Dans le contexte actuel de la pandémie, de plus en plus de femmes sont maltraitées, et pourtant la société considère toujours ce sujet comme un tabou. En tant que femme, j'ai subi beaucoup d'attaques sur ma peau de la part des hommes. Nous vivons au XXIe siècle et jusqu'à présent, nous n'avons pas été en mesure de faire valoir nos droits grâce à des milliers de manifestations. Je crains qu'en ces temps, les soi-disant «développés» des deux sexes considèrent les hommes comme supérieurs aux femmes.Une mentalité complètement fausse de mon point de vue.

que chaque femme vit une expérience traumatisante, étant abusée mentalement et sexuellement. Dans le même temps, les femmes ont peur de marcher seules dans les rues quelle que soit l'heure de la journée, sans disposer d'objets avec lesquels elles peuvent se défendre contre les agresseurs du sexe opposé.

Saviez-vous que 97% des femmes ont été agressées sexuellement? Cela signifie que 4 femmes sur 5 ont été contraintes et vous causent des dommages psychologiques. Ce nombre est colossal et c'est pourquoi tout le monde doit en être informé et prudent.

Quand nous disons «not all men» (pas tous les hommes), nous annulons le traumatisme subi par les femmes et, au lieu de trouver des solutions pour les aider à se sentir en sécurité, nous nous concentrons sur les hommes qui se sentent mal à l'aise pour discuter de ce sujet.

Cependant, «every single woman» (chaque femme) est victime d'abus, mais la plupart du temps, elle ne se plaindra pas de l'agresseur, car elle a peur ou a honte. C'est pourquoi il est important d'éduquer les hommes et les femmes à ce sujet, afin de créer un environnement plus sûr pour tous. Les «prédateurs» du sexe opposé affirment que la principale cause de viol est l'habillement des femmes. Le fait que nous nous habillons d'une manière qui nous rend heureux n'est pas quelque chose que vous pouvez blâmer dans cette situation. Au lieu de protéger toutes les filles, il vaut mieux faire un changement et essayer d'éduquer nos garçons dès leur plus jeune âge à respecter les femmes dans leur vraie valeur.

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rédaction:Thea Vochita, Oana Luca

design graphique: Bianca Constantin,

Anastasia Chivu

traduction: Bianca Ioniță

l'éditique: Andreea Seba