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C’est avec plaisir que nous vous ferons partager notre table d'hôtes et vous servirons un repas complet, sans oublier l'apéritif et les digestifs maison. L'occasion de découvrir ou re-découvrir quelques spécialités locales autour d'un menu dauphinois ou simplement une cuisine familiale au gré des envies de la cheffe.
Nous avons aussi une vrai tendresse pour la cuisine créole avec les vraies épices ramenées du pays. Celles qui nous donnent un peu de soleil en terre d'Isère. Si un repas créole vous tente, dites le nous, il faut juste le prévoir un peu plus tôt...
Dans le cas ou vous auriez des intolérances alimentaires ou si vous souhaitez un menu végétarien, contacter nous. Nous verrons ensemble comme adapter votre dîner. Ce serait dommage de vous priver de la cuisine de Francine !!
Francine aime particulièrement faire mijoter ses petits et grands plats et dresser une belle table pour ses hôtes. Il suffit de feuilleter le Livre d'or des chambres d'hôtes pour s'en convaincre. Laissons lui la parole à la suite d'échanges avec nos hôtes.
- "Je pense que les vacances, les petits breaks sont aussi des moments privilégiés pour découvrir ou redécouvrir une cuisine familiale et une table gourmande. Ce qu'on ne fait plus, faute de temps."
- "Et parce que, un moment d'échange, de conversation, de convivialité, lors d'une halte en chambres d'hôtes, c'est déjà être en vacances !"
- "Il ne s'agit pas de faire compliqué, mais bon ou mieux : goûteux, pour les gourmets".
Belle découverte sur les conseils de notre voisin. Belle chambre, accueil chaleureux et cuisine au top. Nous reviendrons.
C'est toujours un immense plaisir de retrouver ce gite si confortable, l’excellente cuisine et l'accueil tellement chaleureux de Francine et Jean...
En prime des conversation passionnantes... et des cours d'informatique.
Un grand merci.
J'ai adoré l'apéro sous le cerisier, le repas était délicieux et fort copieux !
On recommande de 💚
C'est que nos hôtes ont apprécié ce moment de convivialité qu'est l'apéritif.
Sans excès, ce sera l'occasion de gouter les vins apéritif de cerise, de pêche, de griottes... et de noix, la star locale.
Et, bien sur, tous ces bons breuvages sont faits maison avec les fruits du jardin. Laissez vous tenter, il n'y a pas loin à aller pour une bonne nuit.
La table d'hôtes, familiale, locale et parfois créole, est faite de produits locaux ou du jardin. Partagez les avis de nos hôtes.
Pour garnir la table d'hôtes, comme on le fait à la campagne, direction le jardin potager. Même modeste, au jardin, les herbes culinaires essentielles tels les thyms, la sarriette, le romarin, l'estragon, la sauge, l'oseille, la ciboulette, la cive, les persils, les menthes... parfumerons les plats, les bouquets garnis pour redécouvrir quelques saveurs naturelles.
Et encore pour accompagner certains plats, aubergines, courgettes, concombres, blettes, choux, poivrons, salades, maïs, oignons, échalotes..., sans oublier les stars tomates en tous genres pour nous accompagner de l'apéritif, en passant par l'entrée, puis pourquoi pas au dessert. Et à chaque étape, la tomate qui convient !!
Pour bien finir la soirée et passer une excellente nuit, la traditionnelle tisane à la verveine. Pas n'importe laquelle, celle du jardin, naturelle et cueillit à la feuille. Pourquoi pas en décoction de verveine fraîche !!
Mais pour d'autres amateurs, quelques liqueurs de vulnéraire, thé des Alpes, cueillis dans lors de nos ballades en montagne et en Chartreuse. Ou autre gingembre, cerise, noix et griotte du jardin. Liqueurs ou "décoctions médicinales" à en croire les anciens. A vous de choisir !!
1 - Vérifier les disponibilités
Sélectionner vos dates et éventuellement la chambre choisie. A défaut, toutes les chambres disponibles vous serons proposées pour vos dates.
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Réserver pour les adultes, vous pourrez ensuite compléter votre réservation avec les enfants et autres personnes supplémentaires.
Vous aurez aussi la possibilité de sélectionner des options comme un lit parapluie, chaise haute... et pourquoi pas une bouteille de champagne ou de vin pour marquer le moment.
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Chambres d'hôtes Plaine et Colline, 173 rue du Bourg, 38260 Gillonnay (à 2km de La Cote Saint André), Francine & Jean
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Les petits déjeuners ou la table d'hôtes, pour favoriser les retrouvailles et un moment de détente en famille ou entre amis, sont servis en intérieur ou au jardin.
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Si vous demandez à un Isérois quelles sont les spécialités de son terroir, il vous citera immanquablement la noix, la Chartreuse, la raviole, le saint-marcellin ou le bleu du Vercors-Sassenage…
Ces vedettes de notre table reflètent toute la richesse de la gastronomie locale. Du nord au sud du département, voyage gustatif à travers des siècles de tradition culinaire.
