NUMÉRO 11: NOVEMBRE 2018
NUMÉRO THÉMATIQUE :
Fondamentaux de l’explicitation des vécus conscients.
SOMMAIRE
Présentation de la journée d’étude. p. 5
Dimensions existentielles et cognitives de la subjectivité : conséquences méthodologiques. P. Vermersch. p. 6
La référence à un moment spécifié, condition fondamentale de la psycho-phénoménologie. F. Borde. p. 23
La micro-phénoménologie comme dévoilement des structures évanescentes de l’expérience. C. Petitmengin. p. 34.
L’exploration de l’expérience consciente : archéologie d’une démarche de recherche. Vers l’entretien phénoménologique expérientiel (EPE). J. Vion-Dury et G. Mougin. p. 43.
Ce que la dépression fait à la micro-phénoménologie : les émotions pathologiques, une épreuve pour l’entretien d’explicitation ? N. Depraz. .p. 58
La sphère d'intersubjectivité durant l'entretien microphénoménologique. M. Bitbol. p. 66
Synthèse : Quand les modalités de l’explicitation de l’expérience consciente ressemblent aux variétés de la physique. J. Vion-Dury. p. 81
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NUMÉRO 12: MARS 2019
SOMMAIRE
Article : Une écologie en première personne, Michel Bitbol. p. 5.
Dans cet article, Michel Bitbol propose que l’évolution de l’écologie passe par ce qu’il nomme une écologie existentielle ou en première personne, relevant au plus près de la chair des êtres humains. Car il manque à l’écologie scientifique comme à l’écologie politique cette incarnation qui ferait que les idées écologistes, par définition extérieures à nous, même si elles nous incitent à réfléchir, sont le plus souvent des pensées sur un objet scientifique ou politique. C’est la manière dont chacun vit son rapport à la nature ou à son environnement, sur le modèle de la psychiatrie existentielle du de Binswanger qui constitue cette écologie incarnée. Dans ce texte, Michel Bitbol continue son exploration des processus en première personne, dans le projet d’une nouvelle épistémologie pour les générations futures.
Article : La fine pointe de l’âme (Méditation phénoménologique sur l’art de préluder de Monsieur Louis Couperin, dessus de viole du Roy, et sur l’art de philosopher du chevalier René Des-Cartes,
seigneur du Perron). Jean Vion-Dury. p. 8.
Cet article expérimente la possibilité de lier une approche musicologique en première personne à une réflexion phénoménologique sur le cogito cartésien, le tout inscrit dans un texte dont le style et la structure oscillent, de manière exemplificatrice et performative, entre la nouvelle littéraire et le discours philosophique, le tout agrémenté d’un contrepoint d’illustrations qui en lui-même tente de conduire le lecteur vers le point de départ du propos. Il s’agit de mettre face à face le prélude de Louis Couperin « à l’imitation de Mr Froberger » et le videor videre de la seconde méditation métaphysique de Descartes, dans une position phénoménologique proche de celle de Michel Henry. Pensé à la manière d’une énigme, et dans une approche très similaire à celle de Michel Bitbol dans son article sur l’écologie, ce texte propose également que l’interprétation musicale comme l’interprétation philosophique doivent être historiquement informées (selon l’expression à la mode), mais que la manière d’être historiquement informé doit se penser en première personne, de manière incarnée. La question fondatrice de Nagel « qu’est-ce que cela fait d’être une chauve-souris ? » doit être transposée de la manière suivante : « qu’est-ce que cela me ferait d’être Louis Couperin face à son clavecin, ou Descartes à côté de son poêle ?».
Article : Marx, de l’analyse de la marchandise, du fétichisme dont elle est l’objet, aux échos littéraires propres à l’illustrer. (Chapitre I du Capital). Jean-François Riaux. p. 20.
A l’heure où le jaune fleurit dans notre pays sans être celui des renoncules, nous osons publier une étude de Jean-François Riaux sur Marx et la marchandise. Cet article parle du caractère ambigu et fétichiste de la marchandise qui sans cesse cache ce qu’elle est pour devenir un fétiche. Sans prendre un quelconque parti politique, il nous amène à penser, dans l’idée qu’une marchandise possède un aspect fétichiste dans le sens premier religieux, ce que signifie la notion actuellement brûlante de pouvoir d’achat et de son augmentation éventuelle. Dès lors, et pour aller un peu plus loin que Jean François Riaux, ce fétichisme de la marchandise dans le sens premier, religieux, doit aussi se penser dans un sens second, psychanalytique, d’excitation sexuelle engendrée par un objet ou d’une partie du corps (CRNTL) et faire ainsi entendre la violence pulsionnelle que son insatisfaction engendre.
