Sociologie de l'environnement et de l'écologisme

"Unmaking Europe? Euroscepticism and environmental policies”, Communication at the 13th European Sociological Association Conference, Athens, 29 August-1 September 2047, 34 slides.

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« Comprendre les valeurs et les pratiques écologistes des jeunes en France », Ressources éducatives, Revue Foéven, N°173, Juin 2017, 25-32.

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“Ecocentrism's expansion and deinstitutionalization of religions in Europe”, Commmunication at the 34th Conference of the International Society for Science and Religion, Lausanne (Switzerland), 4-7 July 2017.

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“Explaining national activism by national cultures, The hypothesis of hysteresis”, in Telesienne Audrone & Gross Mathias (Ed.), Green European, Environmental behavior and attitudes in Europe in a historical and cross-cultural comparative perspective, Routledge, London & New York, 2017, p. 91-110.

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“The cyclical evolution of environmental concern in Europe (1973-2015)”, Third ISA Forum of Sociology, July 10-14, 2016, Vienna (Austria).

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« Comprendre les valeurs et les pratiques écologistes des jeunes en France », Conférence introductive aux 4èmes Rencontres de l’Observatoire de la jeunesse et des politiques de jeunesse, Édition 2016, Paris, École Nationale Supérieure d’Architecture, INJEP et ALLIS, 5 février 2016.

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« Récits de la nature en Europe, Conflits, dynamique et causes », Communication au colloque « Cultures du plein air, retour à la nature à l’heure de la métropolisation des territoires », Université de Rouen, 6-7 novembre 2014.

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          • « Intervenir sur l'environnement », conférence au CTM, Les éveilleurs de notre temps, Meylan (38), 19 mai 2014.

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"Rationalities and environmental behaviours", Communication to the 11th Conference of the European Sociological Association, RN12 Environment & Society, Torino, 28-31 August 2013.

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« L'histoire cyclique de l'écologisme en France et en Europe (1981-2010) », Une protection de l’environnement à la française (XIXe-XXe siècles), (sous la direction de Charles-François Mathis et Jean-François Mouhot), Seyssel (01), Ed. Champ Vallon, 2013, pp. 249-260.

Résumé : Ce chapitre se propose d’étudier l’importance du mouvement écologiste et son évolution à travers son répertoire militant : appartenance associative, bénévolat et don aux organisations. Comparant son importance en France et en Europe grâce aux enquêtes EVS, les résultats montrent que la France, contrairement aux lieux communs, n’est pas si éloignée de ses voisins allemands et britanniques en matière d’engagement écologiste. En outre, l’évolution depuis 40 ans n’est pas linéaire vers des pratiques environnementalistes de plus en plus marquées, mais au contraire cyclique, avec deux très hauts niveaux dans les années 70 et 90, et un bas de cycle par la suite. Pourquoi ces flux et reflux successifs ? L’influence de l’économie et des médias est interrogée, mais les causes demeurent peu évidentes.

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« Les mots de l'écologie en question », Intervention aux journées de formation des Verts, Maison des associations, Voiron, 24 novembre 2012.

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« L’écologisme chez les jeunes : une résistible ascension ? », Une jeunesse différente ? Les valeurs des jeunes Français depuis 30 ans, (sous la direction d’Olivier Galland et Bernard Roudet), Paris, A. Colin, 2012, pp. 170-178.

Résumé : Si la conception du monde écocentrique est en expansion chez les jeunes Français, le répertoire d’action écologistes n’y est pas plus pratiqué que dans les autres classes d’âge, excepté les plus de 60 ans. Ils ont même tendance à délaisser l’engagement associatif, tant l’adhésion que le bénévolat, au profit du don en argent, et n’ont pas une propension plus forte au vote Vert. Le début du XXIème siècle voit donc au mieux une stabilisation de l’engagement écologiste chez les jeunes.

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« Jeunes ruraux : l'inversion des valeurs avec la ville », Une jeunesse différente ? Les valeurs des jeunes Français depuis 30 ans, (sous la direction de Olivier Galland et Bernard Roudet), Paris, A. Colin, 2012, pp. 179-185.

Résumé : Les valeurs des jeunes ruraux français qui s’étaient rapprochées de celles de leurs homologues urbains à la fin du XXème siècle en convergeant vers l’individualisation, s’en éloignent de nouveau : plus que les urbains, ils abandonnent la religion, voient leur capital social d’ouverture s’atrophier davantage au profit d’un repli sur le local et le familial, perdent encore plus confiance dans les institutions, notamment politiques, ce qui se traduit par un désintérêt pour la chose publique plus important et une certaine radicalisation. Cette inversion des valeurs avec les urbains ne signifie pas un retour à une spécificité rurale territoriale, mais s’explique seulement par leurs caractéristiques sociodémographiques.

