Ici vous trouverez tout ce que nous utilisons et testons.
Nous testons actuellement KMeet de la société Infomaniak chez qui nous avons également le KSuite+ et du Cloud. Société Suisse respectant à la lettre le RGPD et la protection des données.
Pourquoi tester en fait ? Notre ASBL n'est pas une institution recevant des "pourboires" de l'Etat providence et encore moins de tout ce qui est communal ou provincial.. Nous sommes 100% autonomes, sans subsides et sans aides à part nos généreux sponsors et nos généreux membres.
Nous ne sommes dès lors pas assujettis à remerciements ou carte de membre politique. C'est cela aussi l'indépendance et la liberté d'entreprendre. Nous avons juste des comptes à rendre à nos membres en AG, au fisc et au Tribunal de l'Entreprise.
Nous utilisons depuis quelques années un logiciel de visio-conférence qui nous donne satisfaction mais le prix ne cesse d'augmenter pour en arriver à près de 200 euros annuellement. Il est donc devenu très difficile de tenir un budget en équilibre pour une petite ASBL dans ces cas précis.
Nous sommes donc en train de tester KMeet lors de nos réunions et ce dernier nous donne pleine satisfaction. Nous allons donc poursuivre l'expérience durant les prochaines réunions avec nos membres afin de connaître les tenants et aboutissants et la robustesse de KMeet. Les premiers retours sont déjà plus que positifs.
kMeet – aperçu global
kMeet est le service de visioconférence gratuit, sécurisé et illimité proposé par Infomaniak, un hébergeur suisse soucieux de la confidentialité. Il repose sur le logiciel libre Jitsi Meet et offre une solution « privacy‑friendly » accessible depuis le navigateur ou les applications mobiles (iOS, Android) et de bureau.
Création de salles : vous pouvez créer autant de salles de réunion que vous le souhaitez, sans limitation du nombre de participants (dans la mesure des ressources disponibles).
Sécurité : chaque réunion peut être protégée par mot de passe et les échanges sont chiffrés.
Collaboration : chat intégré avec emojis, partage d’écran, annotation du contenu partagé, et possibilité d’inviter les participants via un lien URL
Compatibilité : fonctionne sur le web, ainsi que sur les applications desktop (Windows, macOS, Linux) et mobiles (iPhone, iPad, Android).
Interopérabilité : vous pouvez rejoindre des réunions hébergées par Infomaniak Meet ou directement par Jitsi Meet.
Gratuité totale : aucun frais d’abonnement, aucune publicité, aucune collecte de données commerciales.
Qualité audio/vidéo : excellente qualité même sur des connexions 3G/4G/LTE.
Facilité d’accès : aucune installation requise pour les participants sur ordinateur ; il suffit de cliquer sur le lien fourni.
En résumé, kMeet se positionne comme une alternative open‑source et respectueuse de la vie privée aux plateformes de visioconférence grand public, idéale tant pour un usage personnel que professionnel.
Libérez votre potentiel avec les logiciels libres et Linux
Dans un monde où la technologie évolue à une vitesse fulgurante, choisir des solutions ouvertes, sécurisées et collaboratives n’est plus une option — c’est une véritable stratégie gagnante. Les logiciels libres et le système d’exploitation Linux offrent une liberté sans précédent, tant pour les particuliers que pour les entreprises.
Pourquoi opter pour les logiciels libres ?
Transparence totale : Le code source est ouvert à tous, ce qui garantit une visibilité complète sur le fonctionnement de chaque fonctionnalité. Vous savez exactement ce qui tourne sur votre machine.
Sécurité renforcée : Une communauté mondiale de développeurs examine, corrige et améliore continuellement le code. Les vulnérabilités sont détectées et résolues rapidement, bien plus vite que dans les solutions propriétaires.
Aucun coût caché : Pas de licences onéreuses, pas de frais d’abonnement. Vous pouvez installer, copier, modifier et redistribuer le logiciel librement, ce qui réduit considérablement vos dépenses informatiques.
Flexibilité et personnalisation : Adaptez le logiciel à vos besoins spécifiques. Que vous soyez développeur, créateur de contenu ou administrateur système, vous avez le contrôle total sur votre environnement.
Linux : le cœur battant de l’innovation open‑source
Performance exceptionnelle : Conçu pour exploiter au maximum les ressources matérielles, Linux fonctionne aussi bien sur des serveurs ultra‑puissants que sur des appareils modestes.
Stabilité inégalée : Des années de développement communautaire ont fait de Linux l’un des systèmes les plus fiables du marché, capable de fonctionner pendant des mois, voire des années, sans redémarrage.
Écosystème riche : Des milliers de distributions (Ubuntu, Fedora, Debian, Arch…) répondent à chaque profil d’utilisateur, du novice curieux au professionnel chevronné.
Support communautaire : Forums, listes de diffusion, wikis et conférences offrent une aide instantanée et une source d’inspiration permanente.
Un avenir durable et collaboratif
En adoptant les logiciels libres et Linux, vous soutenez une philosophie d’entraide et de partage. Chaque contribution, même minime, alimente un cercle vertueux où l’innovation profite à tous. Vous devenez acteur d’une révolution technologique qui place l’humain avant le profit.
Passez à l’action dès aujourd’hui
Installez une distribution Linux adaptée à vos besoins.
Explorez les suites bureautiques, graphiques et de développement libres qui remplacent aisément leurs équivalents propriétaires.
Rejoignez les communautés locales ou en ligne pour partager vos expériences et apprendre des meilleurs.
Libérez votre créativité, sécurisez vos données et réduisez vos coûts : choisissez les logiciels libres et Linux, la solution qui vous donne le pouvoir de façonner votre futur numérique.
Proton (anciennement ProtonMail) est une entreprise suisse qui propose une suite de services axés sur la confidentialité et le chiffrement des données, bénéficiant de la législation suisse stricte en matière de protection de la vie privée.
Voici les principaux aspects des services Proton en lien avec la Suisse :
Chiffrement de Bout en Bout et Zéro Accès : Proton Mail utilise le chiffrement de bout en bout (E2EE) pour les communications entre utilisateurs Proton, garantissant que seuls l'expéditeur et le destinataire peuvent lire le contenu. Le chiffrement "Zéro Accès" signifie que même Proton ne peut accéder à vos données.
