La délivrance retrace la vie d’une femme courageuse qui lutte pour élever seule ses deux fils ainsi que les quarante élèves du pensionnat dont elle est la directrice.

Fille d’un protestant évangélique autoritaire, elle se révolte contre l’emprise paternelle et néanmoins reporte sur son fils aîné le poids de la morale calviniste.

A quatre-vingts ans, alors qu’elle n’est atteinte d’aucune maladie engendrant des douleurs intolérables, elle fixe elle-même le jour de sa mort.

Le récit est une réflexion sur le choix du suicide assisté et sur les souffrances que l’intégrisme peut entraîner dans une famille.