Pour promouvoir la gastronomie locale, autant faire appel à l’un des plus grands ambassadeurs de la cuisine française du XXe siècle : "Le Dauphiné est un véritable paradis de la gastronomie, affirme ainsi Curnonsky dans son livre sur « Les Recettes de France » (1927) : son admirable cuisine réalise un régal unique de finesse, de ruse charmante et de haute courtoisie (…) cette grâce légère, qui sont la marque même du goût français."
Un siècle plus tôt, en 1825, Jean-Anthelme Brillat-Savarin, père de la gastronomie, affirmait déjà dans sa « Physionomie du goût » que « les meilleures liqueurs de France se fabriquent en Dauphiné. » Il faut dire que la toute première distillerie de France fut créée à La Côte-Saint- André en 1705 par Barthélemy Rocher, botaniste amateur. Casanova, qui s’y connaissait aussi en bonne chère, évoque dans ses Mémoires le ratafia de cerises servi lors de son séjour grenoblois, qu’il compare au « nectar des dieux de l’Olympe. »
En 1760 et jusqu’à la Révolution, la capitale des Alpes, qui est surtout une ville de garnison et de parlementaires, est d’ailleurs bien connue de ces messieurs pour… sa dolce vita ! "Nous mangeons ici l’excellent fromage de Sassenage et les meilleures reinettes et calvilles de France (…) ", s’enflamme un jeune officier breton (Théophile Malo Corret de La Tour d’Auvergne), contemporain du capitaine Choderlos de Laclos – alors en poste dans la région.
L’historien viennois Nicolas Chorier, auteur de la première « Histoire générale du Dauphiné » (1661), admirait quant à lui « ce pays si abondant en vin ». Les vignobles alors s’étagent jusqu’à neuf cents voire mille mètres d’altitude du nord au sud. Les plus prisés depuis l’Antiquité sont ceux produits sur les collines viennoises.
Transportés jusqu’à Rome dans des amphores poissées qui ajoutent à leur note naturelle un parfum de résine brûlée, ces vins gorgés de soleil se vendent à prix d’or dans tout l’Empire. Plus acides pour les palais délicats et supportant moins le voyage, les « vins d’en-haut » n’en sont pas moins très appréciés.
Curnonsky, encore lui, signale « les crus du château Bayard au parfum de violette », les blancs « parfumés et légers » du Sud Grésivaudan (autour de Saint-Marcellin) ou encore ceux, « fruités, fort agréables et naturellement pétillants », de La Côte-Saint-André. Si le phylloxera a ravagé les vignobles au début du XXe siècle, de jeunes vignerons passionnés s’attachent aujourd’hui à faire renaître les anciens cépages et à replanter les coteaux.
À partir de la fin du XIXe siècle, la culture de la noix va remplacer celle de la vigne. Et le fameux gratin dauphinois va peu à peu voler la vedette à toutes les autres spécialités locales. La pomme de terre, « tartifle » en patois, n’a pourtant pas attendu Parmentier pour faire recette dans les marmites montagnardes : dès 1500, le tubercule venu d’Amérique, importé d’Allemagne, est découpé en fines tranches qui mijotent ensuite dans le lait dans une terrine frottée d’une gousse d’ail. On ajoute de la crème les jours de fête (mais jamais d’œufs ni de fromage !).
En altitude, isolées pendant les longs mois d’hiver, les populations de fait ont appris depuis des siècles à tirer parti de ce qu’elles ont sous la main. On cuisine les tourtes d’herbes avec les verdures du jardin et l’on se régale des truites et écrevisses des rivières et lacs. Dans le sud de l’Isère, en Matheysine, en Trièves ou dans le Royans, chacun fait ses ravioles. Les recettes varient mais la base est la même : mélanger du fromage, des œufs durs, du persil, rouler dans la farine (raviola), puis jeter dans l’eau bouillante salée et beurrée pendant 1 min 30.
Dans les grandes maisons comme à la cour d’Humbert II, la cuisine est beaucoup moins rustique : les viandes, rôties, bouillies ou la broche, trônent en majesté. Élevé à la cour de Naples, le dernier dauphin, connu pour son coup de fourchette et son palais délicat, introduit la mode des épices et notamment du safran : au XVe siècle, c’est le condiment le plus apprécié dans nos contrées !
Au XIXe siècle, Stendhal évoquera avec gourmandise les petits pains au safran qu’il achetait rue Saint-Laurent en allant chez une tante. Quant à la truffe du Bas Dauphiné, alors plus réputée que celle du Périgord, elle parfume bouillons, terrines et ragoûts.
Bûche du Vercors, fromage de Chambaran, de Saint-Marcellin, tomes de chèvre, de Gresse ou de Chartreuse… Depuis des temps immémoriaux, faute de pouvoir stocker et transporter le lait, les éleveurs de montagne ont appris à le transformer en fromage.
