Hockey à Grez-Doiceau: Permis d'environnement pour un forage 

Plutôt qu'un forage pour arroser le terrain synthétique de hockey, privilégions une alternative qui aurait des avantages tant au niveau de la consommation des ressources en eau, qu’au niveau du coût financier d’exploitation, voire d’installation. 

Consultez nos commentaires sur l'octroi du permis

Quels sont les thèmes que nous allons aborder ?


Nous allons nous intéresser

Au budget nécessaire pour mettre en place cette infrastructure, à son coût global, à celui généré par son entretien et par son remplacement au bout de 8/10 ans

Aux matériaux  utilisés, plastiques et autres

A l’eau, que l’on puise dans la nappe phréatique, parce qu’un terrain de hockey, même et surtout en plastique, doit être arrosé avec des millions de litres par an pour être efficient

Aux risques d’inondations, parce que c’est un peu comme un parking imperméable de 70 m sur 100 m qui recevrait l’eau du ciel et en déverserait des mètres cubes 

Au voisinage, guère pris en compte, alors que ce c’est lui qui subira le bruit des terrains de hockey et de padel,

Aux problèmes de pollution : le plastique, par exemple,  qui doit être traité par des produits chlorés pour éviter les algues rouges ou bleues et qui au fil du temps est emporté par les eaux ou le vent.

A l’entretien des infrastructures, parce qu’il faut des moyens matériel et humains très spécifiques pour entretenir ces équipements fragiles.

Au permis d’urbanisme et à l’enquête publique, à ces procédures clôturées et à venir, que l’on a parfois dissociées subtilement

A la terre agricole que l’on rogne toujours un peu plus

A la durabilité et à nos élus au pouvoir qui se positionnent dans ce domaine en signant la convention des maires dont les 3 piliers sont la réduction des émissions de GES de 55 % d’ici 2030, le renforcement de la résilience et la réduction de  la précarité énergétique. 

Aux raisons et  à la nécessité de réaliser un terrain de hockey à Grez-Doiceau.

A l’éthique, aux bonnes pratiques et à l’impact sur les générations futures.