A. déterminer si la familiarisation avec une stratégie misant sur la contextualisation permet une meilleure compréhension par les élèves des sources historiques utilisées en contexte d'apprentissage et d'évaluation;
B. établir si l'exigence d'écriture, qui commande la structuration de la pensée, accroit la capacité à recourir sciemment aux documents au moment de réaliser une tâche;
C. inférer les facteurs qui pèsent sur la compréhension des documents historiques par les élèves;
D. permettre, par le biais d'ateliers de formation, des apprentissages sur l'énonciation dans les documents historiques;
E. définir plus exactement les composantes de la phrase histoire et les faire évoluer au gré des constats et des conclusions formulées au cours de l'issue de l'expérimentation;
F. situer les capacités des élèves de chaque niveau et déterminer les paramètres éventuels d'une progression des apprentissages en lecture et en écriture en classe d'histoire;
G. évaluer le potentiel de la phrase histoire pour la contextualisation de documents d'autres types que les documents écrits.
Pour les fins de l'expérimentation, des prétests, des posttests et des formulaires Google et papiers ont été produits.
Le prétest est réalisé avant que ne soit amorcée l'étude de la première réalité sociale en première et deuxième secondaire ou de la première période/réalité sociale en troisième et en quatrième secondaire.
Les élèves reçoivent un dossier documentaire comportant huit documents écrits et iconographiques. Les documents se rapportent tous à un concept dont la construction est attendue dans l'année scolaire de référence.
La consigne donnée à l'élève pour le prétest est la suivante:
Le posttest est réalisé après l'étude de la première réalité sociale ou période/réalité sociale, tout juste avant l'étude de la seconde.
La consigne donnée à l'élève pour le posttest est la même que pour le prétest: Lisez chaque document, puis écrivez une phrase qui en reprend les éléments essentiels.