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« Europe-Écologie-les Verts et la présidentielle : l’échec comme d’habitude… », Revue politique et parlementaire, n°1063-1064, avril-septembre 2012, pp.53-59.

Résumé : L’article retrace la désignation de la candidate écologiste, Eva Joly pour la dernière présidentielle, expliquant l’éviction de Nicolas Hulot lors des primaires, du fait de son rejet par le noyau militant ancien, et l’insuffisante mobilisation des nouveaux coopérateurs. Il montre ensuite que la campagne d’Eva Joly a été plombée par l’accord signé avec le PS lequel a entraîné l’évacuation quasi-totale de l’écologie. Enfin il révèle que l’échec d’EELV n’est pas tant dû à la personnalité de la candidate, qu’à la raison structurelle du vote utile, qui explique que les électeurs verts des Européennes ont reporté leurs suffrages sur le PS.

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« EELV aux législatives: les somptueux dividendes de l’alliance avec le PS », Revue politique et parlementaire, n°1063-1064, avril-septembre 2012, pp. 140-144.

Résumé : Après avoir présenté les difficiles négociations entre EELV et le PS, qui se concluent par un accord à la fois programmatique et électoral, l’article souligne les difficultés de la mise en œuvre de celui-ci dans les fiefs de quelques ténors du PS, et rappelle les résultats exceptionnels d’EELV qui gagne 18 sièges de députés en 2012, face aux 4 sortants. L’article analyse les raisons de ce succès qui résident très largement dans le processus d’institutionnalisation du parti.

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"Climate Change: a Narrative of the Third Kind in Europe?”, Research Committee on Environment and Society, RC24, Second ISA Forum of Sociology, Buenos Aires (Argentina), August 1-4, 2012."

Abstract: When they are addressing climate change, policymakers take decisions and build discourses in interaction (positive or negative) with citizens. In Europe, public authorities have developed a discourse about “citizenship”: The citizen must be persuaded to convert to domestic low-carbon practices: Soft transports, heating and consuming equipment... This discourse is based on a new grand climate narrative, developed by the IPCC, in which planet is the victim, and human beings are the culprits who must repair the faults committed. More recently, a climate-sceptic counter-story stood up against this discourse and the afferent policies. Our objective consists in describing the sociology of a third kind of narrative, based on the reactions of Europeans to climate change discourse: While accepting the IPCC scenario, this third narrative refuses its conclusions: Instead of making guilty citizens and inciting them to act, it rejects the blame on large institutions, companies or states.

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« La sensibilité écologique», in Manuel de sociologie de l’environnement, (dir. Rémi Barbier, Philippe Boudes, Jean-Paul Bozonnet, Jacqueline Candau, Michelle Dobré, Nathalie Lewis, Florence Rudolf), Québec, Presses Universitaires de Laval, 2012, pp. 147-162.

Ce chapitre présente le thème de la sensibilité écologique dans le manuel de sociologie de l'environnement francophone. Il traite d'abord de la sociographie du phénomène, abordant notamment la question de la définition, les sources, et les principaux résultats sociodémographiques. Il traite ensuite des principales hypothèses explicatives de la sensibilité écologique.

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« Le contre-récit climatique dans l'opinion européenne, Émergence et signification sociale », Controverses climatiques, sciences et politique, (dir. Edwin Zaccai, François Gemenne, Jean-Michel Decroly), Paris, Presses de Sciences Po, 2012, pp. 195-219.

Ce chapitre analyse le climato-scepticisme en Europe, en introduisant le concept de contre-récit dans la controverse climatique. Il montre que ce contre-récit se répand en Europe dans les années 2000, en commençant par le Nord-Ouest du continent, et qu'il touche principalement les catégories sociales marginalisées en Europe, et notamment les agriculteurs et les ouvriers, les "perdants" de la mondialisation.

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« Natures, cultures et désinstitutionalisation des grands récits, Libéralisme et représentations de la nature dans les enquêtes européennes », conférence au séminaire CERMOSEM, « La naturalité en mouvement : Environnement et usages récréatifs en nature », Le Pradel (Ardèche), 18 novembre 2011.

Du fait de l'affaiblissement des grands collectifs institués et notamment des religions, les grands récits qui donnent traditionnellement son statut à la nature, principalement le récit de la création et le récit prométhéen de la modernité, sont progressivement évacués de la conscience sociale en Europe, au profit du récit écologiste. Mais ce dernier, peu directif, est lié au libéralisme culturel et laisse donc la place à des rapports individuels très diversifiés avec la nature.

