A propos de moi

Je m'appelle Zoé Saffache.

L'Iu est mon Sacerdoce. 

Je suis une artiste polyvalente, consacrée à mon ouvrage : "Le projet Z.S.", et à la pratique de mon invention, l'Iu.

J'insiste sur le fait qu'il s'agit d'une création, et non d'une nouvelle religion ou d'une nouvelle croyance. 

J'ai créé le Fierzof, puis l'Iu dans le cadre de l'écriture de la Saga philosophique, La Collection 17. 

La Collection 17 est un des éléments du Projet Z.S.

Tout ce que j'écris, je le puise dans mon imagination, dans mes observations, dans ce que j'apprends des vies d'autrui, dans mes perceptions "médiumniques" et dans mes rêves. 

Je ne prétends pas détenir de vérité. J'insiste sur le fait qu'il s'agit d'un ouvrage artistique. 

J'y exprime ma compréhension ou ma perception de nos mondes. 

L'Iu n'est pas une religion. C'est un art martial cérébral que j'ai imaginé pour plusieurs raisons. Parmi ces raisons, il y a eu le besoin de m'inventer un Programme d'Adaptation de Vie, pour m'aider à sortir d'un état de sidération. 

Je suis une ancienne victime d'un passé douloureux.  Alors, par instinct de survie, j'ai créé mon Programme d'Adaptation de Vie, puis le Fierzof, que j'ai transformé, au fil de ma pratique, en Art Martial Cérébral et Philosophique, l'Iu.  

J'utilise l'Iu comme support pour mon histoire, celle que je raconte, pour démontrer et décrire des mécanismes d'intelligences prédatrices, sans tabous, et pour imaginer des issus pour les victimes.  

Je pars du principe que tout être vivant est un prédateur à partir du moment où il dépend de quelque chose. 

Je distingue, premièrement, la prédation passive de la prédation active. 

La prédation passive est exécutée par un tiers pour le compte du sujet (le sujet, dans ce cas, est le prédateur passif). 

La prédation active est pratiquée par le sujet lui-même. 

Ensuite, je distingue des profils de prédations par intentions plus ou moins bienveillantes, ou plus ou moins malveillantes. 

C'est à partir de ces profils que je définie l'I.P. : l'Intelligence Prédatrice.

Pour finir, je décortique le mécanisme de l'intelligence prédatrice du sujet. 

J'utilise une matrice (calcul), un peu similaire à celle qu'on utilise pour le calcul d'un QI, mais dans un champ d'application différent. 

Puis, à partir de ce calcul (analyse), j'extrais l'équation (la fonction), c'est à dire le mécanisme lui-même, dont les variables sont des éléments coordonnateurs, ou catalyseurs présents dans l'écosystème du sujet (du prédateur). 

Une fois les variables définies, la fonction permet de prédire l'intention et l'action à venir du prédateur. 

Mes personnages principaux sont Raymonde Truffet et Renée Tahar, deux agents profileurs au service d'un gouvernement mondial. 

Ils utilisent tous ces outils, à travers la saga, ce qui me permet de transmettre une lecture de ce type de profilage issu tout droit de mon imagination. 

Il s'agit bien entendu d'une fiction.

Pourquoi le leitmotiv : Je suis le Deuil tant que des crimes sont commis au nom d'une divinité

Parce que les lâches, les criminels et les abuseurs aiment se cacher derrière des prétextes idéologiques, occultes, religieux ou "satanistes" pour justifier de leurs crimes. Certains tuent, violent, volent, torturent ou persécutent au nom d'une idéologie, d'un dieu, d'une déesse, d'un démon, d'un diable ou d'une religion. 

Chacun s'abrite derrière des pseudos textes sacrés ou occultes pour légitimer le crime, voire la barbarie. 

La réalité est qu'un criminel n'est qu'un criminel qui, parfois (trop souvent), pour des raisons très indépendantes des prétextes idéologiques, spirituels ou occultes qu'il évoque, commet ses crimes. 

Dans les mécanismes de prédation des criminels, l'idéologie, la croyance, la religion, la mystification, l'occultisme ne sont que des supports, des prétextes ou des décors : des justifications gratuites, des déguisements ou des caricatures ayant pour objet principal de "noyer le poisson dans l'eau". 

Cette phrase "Je suis le Deuil tant que des crimes sont commis au nom d'une divinité", c'est aussi l'expression de ma révolte, de ma révolution. 

La finalité de mon oeuvre est un foyer ou règne la Paix, le Respect et la Sécurité, le Droit à la Chasteté. 

Mon poing levé vers le ciel hurle : Paix, Respect et Sécurité, Droit à la Chasteté

Tous mes ouvrages, tous mes écrits, tout ce que je suis, et toute mon histoire crient : Paix, Respect et Sécurité, Droit à la Chasteté. 

Vous l'avez compris : Mon projet Z.S. est aussi mon manifeste ! Je réclame que l'article 16 du Code Civil français soit respecté. Je réclame le respect de mon droit à la chasteté !

Il faudra qu'un jour le monde cesse de porter atteinte à nos droits à la chasteté, au respect de nos corps, au respect de nos personnes. 

Je suis une personne. Vous êtes une personne.  

Le viol quel qu'il soit est une atteinte au droit à la chasteté ! Le viol n'est pas une orientation sexuelle ! Le viol est un crime !

Dans le cadre d'affaire de viol, ou d'atteinte à caractère sexuel :

Une personne qui dort n'est pas consentante.

Une personne inconsciente n'est pas consentante. 

Une personne qui, quelque soit la raison, ne peut pas agir, ou ne peut pas parler, ou ne peut pas bouger, n'est pas consentante. 

Un bébé n'est pas consentant. 

Un enfant ou une personne qui agit ou subit sous autorité n'est pas consentant. 

La soumission chimique n'est pas du consentement. 

Le silence ne veut pas dire "oui". 

"Non" ne veut pas dire "oui". 

Il faut que l'éveil de conscience continue à se faire !

La finalité de mon oeuvre, mon objectif, mon espoir est que chaque foyer soit un lieu où règne la paix, le respect et la sécurité : Le droit à la chasteté ! 

Je suis le Deuil tant que des crimes sont commis au nom d'une divinité !

Le Soleil me couvre, la Lune m'éclaire et les Etoiles me protègent. 

Ne lâche pas ma main !

Bonne lecture !


Pour tout contact : zoesaffache.zs@gmail.com