LADY HAMILTON

Lady Hamilton former Emma Hart

miniature painting on ivory

AMY LYON

Neston,Cheshire.England 26.April 1765 - 12 January 1815 Calais,France

Cause of Death: Liver failure

Children:Emma Carew.Horatia Nelson

friendship with charles francis greville.mistress of lord nelson.muse of george romney

spouse : sir william hamilton

LADY HAMILTON

Etching

Not listed in Inventaire Louvre

cf.

DENON COLLECTION BRITISH MUSEUM LONDON

Dominique Vivant Denon

1747-1825

NAPLES.NAPOLI.NEAPEL

Palazzo Sessa

LADY HAMILTON

en Diane Hécate

Fine Etchings

Expl. XXVII d'un tirage de quarante-huit sur ce papier filigrané

Inventaire Louvre 230

cf.

BRITISH MUSEUM LONDON

Collection of Denon Etchings

LADY HAMILTON

Neapolitan Attitudes

Etching

Inventaire Louvre 127

Tiré à quarante-huit expemplaires sur se papier

Expl. XXVII

Dominique Vivant Denon

1747-1825

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EMMA LYONS

1792

LADY HAMILTON en Sibylle

Remarquable Portraitprint

Collection Duchesse de Berry

applicated china.royalty stamp

Fine Lithograph au crayon.Scarce Masterprint

by Grevedon

1820

.

Collection HELM&HELM Lindach

...

Les sibylles jouoient un rôle fort important chez les anciens peuples.On n'entreprenoitrien sans les consulter d'abord.Leurs prédictions étoient des lois : malheur à qui ne les suivoit pas !

Plusieurs de ces prêtresses acquirent une haute renommée.Les historiens, et notamment Pausanias, ont transmis à la postérité les noms de celles  qui, soit à Delphes ou à Délos, soit à Claros ou à Cumes, furent révérées, redoutées comme les dieux dont elles se disoient les interprêtes.La sibylle dont l'artiste a retracé une si belle image, a, comme celles dont on lui a donné le costume ici,obtenue une certaine célébrité, moins pourtant par des prophéties (car il n'est pas à notre connoissance qu'elle en ait jamais fait) que par la singularité de sa fortune.Il nous sera permis sans doute, avant d'examiner cet ouvrage, de tracer rapidement l'histoire du modèle.

Emma Lyon eut, dit-on, pour mère une pauvre servante.On n'est point d'accord sur le lieu ni sur l'epoque de sa naissance.A l'age de treize ans , elle entra comme gouvernante d'enfants chez un honnête bourgeois de Hawarden.Ennuyée de l'obscutité dand laquelle elle vivoit, et se flattant qu'à Londres elle pourroit se placer plus convernablement, elle se rendit dans cette ville.Elle avoit alors seize ans.Un détaillant du marché de Saint-James la recut à son service : elle sortit bientôt de chez lui pour passer comme femme-de-chambre auprès d'une dame de bon ton.Dans cette nouvelle condition la lecture des romans occupa spécialement tous les loisirs d'Emma.Elle prit en même temps le goût des spectacles; et, en étudiant les gestes, les inflexions des acteurs, elle parvint à exprimer avec une incroyable facilité tous les mouvements et les troubles de l'ame; mais ce genre de talent ne convenant point à sa maîtresse, celle-ci la renvoya.

Ce fut dans une taverne, où se rassembloient tous les artistes de la ville, que la belle Emma chercha  de l'emploi.Elle resta , s'il faut en croire les mémoires de sa vie, innocente et pure à cette école de vice.Sa première foiblesse eut quelque chose d'honorable.Il s'agissoit de sauver un jeune Gallois, son parent,qui venoit d'être pressé sur la Tamise.Le capitaine mit à prix la liberté du matelot : Emma consentit à lui accorder ce prix desiré.Des bras de cet amant, qui lui donna des maîtres en tout genre, et cultiva avec soin son esprit naturel et ses heureuses dispositions, elle passa dans ceux du chevalier Feathersonhaugh.Fatigué des hauteurs de sa belle conquête, le chevalier au bout de quelque temps rompit avec elle.

Emma abandonnée, sans ressources, descendit au dernier degré de l'avilissement.Un hasard étrange la tira de cet abyme d'infanie et de misère : le docteur Graham la vit; il s'en empara, et lea montra, à peine recouverte d'un léger voile, aux curieux empressés, sous le nom de la déesse Hygea.Les peintres, les sculpteurs accoururent en foule offrir le tribut de leur admiration à l'autel de la déesse de la santé, et se plurent à reproduire cette divineté nouvelle sous les charmes d'Emma subjuguèrent Charles Gréville de l'antique famille des Warwick.

