversation prend fin rapidement, après des bons courages lancés des deux côtés.

Monsieur Sheldon arrive auprès d’eux, Lloyd propose à Kurt de lui parler directement du projet de déplacement de l’unité SWAT. Si le compromis n’est pas possible, il réfléchira à proposer ce projet au ministère.


Kurt profite de quelques minutes seul pour se poser après cette soirée éprouvante, quelques échanges de messages que Lloyd et Wil reviennent vers lui. Les gars lui confirment que 21 est définitivement perdue. 90 lit quelques sms du même acabit que ceux que 07 a reçu. Ils sont choqués de la voir retourner sa veste rapidement depuis qu’elle est lieutenant. Après quelques instants, Kurt fouille dans ses contacts et décide d’appeler Adrianna Diaz, des EMS (TC 03:22:54). Il l’informe de son licenciement. Comme la plupart des personnes, elle est abasourdie par cette décision. Elle lui affirme que cela fait des semaines que les agents du LSPD viennent la voir, tellement qu’elle a l’impression d’y travailler puisqu’elle connaît toutes leurs histoires. Kurt lui glisse qu’il a déposé plainte et qu’il pourrait être intéressant qu’elle se rende elle aussi auprès d’eux pour parler de la situation. Elle accepte, décidée que la situation ne peut pas durer.


Les discussions sont enflammées entre les membres du SWAT et Kurt, entre le comportement de 88, le silence de 32 à la suite de l’assaut. Ils sont formels, seul 07 prenait soin du bien être de ses agents. Ils échangent aussi sur l’accord passé avec les Brokers, que Lloyd et Kurt jugent parfait pour le BE mais au détriment de tout le poste. Trapu les rejoint, il confirme avoir donné quelques informations sur 88 aux procs. Alors que Aldo et Adrianna de la direction des EMS, arrivent sur place, le directeur de la justice revient vers Kurt et souhaite lui parler seul à seul (TC 03:37:15). Il a tenté de faire pencher le commandant vers un compromis mais sans résultat. 32 invoque l’article 13 du règlement intérieur du LSPD pour sa décision. Il aurait accepté le retour de 07 au poste mais pas au SWAT, ce qui n’est pas possible pour Kurt. Le directeur lui donne son numéro pour la suite de l’affaire et lui souhaite bon courage pour les prochains jours.


De retour auprès des autres, Kurt leur explique ce qui a été dit. Les autres commencent à envisager de discuter avec les autres agents, quitte à être rétrogradé ou même de perdre leurs plaques. La réintégration de 07 est leur priorité. Kurt leur explique que même s’il est de retour, 32 pourra toujours appuyer sur l’article 13, l’autorisant à virer qui il veut sans justifications. 07 regrette de ne pas avoir pu retirer cet article quand il était commandant. 90 relit alors le règlement et constate que certains articles ne sont de toute façon pas bons. En effet, un article indique que seul le commissaire peut promouvoir un agent. Or depuis des mois ce sont le commandant et le capitaine qui le font. Cela fait tiquer Kurt, qui rappelle Mr Sheldon aussitôt. Il lui dit que le règlement est obsolète. Le directeur le remercie pour cette information très intéressante qu’il va rajouter au dossier. L’objectif des agents présents auprès de Kurt, c’est de focus sur ce règlement pour le rendre caduc et le faire refondre par le département de la justice. 


Les discussions s’enchaînent, sur le règlement, l’envie de certains de déposer leurs plaques, la délocalisation du SWAT qui plairait fortement à toute l’équipe. L’heure passe et Kurt ne peut que constater le soutien de ses équipes et des EMS. Tous sont d’accord pour dire que les choses doivent bouger. Si Kurt veut seulement récupérer le SWAT, les autres voient aussi l’occasion de mettre en avant les problématiques au sein du poste et la grande rupture de dialogue et de confiance entre le commandement et certains agents. Aldo, directeur des EMS, lui propose même de l’embaucher dans l’attente d’un potentiel retour au LSPD. Kurt décline gentiment la proposition tout en appréciant le geste. 

La conversation dérive maintenant sur les conséquences de l’acte des Brokers et de l’accord qui s’en est suivi. 26 leur raconte avoir entendu dans la soirée, un Brokers chanté la gloire de son chef et sa fierté d’avoir tué le capitaine. 


Kurt confirme à Pope et Lloyd avoir écrit à 10 plus tôt dans la journée (TC 04:25:00), mais chacun n’a que peu d’espoir pour l’avenir du commandement du LSPD. L’idée que 21 soit promu capitaine n’enchante personne. Ils ont clairement conscience que 32 va rejeter aussi la faute sur le SWAT. Pope confirme aussi qu’il s’était déjà plaint auprès des procureurs sur le règlement intérieur il y a quelques semaines. Lloyd confirme que son père envisage de faire sauter l’article 13 dans tous les cas. Le seul espoir serait que le commissaire revienne et sanctionne le commandant. 


Après plus d’une heure de conversations diverses sur la situation actuelle et future au sein du LSPD, les membres SWAT restés debout et les EMS rentrent chacun chez soi. Après les avoir remerciés, Kurt envisage de dormir dans sa voiture pour sa première nuit loin du poste de police.



Les SMS de la Saison 2

Cook

Kazenko 

Mulberry
Turner