Fan art par  Oct4vy

Saison 2

23/07/23 - S02 EP01 - 

Nouveau quartier, nouveau business ?

https://www.twitch.tv/videos/1879688469
https://youtu.be/3c5x4xMUr5U


A peine le temps de dire ouf : que tout s’accélère ! 

Le Clan a vécu beaucoup de choses en à peine une petite semaine, et ça ne semble pas prêt de s’arrêter. Le bond dans la cour des grands est conséquent, car après être devenu officiellement propriétaire du quartier, le clan Ishikawa est désormais marchand d’armes ! Les paiements à Philou ont fonctionné, l’envoyé est désormais dans de bien meilleures dispositions et en plus des clés du QG, a bien voulu donner celles du business.

Désormais, il y a tout à faire. C’est l’effervescence entre les membres et le chef des Yakuza qui a tout en tête et veut courir partout. Pour commencer : une tenue discrète pour travailler, avec toujours une touche asiatique pour rappeler leurs racines. Ensuite, ils ont besoin d’un bateau, de la place de parking qui va avec et du permis. Voilà encore des dépenses imprévues, alors que les fonds sont déjà bien à sec. Et dans la précipitation, il ne faut pas se tromper, entre le prix, le nombre de places assises et la capacité du coffre. Les réflexions fusent dans tous les sens, et pourquoi pas un avion ? Dans le doute, Endo et Sōsuke vérifient toutes les possibilités et l’Oyabun fait aussi le point avec son second. Ils ont besoin de générer de l’argent et cela exclut d’office l’avion, le garage est bien trop cher.


Les priorités sont donc : permis bateau, garage bateau, et bateau. Puis le blanchiment de l’argent sale encore en stock, ils n’en ont plus l’utilité dans l’immédiat. C’est Ethan qui sera le propriétaire du bateau et son conducteur et ça tombe bien, il vient de se lever ! (TC 00:18:30) L’Oyabun envisage aussi de vendre son appartement dans la soirée mais l’objectif surtout est de commencer à travailler au plus vite et de découvrir tout le fonctionnement du business. Notamment que Philou parle d’un lieu d’échange qui se situe loin… loin sur une île dans le Sud… D’où le besoin d’un bateau. A peine arrivé Ethan est jeté dans le bain, il connaît bien un bateau intéressant avec du stockage mais hors de prix, il en connaît quelques autres moins chers mais se renseigne auprès du Zombie pour un éventuel achat d’occasion. Toute économie est bonne à prendre. 


C’est une fourmilière aujourd’hui du côté du clan Ishikawa, l’un va chercher sa moto et gère une commande Black Cat, l’autre appelle le Zombie, un autre doit vendre son appartement. Tous sont fébriles, il y a tant à faire ! Pour certains c’est parfois dur de suivre, Elijah fait part de son étonnement, tout est allé si vite. Il n’a d’ailleurs pas le temps de beaucoup discuter, une voiture vient de s’arrêter à l’entrée du quartier ! (TC 00:30:25) Il ne s’agit que d’une PM venue se présenter, le chef laisse donc ses hommes gérer, il a du travail. Il récupère Ezio au passage pour aller chercher ses véhicules. Le membre a d’ailleurs le même discours, il y a un mois à peine ils étaient simples PM, maintenant ils ont un quartier et un business. Il va falloir tenir le coup. Première difficulté avec un appel du Black Cat : l’entreprise ne livre plus au quartier au vu des récents événements, il ne savent pas trop ce qu’il se passe mais ne veulent prendre aucun risque, même à la supérette. Mais l’Oyabun le rassure : des risques, il n’y en a plus.

Pour les bateaux les choses avancent, ils ont trouvé un modèle intéressant et pas trop cher, reste à savoir si le Zombie Car n’en a pas en stock. Et parmi les bonnes nouvelles : Philippe permet aussi au Clan d’avoir un garage, que les membres s’empressent d’utiliser. En attendant la commande du Black Cat et que tout le monde puisse se ravitailler avant de partir bosser, Ethan et Sōsuke réfléchissent au fonctionnement du business, pour le moment ils vont se concentrer sur les caisses d’armes, et verront le lieu d’échange lorsqu’ils auront le bateau. Ils découvrent également tout ce que propose Philou, le prix des GPB, des chargeurs, les pièces d’armes, il y a beaucoup à découvrir, comprendre et faire. L’arrivée du Black Cat est d’ailleurs l’occasion de discuter d’un protocole pour les futures livraisons (TC 00:43:00) puis tout se met en route.


Prendre ses dispositions : pour découvrir Cayo

Peut-être même un peu vite car en voulant découvrir tout ce que propose Philou, Ethan déclenche le largage d’une caisse d’arme (TC 00:46:55). Pas le temps de dire ouf, les membres présents sont envoyés la récupérer, motivés par les ordres de l’Oyabun. Le temps de réaction est encore à travailler. Une organisation de travail commence à se dessiner : il faudra des équipes au nord et au sud de l’île pour anticiper les livraisons. Et le Zombie Car a un Speeder en stock pour 130 000$, ne manque que le permis d’Ethan et la carte grise et l’affaire sera réglée le soir-même. 

Une autre équipe se lance sur les caisses d’armes après la récupération de la première tandis que Sōsuke et Ethan se rendent à l’appartement de l’Oyabun pour le vider. Pour l’instant, c’est la course contre la montre. Les Lost doivent reprendre contact avec eux à la fin de la semaine suivante. Ce sera un peu plus tard du fait de l’absence de Sōsuke mais ils n’ont qu’une semaine malgré tout pour être prêts à réagir à ce que peut proposer le groupe du Nord. Ils commencent donc tout de suite, les deux équipes enchaînent les récupérations de caisses d'armes pendant que Ethan et son chef transfèrent ses affaires d’un appartement à un autre. Eux s’occupent de la gestion de tous les à-côtés, comme le permis bateau d’Ethan. Au moins pendant qu’il attend à la marina, Sōsuke peut faire une petite pause, indispensable dans la frénésie de la soirée. 