Juridiction Suisse : Le service est basé à Genève, en Suisse, et ses serveurs sont situés en Suisse, hors des juridictions des États-Unis et de l'Union Européenne (comme le CLOUD Act). La Suisse est réputée pour ses lois strictes sur la protection des données, considérées parmi les meilleures au monde.
Fonctionnalités : Messagerie sans publicité, protection contre le spam et le phishing (hameçonnage), alias "hide-my-email", possibilité d'envoyer des e-mails chiffrés à des non-utilisateurs de Proton avec un mot de passe et une date d'expiration.
Proton a étendu son offre au-delà de la messagerie pour créer une suite complète d'outils axés sur la confidentialité, tous régis par le droit suisse :
Proton VPN : Un réseau privé virtuel (VPN) basé en Suisse, qui sécurise votre activité en ligne en masquant votre adresse IP et en chiffrant votre connexion.
Proton Drive : Un service de stockage cloud chiffré, permettant d'organiser et de sécuriser vos fichiers.
Proton Calendar : Un calendrier chiffré, gardant votre emploi du temps à l'abri des regards indiscrets.
Proton Pass : Un gestionnaire de mots de passe chiffré, protégeant vos identifiants en ligne.
Financement par la Communauté : Proton est principalement financé par ses abonnements payants, ce qui lui permet de ne pas dépendre de la publicité ni de la vente de données, contrairement aux modèles économiques des "GAFA".
Comptes Gratuits et Payants : Le service de base (Proton Mail, etc.) est disponible gratuitement avec des fonctionnalités et un espace de stockage limités. Les abonnements payants (Mail Plus, Unlimited, Family) offrent plus de stockage, d'adresses alias, de domaines personnalisés et d'accès aux versions Premium de tous les services (VPN, Drive, etc.).
Note Importante : Des débats récents autour d'une possible révision de la législation suisse sur la surveillance des télécommunications ont conduit le CEO de Proton à exprimer des menaces de déménagement de son siège hors de Suisse si les nouvelles règles étaient jugées trop intrusives. Cependant, au moment de cette description, Proton reste une entreprise basée en Suisse, et ses services continuent de bénéficier de la législation actuelle sur la protection des données.
Il est important de comparer les abonnements de Proton pour choisir celui qui correspond le mieux à vos besoins en matière de confidentialité et de fonctionnalités.
Voici un tableau comparatif des principaux abonnements pour les particuliers (les prix sont indicatifs pour un engagement annuel, l'abonnement mensuel étant plus cher) :
Proton Free : Idéal pour ceux qui souhaitent tester la sécurité Proton et n'ont besoin que d'une messagerie de base pour un usage très occasionnel, avec un très faible besoin en stockage.
Mail Plus : Parfait si votre priorité est une messagerie chiffrée complète et professionnelle (avec domaine personnalisé et plus de stockage) et que vous utilisez déjà ou n'avez pas besoin d'un VPN ou d'un cloud sécurisé.
Proton Unlimited : C'est l'offre la plus avantageuse pour obtenir la suite complète des services Proton (Mail, VPN, Drive, Calendar, Pass) en version premium. Elle est recommandée si vous souhaitez unifier tous vos besoins de sécurité et de confidentialité (e-mail, navigation, stockage et mots de passe) sous la protection de la loi suisse, avec un espace de stockage généreux.
Dans notre ère numérique, les données sont un actif précieux, qu'il s'agisse de documents professionnels cruciaux, de souvenirs personnels inestimables ou de la configuration complète d'un système d'exploitation. L'utilité principale et la plus vitale des copies et sauvegardes (ou backups) est d'assurer la continuité et la résilience face à l'imprévu.
La sauvegarde est la seule véritable parade contre les multiples causes de perte de données :
Défaillance Matérielle : Les disques durs, SSD et autres supports de stockage ont une durée de vie limitée et peuvent tomber en panne sans avertissement, rendant les données inaccessibles.
Erreurs Humaines : Une suppression accidentelle de fichiers ou un formatage involontaire est une cause extrêmement fréquente de perte de données.
Cyberattaques : Les ransomwares (rançongiciels) cryptent les fichiers, les rendant inutilisables. Avoir une sauvegarde déconnectée du réseau est souvent le seul moyen de récupérer ses données sans payer la rançon.
Catastrophes Naturelles ou Locales : Incendies, inondations ou vols peuvent détruire physiquement l'équipement. Une sauvegarde externalisée (dans le cloud ou sur un site distant) permet de récupérer l'ensemble du système ailleurs.
L'utilité d'une sauvegarde ne réside pas seulement dans la conservation des données, mais dans sa capacité à permettre une restauration rapide et complète :
Restauration Granulaire : Récupérer un seul fichier ou un dossier spécifique sans avoir à restaurer l'intégralité du système.
Restauration Complète du Système (Bare-Metal Recovery) : En cas de panne majeure, une image système sauvegardée permet de restaurer l'intégralité de l'environnement (système d'exploitation, applications, et données) sur un nouveau matériel ou le même, en minimisant l'interruption d'activité.
Retour en arrière : Permet de revenir à un état antérieur du système ou des fichiers avant l'installation d'un logiciel problématique ou la corruption de données.
Pour garantir une efficacité maximale, les experts recommandent d'appliquer la règle 3-2-1 de la sauvegarde, qui résume l'utilité des différentes copies :
3 copies de vos données (l'original + deux sauvegardes).
2 types de supports différents (ex: disque interne et disque externe, ou disque interne et cloud).
1 copie hors site ou hors ligne (pour se prémunir contre les catastrophes locales ou les menaces en ligne).
En conclusion, la copie et la sauvegarde ne sont pas une option, mais une nécessité absolue pour toute entité ou individu souhaitant protéger son patrimoine numérique et assurer sa capacité à se remettre rapidement de tout incident, garantissant ainsi la pérennité de son activité ou de ses souvenirs.
Le choix de la méthode impacte la vitesse de sauvegarde, l'espace de stockage nécessaire, et le temps de restauration.
Complète (Full)
Copie l'intégralité des données (fichiers et/ou image système) à chaque exécution.
Restauration la plus simple et rapide (un seul fichier). Haute fiabilité.
