Bulgarie

Juillet 2009 :

Ni exotique ni trop courue, voilà une destination assez peu habituelle pour des vacances d'été !

Un enfant en stage justifie bien des sacrifices... Et quels sacrifices. Rendez-vous compte, visiter un pays magnifique avec un guide qui parle suffisamment le bulgare, (même pas sous la torture), pour ne pas finir affamé ou épuisé.

En effet, le cyrillique c'est pas vraiment ce qu'il y a de plus simple à lire...

Un saut de 3 heures en avion ; sauf quand on y va en voiture... Un beau périple de 3.000 kilomètres (aller), heureusement ponctuées de 2 arrêts repos.

En premier, il faut être marcheur, car tout est en haut, dans les montagnes. Par contre, quelle récompense et quel spectacle.

Enfin, si vous avez le courage de tendre vers la Turquie, à vous les plages introuvables ailleurs. Des kilomètres à vous tout seul (ou presque), et des levers de soleil sur la Mer Noire ! ! ! (En place avant 5h00 du mat' quand même, mais quand on aime...)

Beaucoup de montagne,

Parfois, planté au beau milieu de nulle part...

Vraiment beaucoup.

Songe d'un matin d'été...

Départ vers le sud.

10 minutes avant, c'était le néant.

Non pas de Chine, mais de Bulgarie.

Un peuple bercé de religions.

Y a pas quelque chose qui "cloche" ?

Plutôt rafraîchissant par 40°C à l'ombre !

Vous avez dit mélange...

Si dures au milieu de cette douceur.

A gauche un canon.

A droite un Canon (G10)

Visez la lune messieurs !

Comment amener autant de pierres en pareil endroit ?

Il semblerait qu'elles ne soient pas si loin.

En attendant, voilà le résultat.

Rila, un monastère bien isolé.

... joli dôme doré !

Croquez moi ce...

Architecture toujours et encore...

L'incontournable Ste-Sophie à Sofia.

On ne sait où donner de la tête !

Du point de vue photo :

Équipé depuis peu du Canon 40D, je n'ai pu me résoudre à ne pas embarquer mon 5D argentique, rien que pour le plaisir du grand-angle au 17mm.

Autant au Kenya la pellicule avait su rivaliser, autant cette fois avec ce capteur 10 Mpx la différence était plus flagrante.

Certes, n'ayant fait qu'effleurer l'argentique, il est probable que je n'étais pas équipé des meilleures pellicules qui soient.

Là où le numérique fait très fort, c'est en faible lumière. ici, pas besoin de changer de façon risquée une pellicule en cours d'utilisation. il suffit simplement de tourner la molette des ISOs (pas trop quand même) et le tour est en grande partie joué.

Ma préférée ?

"Songe d'un matin d'été...". Aller chercher la lumière, là où elle n'est pas encore, avant qu'elle ne devienne insupportable. Chercher à démasquer ce qui se cache derrière les silhouettes, à la limite du monochromatique.