Bien avant sa célèbre Chartreuse verte, dès le XIIe siècle, le monastère de la Grande Chartreuse produisait ainsi une tomme très prisée : en 1565, on sait qu’elle se négociait deux fois plus cher que les autres tommes de Chartreuse sur le marché. Humbert II préférait quant à lui celle de la châtellenie de l’Oisans : il exigeait que les redevances soient versées sous forme de fromage !
Les grands de ce monde contribuèrent d’ailleurs bien souvent à promouvoir ces productions fermières. Grâce à Louis XI, la tomme de Saint-Marcellin se fit ainsi un nom à la table royale après que deux bûcherons lui aient fait goûter ce palet bien crémeux en 1461. Depuis, le lait de vache a remplacé le lait de chèvre, mais le principe de fabrication est resté le même, authentifié par une IGP (Indication Géographique Protégée). Idem pour le bleu du Vercors-Sassenage, estampillé AOP (Appelation d’Origine Protégée).
Au XVIIe siècle, ce bleu persillé, préparé à partir de lait de vache et de brebis additionné d’un peu de lait de chèvre, faisait déjà la fierté des gens du pays, « d’un goût si délicat et si exquis qu’ils font aujourd’hui les honneurs des tables des plus grands seigneurs ». Abandonnée à la fin du XIXe, la production reprit avec la création de la première coopérative de Villard-de-Lans en 1924.
Aux XVe et XVIe siècles, les confitures sèches ou fruits confits des Grenoblois sont réputés dans toute la France. Au XIXe, Stendhal n’oubliera jamais le goût des noix confites dont il se régalait enfant, lors de ses visites à la comtesse de Montmaur – la vieille dame aurait servi de modèle à Choderlos de Laclos pour la sulfureuse héroïne de ses Liaisons dangereuses dans ses belles années. La production nucicole est alors en plein essor dans la région : en 1883, le confiseur ardéchois Léopold Durand fit fortune avec sa « Noix de Grenoble », un cerneau enrobé de caramel.
Au Moyen Âge, Bourgoin-Jallieu est surtout réputé pour sa brioche : ce gâteau en forme de couronne, composé de farine, de levain, de lait, de miel et d’œufs, fut créé en 1449 pour la visite du dauphin, le futur roi Louis XI. Au XIXe, un boulanger eut l’idée de rajouter des grains de sucre pralinés et des dragées.
Aujourd’hui après une longue éclipse, de nombreux chefs s’attachent à remettre à l’honneur ces produits et recettes ancestrales qui ont le goût de nos paysages. Il était temps !
Peu de gens la connaissent, pourtant la truffe iséroise n’a rien à envier à sa cousine du Périgord. On la retrouve mentionnée dès le XVIIe siècle dans des menus servis aux notables de Grenoble.
Au XIXe, le piémont de Chartreuse entre Grenoble et Chambéry pouvait donner jusqu’à 40 tonnes du précieux diamant noir, le plateau de Crémieu en produisait 10 tonnes. Aujourd’hui, des passionnés relancent cette culture. En Chartreuse, l’association La Catananche Cartusienne réhabilite d’anciennes ruffières, forme, conseille et anime le public et les agriculteurs sur cette activité.
Plus d’informations : www.catananche-cartusienne.fr
Sources : René Fontvieille, « La Cuisine dauphinoise à travers les siècles » (Terre & mer, 1983) Claude Muller, « Cuisine traditionnelle des Alpes ». Extrait de IsèreMag
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On connaît tous le gratin dauphinois. Mais ces croquettes à base de pomme de terre et de pâte à chou feront tout autant le bonheur des petits et grands !
Dauphinois ou dauphine, car vous le savez peut être, nous sommes dans le Dauphiné. Ancienne province, jadis nommée Viennois, située dans le quart sud-est de la France actuelle. A la Révolution française, la province se retrouve divisée en trois départements : la Drôme, les Hautes-Alpes et l’Isère.
La recette aurait été inventée en 1864 pour faire patienter les convives en attendant le dauphin (l’héritier du roi de France), qui avait la fâcheuse habitude d’arriver en retard à table.
Cuire dans l’eau salée 1 kg de pommes de terre épluchées pendant 30 min.
Égoutter, écraser en purée, ajouter 30 g. de beurre, une pincée de noix de muscade et une pincée de sel.
Porter à ébullition 25 cl d’eau salée avec 50 g. de beurre.
Hors du feu, ajouter 200 g. de farine, travailler la pâte obtenue et faire chauffer pour qu’elle épaississe.
Ajouter 4 œufs entiers, un à un, et enfin toute la purée.
Mélanger le tout et faire de petites boules que l’on fera frire à l’huile.
Extrait de IsèreMag
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Ronde et dorée, appétissante à souhait, la tourte de l’Isère s’invite sur toutes les tables !
