La grève de 1955
Le cahier coédité par l'UL-CGT et l'AREMORS (1985)
« Action directe » & négociations dans la grève nazairienne de 1955 par J-Yves Martin AREMORS
La grève de 1955 n’est ni le fruit d’un spontanéisme ouvrier ni le résultat de la mise en branle d’une « action directe » qui serait une caractéristique « historique » du syndicalisme nazairien. Elle a sa logique et sa dynamique, dont l’analyse souligne les rôles respectifs de ses acteurs : ouvriers, patrons, secrétaires et délégués syndicaux, population, élus locaux et nationaux.
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Sommaire :
Une grève en trois périodes & deux cycles
1- Négociations et actions (février-juin 1955)
2- Tensions et refus (mi-juin - mi-juillet 1955)
3- Nouveaux affrontements et dénouement (28 juillet -1er septembre)
La grève modèle du « syndicalisme d’action directe » ?
Les pratiques : négociations, actions & consultations
1- Les négociations salariales en commission mixte
2- Affrontements et violences
— Les 21-22 juin
— Le 1er août
Meetings, consultations & référendums à Penhoët
Conclusion