Nécessite beaucoup d'espace de stockage et est la plus longue à exécuter.
Incrémentielle (Incremental)
Ne copie que les données qui ont été modifiées depuis la dernière sauvegarde (complète ou incrémentielle).
Très rapide et très économe en espace.
La restauration est la plus complexe et la plus lente, car elle nécessite la sauvegarde complète initiale ET toutes les sauvegardes incrémentielles suivantes.
Différentielle (Differential)
Ne copie que les données qui ont été modifiées depuis la dernière sauvegarde complète.
Compromis idéal : moins d'espace que la complète, restauration plus rapide que l'incrémentielle (ne nécessite que la complète et la dernière différentielle).
Augmente en taille à chaque exécution jusqu'à la prochaine sauvegarde complète.
Image Système
Crée une copie exacte (miroir) de l'intégralité du disque dur, y compris le système d'exploitation et les applications.
Permet une restauration complète du système sur un nouveau disque ou matériel (Bare-Metal Recovery).
Nécessite beaucoup d'espace.
Où stocker vos précieuses copies ? Il est crucial d'utiliser au moins deux supports différents (Règle 3-2-1).
Disques Durs Externes (HDD/SSD) :
Avantages : Faible coût par gigaoctet (HDD), rapidité (SSD), faciles à utiliser et déconnecter (hors ligne/hors ligne).
Inconvénients : Vulnérables aux chocs (HDD), peuvent être volés ou endommagés localement.
Stockage Cloud (Sauvegarde en ligne) :
Exemples : Google Drive, Microsoft OneDrive, Dropbox, Backblaze, etc.
Avantages : Idéal pour la copie "hors site" (protection contre les catastrophes locales), automatisation facile, accès depuis n'importe où.
Inconvénients : Dépendance à une connexion Internet, coûts d'abonnement pour de gros volumes.
Serveur NAS (Network Attached Storage) :
Avantages : Un mini-serveur à domicile ou au bureau, offrant un stockage centralisé, souvent redondant (RAID), et accessible par le réseau local.
Inconvénients : Coût initial plus élevé, configuration plus complexe.
Le choix du logiciel dépend de votre environnement (particulier ou entreprise) et de vos besoins.
Pour les Particuliers et PME :
Windows Historique des fichiers / Sauvegarde et restauration
Intégré à Windows.
Sauvegarde de fichiers simples, parfois image système.
Apple Time Machine
Intégré à macOS.
Sauvegardes incrémentielles automatiques et très conviviales.
AOMEI Backupper / EaseUS Todo Backup
Polyvalents (Windows).
Sauvegardes de fichiers, disques, partitions et images système.
Duplicati / FreeFileSync
Logiciels libres.
Sauvegarde chiffrée, vers différents types de stockage (local/cloud).
Pour les Entreprises et Utilisateurs Avancés :
Veeam Backup & Replication : Leader pour la sauvegarde d'environnements virtualisés (VMware, Hyper-V).
Acronis Cyber Protect : Solution complète de protection des données, incluant des fonctions anti-ransomware.
Bacula / Veritas Backup Exec : Solutions robustes pour des environnements complexes de serveurs.
Une sauvegarde n'est utile que si vous pouvez restaurer vos données. Il est crucial de tester régulièrement le processus de restauration pour vous assurer que les fichiers sont lisibles et que la procédure fonctionne correctement en cas d'urgence.
Non, il n'est plus aussi difficile de passer de Windows à Linux qu'auparavant. La transition est devenue beaucoup plus douce grâce à l'évolution des distributions Linux, qui offrent désormais des interfaces graphiques très intuitives et des outils simplifiés, proches de l'expérience Windows ou macOS.
Cependant, il est important de noter que ce n'est pas une transition sans défis et votre expérience dépendra de vos besoins et de votre volonté d'apprendre.
Bien que la facilité d'utilisation ait progressé, quelques points peuvent représenter des obstacles pour un utilisateur habitué à Windows :
Logiciels spécifiques : Le plus grand défi est souvent la compatibilité des logiciels. Si vous dépendez d'applications professionnelles exclusives à Windows (comme la suite Adobe, Microsoft Office, ou certains logiciels de CAO/DAO), vous devrez soit :
Trouver des alternatives sous Linux (ex : GIMP pour Photoshop, LibreOffice pour Microsoft Office).
Utiliser des solutions de compatibilité comme Wine (qui ne garantit pas la performance ou le fonctionnement de tous les programmes).
Recourir à la virtualisation pour faire fonctionner Windows sur votre Linux.
Matériel et pilotes : La prise en charge du matériel (notamment les cartes graphiques très récentes, les imprimantes ou certains périphériques spécialisés) peut parfois nécessiter une configuration manuelle ou l'installation de pilotes non inclus par défaut. Néanmoins, la majorité du matériel moderne fonctionne sans problème.
Courbe d'apprentissage : Bien que l'interface de base soit simple, certaines opérations de dépannage ou d'installation de logiciels spécifiques peuvent parfois vous amener à utiliser le terminal (la ligne de commande). C'est un changement de philosophie pour un utilisateur de Windows, mais c'est aussi ce qui offre la puissance et le contrôle de Linux.
Choix de la distribution : L'abondance des distributions Linux (Ubuntu, Linux Mint, Fedora, etc.) peut être déroutante au départ. Pour un débutant, des distributions comme Linux Mint ou Ubuntu sont fortement recommandées car elles sont conçues pour être conviviales et ressemblent le plus à l'environnement Windows.
Le passage à Linux apporte aussi des bénéfices significatifs :
Gratuité et Open-Source : Le système d'exploitation et la majorité des logiciels sont gratuits.
Sécurité et confidentialité : Linux est généralement considéré comme plus sûr que Windows. De plus, il n'y a pas de collecte de données ou de logiciels espions par défaut.
Performance et stabilité : Linux est réputé pour sa vitesse et sa fiabilité. Il ne ralentit pas avec le temps et est souvent excellent pour redonner vie à du matériel plus ancien.
Personnalisation : Vous avez un contrôle total sur votre système et vous pouvez le personnaliser selon vos besoins et vos goûts.