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« Inégalités environnementales et émergence de contre-récits climatiques en Europe », communication à la semi-plénière du RT 38, Justice environnementale et changement climatique, 4ème Congrès de l’Association Française de Sociologie, Grenoble, 5-8 juillet 2011

Comment les discours des Européens sur le changement climatique s’articulent-ils avec les inégalités écologiques ? Pourquoi le consensus des citoyens ordinaires sur le changement climatique établi dans les années 90, a-t-il été rompu par la controverse ? Leurs positions dans cette controverse dépend-elle de leur empreinte carbone ? Quelles sont les catégories sociales en Europe porteuses d’un contre-récit dans cette controverse, et celui-ci a-t-il à voir avec les injustices environnementales ? Voici quelques-unes des questions auxquelles nous tenterons de répondre, à partir de la littérature disponible pour certaines, et des enquêtes Eurobaromètres pour les autres, qui ont posé de nombreuses questions aux citoyens européens depuis le début des années 80 sur leurs réactions face au changement climatique.

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« L'opinion des Européens sur la biodiversité : une inquiétude de second rang », conférence MidiSciences, EVE, Université de Grenoble, 17 novembre 2010.

  • Cette conférence traite de la réception du problème de la biodiversité dans l'opinion européenne, en s'appuyant sur les données de 8 Eurobaromètres de 1982 à 2004, et concerne tous les pays européens de l'UE. On y montre que les Européens considèrent la biodiversité comme un problème de second rang par rapport aux autres questions environnementales. Ce problème écologique présente des difficultés cognitives ; c'est pourquoi l'opinion le range parmi les autres du même type, c'est-à-dire s'occupant de questions lointaines, et qu'il subit les mêmes variations au cours des 2 décennies étudiées. C'est pourquoi aussi le jugement sur la biodiversité ne dépend pas de l'expérience sensible, mais de la confiance dans les institutions, science, médias et école, et de la mobilisation cognitive qui en résulte.

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« L'analyse des données sociopolitiques quantitatives à l'aide de la structure narrative : deux exemples concernant l'environnement », Communication aux Journées scientifiques automnales du 15-16 novembre 2010, PACTE, Territoires, Université de Grenoble.

  • D'un côté les données sociopolitiques quantitatives sont souvent étudiées comme des opinions juxtaposées, ou alors agrégée en attitudes, au mieux synthétisées en idéologies. De l'autre le concept de structure narrative est appliqué aux textes littéraires, accessoirement aux grands récits mythiques ou religieux, exceptionnellement aux idéologies politiques. Mais nous n'avons jamais rencontré de liens effectués entre ces deux types d'analyse. La démarche originale proposée ici est de relever ce défi. Comment peut-on analyser des données quantitatives d'opinion, à l'aide de la structure narrative ? Cela est-il possible au niveau technique ? Cela est-il sociologiquement intéressant ? Cela est-il épistémologiquement légitime ? Au fond qu'est-ce que cela apporte de plus à l'analyse des données sociopolitiques ?

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« Climato-sceptiques en Europe », Communication au colloque international Controverses climatiques, Science et politique, organisé par l'ULB et Sciences Po Paris, les 27, 28 octobre 2010 à Bruxelles, et le 29 octobre à Paris.

  • Ce travail a pour but de répondre à la question suivante : le développement d'une controverse sur le réchauffement climatique dans les médias au cours des dernières années, a-t-il des conséquences sur l'opinion des Européens vis-à-vis du changement climatique ?

  • Pour répondre à cette question, nous utiliserons ici les Eurobaromètres de 1982 à 2009. Et nous proposerons un cadre théorique de la controverse, fondé sur la production d'un récit concurrent au grand récit dominant.

  • Dans une première partie, nous montrons comment se construit un problème écologique normal en Europe, et nous découvrons que le problème du changement climatique s'intègre de façon normale, comme les autres problèmes écologiques, en tant que micro-récit dans le grand récit écologique global.

  • Dans une seconde partie, nous constatons le reflux de l'inquiétude climatique en Europe liée à la crise économique récente, mais nous mettons aussi en évidence des anomalies dans l'évolution de cette inquiétude, qui traduisent les effets du climato-scepticisme, notamment dans la partie Nord et Ouest de l'Union Européenne.

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« Brève histoire de l’engagement écologiste en France et en Europe (1981-2008) », Colloque de l'Association pour l'Histoire de la Protection de la Nature et de l'Environnement, « Une protection de la nature et de l'environnement à la française (XIXe – XXe siècles) ? », Université Paris-Sud et Paris-Sorbonne, 23, 24 et 25 septembre 2010.

Cette brève histoire contient deux objectifs :

  • Mesurer l’importance et les variations de l’engagement écologiste au cours des 30 dernières années, en France, comparée aux autres pays européens, à l’aide des données EVS (European Values Survey). Nous montrerons ici notamment que la France suite le même mouvement de croissance et de reflux de l'engagement écologiste que les autres pays européens de 1981 à 2008.