Le permis en poche, la carte grise achetée, il ne manque plus que le bateau qui doit normalement arriver le soir-même. Le chef Yakuza s’occupe lui de vendre son appartement (TC 01:13:00) pour débloquer un peu de liquidité. Ils sont multitâches ce soir et s’occupent même de récupérer les caisses d’armes qui leur tombent sous le nez (TC 01:17:50), ou les cadavres en plein milieu de la route (TC 01:18:45). Laissant Ethan avec la blessée, Sōsuke retourne au quartier pour gérer des formalités administratives car Aaron vient de se réveiller et il n’a pas encore toutes les infos. Il commence par aller acheter la tenue de travail puis se retrouve laissé aux mains des membres pendant que le chef récupère Ethan. De nouvelles équipes se forment sur le terrain, tandis que Sōsuke et Ethan restent ensemble au quartier pour relancer les livraisons et être prêts à intervenir si le bateau est disponible. Le chef Yakuza en profite pour faire une suggestion à Ethan : qu’il n’hésite pas à proposer les choses, plutôt que de les imposer. Il ne doute pas que ses intentions sont bonnes mais la façon dont il s’exprime peut être mal perçue par les autres membres (TC 01:31:00)


Ils profitent de cet instant plus calme pour poursuivre leurs réflexions, notamment sur les dépenses les plus urgentes à faire comme les remboursements aux Lost et au Cercle. En parlant des premiers, il faudra d’ailleurs les prévenir que le quartier allait finalement avec le business d’armes. Allant être absent quelques temps, l’Oyabun se dit que les en informer au milieu de semaine pour le rendez vous de lundi, peut permettre au clan de gagner quelques jours dans la prise en main de tout ça.
Comme souvent, la discussion dévie et revient sur des idées déjà émises auparavant : les moyens de transports possibles pour se rendre sur Cayo, ou la manière dont les choses fonctionnent pour le blanchiment notamment. Mais ces dernières sont vite interrompues par un appel important, M. Benson (TC 01:39:40). Venant aux nouvelles de son nouveau prestataire d’armes, le chef du Cartel se permet de donner quelques pistes sur ce qu’il trouvera sur l’île dont il a reçu le lieu d’échange. Non sans oublier d’y ajouter qu’aucune règle n’y s’applique et surtout pas celle qui stipule quelque chose à propos de ne point tuer et que le matériel ne se transporte pas en hélicoptère.
Pendant ce temps, les livraisons continuent de tomber et les hommes du Clan semblent courir dans tous les sens, l’effervescence de la nouveauté.
C’est à cet instant précis que des nouvelles pour l’embarcation tombent. Elle est disponible et prête à être achetée. Il n’en faut pas plus pour que Sōsuke, Akio et Ethan sautent dans un véhicule direction la Pacific pour le paiement. 

Laissant Ethan se charger seul de tout le côté administratif de la chose, le chef et son second discutent de tout et rien devant la banque, jusqu’à ce qu’un coup de fil d’Endo se charge de les ramener à la réalité (TC 01:54:40). Une sérigraphiée serait rentrée dans le quartier. Lorsque Sōsuke demande si des tirs ont été échangés, son interlocuteur lui répond qu’ils n’ont pas osé. C’est bien noté pour l’Oyabun qui se charge de contacter le commissaire O’Brian. Ce dernier découvre par cet appel que le quartier est maintenant aux mains du clan Ishikawa. Cependant, pour le reste, il n’est pas au courant et s’informe auprès de ses agents. Après une mise en attente, il s’avère que c’est une patrouille qui provient du commissariat de quartier et que c’est la route qu'empruntent tous les véhicules affiliés à cette zone. Ils risquent donc d’en voir régulièrement. De quoi rassurer ses hommes afin qu'ils ne s’affolent pas au moindre gyrophare.


Entre-temps, la vente s’est très bien passée pour Ethan qui informe que le futur point de rendez-vous est au niveau de la marina, pour récupérer les clés de l’embarcation de couleur jaune et bois.


En route pour l'île du Cartel : et ses rencontres

Les voilà donc propriétaires d’un véhicule leur permettant de naviguer, ce qui ne calme pas l'excitation de découvrir comment fonctionnent enfin les tenants et les aboutissants d’être revendeur d’armes. Akio se propose d’aller chercher quelques caisses de livraison, histoire de ne pas arriver les mains vides. Sur ces entrefaits, M.Benson rappelle pour un dernier détail : celui d’obligatoirement vivre dans le quartier et de ne plus rien posséder ailleurs. Ce sera donc une nouvelle tâche ajoutée dans la to do list.


C’est donc Sōsuke, Akio, Ethan et Hiro (venu aider pour les caisses) qui embarquent vers ce lieu inexploré.


En faisant leurs premiers pas sur Cayo, les quatres hommes découvrent une toute autre ambiance (TC 02:19:00). L’île est immense mais fort heureusement le Cartel met à disposition des véhicules pour se déplacer.
Arrivés au point indiqué par Philippe, le clan fait la connaissance d’un envoyé sous une tonnelle. En lui parlant, l’Oyabun découvre qu’ils peuvent lui transmettre les caisses reçues ou lui demander d’assembler des pièces pour fabriquer des armes. Les hommes du clan décident de se délester des caisses et l’individu leur propose de les payer en argent sale ou de les échanger contre un paquet. Ils préfèrent pour le moment la première proposition quitte à voir plus tard ce que contient cette mystérieuse boîte. De son côté, Hiro semble embêté, car leur interlocuteur refuse de prendre ses trois caisses. Après quelques instants de réflexions, tous se disent qu’il doit y avoir une histoire de quota minimum à déposer sinon, cela n’aurait aucun sens. Puis vient le moment d’évoquer la fabrication d’armes plus lourdes. L’envoyé tend une liste d'objets et explique qu’il faut des éléments particuliers à apporter pour que tout cela fonctionne correctement. Ethan en profite pour prendre des notes sur tout ce dont ils auront besoin de commander.


