Il est encore tôt mais je rencontre un randonneur naturaliste qui descend du sommet et m'indique n'y avoir vu que 2 bouquetins.
En fait il y en a une vingtaine au pied du Grand Veymont, quelle chance !
Je passe une paire d'heures à les observer et m'amuse de voir passer moult randonneurs à quelques mètres, qui ne soupçonnent pas notre présence, occupés à maîtriser leur souffle dans la rude ascension du sommet.