En route vers Venise

J4 (30/10/07)


Tempête de neige au réveil sur le lac Misurina. Pas de doute, il faut lever le camp, car sous la neige, rien n’est possible. En revanche, une ville peut toujours se visiter sous la pluie et puis, il y a les musées où éventuellement se réfugier.

Alors, c’est décidé, nous migrons vers Venise : 180 kilomètres, 3 heures de route. La pluie ne cesse pas et vers midi, nous arrivons à proximité de la cité des Doges. Priorité : trouver un hôtel.

A l’entrée de la ville, nous nous arrêtons à une petite guérite renseignant sur les possibilités d’hébergement. L’hôtesse d’accueil nous dresse un tableau noir des hébergements de Venise (prix élevés, hôtels saturés en raison du 1er novembre férié et de la tenue de plusieurs congrès) et nous vante les avantages des hébergements à Lido di Venezia (prix plus doux, quiétude de l’île, traversée en ferry avec la voiture à peu près au même prix que le parking à l’entrée de Venise, charme du parcours sur le canal St Marc…). Nous nous laissons tenter par cette proposition et retenons une chambre à la Villa Angelica.

Bientôt les premières vues de Venise, depuis le ferry, un peu tristes tout de même sous la pluie.

Arrivés à Lido, nous nous installons dans notre B&B dans une petite rue tranquille au fond d’un jardin. Une petite chambre pour nous trois, impeccable et accueillante.

Vers 15 heures, nous prenons le vaporetto pour Venise (dix minutes pour la place St Marc) et c’est parti pour trois heures de déambulation dans cette ville, au fil des canaux, des ponts, des petites ruelles…

L'incontournable pont des Soupirs !

Petits canaux

Vue du Grand Canal

Le dîner est bienvenu après un après-midi de marche. Nous nous attablons dans un de ces restaurants le long du Grand Canal, près du pont du Rialto.

C’est bon, mais un peu trop touristique. Avant de reprendre le vaporetto vers Lido, une bonne glace à l’italienne s’impose… et ici, les gelaterias ne manquent pas !