Alors qu’ils tentent de comprendre comment tout cela fonctionne, l’Oyabun reçoit un appel de Flash, des Families (TC 02:29:00). Ce dernier n’ayant plus de commande de GPB depuis quelques jours, vient aux nouvelles. Le japonais s’excuse et prévient que cela est dû au fait qu’il n’y ait plus de tempête et que donc la consommation de GPB n’est plus aussi importante, surtout maintenant que le quartier est aux couleurs du Clan. C’est une bonne nouvelle pour le Families, qui tente d’en savoir un peu plus mais qui reste sur sa faim car Sōsuke reste vague dans ses réponses. Sans plus de cérémonie, la conversation s’arrête sur une bonne chance lancée. Mais de retour parmi les siens, le japonais sait que cela sera différent au moment où la nouvelle sera officielle.


Tous les éléments enfin en leur possession, les quatre hommes décident de rentrer, non sans faire un détour par ce qui semble être une supérette (TC 02:32:30). A son approche, ils observent des camions garés aux abords et un peu plus loin, des plantations d’où sortent plusieurs individus, lourdement armés. Le Clan fait mine de venir en paix et une discussion s’engage, sur leur présence en ces lieux. Alors que le quatuor ne semble pas reconnaître ces personnes sans couleurs, ce n’est pas le cas pour ceux d’en face qui s'étonnent de les voir travailler pour le Cercle. Pour le Cercle ? Non, ils visitent et viennent pour la supérette. Une réponse fuse mais les visages commencent à se fermer et l’ambiance se refroidit d’un coup. L’Oyabun se dirige donc vers la petite échoppe mais son accès lui est interdit. Il revient donc vers le groupe prêt à rassurer sur ses intentions tout en confirmant ce que les autres pensaient. Il termine sa phrase en demandant l’identité de ses interlocuteurs. L’un des hommes s’avance et lui indique qu’ils sont les Lost. Bon. Comme ça ils savent. De toute façon, un rendez-vous est prévu avec Nate, plus tard.


Les deux groupes se séparent, ne sachant plus trop quoi se dire…


Cependant, sur le chemin du retour, la pression retombe et le Clan n’en revient pas. C’était vraiment le seul groupe sur lequel ils ne devaient pas tomber. Comme quoi… Maintenant, ils n’ont plus à s'inquiéter de comment annoncer la nouvelle. Pour le reste, ils verront plus tard car ils ont plus important pour le moment


Les premières tensions : et une AK

De retour au QG, Sōsuke se dirige vers Philippe afin de voir si c’est vers lui que l’on commande des éléments nécessaires à la fabrication des armes (TC 02:55:30). Et en effet, c’est bien vers lui. Tout ce qu’il souhaite est payant et sera envoyé avec la livraison d’une caisse. Le japonais propose de regarder pour une AK et le tout donnerait environ pour 100 K$, mais cela peut être payé en argent sale. Ni une, ni deux, il récolte ce dont il a besoin pour lancer une première vraie commande.
Au même moment, Endo prévient qu’une patrouille de flics les attendaient sur une caisse. Ce sont les risques du métier, mais qu’ils reviennent car la prochaine sera plus importante et il ne faudrait pas qu’elle soit ramassée par n’importe qui.

Lorsque tout le clan est enfin rassemblé, l’Oyabun valide son panier et tous se dispersent au quatre coins de l’île afin de quadriller la zone. La pose tombe. Sōsuke reste concentré sur les notifications et au bout de quelques minutes d’attente, celle qui annonce la récupération du colis. Un peu stressé, il appelle Endo pour lui demander si c’est bien eux qui l’ont. Le membre lui répond non, du tac au tac, avant de lui confirmer le contraire. Le japonais, dont le cœur s’est arrêté quelques instants, n’est pas très friand de ce genre de blagues. L’autre ne perd rien pour attendre à son retour. Quoi qu’il en soit, malgré le fait qu’elle soit tombée assez loin, elle a été réceptionnée sans encombre et c’est le plus important. La prochaine fois, ils devront par contre être armés pour ce type de livraison. On ne sait jamais.


Maintenant que les comptes sont vides, la priorité est l’argent. Un topo est fait pour tous au côté de Philou. Avant de continuer à découvrir le business, il faut que pendant que certains partent vider les appartements, Sōsuke se lance dans quelques explications sur la suite et ce qu’il s’est passé à Cayo. Après le passage sur les Lost, Akio propose de de les rappeler pour, dans un premier temps, commencer à éponger la dette. Sōsuke contacte donc Riku, croisé plus tôt dans la soirée pour en discuter (TC 03:30:10). Au téléphone, son interlocuteur semble contrarié car il semble que toutes les infos n’ont pas été transmises dans leurs intégralités et donc pour le moment, c’est un peu compliqué et ne peut que lui conseiller de passer par Nate pour toutes ces questions là. L’Oyabun raccroche donc sans avoir de réponses mais en ayant déjà en tête la suite des événements, comme l’achat de l'appartement et la fabrication de leur première AK.