La tourte de l’Isère c’est un bon plat gourmand, facile à réaliser et réconfortant, à base de Saint-Marcellin, de pommes de terre, de poireaux et de noix de Grenoble.
Délicieusement fondante, la tourte se déguste aussi bien chaude au sortir du four que tiède, accompagnée d’une salade verte.
Ingrédients
Pour une tourte de 6 personnes
800 g de pommes de terre
1 à 2 saint-marcellin IGP (selon les goûts)
2 poignées de noix de Grenoble concassées
2 pâtes feuilletées (environ 460 g)
1 jaune d'oeuf + 1 cuillère à soupe de crème pour la dorure
Pour la crème aux poireaux
1 blanc de poireau (100 g)
1 oignon (100 g)
30 g de beurre
15 cL de crème fleurette
Sel et poivre
1 pincée de noix de muscade râpée
1 saint-marcellin IGP
Préparation
Les pommes de terre
Éplucher les pommes de terre, les rincer et les plonger entières dans de l’eau bouillante pendant 20 à 30 minutes (selon la taille) afin de les précuire.
Il faut qu’elles soient tendres mais pas complètement cuites. Les égoutter et les couper en fines lamelles. Réserver.
La crème de poireaux
Pendant la cuisson des pommes de terre, éplucher l’oignon et l’émincer finement.
Faire de même avec le blanc de poireau.
Dans une poêle, les faire revenir doucement avec le beurre jusqu’à ce qu’ils soient tendres, soit environ 10 à 15 minutes.
Saler, poivrer et remuer de temps en temps.
Verser la crème, ajouter une pincée de noix de muscade râpée et un saint-marcellin coupé en morceaux.
Faire chauffer 3 à 5 minutes à feu doux tout en remuant, jusqu’à ce que le fromage soit fondu.
Le montage
Il est possible d’utiliser un plat à tarte ou de monter la tourte directement sur une plaque de four.
Étaler une pâte feuilletée sur du papier cuisson soit dans le fond d’un plat, soit sur la plaque de cuisson.
Sur la pâte feuilletée, disposer une couche de pommes de terre en forme de cercle d’environ 22 centimètres de diamètre en laissant 2 à 3 centimètres de pâte sur les bords. Il est possible d’utiliser le bord d’un moule à manqué pour vous aider.
Déposer dessus, la crème aux poireaux et saint-marcellin, quelques noix concassées et des morceaux de saint-marcellin.
Répéter l’opération sur 2 ou 3 couches afin d’avoir un peu d’épaisseur.
Pour terminer
À l’aide d’un pinceau de cuisine, passer du mélange jaune d’oeuf-crème, sur les bords de la pâte.
Recouvrir le tout de la seconde pâte feuilletée.
Souder les bords des 2 pâtes feuilletées ensemble.
Dorer le dessus de la tourte avec le reste du mélange oeuf-crème. Dessiner des motifs sur le dessus à l’aide d’une lame de cuisine ou d’un couteau.
Piquer légèrement la pâte. Préchauffer le four à 180°C.
Enfourner pendant environ 35 à 40 minutes. Le feuilleté doit être bien doré.
Servir chaud avec une belle salade verte.
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Ces cassolettes sauront trouver sa place sur votre table. Les pommes de terre, tendres et fondantes, s’imprègnent des saveurs du fromage et de la saucisse pour un plat plein de gourmandise.
Une recette facile et réconfortante aux saveurs de l’Isère.
Cette recette réalisée par Tangerine Zest pour ALPES ISHERE* met à l’honneur 2 produits phares de la gastronomie iséroise :
Le fromage saint-marcellin: petit fromage rond au lait de vache, il est réputé pour sa texture crémeuse et fondante avec son goût subtil. En gratin, il devient encore plus irrésistible en fondant sur les pommes de terre.
Le Murçon: spécialité de la Matheysine (un territoire du sud de l’Isère), cette saucisse de porc légèrement épicée au carvi apporte une touche aromatique et une texture généreuse. Si vous ne l’avez jamais goûtée, cette recette est l’occasion idéale de le découvrir !
La recette
Temps de préparation:20 minutes min
Temps de cuisson:40 minutes min
Temps total:1 heure h
Type de plat: Plat principal
Cuisine: Française
Portions: 4 personnes
700 g de pommes de terre (type chair ferme)
4 fromages saint-marcellin
200 g de Murçon cuit
1 échalote
15 cl de crème fraîche épaisse
4 cuillères à soupe de vin blanc sec
Une noisette de beurre
Sel, poivre et noix de muscade
Préchauffez votre four à180°C (thermostat 6).
Pendant ce temps, épluchez les pommes de terre et faites-les cuire à la vapeur ou à l’eau bouillante salée pendant 10 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient tendres mais encore fermes.
Coupez-les en petits cubes.