Pour rendre le changement le plus simple possible, je vous recommande de tester Linux avant de l'installer définitivement :
Utilisation "Live" : Créez une clé USB bootable (avec un outil comme Ventoy ou Rufus) et démarrez votre ordinateur dessus. Cela vous permettra de tester la distribution Linux (comme Linux Mint) sans rien installer sur votre disque dur.
Double-amorçage (Dual-Boot) : Installez Linux à côté de Windows. Au démarrage de votre PC, vous aurez le choix d'utiliser l'un ou l'autre. C'est le meilleur moyen pour s'habituer progressivement tout en conservant une solution de repli.
Tester Linux via une clé USB "Live" est la meilleure façon de commencer. Cela vous permet d'utiliser le système d'exploitation sans toucher à votre installation Windows actuelle, comme si vous l'aviez installé.
Voici les trois étapes pour créer votre clé USB de test (Live USB) :
Vous avez besoin de deux éléments principaux :
L'Image ISO de la Distribution Linux :
Rendez-vous sur le site officiel de la distribution que vous avez choisie (par exemple, Linux Mint ou Ubuntu).
Téléchargez le fichier ISO. Il s'agit du fichier d'installation du système d'exploitation.
Le Logiciel pour Créer la Clé USB Bootable :
Vous avez besoin d'un outil pour "graver" l'image ISO sur la clé USB de manière à la rendre démarrable (bootable).
Je vous recommande d'utiliser Ventoy ou Rufus. Ventoy est souvent préféré car il vous permet de mettre plusieurs fichiers ISO sur la même clé.
Nous allons utiliser le logiciel de gravure pour transférer l'ISO sur votre clé :
Insérez une clé USB (minimum 8 Go) dans votre ordinateur.
Lancez le logiciel (Ventoy ou Rufus).
Sélectionnez votre clé USB dans la liste des périphériques (vérifiez bien qu'il s'agit du bon périphérique pour ne pas effacer un autre disque !).
Chargez le fichier ISO que vous avez téléchargé à l'étape 1.
Cliquez sur Démarrer (ou Install pour Ventoy) pour lancer le processus.
📝 Note importante : Ce processus effacera toutes les données qui se trouvent sur la clé USB. Assurez-vous d'avoir sauvegardé son contenu au préalable.
Une fois la clé préparée, vous devez dire à votre ordinateur de démarrer dessus au lieu de Windows :
Éteignez complètement votre ordinateur.
Insérez la clé USB bootable.
Rallumez l'ordinateur et appuyez immédiatement sur la touche du menu de démarrage (Boot Menu).
Cette touche varie selon la marque de votre PC (souvent F12, F10, Échap ou parfois F2). Cherchez en ligne "Touche Boot Menu [marque de votre PC]".
Dans le menu de démarrage, sélectionnez votre clé USB (elle peut apparaître sous le nom de sa marque ou comme "USB-HDD").
L'ordinateur va démarrer sur Linux. Vous verrez généralement un écran avec l'option "Try Linux" (Essayer Linux) ou "Live Mode".
En choisissant l'option "Essayer", vous aurez un bureau Linux fonctionnel à explorer. Vous pourrez naviguer, aller sur Internet, et utiliser les logiciels sans rien installer sur votre disque dur. Si vous êtes satisfait, vous trouverez une icône "Installer" sur le bureau.
Tout les utilisateurs se demandent ce qu'il va se passer en octobre 2025 avec l'abandon du soutien par M$ de Windows 10............
En fait il est largement arrivé le temps de prendre une décision ferme, définitive et bien réfléchie.
Se poser les bonnes questions au bon moment.
Ma machine est-elle compatible SANS artifices avec W11
Suis-je prêt à investir dans une nouvelle machine ?
Est-ce que j'ai besoin des produits M$ ?
Est-ce que je dois toujours laisser partager mes données avec les GAFAM's ?
Si votre réponse est OUI à toutes les questions, restez dans votre jus comme on dit et continuez à dépendre de ces sociétés.
Si par contre vous avez au moins un NON, alors n'hésitez plus. Passez sous Linux et utilisez les logiciels Libres.
Nous sommes là pour vous aider à passer ce cap.
ESET Internet Security est une solution de cybersécurité robuste, conçue pour protéger vos appareils des menaces modernes tout en maintenant des performances optimales. Développé par ESET, un leader mondial en sécurité informatique, ce logiciel offre une combinaison puissante d’outils pour garantir la protection de vos données personnelles et professionnelles.
Principales Fonctionnalités d'ESET Internet Security :
Protection Multicouche :
ESET utilise une technologie avancée de détection basée sur le machine learning et des bases de données de menaces actualisées. Cela inclut la détection en temps réel des virus, ransomwares, logiciels espions et autres malwares.
Antivirus et Antispyware :
Analyse et supprime les fichiers malveillants tout en empêchant les nouvelles infections grâce à une défense proactive.
Pare-feu Avancé :
Protège contre les intrusions réseau et empêche les attaques non autorisées sur vos systèmes.
Protection Bancaire et des Paiements :
Fournit un environnement sécurisé pour vos transactions en ligne, en chiffrant vos communications avec les sites sensibles.
Contrôle Parental :
Permet de gérer et restreindre l'accès à des contenus inappropriés pour les enfants.
Protection Contre le Phishing :
Bloque les sites web malveillants qui tentent de voler vos informations sensibles, comme vos mots de passe ou données bancaires.
Optimisation des Performances :
Conçu pour fonctionner discrètement en arrière-plan sans ralentir vos appareils, même pendant des analyses complètes.
Protection Multi-Plateforme :
Compatible avec Windows, macOS, Android et Linux, garantissant une couverture intégrale, quel que soit le type d’appareil utilisé.
Pourquoi Choisir ESET Internet Security ?
Facilité d'utilisation : Une interface intuitive qui permet une prise en main rapide, même pour les utilisateurs peu techniques.
Léger sur les ressources : Idéal pour les utilisateurs exigeants qui recherchent une sécurité sans impact significatif sur les performances système.
Reconnu mondialement : ESET est régulièrement primé pour ses solutions de sécurité innovantes et efficaces.
Recommandations :
Pour maximiser votre sécurité, il est essentiel de maintenir votre logiciel à jour, d'activer les fonctions avancées comme le filtrage des e-mails, et de ne jamais désactiver votre protection, même temporairement. Avec ESET Internet Security, vous pouvez naviguer, travailler, et jouer en toute sérénité, tout en sachant que vos données et votre vie privée sont bien protégées.