Va pour l’AK ! Un groupe se prépare en emportant ce dont ils ont besoin, avant de prendre la direction de l'île. Pendant que le deuxième gère autant qu’il peut la réception des caisses. Arrivés sur Cayo, les quatre hommes se pressent autour de l’employé du Cartel (TC 03:49:20). Déjà pour comprendre combien de caisses il accepte à la fois (et cela semble être 5), puis en laissant la fabrication d’un premier doudou, tout neuf ! Ceci fait, le quatuor rentre donc avec ce nouvel objet flamboyant et 100K $ de sale. Les choses sérieuses commencent.
Sur le trajet, ils réalisent la marge que les Ballas se faisaient sur le prix d’une telle arme. En effet, ils la vendaient 350 K$ en propre alors qu’au final, le matériel ne coûte que 100K$ en sâle. Bon cela ne résout pas encore le problème du blanchiment… Mais les réponses viendront et pour le moment, le plus important est de ranger l’AK sans se faire voir. L’embarcation semble pouvoir entrer au niveau des canaux et avec un chauffeur aux abords, cela semble assez discret. En effet, c’est le cas. 


Avoir des nouvelles du Cartel : et donc des réponses

Une fois le doudou chargé et mis en sécurité, Sōsuke se positionne aux côtés de Philou pour relancer les caisses. C’est alors qu’un numéro inconnu fait sonner son téléphone (TC 04:11:40). Au bout du fil, Tonie, une associée de M. Benson. Son patron la charge de lui expliquer comment s’effectue le blanchiment car il a les mains en plein dedans, comme dirait l’autre. En fait, tout se passe sur Cayo Perico. Il y a un bâtiment dédié à toute cette partie-là, près de l'aéroport. Par contre, le maximum possible, par jour, est de 500K$. C’est bien pris pour le japonais qui profite d’avoir l’envoyée du Cartel en ligne pour lui demander à quoi fait référence Philippe lorsqu’il lui parle de Tenue. Son interlocutrice lui explique qu’il a la possibilité d’en faire faire une, au niveau d’un entrepôt sur les docks,  mais que cela coûte 100 K$ pour chaque et donc si il y a des tenues hommes et femmes à fabriquer, il faut 200 K$. Avec ces informations, ils sont tous bons pour les questions. L’Oyabun remercie son interlocutrice avant de raccrocher et de transmettre ce qu’il vient d’apprendre aux autres et de relancer les commandes pour le groupe. Voilà qui répond enfin à leurs interrogations de la soirée. 


Lors d’une halte d’Akio dans le QG, pour un changement de véhicule, les deux hommes échangent sur les priorités des prochains jours : Faire une deuxième AK pour le clan (mais il est essentiel de savoir le temps entre deux fabrications), trouver comment fabriquer des radios et donc connaître les receleurs (mais pas avant lundi, sinon la nouvelle du nouveaux biz va vite se répandre), refournir le compte en banque, acheter les appartements et enfin lancer officiellement les commandes autres groupes.
En faisant les calculs, en considérant que 20 caisses donnent 50K$, si ils font une moyenne de 30 livraisons par heure, en 8h, ils ont la possibilité de faire plus de 500k$ par jour. Bref, ils doivent se poser et réfléchir à tout ça. Mais la pause n’est pas pour tout de suite, il y a encore beaucoup de travail ce soir.


Et tant qu’à faire, autant vérifier pour l’AK de suite. Sōsuke se pose donc avec sa liste de course de pièces d’armes auprès de Philou, afin de ne rien oublier ; et après plusieurs livraisons, sans encombre, un groupe repart sur l’île du Cartel, pour voir ce qu’il en est des fabrications et du blanchiment.
A peine, le pied mis à terre sur Cayo, le groupe commence par l’armement (TC 05:22:30). Malheureusement, mauvaise nouvelle, il ne pourront avoir un nouveau doudou que dans une semaine. Le choix se porte donc sur une Gusenberg en attendant. Il faudra donc bien tenir les comptes de l’intranet à jour. Lorsque le groupe arrive dans la zone de blanchiment, ils font la connaissance d’un envoyé portant une belle couronne et en lui transmettant 247 825 K$ de sale, ils reçoivent 173 477K$ de propre, soit 70%. Ethan note bien les informations sérieusement dans son carnet pour ses comptes futurs. Cependant, les calculs commencent déjà à fuser pour établir les rendements possibles du clan.


Établir les prix : n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît

C’est de retour au QG que Sōsuke reprend ce qu’il s’est dit et passé. Il faudra vraiment que l’armement lourd tourne et qu’à terme, tous, en possède au moins une. Tout en sachant que la nouvelle va se répandre très vite, que le Clan risque de devenir une cible et  qu’à partir du moment où les Families auront connaissance de leur business, il vendront aux Lost plus facilement. Il faut donc se tenir prêt. Cependant, le groupe est enchanté de pouvoir bosser pour eux même et de ne, pour le moment, pas dépendre de quelqu’un d’autre. Pour le reste, ils en sont convaincus, ça va se caler petit à petit.
Ils repartent donc sur les routes, en attendant les livraisons, pendant que le chef,  son Second et Ethan se penchent sur les tarifs, tout en relançant les commandes (TC 05:48:00). En se basant sur les prix (établis sans ratio) des Ballas (prix moins chers sur les armes mais dont les chargeurs coûtent plus chers) et ceux des Families, ils conviennent de différencier les clients réguliers / des occasionnels avec : 

Avec toujours en tête qu’il faudra bien faire attention de vérifier à qui le Clan vend.


Ceci fait, l’Oyabun demande aux deux hommes de bosser un peu sur les tableaux de la compta afin que tout soit automatisé et clair à chaque livraison de caisse et/ou commandes, avant de s’offrir un repos bien mérité.



