FiF4U - Projects

Pour mon projet authentique en salle de classe de “experiential learning”, j'ai eu une expérience d'apprentissage formidable. Premièrement, notre groupe a décidé de créer notre projet sur un enjeu culturel au Canada qui concerne une minorité; les Franco-Ontariens. Notre projet qui s'appelle “FrancoFun” était la création d'un documentaire dédié à l'histoire et culture Franco-Ontarienne dans la capitale d'un pays officiellement bilingue et d’encourager les touristes de visiter. De plus, pendant le projet, nous avons eu des défis, mais par le développement des compétences nouvelles, nous avons passé au-dessus de ces obstacles. Nous avons appris beaucoup à propos des Franco-Ontariens et une expérience plus enrichie grâce à nos interactions avec des gens francophones. Notre documentaire a eu un grand impact sur les élèves de notre âge, par la création d'un compte d'Instagram qui a eu plus de 300 abonnés. D’abord, nous avons influencé les autres étudiants pour être plus conscients de la diversité des francophones. En fin de compte,, la collaboration et d'être numérique. Finalement, la prochaine étape pour “FrancoFun” est de faire plus de mise en réseau pour promouvoir les Franco-Ontariens dans tout le Canada. Selon moi, je doute que ce projet aurait pu arriver sans le “experiential learning” de l'OCDSB!

Nous sommes un groupe d'élèves de 12e année dans une classe d'immersion en français à l'école Glebe Collegiate Institute. Nous avons réalisé un projet qui enseigne aux personnes les considérations de sécurité en matière de technologie, des médias sociaux et du consentement. Nous avons présenté notre matériel à un groupe d'étudiants en immersion en français de 10e année et laissé un paquet de matériel à notre école pour fournir une ressource aux étudiants actuels et futurs. Nous n'avons pas réalisé nos souhaits pour ce projet car nous avons souhaité accéder à un plus grand et créer un lien avec une organisation sociale. Cependant, en raison de nos erreurs, notre projet est devenu une expérience d'apprentissage majeure. Cela nous a permis de réfléchir sur nos propres compétences telles que l'organisation et de commencer à les améliorer.

En janvier de 2020, deux classes de primaires ont eu la chance de participer dans une correspondance de type “PenPal” en francais. Pour notre projet d'apprentissage expérimental, nous avons organisé cette correspondance entre une classe de 6ème année à Ottawa et une deuxième classe de 4ème année à Gatineau. Les enfants ont écrit une lettre à leur partenaire en expliquant leurs intérêts, leurs passe-temps préférés et des faits intéressants à propos d’eux mêmes. À la fin, une échange des lettres a eu lieu.

L’objectif de ce projet était d’unir les anglophones et les francophones, ainsi que donner l'opportunité aux élèves d’apprendre un peu à propos de leurs voisins provinciaux. Ce n’est pas chaque jour où on peut communiquer avec quelqu’un d’une autre province, notamment une province avec une langue maternelle différente! En même temps, c’est vrai qu’il y avait des défis pendant le processus. Je crois que le plus grand obstacle pour nous était la gestion de temps. L'inquiétude de ne pas avoir assez de temps pour finir était toujours présente, et quand il y avait une complication, c'était très stressant. Pour résumer, on a appris que c’était très difficile d’estimer le temps et que la meilleure solution est de toujours prévoir plus de temps que ce que tu penses avoir besoin. D’ici la fin du projet, je crois qu’on a aussi développé plusieurs compétences, incluant la collaboration, la créativité et la prise e de décisions rapides et éthiques. Pour conclure, je crois que ce projet était une bonne expérience pour moi et mes membres du groupe.



Quand Mme nous a présenté l'idée de "project-based learning", je ne pensais pas qu’il était nécessaire d'adopter un nouveau style d'apprentissage qui serait oublié dès que nous finirons le cours. Après avoir fini notre projet, je me trouve incapable de continuer à supporter cette pensée. En gérant notre projet, nous avons dû surmonter des obstacles avec lesquels les leçons plus traditionnelles ne nous aideront jamais. En effet, en créant et dirigeant un projet comme le nôtre, nous avons appris à enseigner les jeunes en français et à encourager le bilinguisme dans leurs futurs, ce qui est quelque chose qui serait normalement impossible. Notre communication à l'écrit et à l'oral dans une capacité professionnelle valait beaucoup pour moi, comme étudiant qui sera bientôt dans ces environnements. Lorsqu'on essayait de bâtir un partenariat entre Glebe et Mutchmor, il fallait que nous soyons des communicateurs efficaces et des étudiants qui collaborent en poursuivant notre but. En conclusion, l'expérience de travailler sur ce projet était énormément gratifiante et, à mon avis, ça devrait être plus commun dans les écoles.

