Michel Balanche

Il y a près de cinquante ans il a photographié son premier chevreuil  et depuis cette passion ne l'a pas quitté. Elle est son quotidien à Villers le lac et le conduit vers des destinations plus lointaines. 

La photographie  animalière demande  tout d'abord une bonne connaissance de la nature afin de ne pas perturber la faune sauvage déjà tant affectée par les activités humaines.

S'y ajoutent, la patience et une relative résistance aux conditions climatiques parfois difficile qu'il faut affronter.

Mais la plus grande qualité c'est de savoir renoncer quand le risque de perturbation est trop important. L'animal sauvage est tellement plus précieux que la photo.