Roman : Martine H. ou le rêve de Médard (suite). Natalie Depraz. p. 29.
Nous continuons, comme un feuilleton, le roman de Natalie Depraz.
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NUMÉRO 13: JUIN 2019
SOMMAIRE
Éditorial : J. Vion-Dury. p. 5
Article : Épochè phénoménologique, méditation et prière. G. Serrano et M. Bitbol. p. 7
Dans cet article, dialogue à deux voix, G. Serrano et M. Bitbol, se livrent à un exercice peu commun. A partir d’auto-explicitations de leu expérience vécue, ils dressent, chacun avec son style et sa spiritualité le panorama de la prière et de la méditation dans leur lien avec l’épochè phénoménologique. Se déroule ainsi un dialogue qui nous ramène dans l’expérience même du méditant et de l’orant, où l’on note à la fois les différences et les similitudes de ces deux modes de spiritualité. Et chaque fois, il y a ce détachement, ce creusement, ce laisser aller dans un intime qui est aussi un entre, une plongée également dans une humilité essentielle, dans le plus profond de soi même. Et en même temps ce moment spirituel est mouvement d’incarnation et non d’évaporation ou de désincarnation. Il est un retour au primordial anté-catégorial. Un article à lire et à vivre.
Article : Paul de Tarse ou « comment viser l’homme au vif même de son existence ? L’homme, son corps et questions corollaires. J-F. Riaux. p. 15
Dans cet article J.F. Riaux décrit la pensée de Saint Paul (Paul de Tarse) quant au corps et à la psyché. La conception de Paul concerne la structure ontologique de l’homme. Il ne faut alors pas oublier le contexte philosophique dans lequel Paul évolue. Paul oscille entre une conception dualiste de l’homme et une sorte de phénoménologie du corps. Sa conception du corps n’est pas platonicienne. Le moi de l’homme terrestre subordonne le sôma à une psukhè oublieuse du divin, alors que le moi de l’homme céleste revêt le sôma du pneuma (spirituel en relation à Dieu). Cette lecture du double soma relève de la tradition de la gnose. Cet article décrit également les rapports complexes entre la pensée grecque et la pensée juive. C’est ainsi que J.P.Riaux propose que la conception paulinienne préfigure l’existentialisme contemporain de Sartre, Merleau-Ponty, Gabriel Marcel, Emmanuel Mounier.
Dessin. Spiritualité A. Jans. p. 20
Article : Mystérieuses filiations : Husserl et Heidegger, Freud et Jung. p. 21
Que nous disent les œuvres de Heidegger, et Jung au regard de leurs pères spirituels Husserl et Freud ? Quelle est la nature de ces filiations entre génies qui se sont à la fois admirés et critiqués parfois fortement. Qu’est-ce qui est en jeu au-delà des questions d’écoles, des points de vue intellectuels etc. ? Si se rejouait à travers eux la transition entre Ancien et Nouveau Testament. Et dans cette affaire quel est place de ces femmes remarquables que furent Édith Stein, et Hanna Arendt ?
Publication récente d’ouvrages. p.25
Roman : Martine H. ou le rêve de Médard (suite). Natalie Depraz. p. 27.
Nous continuons, comme un feuilleton, le roman de Natalie Depraz.
Table des matières de Chroniques Phénoménologiques : Janvier 2016- Juin 2019. p. 38
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NUMÉRO 14: JUIN 2019
SOMMAIRE
Ce numéro, par un hasard concernant l’arrivée des articles est consacré à trois aspects de la phénoménologie de la médecine. Il est vrai qu’en dehors de la psychiatrie, la médecine est malheureusement trop peu investie par la phénoménologie alors que tant des soignants sont en réalité, dans leur pratique quotidienne, des phénoménologues. C’est dire si nous ne pouvons qu’encourager l’écriture et la soumission d’articles dans le domaine de la souffrance et de la maladie humaines.
Article : La constitution d'un monde pathologique : Esquisse d'une phénoménologie de l'anomalité neuro- et psycho-pathologique. Jean-Daniel Thumser ; p. 5.
