la science.
À partir du milieu du 20e siècle, l’amélioration des conditions de vie et des connaissances médicales a permis aux animaux en captivité de se reproduire. Il existe toutefois un côté pernicieux à cette stratégie : toutes les girafes aujourd’hui présentées dans les zoos canadiens agréés sont apparentées !
« Chez les espèces communes, comme le raton laveur, il n’est pas nécessaire de surveiller la génétique de près
Les parcs zoologiques modernes sont des espaces d’observation de la faune très prisés. C’est plus de 700 millions de visiteurs qui fréquentent annuellement les zoos et aquariums du monde, soit près de 10% de la population mondiale.
Depuis la lointaine époque de l’Égypte ancienne, jusqu’à aujourd'hui, les jardins zoologiques continuent d’émerveiller petits et grands.
Mais au-delà du plaisir suscité par la rencontre unique avec un géant de la savane, ou un grand félin des profondes forêts d’Asie, les zoos et aquariums accrédités du monde sont de véritables institutions scientifiques au service de la conservation de la biodiversité.
Vétérinaires, biologistes, techniciens en soins animaliers et chercheurs unissent quotidiennement leurs efforts pour mieux comprendre la biologie des différentes espèces animales et ainsi, prévoir des mesures plus efficaces de conservation en milieu naturel.
C’est plus de 225 millions de dollars américains qui sont investis annuellement par les institutions zoologiques nord-américaines dans des projets de conservation en nature.