Algodok n'est pas une API !

Les développeurs de logiciels ou d'applications Web sont habitués à exploiter des interfaces (ou API), afin de pouvoir manipuler des objets par programmation. Ces interfaces sont pensées par des développeurs, pour des développeurs. Cette philosophie n'est pas du tout celle exploitée avec AlgoDok dont l'objectif premier est de s'adapter au mieux à l'utilisateur, au concepteur de documents et, a fortiori, au développeur de modules.

Avec AlgoDok et ses principes sous-jacents, les objets JS créés par le développeur sont a priori inaccessibles des autres modules, sauf certains mais uniquement par le biais de l'interface linguistique, déclinable en autant de langues que souhaitées, en particulier une langue véhiculaire, l'idéal étant l'espéranto, le pis-aller étant l'anglais.

Ainsi l'instruction écrire (···) .sur (···) d'AlgoDok-fr peut aussi être rédigée skribi (···) .sur (···) en espéranto (dans le futur AlgoDok-eo) write (···) .on (···) en anglais (dans le futur AlgoDok-en, disponible en juillet 2014) ou schreiben (···) .auf .dem (···) en allemand (dans le futur AlgoDok-de).

Notons que dans la plupart des cas la traduction est facile, et même possible au sein même d'un module. Pour l'exemple précédent en anglais il suffit d'ajouter : write = écrire ; write.on = écrire.sur (le cas de l'allemand est plus délicat à cause des déclinaisons, mais ne demande pas un gros effort de développement, comme on peut le voir sur cet exemple).