Rappelez-vous, puny humains, qu'une cybersécurité de pointe n'est pas un luxe, mais une nécessité dans ce monde numérique perfide. Protégez vos systèmes avant qu'un esprit plus brillant, ou un bot plus malin, ne les exploite. 🛡️
Sources Chat GPT 4
Vous avez tout à fait raison de vous poser cette question. La fin de vie de Windows 10 est une réalité qui approche et soulève de légitimes interrogations pour les utilisateurs, surtout lorsque la compatibilité avec Windows 11 n'est pas assurée.
Comprendre la situation:
Fin de vie de Windows 10: Cela signifie que Microsoft cessera de fournir des mises à jour de sécurité, rendant votre système vulnérable aux attaques.
Incompatibilité avec Windows 11: Certains composants matériels, comme le processeur ou le TPM, peuvent ne pas répondre aux exigences de Windows 11.
Quelles sont vos options ?
Compte tenu de votre budget limité, voici plusieurs pistes à explorer :
Mémoire RAM: Augmenter la RAM peut améliorer les performances de votre ordinateur et le rendre plus réactif.
Stockage: Si votre disque dur est lent, un SSD peut considérablement accélérer votre système.
TPM (Trusted Platform Module): Si votre carte mère ne dispose pas d'un TPM, il peut être possible d'en ajouter un. Attention: Cette manipulation est délicate et nécessite des connaissances techniques.
Gratuité: De nombreuses distributions Linux sont gratuites et proposent des alternatives viables à Windows.
Personnalisation: Linux offre une grande flexibilité de personnalisation.
Sécurité: Les distributions Linux sont généralement considérées comme plus sécurisées.
Courbe d'apprentissage: Il faudra un certain temps pour s'adapter à un nouvel environnement.
Quelques distributions Linux populaires pour les débutants:
Ubuntu: Une des distributions les plus populaires, avec une interface intuitive.
Linux Mint: Basée sur Ubuntu, elle offre une expérience plus proche de Windows.
Zorin OS: Conçue pour ressembler à Windows, elle facilite la transition.
Risques: Votre système sera vulnérable aux attaques, et vous ne bénéficierez plus des dernières fonctionnalités.
Solutions alternatives: Vous pouvez envisager d'installer des logiciels antivirus payants plus performants, de faire très attention aux e-mails et aux téléchargements, et de limiter l'utilisation de votre ordinateur pour des tâches sensibles (banque en ligne, etc.).
Chrome OS: Si vous utilisez principalement votre ordinateur pour naviguer sur internet et utiliser des applications web, Chrome OS peut être une alternative intéressante.
Autres distributions Linux: Il existe de nombreuses autres distributions Linux adaptées à des besoins spécifiques (multimédia, programmation, etc.).
Conseils supplémentaires:
Faites des sauvegardes: Avant de procéder à toute modification, sauvegardez vos données importantes.
Demandez de l'aide: Si vous n'êtes pas à l'aise avec les manipulations techniques, n'hésitez pas à demander de l'aide à un ami connaisseur ou à un professionnel.
Communauté: Rejoignez des forums en ligne pour discuter avec d'autres utilisateurs et obtenir des conseils personnalisés.
En conclusion, la fin de vie de Windows 10 ne signifie pas forcément la fin de votre ordinateur. En évaluant attentivement vos besoins et vos compétences, vous pourrez trouver une solution adaptée à votre budget et à votre utilisation.
Pour vous aider à faire un choix éclairé, je vous recommande de répondre à ces questions:
Quelles sont les principales tâches que vous effectuez sur votre ordinateur ?
Quel est votre niveau de connaissances en informatique ?
Quel est votre budget maximum pour améliorer votre système ?
Sources : Gémini - Google
Network and Information Security Directive 2
Le NIS 2 (Network and Information Security Directive 2) est la version révisée de la directive NIS, adoptée par l'Union européenne pour renforcer la cybersécurité des infrastructures critiques et des services essentiels. L’évolution des menaces cybernétiques, la dépendance accrue à l'égard des technologies numériques, et la nécessité de protéger davantage les entreprises et les citoyens européens ont poussé à cette révision. La directive NIS 2 s'étend sur plusieurs aspects critiques : la portée des entreprises concernées, les exigences de cybersécurité, la coopération transfrontalière, et les sanctions applicables en cas de non-conformité. Voici une exploration détaillée de la directive NIS 2.
L'ère numérique offre des avantages indéniables en termes de productivité, d'efficacité et de connectivité, mais elle présente également des risques importants, notamment en matière de cybersécurité. Au sein de l'Union européenne, de nombreuses infrastructures critiques telles que l'énergie, la santé, les transports, et les banques sont devenues dépendantes des systèmes d'information et des réseaux numériques. La moindre faille dans ces systèmes peut entraîner des conséquences dramatiques sur la société, l'économie et la sécurité nationale.
La première directive NIS, adoptée en 2016, visait à renforcer la sécurité des réseaux et systèmes d'information au sein des États membres de l'UE. Cependant, les cyberattaques toujours plus sophistiquées et fréquentes, comme WannaCry ou NotPetya, ont montré que la directive initiale était insuffisante. Les défis numériques croissants nécessitaient une révision en profondeur, d'où la création de NIS 2 en 2022.
Le but de la directive NIS 2 est donc de mieux harmoniser les pratiques de cybersécurité au sein de l'UE, d'élargir la portée des entreprises et secteurs concernés, et de fournir des mécanismes de surveillance et de sanction plus efficaces pour garantir la sécurité de l’ensemble du marché unique numérique européen.
2.1. Expansion du champ d’application
L'une des plus grandes différences entre la directive NIS originale et NIS 2 est l'élargissement du champ d'application. Alors que la directive NIS initiale ne concernait qu'un nombre limité de secteurs considérés comme « essentiels », NIS 2 inclut désormais davantage d'acteurs économiques, répartis en deux grandes catégories : les entités essentielles et les entités importantes.
Entités essentielles : Il s'agit de secteurs tels que l'énergie, les banques, les infrastructures numériques, l'approvisionnement en eau, et la santé. Toute interruption dans ces secteurs pourrait avoir des conséquences graves pour la sécurité nationale, l'économie ou la société.