Préparez le Murçon : s’il est cru, faites-le cuire pendant 40 minutes dans de l’eau frémissante, en commençant la cuisson à froid. Coupez-le ensuite en dés.
Épluchez et émincez finement l’échalote.
Montez les cassolettes : dans des ramequins individuels ou un plat à gratin, disposez une couche de pommes de terre, quelques morceaux de Murçon, une cuillère de crème, un peu d’échalote émincée, puis la moitié du saint-marcellin. Répétez l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients. Terminez par une généreuse couche de fromage sur le dessus.
Enfournez pour 20 à 30 minutes, jusqu’à ce que le fromage soit bien fondu et gratiné.
Sortez les cassolettes du four et laissez reposer 5 minutes avant de servir.
Dégustez accompagné d’une bonne salade verte et quelques noix de Grenoble.
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Voici la version sucrée du fameux gratin dauphinois. Ce dessert est super bon. Il combine des ingrédients classiques qui se marient à merveille. Le gâteau dauphinois aux pommes et aux amandes vous conquerra par sa texture à la fois crémeuse, douce et croustillante. Vous adorerez également sa saveur exquise et son délicieux parfum. Cette magnifique pâtisserie impressionnera vos convives. Voyons comment la réaliser en peu de temps.
Préparation: 15 minutes
Cuisson: 30 minutes
Portions: 6
Ingrédients
70 g de farine
4 pommes
1 paquet de levure chimique
10 cl de crème fraîche
2 œufs
50 g de sucre
1 càs de sucre vanillé
1 pincée de sel
20 g de beurre
Amandes effilées
Préparation
Comment faire le gâteau dauphinois aux pommes et aux amandes?
Allumer le four et le laisser chauffer à 180 °C.
Recouvrir un moule de 18 cm de papier sulfurisé mouillé et pressé.
Mettre le beurre à fondre au micro-ondes ou au bain-marie et le laisser refroidir.
Tamiser la farine avec la levure et ajouter le sel.
Fouetter les œufs entiers avec le sucre au batteur.
Lorsqu’ils deviennent mousseux, incorporer le beurre, le sucre vanillé et la crème, en continuant à fouetter.
Ajouter ensuite la farine avec la levure et le sel.
Laver les pommes, les éplucher et les couper en fines tranches.
Les ajouter à la pâte.
Verser toute la préparation dans le moule.
Ajouter des amandes effilées en surface.
Enfourner le gâteau dauphinois aux pommes et aux amandes pour une demi-heure.
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Pour 4 personnes
Ingrédients :
4 truites (préalablement vidées par votre poissonnier)
1 citron jaune
120 g de beurre
100 g de pain de mie
80 g de farine de blé
50 g de câpre
5 cl d’huile
2 c. à soupe de persil finement haché
Laver les truites, les éponger sur du papier absorbant et les fariner. Cuire les truites à la poêle avec de l’huile et 20 g de beurre en leur donnant une belle coloration sur les deux faces et les disposer dans un plat. Dégraisser la poêle. Couper le pain de mie en dés, les faire dorer au beurre, réserver. Peler le citron à vif et le couper en dés, faire fondre le reste du beurre ajouter les câpres, les dés de citron puis le persil. Napper les truites avec cette sauce, ajouter les dés de pain de mie. Servir avec des petits cubes de pommes de terre cuites à la vapeur.
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Ingrédients :
25 cl lait
65 g sucre
3 oeufs
20 g de farine
2 cl de liqueur de Chartreuse verte
20 g de beurre
Mélanger le lait et 25 g de sucre et porter à ébullition. Séparer les blancs des jaunes d’œufs, réserver les blancs. Dans un saladier battre les 3 jaunes d’œufs avec 25 g de sucre et la farine, jusqu’à ce que le mélange blanchisse, verser le lait bouillant dessus et mélanger. Reverser dans la casserole, porter à ébullition en fouettant constamment jusqu’à ce que la crème épaississe. Laisser refroidir, puis reposer 2h au réfrigérateur.
Beurrer 6 ramequins. Incorporer la chartreuse dans la crème refroidie.
Monter les 3 blancs d’œufs en neige avec 15 g de sucre et incorporer à la crème.
Verser dans les ramequins et enfourner 8 min à 195°.
Servir les soufflés saupoudrés de sucre glace dès la sortie du four.
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Ingrédients :
40 noix vertes cueillies sur l’arbre à la Saint Jean d’été
4 litres de vin rouge
1 litre d’eau de vie,
3 clous de girofle
1 bâton de cannelle
1 gousse de vanille
Chacun y va de son adaptation de cette recette classique. Nous rajoutons par exemple quelques zestes d'orange et de la noix de muscade.
Concasser grossièrement les noix sur une planche (attention l’enveloppe verte -le brou- tâche de manière indélébile les vêtements). Verser les noix concassées dans une grosse bonbonne, ajouter le vin rouge, l’eau de vie de fruit, les clous de girofle, la cannelle et la vanille. Fermer la bonbonne et laisser reposer 40 jours minimum. Cette préparation se bonifie avec le temps !
