UN DESTIN HORS DU COMMUN
En 1856, Napoléon MURENA, né en 1856 à Borgotaro, émigré italien, travaille comme charpentier à Paris ; veuf, il élève 2 fils nés en 1882 et 1884 . Il épouse en 1885 Marie-Charlotte JOSSE, lavandière, originaire de Saint-Clet en Bretagne . Marie Charlotte a déjà une fille naturelle, Marie-Jeanne, que Napoléon reconnaît après le mariage. De leur union naît Félicie Murena le 29 décembre 1886 à Paris 19ème. Napoléon se tue en tombant d’un toit. Après son veuvage, M. Charlotte met au monde une troisième fille, Marcelle Josse, le 30 décembre 1893. Puis elle meurt de maladie. Ses trois filles sont placées à Saint-Pierre-le-Moûtier "la Croix d’Or" (Nièvre) dans une famille d’accueil par l’Assistance Publique de la Seine.
En 1856, Napoléon MURENA, né en 1856 à Borgotaro, émigré italien, travaille comme charpentier à Paris ; veuf, il élève 2 fils nés en 1882 et 1884 . Il épouse en 1885 Marie-Charlotte JOSSE, lavandière, originaire de Saint-Clet en Bretagne . Marie Charlotte a déjà une fille naturelle, Marie-Jeanne, que Napoléon reconnaît après le mariage. De leur union naît Félicie Murena le 29 décembre 1886 à Paris 19ème. Napoléon se tue en tombant d’un toit. Après son veuvage, M. Charlotte met au monde une troisième fille, Marcelle Josse, le 30 décembre 1893. Puis elle meurt de maladie. Ses trois filles sont placées à Saint-Pierre-le-Moûtier "la Croix d’Or" (Nièvre) dans une famille d’accueil par l’Assistance Publique de la Seine.
Félicie, domestique, rencontre Aré BELIN, journalier ; ils se marient en 1904 et auront 16 enfants. Marie- Jeanne se marie et aura une fille, Lucie, qui épousera Mr ARESTIER, quincaillier à Oran . Leur fille Jacqueline, épousera un lord anglais.
Félicie, domestique, rencontre Aré BELIN, journalier ; ils se marient en 1904 et auront 16 enfants. Marie- Jeanne se marie et aura une fille, Lucie, qui épousera Mr ARESTIER, quincaillier à Oran . Leur fille Jacqueline, épousera un lord anglais.
Marcelle part très jeune avec une troupe de comédiens à Paris et devient célèbre sous le nom de Parisys.
Marcelle part très jeune avec une troupe de comédiens à Paris et devient célèbre sous le nom de Parisys.
Elle débute à 14 ans au Concert Mayol et attire l'attention de Réjane qui la fait engager au théâtre de Paris puis au théâtre Sarah Bernardt. Elle se partage entre tour de chant et comédie et paraît après 1918 dans des petits théâtres, on la voit à la Scala, au Palais Royal, à Marigny, au casino de Paris, au théâtre Michel, à la cigale, à l'Eldorado.
Elle débute à 14 ans au Concert Mayol et attire l'attention de Réjane qui la fait engager au théâtre de Paris puis au théâtre Sarah Bernardt. Elle se partage entre tour de chant et comédie et paraît après 1918 dans des petits théâtres, on la voit à la Scala, au Palais Royal, à Marigny, au casino de Paris, au théâtre Michel, à la cigale, à l'Eldorado.
Elle joue dans " la môme " en 1922 aux côtés de Sarah Bernardt et dans " Occupe toi d'Amélie " à la Scala en 1923.
Elle joue dans " la môme " en 1922 aux côtés de Sarah Bernardt et dans " Occupe toi d'Amélie " à la Scala en 1923.
Elle part avec Mistinguett en Amérique du Sud en 1923. Elle joue dans " La revue olympique " en 1924 et chante la marche populaire des J.O. de Paris " Vas-y Léon " Elle joue ensuite à l'Empire, au théâtre Antoine , L'ambigu et part en tournée à Londres, Rome, Bruxelles, Alger, puis l'Egypte entre 1924 et 1933.
Elle part avec Mistinguett en Amérique du Sud en 1923. Elle joue dans " La revue olympique " en 1924 et chante la marche populaire des J.O. de Paris " Vas-y Léon " Elle joue ensuite à l'Empire, au théâtre Antoine , L'ambigu et part en tournée à Londres, Rome, Bruxelles, Alger, puis l'Egypte entre 1924 et 1933.
Elle partage avec Fernandel le rôle principal dans le film "Nuit de folie" en 1934.
Elle partage avec Fernandel le rôle principal dans le film "Nuit de folie" en 1934.
Elle épouse Robert Trébor, directeur du théâtre Michel , et prend sa succession en 1942 jusqu'en 1964. Elle remonte une dernière fois sur les planches en 1964 pour jouer "Les croulants se portent bien !" au théâtre Michel.
Elle épouse Robert Trébor, directeur du théâtre Michel , et prend sa succession en 1942 jusqu'en 1964. Elle remonte une dernière fois sur les planches en 1964 pour jouer "Les croulants se portent bien !" au théâtre Michel.
Elle décède à Paris (16e) le 16 juillet 1986.
Elle décède à Paris (16e) le 16 juillet 1986.