  • Proposer quelques analyses et explications pour rendre compte de cette évolution.Nous étudierons plus précisément ici l'influence du facteur générationnel, du revenu, et des valeurs posmatérialistes.

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« Boycott et buycott en Europe : écocitoyenneté et culture libérale », Sociologies pratiques, N°20, 2010, pp. 37-49.

  • Les pratiques écocitoyennes de boycott et de buycott, (c'est-à-dire d'achat pour des raisons environnementales ou de commerce équitable) ne datent pas d'hier, puisqu'elles sont nées aux Amériques dès la fin du XVIIIème siècle. Cependant elles ont véritablement pris leur essor en Europe à partir des années 70, dans le répertoire des nouveaux mouvements sociaux : plus que des modes de consommation, elles constituent des formes de participation politique de masse, non-conventionnelles. Cet article s'appuie sur l'enquête européenne ESS (European Social Survey) de 2002 pour mesurer l'importance et comprendre le sens de ces pratiques dans l'Europe contemporaine.

  • L'enquête ESS permet de démolir quelques idées reçues selon lesquelles ce seraient les jeunes qui pratiquent le plus boycott ou buycott, ou les Allemands plus que les Français, en montrant que c'est exactement le contraire... Mais surtout cet article démontre que ce qui donne son sens à ces formes d'action c'est d'abord le libéralisme culturel dans lequel elles s'inscrivent, dans le sillage du processus d'individualisation contemporain, avec une mobilisation cognitive élevée, et une mise à distance pour ne pas dire un rejet des institutions en général ; c'est ensuite une culture politique issue du protestantisme des pays de tradition libérale du Nord de l'Europe, suivi par ceux de l'Ouest, mais qui ne semble pas s'implanter véritablement dans l'Europe méditerranéenne ou orientale. In fine, boycott et buycott sont des pratiques qui perpétuent la grande tradition libérale de défense de la liberté individuelle.

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diaporaActiniae - Ernst Haeckl

Textes et diaporamas : Jean-Paul BOZONNET

« L’écologisme autrement : naissance d’un grand récit et désinstitutionnalisation des formes d’action écologiste », in « Développement durable et responsabilité sociale », (sous la direction de Corinne Gendron, Jean-Guy Vaillancourt et René Audet), Montréal, Presses internationales polytechniques, 2010, pp. 101-116.

Plusieurs thèses sont présentées et argumentées dans ce chapitre :

  • ...ensuite, une idée plus commune, que ce mouvement social s'est institutionnalisé, les organisations associatives déléguant plus ou moins leur action à des professionnels pour l'éducation ou l'expertise, à des partis pour les transformations juridiques de la société, et aux politiques publiques pour la mise en oeuvre de ces transformations.

  • ...mais surtout nous montrerons que, paradoxalement, il y a une désinstitutionnalisation de l'écologisme. En effet l'appartenance associative se réduit comme peau de chagrin en Europe, ce qui peut être analysé comme une conséquence de l'institutionnalisation, cependant il n'y a pas pour autant reconnaissance de la légitimité de l'Etat pour l'action environnementale, bien au contraire, celui-ci est de plus en plus contesté. Bien plus, les formes d'action militantes sont de plus en plus désinstituées, c'est-à-dire qu'elles échappent aux organisations et sont le fait d'actions qui relèvent de l'individualisation.

« L'imaginaire écocentrique : un récit postmoderne contre les institutions », conférence pour la journée d'étude du laboratoire C2SO de l’ENS et du CEDRATS, « Interaction Homme – Nature, Entre imaginaire romantique et gestion politique de la nature, quelles sont les dimensions pertinentes pour penser, analyser et agir sur les questions environnementales ? », Lyon, 23-24 avril 2010.

Plusieurs thèses sont présentées et argumentées dans ce chapitre :

  • ...d'abord l'idée que l'écologisme est apparu au début des années 70, comme un mouvement social qui a construit un grand récit postindustriel autonome c'est-à-dire très largement indépendant de la dégradation de l'environnement physique, et ce contrairement à ce qu'affirment beaucoup de discours.

  • ...ensuite, une idée plus commune, que ce mouvement social s'est institutionnalisé, les organisations associatives déléguant plus ou moins leur action à des professionnels pour l'éducation ou l'expertise, à des partis pour les transformations juridiques de la société, et aux politiques publiques pour la mise en oeuvre de ces transformations.