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Un délicieux mélange de Chartreuse et de chocolat pour se réconforter après une bonne activité. Bien-sur chacun peut adapter les proportions. Attention, point trop n'en faut !!
Ingrédients
15 cl de chocolat chaud (environ 3/4 de mug)
1 cl de chartreuse verte
Crème Chantilly
Cacao en poudre (Valrhona pour rester local bien-sur)
Verser le chocolat chaud jusqu'au 3/4 du mug
Verser la Chartreuse verte
Remuer
Terminer de remplir avec la creme chantilly
Saupoudrer de cacao
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Depuis la disparition dans les années 2000 de la dernière entreprise spécialisée, seuls quelques restaurateurs passionnés confectionnaient encore des ravioles du Trièves. Christophe Silvin a donc décidé de les remettre à l’honneur en s’appuyant sur un savoir-faire artisanal et des ingrédients locaux, certifiés en agriculture biologique.
Une recette d’antan Grands carrés de pâte d’environ 6 centimètres, les ravioles du Trièves sont un savoureux croisement entre deux emblèmes culinaires voisins : le tourton du Champsaur et les ravioles du Dauphiné. Elles se caractérisent par leur pâte fine réalisée avec du blé tendre, semblable à celle des ravioles dauphinoises, et leurs farces généreuses, rappelant celles des tourtons.
Deux recettes historiques et agréées IS HERE sont proposées : les ravioles du Trièves aux épinards et celles à la pomme de terre. “À ces saveurs originelles, j’ai ajouté une création durant les fêtes : la raviole à l’escargot, trait d’union avec mon activité d’héliciculteur”, poursuit Christophe.
Son atelier est équipé d’un laboratoire de transformation moderne, mais le façonnage reste résolument manuel. Les ravioles sont confectionnées avec soin à l’aide de moules en bois, fabriqués sur mesure, afin de préserver l’authenticité de la texture et du rendu d’antan. Une façon de rester fidèle à la tradition, tout en répondant aux exigences de production contemporaines.
Les ravioles du Trièves peuvent se déguster pochées à l’eau pour révéler la délicatesse de la pâte ou poêlées pour un croustillant gourmand. Elles ne sont désormais plus seulement un souvenir : elles sont une expérience à savourer, une bouchée d’histoire et de terroir.
Où les trouver ? Liste des points de vente : laforetdespossibles.com
© A Breysse. © D.R. Isèremag
Trio gourmand et irrésistible : du chocolat, des poires et des noix. Amateurs de saveurs riches et réconfortantes, cette recette est faite pour vous ! Imaginez une tarte croustillante, garnie de noix croquantes, de poires fondantes et d’un chocolat intense qui sublime chaque bouchée. Un équilibre parfait entre douceur et caractère, idéal pour régaler vos convives ou simplement vous offrir un moment de pure gourmandise.
Préchauffez le four, ça va être un délice !
Pour la pâte sablée
120 g de beurre
210 g de farine
90 g de sucre glace
1 oeuf
20 g de poudre d'amandes
2 g de fleur de sel
Pour la crème de noix
75 g de poudre d'amandes
75 g de Noix de Grenoble AOP
100 g de sucre
1 oeuf
100 g de beurre
Pour la ganache chocolat
50 g de chocolat noir
50 g de chocolat lait
10 cL de crème liquide
Pour les poires pochées
4 poires
150 g de miel de fleurs
1 L d'eau
#01 La pâte sablée
Mélanger la farine avec le beurre, le sucre glace, la poudre d’amandes et le sel jusqu’à obtenir une pâte homogène.
Puis ajouter l’œuf et malaxer.
Une fois la pâte ferme, former une boule et laisser reposer au frais.
#02 La ganache chocolat
Faire fondre les chocolats noirs et au lait.
Ajouter en 3 fois la crème liquide, préalablement portée à ébullition puis mélanger.
#03 Les poires pochées
Faire bouillir l’eau et le miel dans une casserole.
Une fois à ébullition, ajouter les poires entières et épluchées.
Couvrir avec un couvercle et éteindre le feu.
Laisser pocher pendant 30 minutes.
#04 La crème de noix
Préchauffer le four à 160°C.
Déposer 75 g de noix sur une plaque de cuisson munie d’un papier cuisson.
Les torréfier pendant 10 minutes au four puis laisser refroidir.
Mixer les noix jusqu’à obtenir de la poudre.
Mélanger le beurre en pommade et le sucre. Ajouter l’œuf, la poudre de noix et la poudre d’amandes.
#05 Le montage
Étaler la pâte sablée au rouleau dans un plat à tarte et précuire 20 minutes à blanc à 170°C.
Une fois sortie du four, la garnir de crème de noix et enfourner à nouveau pendant 20 minutes.
Sortir la tarte du four.