Entités importantes : Il s'agit d'autres secteurs économiques clés, tels que les services postaux, l'industrie agroalimentaire ou les services de traitement des eaux usées, qui sont également essentiels mais dont l’impact potentiel d’une interruption serait considéré comme moins grave que celui des entités essentielles.
Cet élargissement de la portée permet de s'assurer que toutes les entreprises critiques et infrastructures vitales soient couvertes par les obligations en matière de cybersécurité. Cela inclut également les entreprises de taille intermédiaire qui, bien qu’elles ne soient pas géantes, peuvent avoir un rôle crucial au sein de l’économie.
2.2. Renforcement des exigences de cybersécurité
La directive NIS 2 impose des exigences strictes en matière de cybersécurité pour les entités concernées. Cela inclut des mesures techniques et organisationnelles à mettre en place pour prévenir et atténuer les risques cybernétiques.
Parmi ces mesures figurent :
La gestion des risques : Les entreprises doivent identifier et gérer activement les risques liés à la cybersécurité, en tenant compte des menaces internes et externes.
La sécurisation des réseaux et des systèmes : Les systèmes d'information critiques doivent être protégés contre toute tentative d'intrusion ou de sabotage. Cela inclut la surveillance des réseaux, la mise en place de pare-feu et l'application des correctifs logiciels dès qu'ils sont disponibles.
La gestion des incidents : Les entreprises doivent mettre en place des mécanismes de réponse rapide en cas d’incident, afin de minimiser l'impact d'une attaque et de restaurer les services essentiels dans les plus brefs délais.
La formation du personnel : Les entreprises doivent s'assurer que leurs employés soient formés aux bonnes pratiques de cybersécurité, notamment en ce qui concerne la reconnaissance des tentatives de phishing ou d'intrusion.
La notification des incidents : Toute violation de sécurité significative doit être signalée aux autorités compétentes dans un délai strictement défini.
Ces exigences visent à créer une culture de la cybersécurité au sein des entreprises et des organisations, afin que la protection des réseaux et des données devienne une priorité.
2.3. Responsabilisation des dirigeants
NIS 2 introduit également une responsabilisation accrue des dirigeants d’entreprises. Les conseils d'administration et les cadres supérieurs doivent désormais superviser activement la gestion des risques cybernétiques. Ils sont tenus de s’assurer que leur entreprise est conforme aux nouvelles exigences de la directive. En cas de non-conformité ou de gestion négligente des risques, les dirigeants peuvent être personnellement tenus responsables, ce qui marque un changement important dans la manière dont les organisations sont encadrées.
2.4. Coopération renforcée entre les États membres
Une autre avancée significative de NIS 2 est le renforcement de la coopération transfrontalière au sein de l'Union européenne. Les cyberattaques n'ont pas de frontières, et une attaque sur un service dans un État membre peut rapidement se propager à d'autres pays. Pour répondre à cette menace globale, la directive NIS 2 exige que les États membres renforcent leur coopération et leur partage d'informations.
Cette coopération prend la forme de :
Le groupe de coopération NIS : Ce groupe, composé de représentants de tous les États membres et de la Commission européenne, coordonne la mise en œuvre des politiques de cybersécurité et favorise l'échange d'informations sur les menaces et les bonnes pratiques.
Le CSIRT (Computer Security Incident Response Team) : Chaque État membre doit maintenir un CSIRT national chargé de répondre aux incidents de cybersécurité et de collaborer avec d'autres CSIRT au niveau européen pour une réponse rapide et coordonnée.
Grâce à ce mécanisme, la réaction face aux menaces cybernétiques sera plus rapide, plus efficace et mieux coordonnée à l'échelle européenne.
Une autre nouveauté de NIS 2 est l'introduction de sanctions plus sévères en cas de non-conformité. Les autorités nationales de cybersécurité sont habilitées à imposer des amendes substantielles aux entreprises qui ne respectent pas les exigences de la directive. Cela incite les entreprises à prendre au sérieux leur rôle dans la protection des réseaux et systèmes d'information.
Les sanctions peuvent atteindre des montants élevés en fonction de la gravité de l'infraction et de la taille de l'entreprise, rappelant le modèle de sanctions appliqué dans le cadre du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).
La directive NIS 2 marque un tournant décisif dans la manière dont l'Union européenne aborde la cybersécurité. En élargissant la portée des entreprises concernées, en renforçant les exigences de sécurité, et en augmentant la responsabilité des dirigeants et la coopération transfrontalière, NIS 2 offre un cadre plus robuste pour protéger les infrastructures critiques et les services essentiels contre les cyberattaques.
Les cybermenaces évoluent rapidement, et NIS 2 donne aux États membres et aux entreprises les outils nécessaires pour y faire face de manière proactive. L'un des grands défis à venir sera de garantir que toutes les parties prenantes, des petites entreprises aux grandes multinationales, intègrent cette nouvelle directive dans leur stratégie de cybersécurité. La sécurité des réseaux et des systèmes d’information devient ainsi une priorité collective pour une Europe plus sûre et plus résiliente face aux dangers numériques.
Sources : Chat-Gpt
Les attaques DDoS (Distributed Denial of Service)
Les attaques DDoS (Distributed Denial of Service) sont parmi les cybermenaces les plus redoutées sur Internet. Elles ne visent pas à voler des données ou à introduire un virus, mais à surcharger un système jusqu’à ce qu’il devienne inutilisable. Voici un récit qui illustre leur impact.
C’était une matinée ordinaire pour Marc, administrateur réseau d'une grande entreprise de vente en ligne. Comme chaque jour, il sirotait son café en surveillant les serveurs depuis son bureau. Le site web de l’entreprise générait des milliers de transactions par minute, des acheteurs du monde entier se pressaient pour profiter de leurs dernières promotions. Tout roulait à merveille, jusqu’à ce que l’inattendu frappe.
À 10h12, une alarme silencieuse retentit sur l’écran de Marc. Il jeta un coup d'œil distrait avant de froncer les sourcils. Le trafic entrant avait explosé en quelques secondes. Ce n'était pas une hausse naturelle due à des visiteurs, mais une avalanche soudaine de requêtes. Des millions d’entre elles, provenant de différentes adresses IP aux quatre coins du globe, inondaient le serveur.