24/07/23 - S02 EP02

L’ascension de rien à marchand d’armes

https://www.twitch.tv/videos/1880376818

https://youtu.be/iwDNhtKMzRM

 
            Armement du Clan en cours : après les fusils d’assaut, les pistolets mitrailleurs

A peine levé et déjà sur l’océan, avec Ethan pour se rendre à Cayo, transférer les fruits du travail fourni et découvrir la fabrication des Uzi. Sauf que voilà, à peine arrivé en zone que leur contact sur l’île ne semble pas vouloir être très communicatif aujourd’hui. Peu enclins à revenir sur leurs pas immédiatement, les deux hommes profitent d’effectuer quelques réglages sur la compta et du paysage qui leur offre cette île magnifique, presque une impression de vacances, en attendant que l’envoyé veuille bien parler. Après plusieurs minutes d'attente, le contact ne boude plus et prend leur commande. Il les informe d’ailleurs que l’ achat d’Uzi est effectif tous les 6 jours. La patience et l’organisation seront de mise. Ayant prévu de tenter de fabriquer deux armes, Sōsuke a les pièces en double, et comme les mêmes sont nécessaires pour fabriquer un Scorpion, c’est avec deux nouvelles armes qu’ils repartent de l’île. Et de nouvelles informations pour intégrer des compteurs directement sur la compta ! Le long trajet du retour est aussi l’occasion de faire le point avec son second et de partager ces infos, de son côté Akio et son équipe se sont chargés de rassembler des pièces d’armes pour fabriquer cette fois des pistolets lourds, qu’ils feront lors du prochain voyage. L’armurerie commence à prendre forme.


De tempête en tempête: il faut bien travailler quand même

Ceci validé, c’est au QG qu’ils retrouvent Akio, en train de donner ses instructions à Philou, qui arbore la tenue officielle du clan (TC 00:50:00). Cette petite pause permet de discuter des modifications encore nécessaires sur leur comptabilité mais soudain une annonce gouvernementale retentit, une tempête est en approche. Tous se mettent à l'abri, pour discuter des petites mains, afin de ne pas être soufflés comme lors de la prise de la raquette. Ces dernières doivent être mises en stand by pour le moment, car les fonds doivent partir en priorité pour les achats divers et variés nécessaires pour le bon fonctionnement du business. A commencer par les appartements du quartier. L’achat d’un avion devra attendre encore un peu.

Le vent enfin calmé, le Clan ressort petit à petit, non sans un coup de pression lorsque Sōsuke aperçoit du coin de l'œil une voiture bleue type américaine tourner et s’empresse de partir à sa suite. Malheureusement ou heureusement, elle semble n’avoir été que de passage.


Faisant un tour des stocks, l’Oyabun décide de retourner sur Cayo pour vider un peu ce qui  s’y trouve et fabriquer quelques armes au passage, ils ont besoin de 9mm (TC 01:31:00). Sauf que voilà, une nouvelle tempête s’annonce… Les hommes du Clan réalisent qu’ils sont très loin de chez eux et risquent de perdre tout ce qu’ils viennent d'acquérir. Et à cela s’ajoutent des soucis de coffres verrouillés. C’est donc le plus vite possible qu’Ethan dépose ses collègues au niveau des canaux et rentre s’abriter à la marina. Plus de peur que de mal, tous arrivent à rentrer et prennent même le temps de discuter autour de Philippe quelques instants (TC 01:58:30). Sentant une intense fatigue arriver en même temps que la tempête, le chef Yakuza décide d’en profiter pour se retirer pour la soirée. La semaine précédente a été intense et il faut savoir se ménager. Le repos aussi c’est important.

02/08/23 - S02 EP03

02/08/23 - S02EP03 

https://www.twitch.tv/videos/1888361059

https://youtu.be/AXnMOGcA_wI


        Faire le point : après des vacances bien méritées

C’est justement après un peu de repos que Sōsuke se remet en selle, avec l’habituelle mauvaise nouvelle : un véhicule à aller chercher en fourrière ; en plus de nombreux appels en absence. Il retrouve Cole, Akio et Maxine devant le QG, le second annonce immédiatement une autre mauvaise nouvelle : Ezio et Ethan sont en prison ! Plus simplement sans doute en garde à vue, mais dans tous les cas le Clan travaille bien. 

L’Oyabun en profite pour faire le point sur tous ses appels en absence des différents groupes criminels : Madz c’est compliqué, Akio n’a pas confiance mais ils ont un accord si ils apportent des pièces pour fabriquer des radios ; pour les Lost ils ne se sont pas encore revus, selon Riku ils auraient abandonné leur envie d’avoir le bizz d’armes mais cela reste à confirmer, et pour les Ghost, ils doivent les voir pour leur donner les tarifs. Ils n’ont pas trop travaillé avec le Cercle ces derniers temps, quelques transactions mais au moins la dette d’argent sale est réglée. Pour celle des Lost, le Clan a bien du mal à les rencontrer, et ils attendent un retour de leur part pour leur donner les tarifs. Parmi les groupes qui ont d’ailleurs ces tarifs, il y a les Fox, qui ont changé de chef, les Madz, qui ont râlé face aux prix élevés, les Sentinelles et un autre petit groupe les Hillbillies. Beaucoup les veulent mais Akio impose des rendez-vous en physique, pas par téléphone.

Le clan Ishikawa est désormais bien équipé : 2 AK, 2 Gusenberg et diverses autres armes. Il y a également eu un petit accrochage avec leur concurrent mais les Families sont simplement repartis avec un 9mm, histoire sans doute d’impressionner les petits nouveaux.


Lorsqu’il est bien au courant des dernières nouveautés, le chef Yakuza s’occupe du plus important : sortir sa Shinobi de la fourrière, après avoir fait les fonds des portefeuilles de chacun (TC 00:24:00). Au moins désormais ils sont à égalité, tous à sec ! 