Moi et mes quatre collègues de classe ont créé une vidéo informative qui promouvoit la musique francophone et le festival Contact Ontarois qui aide les artistes francophones à élargir leurs bases de fans. On a commencé en à la fin du mois de novembre et on l'a complété le vingt janvier. Nos objectifs consistaient à avoir une vidéo complete, de compléter la fiche projet et la présentation. À mon avis, le plus grand défi qu’on a rencontré c’était qu’on ne savait pas comment gérer les tâches et notre temps de travail. Ce que j’ai appris du projet est qu’avant de commencer c’est une bonne idée de faire un horaire pour gérer le temps et les rôles. J’ai également appris que les artistes interviewés ont une appréciation pour la musique de plusieurs genres anglais et français, et non seulement leur genre de musique. Quelques « Exit Outcomes » que j’ai développés en profondeur était, la collaboration, la conscience globale et la communication. Ma collaboration s’est amélioré parce que j’ai dȗ partagé plusieurs tâches avec mes collègues. Ma conscience globale s’est amélioré parce qu’on avait beaucoup de temps pour gérer nos tâches. Ma communication s’est amélioré parce que j’ai interviewé deux artistes et nos partenaires à Réseau Ontario. Une de mes forces qui à été mise en valeur était mes compétences de production orale car je parle en français à la maison. Il n’y a pas de prochaines étapes car on a complété notre vidéo mais pour aller plus loin on aurait pu aller rencontrer plus d’artistes.

Tout d'abord, le “project based learning” nous a donné une chance excellente pour améliorer un des plus grands problèmes avec l’apprentissage de la langue française traditionnel. Selon moi, j'ai trouvé qu'il y avait un grand manque d'occasions de parler la langue seconde hors de la classe. D'ailleurs, avec cette opportunité, on a pris d'augmenter le bilinguisme à Ottawa, pour qu'on puisse pratiquer plus dans la communauté. En bref, avec l'aide de nos partenaires chez RGA, le regroupement des gens d'affaires, qui est une entreprise locale qui offre les services de traduction parmi les entreprises majoritairement anglophones, on a planifié de faire le tour des entreprises pour aider à offrir des services bilingues.

En effet, ce projet était assez difficile. Il fallait qu'on fasse de la communication formelle, ce qui était vraiment dur. Par contre, j'ai appris comment bien communiquer avec nos partenaires francophones. Finalement, ce projet a amélioré mes compétences en français exponentiellement (puisqu’on)On a écrit les courriels, fait les recherches et communiqué tout en français. Par conséquent, on a tous réussi à s’améliorer en français et avec le travail en groupe professionnel. De plus, comme “exit outcomes”, au cours du projet, il fallait qu'on soit plus efficaces avec les prises des décisions, la pensée critique, la résilience ainsi que la collaboration. Notamment, ces aspects de l'éducation ne seraient pas possibles avec un projet traditionnel. Néanmoins, notre projet n'est pas terminé,'est seulement le début! Le projet a un potentiel énorme et jusqu'à maintenant, c'était une expérience formidable!

Pour commencer, mon projet consistait à créer des paquets de biens essentiels pour les personnes qui vivent sous le seuil de la pauvreté à Gatineau et de sensibiliser les étudiants à l'enjeu de pauvreté. Nous avons travaillé en partenariat avec la Maison de l'amitié, une sorte de centre communautaire pendant plusieurs semaines.


Au cours du projet, j'étais responsable de la communication avec notre mentor et de la planification des événements importants et d'autres détails du projet. En conséquence, j'ai rencontré des problèmes dans la planification de nos paquets et j'ai souvent manqué de créativité. En surmontant ces problèmes, j'ai amélioré mes compétences en matière de planification, d'organisation, de créativité et de résilience. En outre, j'ai créé une relation solide avec notre mentor puisque je l'ai aidée à organiser quelques événements de bénévolat entre les deux groupes.

En termes “d'Experiential Learning”, ce fut une expérience très libératrice et informative. Comme c'était la première fois que je devais travailler en l'utilisant, j'ai dû apprendre à m'adapter à ce nouveau style d'apprentissage. J'ai vraiment apprécié que les tâches étaient effectuées de manière indépendante, sans trop d'instructions restrictives. J'ai amélioré les “Exit Outcomes” de la collaboration, de la pensée critique et de la conscience du monde. Mon niveau de français s'est beaucoup amélioré et maintenant la prochaine étape serait de rester en contact avec notre mentor et de continuer à l'aider avec ses événements. En conclusion, “l'Experiential Learning” a été une expérience qui m'a ouvert les yeux à des nouvelles possibilités.


Notre projet est un documentaire sur le ski acrobatique et les changements climatiques, qui s’appelle“L’esprit du ski”. Le groupe consistait de deux personnes, moi et Gordon Annan. L'idée du film était un succès et on a une présentation publique organisée à Camp Fortune. Ce projet a nécessité que nous tournions le ski acrobatique, que nous fassions la promotion du film et finalement que nous fassions le montage du film. Au cours du projet, nous avons vécu beaucoup de défis, chacun qui prenait sa propre solution. Par exemple, notre caméra s’est cassée près de la fin du projet. Avec le recul, j’ai appris beaucoup au cours du projet et ça m'a forcé d’utiliser mes connaissances de la langue d’une façon plus pratique en comparaison de mes cours de français du passé. Par conséquent, avoir un projet qui est cinquante pourcent de notre note finale m’a mis beaucoup de stress.