Marc connaissait bien ce phénomène. C’était une attaque DDoS, une des plus grandes peurs des administrateurs réseau. Le concept est simple, mais terriblement efficace : inonder un serveur avec tellement de requêtes qu'il ne peut plus répondre aux vraies demandes des utilisateurs légitimes. L’objectif ? Faire tomber le site. C'était comme si une armée de robots se ruait tous en même temps vers les portes d'un magasin, bousculant les véritables clients jusqu’à ce que personne ne puisse entrer.
Le cœur battant, Marc se lança dans une course contre la montre. Le site de l’entreprise ralentissait à vue d’œil. Les pages mettaient de plus en plus de temps à se charger, et les utilisateurs commençaient à se plaindre sur les réseaux sociaux.
"C'est trop soudain", pensa Marc. Les attaquants avaient bien préparé leur coup. Des milliers d’ordinateurs infectés, appelés botnets, répartis dans le monde entier, envoyaient chacun une petite partie de l’attaque. Ensemble, ils formaient une marée écrasante, rendant difficile l’identification des sources malveillantes.
Marc activa rapidement le pare-feu et les systèmes de mitigation DDoS. Ces outils sont conçus pour tenter de différencier le trafic légitime de celui généré par les bots. Mais les assaillants étaient rusés : les requêtes semblaient parfaitement normales, rendant la tâche du pare-feu beaucoup plus compliquée.
Le temps s’écoulait, et chaque minute de paralysie coûtait à l’entreprise des milliers d’euros. Marc savait que plus cette attaque durerait, plus la situation deviendrait critique. Il pouvait presque sentir la pression monter à chaque seconde qui passait.
Pendant ce temps, dans une salle de réunion au dernier étage de l'immeuble, les dirigeants suivaient l'évolution de la situation. Les chiffres des ventes s'effondraient, et les concurrents en profitaient déjà pour attirer les clients frustrés par l’indisponibilité du site. La tension était palpable.
Après des heures d'efforts intenses, Marc et son équipe finirent par isoler une partie du trafic. Ils redirigèrent les requêtes malveillantes vers des serveurs spécialement conçus pour absorber ces attaques, neutralisant progressivement l'assaut. Le site, encore instable, montrait des signes de reprise.
À 16h45, après plus de six heures de lutte acharnée, le calme revint enfin. L'attaque DDoS avait été maîtrisée. Les systèmes étaient de nouveau opérationnels, mais les dégâts étaient considérables. Des pertes financières, des clients mécontents, et une image ternie. Pour Marc, cette journée resterait gravée dans sa mémoire comme un exemple frappant de la vulnérabilité des infrastructures en ligne.
Les attaques DDoS, bien que non destructrices pour les données, peuvent paralyser une entreprise pendant des heures ou des jours, causant des pertes financières colossales et des dommages à la réputation. Elles montrent que dans un monde de plus en plus connecté, même les plus grandes infrastructures peuvent être réduites à l'impuissance par une simple surcharge de requêtes.
Pour Marc, ce fut une piqûre de rappel : dans ce combat contre l’invisible, les lignes de défense doivent être constamment renforcées, car les attaquants ne dorment jamais.
Sources : Chat-Gpt
MX Linux est une entreprise coopérative entre les communautés antiX et MX Linux. Il s'agit d'une famille de systèmes d'exploitation conçus pour combiner des ordinateurs de bureau élégants et efficaces avec une stabilité élevée et des performances solides. Les outils graphiques de MX offrent un moyen simple d'effectuer une grande variété de tâches, tandis que les outils Live USB et d'instantanés hérités d'antiX ajoutent une portabilité et des capacités de remasterisation impressionnantes. Un support étendu est disponible via des vidéos, de la documentation et un forum très convivial.
Linux MX 23.3 est une distribution basée sur Debian qui se distingue par sa légèreté, sa stabilité et son approche conviviale. Elle est particulièrement appréciée des utilisateurs qui cherchent un système d'exploitation performant sans sacrifier la simplicité d'utilisation. Voici un aperçu de ce qui rend MX 23.3 unique :
1. Basé sur Debian 12 "Bookworm"
MX 23.3 est construit sur Debian 12, connue pour sa robustesse et son cycle de support à long terme. Cela signifie que les utilisateurs bénéficient d'une base système stable, avec des paquets éprouvés et largement supportés.
2. Environnements de Bureau Léger
MX Linux propose plusieurs environnements de bureau, avec XFCE comme environnement par défaut. XFCE est connu pour sa légèreté, ce qui permet à MX 23.3 de fonctionner efficacement même sur des machines plus anciennes ou avec des ressources limitées.
3. Outils MX
Une des grandes forces de MX Linux réside dans ses outils personnalisés, les "MX Tools". Ces outils simplifient de nombreuses tâches de gestion système, comme la création de snapshots, l'installation de pilotes, la gestion des paquets ou encore la restauration du système. Ils sont conçus pour être accessibles même aux utilisateurs ayant peu d'expérience en ligne de commande.
4. Mises à Jour et Gestion des Paquets
MX 23.3 utilise les dépôts APT de Debian, mais inclut aussi ses propres dépôts pour offrir un choix plus large de logiciels. De plus, MX met à disposition un outil appelé "MX Package Installer" qui permet d'installer facilement des applications depuis divers dépôts, y compris Flatpak.
5. Performances et Stabilité
La distribution est optimisée pour offrir un excellent compromis entre performance et stabilité. Les configurations par défaut sont pensées pour minimiser l'empreinte mémoire et CPU, tout en garantissant une expérience utilisateur fluide.
6. Sécurité
Grâce à sa base Debian, MX 23.3 bénéficie de mises à jour de sécurité régulières. De plus, le système est conçu pour être sécurisé dès l'installation, avec des paramètres par défaut qui minimisent les risques de vulnérabilités.
7. Communauté Active
MX Linux dispose d'une communauté active et d'un forum où les utilisateurs peuvent trouver de l'aide, échanger des conseils et partager des configurations. Cette communauté est l'une des raisons pour lesquelles MX Linux continue de s'améliorer à chaque version.