Jean Daniel Thumser traite là d’un sujet passionnant. Qu’en est-il de notre rapport au monde, de notre conscience, de nos capacités transcendantales quand la maladie nous tombe dessus ? Comment faire une phénoménologie de l’anomalité de la pathologie et en particulier de la pathologie nerveuse et mentale ? La pathologie doit-elle être pensée comme « le discours portant sur les processus de modifications du monde optimal et sain pour un sujet conscient » ? Cela pose ainsi la problématique d’un monde commun à ceux qui d’une certaine manière ne sont plus dedans, à ceux qui ne sont plus dans une normalité subjective. Le glissement qui s'opère lorsque cette perception du monde se modifie quand intervient une pathologie. Quel glissement qui s'opère lorsque cette perception du monde se modifie quand intervient une pathologie ?
Article : Vision et regard : explicitation phénoménologique de la cécité. Foucaud du Boisguéheneuc. p. 11.
A nouveau, Foucaud du Boisguéheneuc nous amène dans la profondeur de la sémiologie neurologique. Qu’est-ce que perdre la vue, qu’est-ce que cela fait d’avoir une cécité. Et de nous entrainer dans la distorsion du monde du sujet présentant des troubles visuels. Et étonnamment, cet article nous renvoi à celui de J.D. Thumser qui nous parle de la transformation du monde commun dans les pathologies neurologiques.
Article : Neurofeedback et subjectivité : l’entretien phénoménologique expérientiel pour mieux comprendre le vécu des patients. Mathilde Meissirel, Gaëlle Mougin, Jean Vion-Dury. p. 19.
Dans cet article est proposé une synthèse de ce que les patients atteints de TDAH vivent quand ils bénéficient de séances de neurofeedback. L’originalité de ce texte, est qu’il s’agit de témoignages obtenus au cours d’entretiens phénoménologiques expérientiels (EPE) qui, dans ce cadre, démontrent l’intérêt qu’ils ont dans l’explicitation no plus d’une expérience donnée, limitée dans le temps, mais de ce qui se passe dans une multiplicité d’expérience (cf. le portrait expérientiel ou l’explicitation du style, « Chroniques phénoménologiques, juin 2018). C’est également la première fois que l’EPE est utilisé dans une étude clinique.
Publication récente d’ouvrages. p.27.
· Dorothée Legrand : Écrire l’absence. Au bord de la nuit.
· Natalie Depraz : L’endroit.
Roman : Martine H. ou le rêve de Médard (suite). Natalie Depraz. p. 28.
Nous continuons, comme un feuilleton, le roman de Natalie Depraz.
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NUMÉRO 16: MARS 2020
NUMÉRO SPÉCIAL Covid 19
SOMMAIRE
Editorial : L'élan Vital. Jean Vion-Dury. p. 2.
Tableau: Coronarocentrisme. Cécilia Mazetti. p. 4.
Humour: Toutes les cuillères. Annick Latour. p. 5.
Photo: Gaëlle Mougin. p. 6.
Dessin: Télétravail. Elisabeth Singer. p. 6.
Humour: Je reste debout. Annick Latour. p. 7.
Dessin: Télétravail. Elisabeth Singer. p. 8.
Humour: Ce que je porte. Annick Latour. p. 9.
Nouvelle. Le Planier. Jean Vion-Dury. p. 10.
Dessin. Explicitation. Mathilde Meissirel. p. 17.
Humour: Un oignon . Annick Latour. p. 18.
Tableau: Inner unfolding from deadly quiet to settling. Magali Ollagnier-Beldame. p. 19.
Humour: Le métronome. Annick Latour. p. 20.
Tableau. Sans titre. Gaëlle Mougin, p. 22.
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NUMÉRO 17: NOVEMBRE 2020
SOMMAIRE
Article : Maintenant en amont du temps. Michel Bitbol. p. 8.
Michel Bitbol nous livre ici une longue et riche méditation sur le maintenant, ce signifiant sans signifié. Convoquant Aristote mais aussi Bergson, Hegel, Jean Scot Erigène, il ouvre des perspectives phénoménologiques d’une grande profondeur. Parmi les multiples formules originales que contient ce texte, comme nombre d’écrits de Michel Bitbol, nous retiendrons cette très belle définition de la phénoménologie : « La pensée qui pense des choses pensables est la métaphysique, la pensée qui entre en résonance avec le pensant est la phénoménologie ». Michel Bitbol aborde la notion de champ transcendantal en revenant à Husserl, puis ce qu’il nomme le champ proto-temporel et proto-naturel qu’est le maintenant. Et le propos se tourne alors vers cette mise en cause des sciences par les sciences au travers de la mécanique quantique et du Qbism, quand « l’extrême de leur quête d’invariance absolue a abouti à l’extrême constat de la variation du relatif ».
