Quelques années plus tard, les zones industrielles fleuriront.
Les bouchons se reformeront sur la nouvelle autoroute, celle-ci attirant du trafic additionnel et concurrençant les transports publics et la mobilité douce.
Pour apporter un changement sensible du niveau sonore il faudrait réduire d'un facteur 6 à 10 la densité de véhicules.
Inutile donc de répartir sur deux axes routiers le bruit excessif produit sur l'un d'eux. Le résultat pourrait être largement inférieur aux espérances.
Le retour des bouchons
A terme, un deuxième Crissier ?