  • ...mais surtout nous montrerons que, paradoxalement, il y a une désinstitutionnalisation de l'écologisme. En effet l'appartenance associative se réduit comme peau de chagrin en Europe, ce qui peut être analysé comme une conséquence de l'institutionnalisation, cependant il n'y a pas pour autant reconnaissance de la légitimité de l'Etat pour l'action environnementale, bien au contraire, celui-ci est de plus en plus contesté. Bien plus, les formes d'action militantes sont de plus en plus désinstituées, c'est-à-dire qu'elles échappent aux organisations et sont le fait d'actions qui relèvent de l'individualisation.

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« Attitudes face à l’environnement et cultures politiques en Europe », Les Cahiers de l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme d'Ile-de-France, Paris, 2009, pp. 10-11.

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“Has Ecocentrism Already Won in France? Soft Consensus On the Environmentalist Grand Narrative”, Communication at the 9th European Sociological Association Conference, Environment and Society Network, University of Lisbon, 02-05 September 2009.

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« Inégalités économiques et défection écocitoyenne » Conférence au Forum « L'écologie sociale : quels liens entre social et environnement ? »,Haute École Libre de Bruxelles, Ilya Prigogine, EOS, 25 avril 2009.

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« Ecocitoyenneté et conflit de classes latent », Communication au 3ème congrès de l'Association Française de Sociologie, Université Paris-Diderot, 13-17 avril 2009.

Dans les années 70, l’écologie politique, a été considérée par nombre de sociologues comme le projet idéologique des classes moyennes (Bourdieu, 1979, Boy, 1981, Cotgrove & Duff, 1980). En promouvant la protection de l’environnement au détriment de la croissance, elles étaient soupçonnées de vouloir retirer aux classes défavorisées l’échelle qui avait permis leur propre ascension sociale.

Ces débats ont largement perdu de leur acuité, mais le conflit est-il éteint pour autant ? N’est-il pas seulement étouffé par la mainmise de l’économie sur les questions environnementales avec le développement durable, et par l’hégémonie de l’environnementalisme entretenue dans l’opinion par les médias ? Nous nous proposons ici de montrer la permanence de ces intérêts divergents en analysant l’écart qui existe aujourd'hui entre les classes sociales en matière de pratiques écocitoyennes en Europe. Nous revisiterons ainsi la problématique des classes sociales appliquée à la sociologie de l’environnement. Nous rechercherons dans l’enquête européenne ESS (European Social Survey) de 2002-2003, comment l’écologie politique et ses pratiques sont revendiquées selon les différentes positions dans la division du travail. Et nous tenterons de savoir si ces inégalités de classe en matière de représentations et de pratiques sont de vieilles lunes, ou si elles sont encore pertinentes dans une hypothétique « société post-écologique »

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« Environnement, nature, techniques », in La France à travers ses valeurs, (dir. Pierre Bréchon et Jean-François Tchernia), Paris, Armand Colin, 2009, pp. 122-142.

                  • Les Français et la nature : adhésion au grand récit écologiste

                  • Engagement dans l'environnementalisme et l'écologie politique

                  • Science et technique : une légitimité à géométrie variable

                  • Conclusion : des valeurs déconnectées des pratiques ? Se procurer l'ouvrage

« Les pratiques environnementales, Entre aspirations individuelles et intérêt collectif »,Communication au séminaire « Détours prospectifs 2008 », Ville durable, un dessein à partager, organisé par l’Agence d’urbanisme et d’Aménagement du Territoire Toulouse Aire Urbaine, Toulouse, 16 décembre 2008.

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"Ecocitizenship and Medias Exposure in Europe”, First Forum of Sociology, International Sociological Association (ISA), Barcelona, Spain, September 5 - 8, 2008.

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« Socialisation et engagement écologiste en Europe, L'école, la famille et l'environnementalisme en héritage », Communication au Congrès de l'AISLF, Istanbul, 6 juillet au 11 juillet 2008, 22 p.

  • Les mouvements sociaux des années 70 ne sont plus "nouveaux". Désormais, il ne suffit plus d'expliquer leur émergence, mais leur permanence. Alors que naguère on ne pouvait que devenir écocitoyen, de plus en plus on naît avec ce système de valeurs. Nous proposons ici de découvrir comment l'environnementalisme ou l'écocitoyenneté aujourd'hui en Europe ne sont plus seulement le résultat de la fréquentation de l'école et de l'université, mais de plus en plus ils sont hérités par la socialisation au sein de la famille.

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« Le développement durable, De l'utopie aux pratiques quotidiennes », Conférence pour la CFDT, Fédération Construction et Bois, Bierville, 22 mai 2008.