Poème :O. Olivier Sandilands. p. 21
Article : Apports de l’art dans nos pratiques médicales. Déborah Chamouilli. p .24
Cet article est le résumé de la thèse de médecine de Deborah Chamouilli, médecin généraliste. Deborah Chamouilli explore comment l’art s’insère dans nos pratiques médicales, et comment par certains aspects celles-ci se rapprochent de la démarche artistique par le biais de l’intersubjectivité et de l’intuition que ce métier exige. Dans ce texte est présenté le cercle de la créativité telle que la conçoit Deborah Chamouilli, tel qu’on peut l’envisager d’un point de vue phénoménologique
Article : Un excursus Épigraphique : NF. F.NS.NC. Jean François Riaux. p 30
« Cher collègue, vous trouverez là un article encore inédit portant sur une inscription épigraphique qui invite en cette période de pandémie à réfléchir à notre condition mortelle. Peut-être le jugerez vous opportun eu égard aux réflexions auxquelles cette inscription invite ». C’est ainsi que Jean-François Riaux nous proposait un article très érudit sur la manière dont la mort était pensée dans la Rom antique sous l’éclairage de la pensée épicurienne. A un moment où dans nos processus inconscients sourd la panique de notre fin prochaine potentielle, agrémentée de tuyaux, respirateurs, et autres machines, ce texte savant nous invite à faire l’épochè de notre propre société et de ses inquiétudes pour penser la mort dans d’autres temps.
Article : L’analyse des Entretiens Phénoménologiques Expérientiels par la méthode des saillances résonances. Vers une pensée multi-paradigmatique. Jean Vion-Dury, Gaëlle Mougin. p. 37
Cet article fait le point des méthodes d’analyse possible des Entretiens Phénoménologiques Expérientiels et développe une approche nouvelle : la méthode des saillances résonances. Outre l’aspect pratique ; la méthode des saillances résonances modifie radicalement la disposition mentale sous-jacente à l’analyse. En demandant de se mettre dans une sorte de flottement hypnotique, la méthode des saillances résonances laisse venir ce qui doit venir et rajoute des moments phénoménologiques à l’entretien phénoménologique lui-même.
Roman : Martine H. ou le rêve de Médard (suite et fin). Natalie Depraz. p. 41
Nouvelles publications : Pierre Legrand, anti-manuel de pychiatrie. p. 50
Table des matières des numéros de Chroniques Phénoménologiques. p. 51
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NUMÉRO 18: MARS 2021
SOMMAIRE
Article: L’énactivisme sense-making : Une (bonne) théorie du corps aux contours phénoménologiques. Alice Dupas : p. 5.
Article : Varela : inutile, incertain, pénible ? Jean Vion-Dury : p. 14.
Article : Cultiver la vie (I). La méditation au prisme de la phénoménologie non-intentionnelle : absolu et spontanéité. Olivier Sandilands : p. 42.
Article : Le non-dit, l’éludé. Laure Farnault et Julie Hinsinger : p. 56.
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NUMÉRO 19: JUILLET 2021
SOMMAIRE
Article : Deux approches de l'expérience subjective du temps .Jean Luc Petit, p.5.
Article : Les déliaisons musicales. Laetitia Petit, p 23.
Article : Explicitation phénoménologiques des vécus d’arrière-plan et processus de résonances. Jean Vion-Dury, Gaëlle Mougin, p. 32.
Article Se sentir plus vivante en temps de pandémie. L’expérience de la fragilité. Natalie Depraz, p. 45
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NUMÉRO 20: NOVEMBRE 2021
SOMMAIRE
Article :
Chroniques du totalitarisme – La mise au pas du 12 juillet 2021 ; Ariane Bilheran p. 5.
Article :
Outils conceptuels pour une description phénoménologique de la douleur ; Francisco Mujica, p. 8.
Article :
Le sens du mouvement ; Jean-Luc Petit, p. 16.
Article :
Le son, la conscience d’image et la phantasia ; Manuel Dias-Alves, Gaëlle Mougin , et Jean Vion-Dury, p. 31.
Recension :
Husserl en citations ; Jean-Daniel Thumser, p. 43.
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