Pour ce qui est du programme de ce soir, ils ont encore quelques groupes à rencontrer pour présenter les tarifs mais peu de monde répond au téléphone. Pour les Ghost ça peut se comprendre, le groupe a été attaqué par les Madz, qui ont récupéré le business, puis par les Raven, qui en ont profité pour récupérer le quartier. Ces derniers sont pratiquement inconnus, le Clan ne les a vu que sur une caisse, en passant en plein milieu de leur ancien quartier. Mais en attendant que quelqu’un daigne répondre, et que Ezio et Ethan sortent de GAV, les membres discutent ensemble, notamment de chargeurs et de l’importance de toujours être prévoyant.


Voilà que le président des Lost appelle Akio, puis Sōsuke en apprenant que l’Oyabun est présent (TC 00:37:55). Nate vient aux nouvelles, il attendait un appel plusieurs jours plus tôt mais le Yakuza a une bonne excuse, il était en vacances ! Il en profite d’ailleurs pour interroger le chef sur l’information transmise par Riku : que les armes ne les intéressent plus. Nate n’est pas aussi catégorique, il est toujours intéressé mais la suite dépend aussi de ce que donne l’appel et des réponses de Sōsuke. Il attend des infos sur les prix des armes, sur une éventuelle priorité des Lost sur les commandes, sur tout ce dont ils avaient convenu au départ. Les deux groupes organisent donc un rendez-vous rapidement, Nate ayant quelques genoux à casser ce soir il préfère être libre pour le reste de la soirée !

Cela augure peut-être de bonnes choses pour le Clan, si les Lost sont déjà en guerre avec d’autres, eux seront tranquilles et pourront vendre leur production. Les membres s’accordent sur les prix qu’ils vont finalement proposer, avec une réduction exceptionnelle : les chargeurs offerts pour les deux premières commandes, avant de se mettre en route.


         Rencontre avec les Lost : pour une proposition et une commande

Le rendez-vous a lieu sur les docks, pour plus de discrétion. A l’arrivée du gang de motards, l’ambiance se veut apaisée (TC 00:52:45). Akio se lance dans l’exposition des tarifs et les délais appliqués par le Clan, sans plus de cérémonie et de questions. Lorsqu’il termine, sans laisser le temps aux futurs acheteurs de répondre, Sōsuke prend la parole. Il souhaite leur exprimer toute la reconnaissance du Clan pour les gestes que les Lost ont eu lors de la prise du quartier. C’est pour cela qu’il propose d’offrir, sur les trois prochaines commandes, les munitions. Nate le remercie pour cela, il prend note mais avant de parler commandes, il souhaite revenir sur le blanchiment que le Clan devait effectuer. L’Oyabun le stoppe. Ils ont bien tenté de le faire mais son second ne semblait pas au courant de cet arrangement. Cependant, ils ont toujours les fonds. Akio le confirme, tout en indiquant qu’une partie peut leur être donnée dès ce soir. Le Lost réfléchit  quelques instants et fait une proposition. En regardant le propre que cela engendre, il propose un rabais de 100 K$ sur la commande future. Les japonais n’y voient pas d’inconvénients. Cela part donc en achat pour le gang du nord : 1 Ak , 2 scorpions, 10 PL, 10 Hazmat + 20 GBP, sachant que les chargeurs sont offerts. Ils seraient donc sur un total de 675 K$ (réduction comprise). Le deal terminé, les deux groupes se séparent, se donnant rendez-vous dans une semaine, lorsque la commande sera prête.


Étant dans le mood rendez-vous, Sōsuke tente de contacter les Ghost et la Piovra, malheureusement sans réponses. Il propose alors de voir les Vagos, ces derniers ayant émis l’idée d’être acheteur, avec une préférence pour payer en sale. Là est le hic. Le Clan n’a pas encore réfléchi à la rentabilité et la gestion de ce moyen de paiement. Une discussion s’engage alors au sein des membres, certains voyant plus facilement le bénéfice que d’autres (TC 01:13:15). L’Oyabun tranche alors, en réalisant que de toute façon, ils ne pourront pas livrer avant les Lost, en demandant à ses hommes de faire le point pour la fin de semaine.


Ceci fait, le groupe effectue un retour au quartier pour évoquer les dernières condamnations du Clan (TC 01:24:45). Ezio, plus tôt dans la journée s’est fait interpellé sur une caisse et les FdO ont été, pour une fois, clémentes, même si des questions sur le business ont été posées. Entendant les membres évoquer ce qu’il faut dire ou non, Sōsuke en profite pour faire le point sur les rapports que le Clan doit avoir en dehors du groupe, maintenant qu’ils sont entrés dans la cour des grands. Il évoque, d’un ton ferme, qu'il ne peut y avoir de relations avec les forces de l’ordre et les civils. Si ces derniers ont des informations, si cela concerne le clan Ishikawa, elles seront achetées. Concernant les flics, sans les prendre pour des cons, il ne faut pas leur lâcher plus d’informations qu’ils ne savent déjà. C’est à dire que si l’un d’entre eux est pris sur une caisse d’armes, cela ne sert à rien de le nier mais cela n’est pas la peine de rentrer dans les détails de qui commande et à qui.
C’est bien noté pour tous, qui une fois de plus comprennent qu’ils font partie d’une famille et qu’aucun départ ne pourra se faire sans une mort ou un départ de l’île.


