Les secteurs les plus densément peuplés sont situés au centre-ville comme on s'y attendait.
Le portrait est quasi identique à celui de 2011. Il n'y a pas eu de déplacement ou d'agrandissement significatif des différentes zones de densité entre les 2 recensements.
Source :
Profil de recensement, Nº au catalogue : 98-401-X2016043, [id:6] Densité de la population au kilomètre carré.
Aucun secteur de recensement n’a connu une augmentation de la population supérieure à 36 %, il y en avait 6 en 2011. La majorité de secteurs de recensement centraux sont toujours en baisse.
L’étalement urbain est toujours un phénomène actuel, les plus fortes hausses de la population sont en périphérie. Même chose sur la rive sud.
Comparatif 2011 - 2016
Source :
Profil de recensement, Nº au catalogue : 98-401-X2016043, [id:3] Variation en pourcentage de la population, 2011 à 2016.
À première vue. le portrait est assez semblable à celui de 2011 mais en y regardant de plus près on note 2 choses :
Les personnes plus âgées sont concentrées au centre-ville mais gagnent du terrain à Lebourneuf et le secteur du vieux port avec la présence de nombreux condominiums et résidences du trosième âge.
On assiste à un rajeunissement du centre-ville notamment dans les secteurs de Limoilou et de Saint-Sauveur.
Comparatif 2011 - 2016
Source :
Profil de recensement, Nº au catalogue : 98-401-X2016043, [id:40] Âge médian de la population (6).
Les plus fortes proportions de jeunes de moins de 15 ans sont en périphérie mais on note tout de même une légère augmentation des moins de 15 ans dans les secteurs centraux où des zones vertes (6%- 12%) ont remplacés les zones turquoises (0%-6%).
Comparatif 2011 - 2016
Source :
Profil de recensement, Nº au catalogue : 98-401-X2016043, [id:34] Total – Répartition (%) de la population par grands groupes d’âge – Données intégrales (100 %) [id:35] 0 à 14 ans.
Québec devient de plus en plus cosmopolite. En 5 ans seulement, la situation a beaucoup changée du moins dans les secteurs centraux. De nombreux secteurs de recensement ont passé à la classe supérieure. Un secteur de recensement atteint 21 % de personnes de langue maternelle étrangère alors que le maximum atteint en 2011 était de 18 %.
À l’extérieur des secteurs centraux par contre, l’image est au beau fixe. Aucun secteur de recensement ne réussit à passer la barre des 4% de langue maternelle étrangère.
Comparatif 2011 - 2016
Source :
Profil de recensement, Nº au catalogue : 98-401-X2016043, [id:112] Total – Langue maternelle pour la population totale à l’exclusion des résidents d’un établissement institutionnel – Données intégrales (100 %) (22), [id:113] Réponses uniques id:[117] Langues non officielles, [id:201] Langues non autochtones.