  • Naissance de l'écologisme avec ses dates marquantes. Les éléments essentiels de la philosophie de l'écologisme utopique : exemples de Illich et Schumacher. L'invention du développement durable, dans son cadre de politique internationale : conférence de Stockholm (1992), rapport Brundtland (1987), Sommet de Rio (1992), Protocole de Kyoto (1998), Bali (1997). Avancées et limites de l'action internationale. Comment les idées écologiques se diffusent-elles dans la société civile ? L'implication différenciée selon les catégories sociales ?Pourquoi les pratiques ne suivent pas cette diffusion de l'opinion ? Le rôle de l'intérêt et des valeurs.

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« Les métamorphoses du grand récit écologiste et son appropriation par la société civile »,in Revue d’Allemagne et des Pays de langue allemande, tome 39, N°3, juillet-septembre 2007, pp. 311-342.

  • Cet article propose une réflexion sur l’émergence et les transformations de l’écologisme, considéré ici comme un grand récit de la modernité tardive. Il défend l’idée qu’il s’agit là d’un grand récit original, surgi à la fin des années 60 en Occident qui contient un projet social et politique global, mais est largement indépendant des dégradations de l’environnement physique, et des doléances suscitées par elles. L’article examine ensuite comment ce récit se diffuse dans la société civile et est approprié à différents degrés par celle-ci, soit par des écologistes engagés, soit des sympathisants ou encore des environnementalistes minimalistes. Il se termine par les perspectives sur le devenir de ce grand récit.

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« Verts : fin de cycle ? », in Revue politique et parlementaire, Juillet/Août/Septembre 2007, N°1044, pp. 136-139.

  • La campagne électorale des Verts de 2007. Les difficultés de la candidate Dominique Voynet confrontée aux tensions centrifuge du parti vers l'altermondialisme, le PS, le centre bayrouiste,... Le naufrage électoral de la présidentiel. Les législatives pour "sauver les meubles" et les perspectives... Se procurer le texte de l'article

“How Socialization Makes Environmentalism Happen, Socialization and Environmental Commitment in 19 European Countries”, 8th ESA conference, Glasgow (United-Kingdom), September 3-7, 2007. Powerpoint: 39 diapos.

  • However education does not take effect only by teachers influence and secondary socialization. There is probably peer’s influence in the school institution, and political struggle exposition. But above all, environmental values are also acquired within family institution, .first in interaction with the couple partner, when he (or she) is highly educated, secondly inherited by mother education legacy, when she is highly educated. This hereditary process doesn’t work with father education. It contributes to explain the spread of environmentalism in society, especially with a pawl effect. But this spread is hindered by threshold which fixes an unextendable limit.

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« Quelques éléments de définition du développement durable,... », Interview radiophonique à Toulous'Ethic, mardi 31 juillet 2007, réalisé par Anne-Marie Fontaine.

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«De la conscience écologique aux pratiques », Pratiques domestiques et politiques environnementales à la lumière du choix rationnel et des valeurs", Communication au colloque « Environnement et politique-s », CERTOP-AISLF, Université Toulouse-Le Mirail, 25 et 26 juin 2007.

  • Comment passer des opinions et des attitudes pro-environnementales qui font consensus dans les pays post-industriels à l'action concrète, beaucoup plus rare ? C'est le casse-tête de tous les écologistes de bonne volonté et aussi de quelques politiques. Or la sociologie de l'environnement offre plusieurs théories pour expliquer le profond hiatus entre valeurs revendiquées et pratiques effectives. Ce papier propose d'y voir plus clair parmi les théories parfois contradictoires : lesquelles sont efficaces, lesquelles ne constituent que des voeux pieux ? Ce petit bilan des théories disponibles devrait en outre être utile pour les politiques publiques de l'environnement.

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« La prise de conscience de l'effet de serre en Europe », Conférence au Forum Science et Démocratie, « Effet de serre, effets de société », Vendredi 1er décembre 2006, MC2, Grenoble-Alpes-Métropole.

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« De la conscience énergétique à la pratique écologique, Éléments de sociologie sur les attitudes et les pratiques en matière d’énergie domestique », Communication à 3ème conférence internationale d’EDEN sur la conscience énergétique et l’innovation, Sophia Antipolis, Agora Einstein, Sophia Antipolis, 12 & 13 octobre 2006.

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« L'écologisme et les valeurs dans la division du travail »,Communication au 2ème congrès de l'Association Française de Sociologie, Bordeaux, du 5 au 8 septembre 2006. Visionner le diaporama Pour accéder au texte, contacter l'auteur

« L'écologisme et ses pratiques militantes, conférence », « Café Sociologique », Café des Arts, Grenoble, mardi 18 avril 2006.

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« Les représentations sociales de la nature, Du grand récit aux conceptions écologiques dans l'opinion publique », Regards sur la nature, Journée d'études du Groupe Inter universitaire d’Ethique de la REcherche (GIERE), MSH Alpes, Mercredi 7 décembre 2005, Grenoble Universités.