Un peu de boulot : ne fait jamais de mal

C’est sur ces paroles que le Clan retourne bosser, sans Hiro ni l’Oyabun qui se présentent aux EMS, suite à une chute du premier. Cette modalité faite, les deux hommes font un détour par le Benny’s. C’est une jeune femme masquée et costumée qui les reçoit (TC 01:44:15). Elle raconte que l’entreprise fait régulièrement des journée à thème pour ses employés et qu’aujourd’hui, c’est celui des Pokémon. Elle est d’ailleurs plutôt fière car avec sa batte de baseball, elle a réussi à faire peur à une patrouille. En souriant, Sōsuke prend note pour un futur recrutement, mais la jeune femme l’arrête aussi sec. Il ne peut en être question et se présente comme Hanaë, la femme de Flash des Families. C’est ravi d’avoir eu accès à cette information que les deux japonais rejoignent les autres sans plus de cérémonie.


Alors que tous sont répartis sur les quatre coins de l’île, le numéro un et le numéro deux restent auprès de Philippe pour les commandes de pièces, en vue de la fabrication des armes pour les Lost. Profitant de ce moment seuls, ils échangent sur tout et rien, notamment sur la compta, la caisse noire ou sur que faire lorsque les membres sont en récidives. Pour Sōsuke, il faut se montrer quitte à juste se balader en moto et en tenue. Pour Akio c’est une idée à creuser.


Alors que le bal des caisses se poursuit, le japonais sent la fatigue le gagner, sûrement le jet lag des vacances. Après une salutation générale, il décide d’aller se coucher pour se recaler quelque peu.


03/08/23 - S02 EP04

03/08/23 - S02EP04

https://www.twitch.tv/videos/1889092228

​​https://youtu.be/DStef1Fo68c


Prendre des nouvelles : du jour et des Madz

A son réveil, Sōsuke semble revivre les événements de la veille : son téléphone est à nouveau rempli d’appels en absence des différents groupes criminels qu’il avait tenté de joindre. Aujourd’hui ce sont Hiro, Maxine et Akio qui sont en bas du QG en train de travailler, et le second a, cette fois encore, une mauvaise nouvelle : la livraison de pièces d’armes en ammunation la veille ne s’est pas très bien passée ! Ils se sont fait arrêtés, ont perdu le bénéfice de 125k en sale et Akio a passé une petite heure au pénitencier ! Mais au moins il a eu l’occasion de discuter avec les Vagos présents là-bas. Il a eu des nouvelles des Madz, qui ont le matériel pour faire deux radios mais veulent une garantie qu’ils vont bien les récupérer par la suite. Beaucoup d’appels en absence de son côté aussi, le Cercle et la Piovra ne répondent pas non plus, ils ont encore des groupes à voir.


Pour aujourd’hui, Akio fait le récap : les munitions, tenues Hazmat et quelques armes blanches sont prêtes pour la commande des Lost, toutes les armes sauf les pistolets lourds sont en stock, mais cela si ils prennent dans leur propre stock. Il reste donc quelques armes à faire encore, l’AK ce n’est pas pour tout de suite mais ils peuvent s’occuper du reste aujourd’hui. C’est désormais à 3, Hiro étant parti se reposer, qu’ils vont s’atteler à la tâche, en commençant par la commande de pièces d’armes. L’occasion pour Sōsuke de se replonger à nouveau dans la compta pour commander tout le nécessaire, en veillant à ne pas trop charger les caisses puisqu’une seule équipe se charge de les récupérer. Les premières livraisons se déroulent sans anicroches, l’Oyabun en profite donc pour faire un peu plus de stock et relancer quelques pièces supplémentaires. Et après tout, si les FdO arrivent, ce n’est que de l’argent ! Il faut bien prendre des risques dans la vie. Cette fois-ci, ils payent, tout se passe sans accroc. Ils peuvent désormais préparer leur rendez-vous avec les Madz, Akio sentant le coup venir prévient : il ne donne pas les tarifs ce soir. Son chef lui a fait le coup la veille et il ne veut pas se faire avoir une deuxième fois, Sōsuke revient de vacances il n’est pas fatigué ! Mais justement, l’Oyabun préfère se remettre tranquillement dans le bain et faire travailler ses troupes ! 


Enfin un échange : mais un peu irritant

Le second du Clan s’est mis d’accord avec l’autre groupe et accepte de leur donner 40 000$ en garantie de leur fabriquer les deux radios. Mais à quelques minutes du rendez-vous le doute s’installe, car le chef ne répond pas au téléphone, ni les autres Madz. Mission avortée, l’argent est remis en lieu sûr et le Clan remet sa tenue de travail pour continuer la commande de pièces et de GPB (TC 00:56:00). Le chef Yakuza reste en place à côté de Philou pour les commandes et c’est à nouveau le duo Akio et Maxine qui part au charbon.

Tout ne peut pas toujours parfaitement se dérouler et c’est sur une caisse avec machette et GPB que les FdO sont sur place (TC 01:11:35). N’ayant les infos que par sms, Sōsuke temporise après avoir souhaité bon courage à son second : ce n’est que de l’argent, s’ils voient que la police est trop réactive autant laisser tomber. Mais heureusement le contenu est sauf et récupéré par le Clan (TC 01:14:40). Et comme toujours, les choses s’enchaînent car au même moment Jean Richaud appelle l’Oyabun pour le prévenir de la disponibilité des Madz pour l’échange.

A peine le temps pour Maxine et Akio de faire un récap de la livraison et de se changer, ils se mettent en route pour le rendez-vous. Comme la veille, celui-ci aura lieu dans un endroit peu fréquenté, sur les docks (TC 01:22:20), un endroit qui a l’avantage d’être à l’opposé du quartier des Madz ! En attendant qu’ils viennent jusque là, les membres discutent du rendez-vous, et de l’objet de la discussion, se demandant si le groupe va vouloir évoquer des sujets en plus du simple échange prévu. D’humeur joueuse, Sōsuke conseille à Maxine de jouer au Snake sur son téléphone pour passer le temps, pour s’empresser de l’appeler et de couper sa partie (TC 01:28:00). Il faut bien s’occuper pendant l’attente ! Surtout qu’après 10 minutes, Jean annonce seulement qu’ils partent de leur quartier. 