Une fois refroidie, étaler la ganache au chocolat puis déposer délicatement des lamelles de poires pochées.
L’aventure de la Noix de Grenoble commence au 11ème siècle. En 1938, elle a été le premier fruit au monde à recevoir une Appellation d’Origine Protégée (AOP).
Au départ, une envie, celle de créer une recette emblématique pour accompagner la tourte de l’Isère, représentative du territoire et à base de produits locaux.
Les chefs de l’Isère et les élèves de CMA Formation Bourgoin-Jallieu se sont réunis pour inventer ce dessert. Ces instants de travail privilégiés, entre chefs et étudiants, ont permis l’expérimentation de 4 recettes.
Élue recette de l’année 2025, la tarte L’Onctueuse est née : elle met notamment en lumière la Noix de Grenoble AOC.
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Emmanuel Renaut, meilleur ouvrier de France et Chef trois étoiles au Flocons de sel à Megève, propose une recette simple et gourmande avec nos bons fromages du terroir.
Surement régressif et tellement réconfortant après une bonne journée d'activité.
La suggestion de Francine pour sa table d'hôtes, naturellement une salade laitue feuille de chêne du jardin. Rouge ou blonde au gré des envies.
Préparation, 20 min, cuisson 12 min, 6 personnes
INGRÉDIENTS
• 6 tranches épaisses de pain (si possible de la veille)
• 420 gr de Beaufort
• 1 reblochon
• 1 l de crème liquide
• 50 gr de beurre
• 420 gr de champignons
• 420 gr d’oignon
• 600 ml vin blanc
LA RECETTE
1 Éplucher et émincer les oignons puis les faire suer doucement avec la moitié du beurre dans une cocotte en fonte. Les faire légèrement caraméliser.
2 Ensuite, émincer les champignons et les intégrer aux oignons avec le reste du beurre. Laissez cuire l’ensemble.
3 Pendant ce temps, mettre le reblochon coupé en morceaux dans un mixeur et incorporer la crème au fur et à mesure tout en mixant.
4 Préchauffer le four à 200 °C.
5 Couper des tranches de pain de 1 à 2 cm d’épaisseur. Les placer dans un plat allant au four et les imbiber avec du vin blanc avec l’équivalent de 3 cuillères à soupe par tranche de pain.
6 Mettre le mélange oignons/champignons sur chaque tranche de pain.
7 Napper avec 3 cuillères à soupe environ du mélange crème et reblochon puis du Beaufort râpé. Remettre enfin sur le dessus du mélange crème et reblochon.
8 Mettre au four et laisser colorer pendant 12 minutes environ.
9 Servir rapidement, accompagné d’une salade.
© ÉDITION ISÈRE - Magazine d’informations de la Région Auvergne-Rhône-Alpes
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Le chef Stéphane Froidevaux vous propose un plat d'automne avec des produits typiquement Isérois ! Un murçon, un Saint-Marcellin et des noix de Grenoble, que des bons produits pour ce plat qui sent bon la convivialité !
Pour 6 personnes
INGRÉDIENTS
1 murçon
200 g de lard
1 pièce d'os à moelle
Pour la garniture aromatique :
1 bouquet garni
½ tête d'ail
6 feuilles de laurier
10 g de sel de Guérande
1 cuillère à café de carvi
1 cuillère à café de baies de genièvre
1 cuillère à café de poivre blanc grains
Pour les légumes :
¼ de céleri boule
2 tiges de céleri branche
1 navet marteau
1 rutabaga
2 pommes de terre marabel
2 carottes
½ chou frisé
1 poireau
1 champignons de Paris
10 tiges de persil haché
Pour les oignons confits :
2 oignons blancs
15 g de saindoux
3 feuilles de laurier
1 cuillère à café de sel de Guérande
5 cl de vin blanc sec
Pour la sauce :
20 cl de crème liquide 35%
20 g de beurre frais
1 Saint-Marcellin
Finition :
2 cl d'huile de noix
10 noix écrasées
1 Saint Marcellin
1 orange
PRÉPARATION
Etape 1 : Cuisson de la Potée
❶ Eplucher les légumes et les mettre entiers dans une cocotte, sauf le rutabaga que vous couperez en 2. Mettre de l'eau à hauteur des légumes, faire bouillir et y ajouter les tiges de persil.
❷ Ajouter le sel, le poivre, le bouquet garni, la tête d'ail ainsi que le carvi et laisser frémir. Ajouter ensuite l'os à moelle, le lard et le murçon.
❸ Laisser frémir 35 minutes, ensuite vérifier la cuisson du murçon et le retirer une fois cuit.
❹ Laisser cuire les légumes et les retirer un par un une fois cuits dans l'ordre suivant : céleri branche, poireau, navet, champignons, carottes, céleri boule, chou frisé, pommes de terre et enfin le rutabaga. Enfin, retirer l'os à moelle et le lard.