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"Unequal environmentalism in Europe, Revisiting the Hypotheses of Affluence and Social Classes", Communication to Environment & Society Network, Seventh Conference of the European Sociological Association, Nicholas Copernicus University,Torun, Poland, 9-13 September 2005, 27 p., texte non publié.

  • Must we be rich to be environmetally friendly ? Are the class belonging ever relevant to explain ideologies? Tell me what is your job, and I'll tell you if you are an environmentalist or not.

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"De-institutionalising Environmentalism, The Shift from Civil Institutions to a Fake State Institutionalisation", in Local Institution Building for the Environment: Perspectives from East and West, (Georgio Osti & Luigi Pellizzoni ed.), International Conference, Gorizia (Italy), September 9-10 2004, ISIG, Instituto de Sociologia Internationale di Gorizia, University of Trieste, 36 p. (publié sur CDRom, ISBN: 88-89825-01-4).

  • Ce papier commence par une présentation des concepts sociologiques d'institution et de désinstitutionnalisation dans le contexte de l'individualisme. Trois hypothèses sont testées ici : d'abord l'intégration de l'environnementalisme dans le système politique tant comme intrant que comme extrant ; ensuite le déclin de l'engagement environnemental à l'intérieur de la société civile, analysé comme un processus de désinstitutionnalisation ; enfin le rejet croissant des contraintes étatiques et des lois dans les sociétés postmodernes, ce qui témoignent d'une fausse institutionnalisation... Les preuves sont amenées par l'exploitation des enquêtes internationales EVS, ISSP et ESS.

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« Environnementalisme et variables sociodémographiques dans l'enquête ESS »,Conférence au CERAG (ESA, Upmf), le 3 juin 2005.

« L'écologisme autrement, Fin du grand récit et désintitutionnalisation » Conférence au CR23, Congrès de l'ACFAS, Université du Québec à Chicoutimi, Canada, du 9 mai au 13 mai 2005, 32 p. texte à paraître en 2007.

  • Pourquoi l'écologisme qui émerge dans les pays industrialisés à la fin des années 60 est-il un grand récit et surtout, pourquoi est-il si différent de toutes les idéologies fondées sur la nature qui l'ont précédé ? Nous chercherons la réponse du côté de son autonomie, de sa déconnexion des problèmes d'environnement physique et de sa dimension sociale totale.

  • Comment la société civile s'approprie-t-elle l'écologisme, et comment a-t-il modelé les opinions, les attitudes, et les valeurs ? Nous dégagerons les principaux types d'appropriation dans les différents pays européens.

  • Enfin comment ce grand récit évolue-t-il aujourd'hui dans la société postindustrielle ? Nous pointerons plusieurs évolutions paradoxales : la délégation aux institutions politiques et économiques, mais aussi la désinstitutionnalisation, avec le déclin associatif, le refus des institutions, et de nouvelles formes d'action non-instituées, privilégiant l'individualisme et les médias. Celles-ci seront illustrées par des images d'actions écologistes dans le diaporama.

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« Y a-t-il un déclin de l’environnementalisme en Europe ? », Conférence à Midisciences, Centre d’initiation à l’enseignement supérieur, Université Joseph Fourier, Grenoble, mardi 18 janvier.

  • Au début des années 70, une mouvance environnementaliste a pris corps dans l'opinion européenne, à la périphérie des premiers mouvements écologistes. Elle s'est inscrite dans le développement des associations, le travail bénévole ou les dons pour la défense de la nature et de l'environnement. Après un premier reflux, une nouvelle vague a amplifié cette mouvance à la fin des années 80. Or dans les dernières grandes enquêtes sociales européennes (Valeurs, ISSP, ESS), il semble que l'on assiste à un fort déclin de cet environnementalisme d'opinion. Après avoirprésenter les résultats, nousnous interrogerons sur ce déclin. Est-il dû à la crise économique ? Au désintérêt des médias ? A l'institutionnalisation des associations et des partis Verts ? Ou encore à un repli individualiste.

« Environementalisme européen et capitaux sociaux,Ou quel lien social exactement tricotent les écolos ? », XVIIème Congrès de l'AISLF, Tours, Du 5 au 9 juillet 2004, CR 23 - Sociologie de l’environnement et du Développement Durable, 12 p.

« (Up and) down with Environmentalist Action, Ageing Ecology in Europe », Communication à la 6ème conference de l'ESA (European Sociological Association), Réseau Environnement et Société, Murcie (Espagne), 23-26 septembre 2003, 20 p.

« L'environnement : de la perception des risques à la construction politique, Éléments tirés de l'enquête post-électorale 2002 CIDSP-CEVIPOF-CECOP », rapport de recherche (direction scientifique de Bernard Denni) pour le GRETS-EDF, CIDSP, Grenoble, juin 2003, 97 p.