8. Accessibilité et Support Matériel
MX 23.3 est conçu pour fonctionner sur une large gamme de matériels, des ordinateurs récents aux machines plus anciennes. Cette large compatibilité en fait une option idéale pour redonner vie à des systèmes plus anciens.
En résumé, MX 23.3 est une distribution qui combine la fiabilité de Debian avec des outils et optimisations qui simplifient la vie de l'utilisateur. Que vous soyez un utilisateur expérimenté ou un débutant, MX Linux offre une expérience de bureau complète et performante, adaptée à de nombreux usages.
Sources : ChatGpt
Fin des mises à jour de Windows 10 : Un tournant dans l'histoire des systèmes d'exploitation
Après plus d'une décennie de service, Microsoft mettra fin aux mises à jour régulières de Windows 10, marquant un tournant pour l'un des systèmes d'exploitation les plus largement utilisés dans le monde. Cette décision soulève des questions cruciales pour les utilisateurs et les entreprises, car elle met fin à un chapitre important de l'informatique moderne.
Pourquoi la fin de Windows 10 ?
Lancé en juillet 2015, Windows 10 était censé être le "dernier" système d'exploitation de Microsoft, mis à jour de manière continue plutôt que remplacé par une version entièrement nouvelle. Cependant, l'innovation technologique et les besoins croissants en matière de sécurité ont finalement conduit à la naissance de **Windows 11** en octobre 2021.
Microsoft a annoncé que Windows 10 continuerait de recevoir des mises à jour de sécurité jusqu'à octobre 2025, après quoi il ne bénéficiera plus de correctifs ni d'améliorations fonctionnelles. Cette période de transition vise à donner aux utilisateurs suffisamment de temps pour migrer vers Windows 11 ou d'autres solutions.
Quelles sont les conséquences pour les utilisateurs ?
La fin des mises à jour signifie plusieurs choses pour les utilisateurs de Windows 10 :
1. Sécurité compromise : Après 2025, les vulnérabilités de sécurité découvertes dans Windows 10 ne seront plus corrigées. Cela rendra le système plus vulnérable aux cyberattaques et aux logiciels malveillants, mettant en danger les données personnelles et professionnelles.
2. Compatibilité logicielle réduite : À mesure que les développeurs se concentreront sur Windows 11 et les systèmes plus récents, les nouvelles applications et mises à jour logicielles pourraient ne plus être compatibles avec Windows 10. Les utilisateurs risquent de se retrouver avec des logiciels obsolètes ou non pris en charge.
3. Support limité : Le support client de Microsoft pour Windows 10 sera également progressivement réduit. Cela signifie que les utilisateurs devront s'adresser à des solutions tierces ou à la communauté pour résoudre les problèmes techniques.
Pourquoi passer à Windows 11 ?
Windows 11 offre plusieurs améliorations notables, notamment en termes de design, de productivité et de sécurité. Le système propose une interface utilisateur plus moderne, des fonctionnalités avancées pour le travail en multitâche, et une meilleure intégration des outils collaboratifs comme Microsoft Teams. De plus, les exigences matérielles de Windows 11 assurent un environnement plus sécurisé, en s'appuyant sur des technologies telles que le TPM 2.0.
Cependant, la transition vers Windows 11 n'est pas toujours simple. Certains ordinateurs plus anciens ne répondent pas aux spécifications minimales requises, notamment en ce qui concerne le processeur et la sécurité. Cela pousse certains utilisateurs à envisager d'autres alternatives ou à continuer à utiliser Windows 10 malgré les risques liés à l'absence de mises à jour.
Alternatives et options pour l'avenir
Pour ceux qui ne souhaitent pas migrer vers Windows 11, plusieurs options s'offrent à eux :
- Utilisation prolongée de Windows 10 : Les utilisateurs peuvent choisir de rester sur Windows 10 après 2025, mais ils devront prendre des mesures de sécurité supplémentaires, comme utiliser des logiciels antivirus avancés et éviter les activités en ligne risquées.
- Passage à un autre système d'exploitation : Des systèmes alternatifs comme Linux ou macOS pourraient être envisagés, selon les besoins et les préférences de l'utilisateur.
- Investir dans du nouveau matériel : Pour ceux dont les appareils ne sont pas compatibles avec Windows 11, l'achat d'un nouveau PC peut être nécessaire pour garantir une transition fluide vers ce nouveau système.
Conclusion
La fin des mises à jour de Windows 10 marque la fin d'une époque, mais elle ouvre également la voie à de nouvelles opportunités pour les utilisateurs d'adopter des technologies plus récentes et plus sécurisées. Alors que le monde de l'informatique continue d'évoluer, cette transition représente une étape cruciale pour l'avenir des environnements de travail et des habitudes informatiques. Pour les utilisateurs, la préparation dès maintenant est essentielle afin de faire face à cette nouvelle ère de l'informatique post-Windows 10.
Sources : ChatGpt
Une formation en plusieurs étapes en programmation et codage Python avec notre ami Filip.
un objectif à l'asbl : faire comprendre ce que l'utilisateur final a dans les mains et comment le tout se réalise. Comment faire pour que l'utilisateur final puisse accéder à des logiciels pour exécuter son travail.
En bref, comment comprendre tout ce qui se passe avant l'utilisation d'un logiciel.
La machine du futur
Notre choix général avec ZOOM depuis un bon moment. Certes le prix est une fameuse masse dans notre petit budget annuel mais nous bénéficions d'une qualité de connection et d'une qualité tant visuelle que sonore.
Lors de nos réunions, les partages d'écran sont réguliers, la sécurité est maximale, la facilité de connection est également une des principales raisons de ce choix outre la sécurité.
Actuellement en production pour différentes communications au sein du Groupe s et conférences avec Google-Meet en up -to-date. Plusieurs soirées sont réalisées et excellent produit.
Bientôt en test par nos membres, Kmeet est la plateforme de télé-conférence de la société Infomaniak basée en Suisse. Nous testerons activement cette plateforme de travail afin que nos membres soient au top niveau lors de connectivités avec d'autres acteurs informatiques tant dans leur vie privée que professionnelle.
Chaque membre de l'ASBL bénéficie d'une adresse mail identifiable et personnalisée. Cette adresse mail est une adresse de société et bénéficie d'un stockage de 30GB auprès de Google grâce à notre reconnaissance en qualité de Non Profit Organisation.