Etape 2 : Réaliser les oignons confits
❶ Eplucher, émincer et faire fondre les oignons avec le saindoux et les feuilles de laurier.
❷ Ajouter le sel afin de les aider à fondre.
❸ Les faire fondre jusqu'à obtention d'une légère coloration, et déglacer au vin blanc.
Etape 3 : Réaliser la sauce
❶ Faire réduire le jus de cuisson de 3/4 et séparément la crème liquide de moitié.
❷ Ensuite, associer les deux et laisser mijoter quelques minutes.
❸ Ajouter le beurre et le Saint Marcellin entier, goûter et rectifier l'assaisonnement au besoin.
❹ Laisser mijoter encore 10/15 minutes et filtrer.
❺ Pendant ce temps, enlever la peau du murçon, le couper en rondelles de 2 cm, les snacker d'un côté - pour le croustillant et la concentration des arômes et portionner les légumes.
Etape 4 :Dressage
❶ Dans une cocotte, déposer les oignons confits au centre et y ajouter un Saint Marcellin coupé en morceaux.
❷ Déposer les légumes en commençant par les plus clairs jusqu'aux plus colorés.
❸ Ajouter les rondelles de murçon colorées, les morceaux de lard, verser la sauce et passer au four à 160°C pendant 10 minutes.
❹ A la sortie du four, ajouter les noix, le persil haché, l'huile de noix et quelques zestes d'orange.
❺ Saupoudrer de quelques grains de sel de Guérande et de poivre du moulin.
Un très beau plat familial prêt à déguster !
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Avec le printemps, il refleurit dans les sous-bois : l’ail des ours ! Le bien-nommé « ail des bois » est un trésor de la nature parfait pour sublimer une recette. Avec ses arômes uniques, à la fois herbacés et délicatement aillés, il relève subtilement une entrée ou un plat.
On peut aussi en faire un délicieux pesto qui pourra se conserver jusqu’à un mois au réfrigérateur.
Aujourd’hui c’est une recette plus gourmande et parfumée que nous vous proposons : les pancakes à l’ail des ours. Très simple à faire chez soi, cette entrée végétarienne fera, à coup sûr, l’unanimité autour de la table !
Ouvrez l’œil lors de vos prochaines balades ! L’ail des ours s’épanouit dans les endroits ombragés et boisés, souvent à proximité d’un cours d’eau.
A savoir. En dehors de sa période de floraison (avril-mai dans les Alpes) on peut le confondre avec d’autres plantes sauvages non comestibles (voire toxiques) comme le muguet ou le colchique. Pour le reconnaitre : froisser ses longues feuilles vertes et pointues, il doit s’en dégager une forte odeur d’ail.
2 œufs
1 cuillère à soupe de crème fraîche
100 g de farine
½ sachet de levure
Un petit bouquet d’ail des ours ciselé
Sel, poivre
Garniture au choix : tomates séchées, olives, chèvre, gruyère râpé, lardons…
Difficulté : Facile, Préparation : 10 min, Cuisson: 4 min, Pour 4 pers.
L'ail des ours
Tout se mange dans l’ail des ours : bulbe, feuille et fleurs. Cueillez un petit bouquet de jeunes pousses, au parfum plus délicat. Rincez abondamment, pour bien nettoyer les bulbes. Ciselez. Réservez les fleurs pour décorer votre plat.
L'appareil
Dans un saladier, battez les œufs avec la crème. Introduisez la farine et la levure, puis le sel, le poivre et l’ail des ours ciselé. Pour des pancakes encore plus gourmands, vous pouvez ajouter quelque garniture au choix.
La cuisson
Faites cuire la pâte à feu moyen dans une poêle à pancakes, d’un côté, puis de l’autre.
Le service
Servez avec une salade verte et décorer votre assiette d’une fleur d’ail des ours.
© Twilight Art Pictures / © Alpes Ishere / source de hauteur
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Délice glacé au goût parfumé, accompagnez vos desserts avec une touche d’originalité grâce à une glace à la liqueur de Chartreuse. Inspirée par les montagnes de l’Isère, cette recette marie la douceur onctueuse d’une glace maison avec les arômes puissants et herbacés de la célèbre liqueur monastique.
La glace à la Chartreuse est parfaite pour surprendre vos convives ou pour vous offrir une pause gourmande.
La célèbre liqueur élaborée par les Pères Chartreux, parfume subtilement ce délicieux dessert glacé.
8 jaunes d’œufs
300 g de sucre
1 L de lait
2 dL de crème fraiche
3 cuillère à soupe de Chartreuse verte
#01 La crème : Faire une crème avec les jaunes d’œufs, le sucre, le lait.
#02 La Chartreuse : Ajouter la cuillère à soupe de crème fraîche et la Chartreuse* verte.
#03 La glace : Mettre au congélateur à refroidir pendant au moins 3 h.
La glace à la Chartreuse accompagnera parfaitement des gâteaux.