  • Les craintes pour la santé concernant les risques agro-alimentaires et industriels. Les attitudes NIMBY. Les opinions sur l'institutionalisation des Verts.

« De l'apathie à l'action environnementale », CR23 de l'AISLF, Sociologie de l'environnement et du développement durable, Communication au congrès de l'ACFAS de Rimouski (Québec), 17-23 mai 2003, 12 . Contacter l'auteur

« Les Verts : échec et résistance », in Revue Politique et Parlementaire, n°1020-1021, sept-déc 2002, Paris, pp. 150-161.

  • Après un résumé succinct de l'entrée des écologistes en politique, de la fondation du parti Vert en France, et de sa percée électorale, l'article fait le rapide bilan des élections de 1997 à 2001, et du passage au pouvoir de ministres Verts. Il analyse ensuite la primaire et la campagne électorale pour la présidentielle de 2002, son issue honorable, puis la campagne ainsi que les résultats des législatives. Et il conclut sur une résistance du parti Vert, malgré des résultats globalement mitigés.

Se procurer le texte de l'article dans la revue Accéder directement au texte de base complet (28 p.)

« La représentation sociale du temps dans l'opinion environnementale », in Les Temps de l'environnement, (sous la direction de Monique Barrué-Pastor et Georges Bertrand), Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 2000, pp. 93-104.

"Je ne pense jamais au futur, il vient assez tôt" Einstein

  • Avec la fin des idéologies, viendrait aussi aussi la décomposition de la temporalité. C'est du moins le nouveau récit débridé que racontent les postmodernes. Or rien ne vient confirmer une telle décomposition, bien au contraire, les modestes preuves que nous pouvons établir à travers les discours de nos concitoyens, montrent que le "nouveau" récit écologiste est toujours bien inscrit dans la temporalité classique du mythe et des grandes idéologies ; brief is not beautiful...

"Natural or economic risk ? Some data about roots of environmental awareness in European opinion", communication à la 52ème conférence de WAPOR (World Association for Public Opinion Research), Paris, Hôtel Lutétia, 4 et 5 septembre 1999.

« La notion de bassin sémantique appliquée à l'écologisme », dans le cadre du groupe de recherche sur les « Transferts culturels », CSRPC, Département de sociologie, Université Pierre Mendès France, le 8 avril 1999, 13 p.

« L'environnementalisme en Europe : des inquiétudes à l'héritage culturel », en collaboration avec Pierre Jacquiot, in Les enquêtes Eurobaromètres : analyse comparée des données socio-politiques, Sous la direction de Pierre Bréchon et Bruno Cautrès, Paris, L'Harmattan, 1998, pp.287-303.

« Environnementalisme et petites violences en Europe, Les nouvelles frontières de la transgression » in Revue La Création sociale, Sociétés, Cultures, Imaginaires, CSRPC, Université Pierre Mendès France- Grenoble II, juin 1998, pp. 107-137.

  • L'objectif consiste ici à répondre à la question de savoir si l'environnementalisme va de pair avec une nouvelle morale, et plus précisément de nouvelles normes de permissivité en matière d'incivilité, d'incivisme, de libéralisme culturel et de violences protestataires. La démonstration est réalisée à partir des données de l'enquête European Values de 1990 sur les pays de la Communauté Européenne. Les résultats montrent que l'environnementalisme est bien corrélé à un surcroît de libéralisme culturel et de légitimation des violences protestataires, mais que cette corrélation est absente pour l'incivilité et l'incivisme.

« La dimension imaginaire dans l'idéologie de la protection de la nature », (en collab. avec Bernard Fischesser), in Protection de la nature, Histoire et Idéologie, Ed. L'Harmattan, Paris, 1985, pp. 193-207.

« Le besoin de nature, une demande sociale pour temps de crise », in Économie et Humanisme, n° 280, Novembre-Décembre 1984, pp. 21-27.

« Du besoin de nature à la nature du besoin », GRB, Institut d'Administration Économique et Sociale, Université des Sciences Sociales de Grenoble, Compte-rendu d'activités, 1983, 11 p.

« La protection de la montagne, Des discours aux politiques, des mythes aux réalités », (Collaboration à l'étude de J.P. Zuanon et F. Gerbaux), Rapport de recherche à la D.D.A. d'Annecy, CERAT-IEP, Université des Sciences Sociales de Grenoble, 1980, 206 p.

« Les idéologies environnementalistes sont-elles une culture émergente ? », Conférence dans le cadre des Séminaires Cultures émergentes, CSRPC, Département de sociologie, Université Pierre Mendès France, le 22 avril 1999, 16 p.

© Jean-Paul Bozonnet Dernière mise à jour : 25 novembre 2012