Finalement, le groupe en rose arrive (TC 01:34:00), la transaction se déroule sans soucis, Akio rappelle le deal : une radio pour les Madz et une radio pour le Clan, la première fabriquée sera pour les Madz et le Clan récupérera l’argent en garantie. Tous sont d’accord avec le principe, Jean rappelle juste qu’ils ne feront sans doute pas des milliers de radios donc qu’il ne faudra pas compter sur eux éternellement. Le rendez-vous terminé après cet échange, les trois membres du Clan sont unanimes, le ton de Jean a tendance à les irriter. Sōsuke est déjà prêt à lui casser les genoux. Mais pour l’instant, ils se chargent de rapporter tout le matériel au quartier.


Se rendre à Cayo : par tous les moyens

Cela va faire beaucoup à transporter jusqu’à Cayo, surtout qu’ils n’ont qu’un seul bateau. Sans Ethan levé, il sont coincés. Un avion serait idéal mais bien trop cher pour l’instant, Maxine a bien elle aussi le permis bateau, mais il va falloir dans ce cas en acheter un deuxième, pas trop cher.

Après quelques minutes de réflexion, ils envisagent même de voler un bateau ou un avion mais la sécurisation sur Cayo est plutôt risquée avec cette option. Si leur QG peut encore engranger du stock c’est surtout le fait de pouvoir relancer la fabrication de quelques armes qui les poussent à ses raisonnements. Le second rappelle surtout à l’Oyabun que les pistolets lourds sont à faire en grand nombre et qu’il serait vraiment pertinent de commencer dès ce soir. 


La décision est prise, Akio et Sōsuke se rendent à l’aéroport pour trouver un avion à voler pendant que Maxine et Ezio gèrent les stocks des différents appartements. Un petit avion est vite repéré par le duo et volé par le second. Celui-ci ne sait pas vraiment où se poser et propose le canal. Risqué, mais ça se tente ! Les caisses récupérées, les autres le rejoignent rapidement (TC 01:53:58). Si l’atterrissage était laborieux mais réussi, ils ne sont clairement pas sereins sur le redécollage. Le canal est plutôt étroit et de nombreux détritus bloquent le passage. Akio reste concentré mais les prévient : s’ils finissent aux EMS, il se dédouane de toute responsabilité !  


Après un : « prend de l’élan mais ne fonce pas dans le mur !» de son Oyabun, le second tente une marche arrière sous les « adieux » de chacun. D’un seul coup le moteur se met à brûler (TC 01:57:28). Sauve qui peut ! Et c’est dépités mais hilares, que les acolytes quittent l’engin. Akio propose de retester en se posant directement sur un parking au-dessus des canaux. Direction l’aéroport, sur place plusieurs avions sont prêts à être crochetés. Il y en a bien un énorme, mais apparemment trop pour Akio qui préfère jeter son dévolu sur un modèle similaire au premier. 


De retour au quartier pour poser le kamacho, l’Oyabun redirige une potentielle PM à Maxine après avoir constaté qu’Ezio avait une méthode bien à lui pour parler business. Celui assume n’être pas très loquace là-dessus mais précise que son interlocuteur avait l’air encore plus con que lui ! Après avoir déposé les autres sur le parking où l’avion s’est posé, Sōsuke repasse au quartier déposer le véhicule et se dirige vers eux dans une course digne de Naruto (clip)


Et c’est un décollage réussi pour Akio, trop concentré pour répondre aux autres. C’est avec soulagement que l’atterrissage se fait dans la douceur et sous les applaudissements ! (TC 02:13:20). 


Un camion récupéré à l’aéroport de Cayo et Ezio restant auprès de l’avion en surveillance, le reste du groupe se dirige rapidement vers un des employés du cartel pour lui déposer les caisses récupérées dans la journée. Puis ils se rendent dans un des bâtiments de l’île pour blanchir l’argent récupéré. Les transactions sont faites, l’avion peut alors redécoller. C’est au final un vol retour sous le signe de la sérénité mais quand même de la sécurité pour les membres du Clan. L’avion est alors abandonné sur le parking.


De retour au QG, Sōsuke prévient les autres qu’il part se reposer, bien content d’avoir testé Air-Ishikawa ce soir.



Episode de fin

Quelques jours. 

Il n'aura, encore une fois, fallu que quelques jours pour que tout bascule. 


Ce jour-là, à son retour du continent, Sōsuke remarqua, sur la table, un pli qui fit écho à un souvenir pas si lointain. Le japonais n’eut pas à réfléchir bien longtemps pour comprendre que la missive, sans destinataire ni expéditeur, n’avait pas été placée là par hasard. Pas besoin de plus d’explications sur le comment elle s’ était retrouvée dans le QG pour comprendre, le sceau du Clan Soma indiquait clairement toutes les indications à savoir. 


Sōsuke la regarda quelques instants avant de l’ouvrir. A l’intérieur, quelques lignes manuscrites : 


« Je savais que je pouvais compter sur toi. La prise d’Okinawa t’attend »


Instantanément, il comprit. Et ceux qui le connaissaient d’avant, auraient remarqué le changement immédiat dans son regard.


C’est pourquoi, à peine après avoir trouvé , sur la table, la lettre et un billet d’avion pour Osaka, Sōsuke n’a pas posé de questions. Le jeune homme s’est levé et est parti sans regards en arrière. 

Ce que l’Oyabun demande, un kobun l’applique.