Il étoit, dit-on, sur le point d'épouser l'aimable enchanteresse, lorsque, en 1789, il fut subitement ruiné et dépouillé de ses places.Dans sa détresse, il s'imagina qu'il pourroit obtenir des secours de son oncle, sir William Hamilton, alors ambassadeur à Naples, si sa chère Emma plaidoit sa cause auprès de celui-ci.

Emma part : elle arrive à Naples, elle se présente à sir Hamilton, qui consent  à payer les dettes de son neveu, à la condition qu'Emma lui restera.Le traité fut conclu sans difficulté.

Quoique miss Lyon mît dans sa conduite beaucoup de'adresse et de réserve, quoiqu'elle eût déjà ce vernis du grande monde, ces connoissances superficielles qui en imposent au vulgaire, les nobles Napolitains, sans affecter des moeurs trop sévères, refusoient de voir la maîtresse de l'ambassadeur.Alors emporté par son aveugle amour, sir Hamilton se détermina à l'épouser; et ce fut au printemps de 1791 qu'il fit exprès le voyage d'Angleterre pour consacrer cette union.

De retour à Naples, lady Hamilton, présentée à la cour, fût bientôt admise dans l'intimité des plus augustes personnages.Tout rendoit hommage à l'idole nouvelle : le héros de L'Angleterre, Nelson, vint lui-même se ranger parmi les esclaves de cette dangereuse beauté.

Nous ne suivons point lady Hamilton dans sa carrière politique.Nous dirons seulement que son influence fut dand quelques occasions contraire aux intérêts de la France.Après la mort de son époux, après celle de son illustre amant qui périt à Trafalgar, vouée en quelque sorte au mépris public, elle dissipa promptement les biens qu'elle tenoit de son mari et de la générosité du père de miss Nelson, sa fille.

Abandonné, presque oubliée, car on ne se rappeloit plus d'elle que pour parler ou de l'art avec lequel elle se drapoit soit en Romaine, soit en fille de Lévi, ou de la grace avec laquelle elle exécutoit la danse volupteuse du schall, qu'elle avoit inventée, elle se retira dans une ferme près de Calais, ou elle mourut le 16 janvier 1815.

cf.

MEZZOTINTO

Emma, Lady Hamilton as a Sibyl

by Dudley H. Pratt, after Elisabeth-Louise Vigée-Le Brun

mezzotint, (1791-1792)

(405 mm x 303 mm) plate size    (500 mm x 405 mm) paper size

EMMA, LADY HAMILTON

as a bacchante

Miniature Painting

Gouache.Oil

on parchment

P.O.R.

cf.

MEZZOTINT ENGRAVING OF YOUNG GIRL

S. ARLENT EDWARDS. MEZZOTINT ENGRAVING: Image of young girl, titled ''Lady Hamilton as Bachante.'' After the painting by George Romney. Signed  

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Manufacturer: G. Romney Pince and Verlag L. Lebel Print

Beautiful antique mezzotint of Lady Hamilton as Aridane numbered 214. by G. Romney Pince and Verlag L. Lebel, Wien .

A great spider crab stamp on lower left is the company's logo. 

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V,59 

LADY HAMILTON (1761 oder 1764-1815)

Radierung von Jean Simtach nach M. De Non

22,9 x 16,7 cm

Sir William Hamilton (1730-1803) war seit 1764 englischer Gesandter in Neapel. Seine persönlichen Interessen galten der Erforschung des Altertums und dem Sammeln von antiken Vasen. Seine Geliebte, Emma Hart, die er 1791 heiratete, war eine berühmte Schönheit. Johann Heinrich Wilhelm Tischbein malte sie als lphigenie. Goethe berichtet sehr eindrucksvoll von seinen Besuchen im Hause von Sir William Hamilton und von den "Attitüden" der Lady Hamilton, lebenden Bildern, die sie in Anlehnung an bekannte antike Bildwerke darstellte.

V,60 

JOHANN HEINRICH WILHELM TISCHBEIN (1751-1829)

an Johann Heinrich Merck (1741-1791)

Neapel, 10. Oktober 1787

Eigenhändiger Brief

Tischbein beschreibt in diesem Brief seinen Eindruck von Lord und Lady Hamilton sowie ihr Porträt als Iphigenie:

Ich mahle bey Cav. Hamilton im Hause. Der hatt eine auserordentlige schönheit bey sich [...] Er ist durch dieses Mächgen der Glücklichste mensch auf der Welt, den er denkt das er den Apol und die Venus lebendig bey sich im haus habe. Ich mahle ein Bild für ihn, Orest als er von seiner scbwester erkant wird, und die Efiginie ist das Porträt dieses Mächgens.

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