Le rôle d’une infrastructure réseau est de centraliser les ressources ou données d’une entreprise et de faciliter leur utilisation dans le but d’optimiser la relation entre les agents. Ceci facilite le travail collaboratif. Ainsi, l’entreprise connaît de meilleur rendement parce que l’infrastructure réseau conduit à de meilleures prises de décisions. À titre d’exemple, avec cet outil, les impressions sur papier sont éliminées. Les données sont juste échangées de manière sécurisée via la plateforme mise en place par le réseau.
L’infrastructure réseau joue beaucoup d’autres rôles très importants. Elle permet de conserver sur une longue durée les fichiers de l’entreprise. Si par mégarde les données ont été supprimées ou que l’ordinateur connaît un problème, grâce à cet outil, les fichiers sont récupérables. La sécurisation des données est aussi de mise avec l’infrastructure réseau. Par exemple, un agent ne peut pas accéder aux données confidentielles d’un autre. Aussi, cela protège les informations de la société des attaques extérieures (piratage, antivirus).
L’infrastructure réseau régularise l’accès à internet au sein de l’entreprise. Un identifiant et un mot de passe sont attribués à chaque employé. Ce dernier doit les renseigner avant d’avoir accès à son poste et à internet
L’infrastructure réseau est un outil informatique mis en place pour assurer une liaison entre les périphériques informatiques (serveurs, routeurs, postes de travail etc.) d’une même entreprise afin de favoriser un transfert d’information ou de ressources. L’idée numéro un de l’infrastructure réseau est de permettre que le personnel d’une entreprise puisse accéder et faire circuler des informations ou données entre eux assez rapidement et en toute sécurité. Le personnel a donc accès à des logiciels de travail spécifiques. Dans une infrastructure réseau, les équipements informatiques sont reliés soit physiquement ou virtuellement. Ils sont connectés entre eux à travers des voies de communication.
La force des infrastructures réseau réside dans la qualité de la technologie utilisée pour la circulation des données, la résistance des liaisons physiques et les types de signaux utilisés. C’est pour cela qu’il est recommandé de confier l’installation de l’infrastructure à un professionnel qualifié. Il pourra avec toute son expertise mettre en place un réseau irréprochable. Cet outil joue plusieurs rôles dans l’entreprise.
Comme l’indique le nom, cet outil fonctionne en chaîne. C’est un réseau informatique composé d’une unité centrale et des postes secondaires qui reçoivent les informations. À partir du serveur, on peut lancer n’importe quelle activité. Ce dernier transfert ainsi la requête effectuée après l’avoir traité au périphérique concerné. Il peut s’agir d’une imprimante ou d’un poste ordinateur, ou autre matériel avec des données faisant partie du parc informatique. Ces derniers sont interconnectés au serveur par des câbles ou fibres optiques qui jouent le rôle de “ livreur ”.
En gros, on peut comparer l’infrastructure réseau à un système comportant un satellite principal qui envoie des signaux à des capteurs chargés d’exécuter les demandes
le développement de logiciel fait référence à un ensemble d'activités informatiques dédiées au processus de création, de conception, de déploiement et de support des logiciels ».
Le logiciel lui-même est l'ensemble des instructions ou des programmes qui indiquent à un ordinateur ce qu'il doit faire. Il est indépendant du matériel et rend les ordinateurs programmable . Il en existe trois types de base :
le logiciel système qui fournit des fonctions de base telles que les systèmes d'exploitation, la gestion de disques, les utilitaires, la gestion du matériel et d'autres nécessités opérationnelles.
le logiciel de programmation qui permet aux programmeurs de disposer d'outils tels que des éditeurs de texte, des compilateurs, des éditeurs de liens, des débogueurs et d'autres outils pour créer du code.
le logiciel d'application (applications ou applis) pour aider les utilisateurs à effectuer tâches. Les suites de productivité bureautique, les logiciels de gestion des données, les lecteurs multimédias et les programmes de sécurité sont des exemples. Le terme applications désignent également les applications Web et mobiles telles que celles utilisées pour faire des achats sur Amazon.com, pour socialiser avec Facebook ou pour poster des photos sur Instagram.1
Un quatrième type possible est le logiciel intégré. Le logiciel système intégré est utilisé pour contrôler des machines et des unités qui ne sont pas habituellement considérés comme des ordinateurs : réseaux de télécommunications, voitures, robots industriels, etc. Ces unités, et leur logiciel , peuvent être connectées tant que composant de l'Internet des objets (IoT).2
Le développement de logiciel est principalement réalisé par des programmeurs, des ingénieurs en logiciels et des développeurs de logiciels. Ces rôles interagissent et se chevauchent, et la dynamique entre eux varie considérablement d'un service de développement à l'autre et d'une communauté à l'autre.
Les programmeurs, ou codeurs, écrivent le code source, afin de programmer des ordinateurs pour des tâches spécifiques telles que la fusion de bases de données, le traitement de commandes en ligne, l'acheminement des communications, la réalisation de recherches ou l'affichage de textes et de graphiques. Les programmeurs interprètent généralement les instructions des développeurs et des ingénieurs en logiciels et utilisent des langages de programmation comme C++ ou Java pour les exécuter.
Les ingénieurs logiciel appliquent des principes d'ingénierie pour créer des logiciels et des systèmes, afin de résoudre des problèmes. Ils utilisent un langage de modélisation et d'autres outils pour concevoir des solutions qui peuvent souvent être appliquées aux problèmes de manière générale, par opposition à la résolution d'un cas donné ou pour un client spécifique. Les solutions d'ingénierie logicielle adhèrent à la méthode scientifique et doivent fonctionner dans le monde réel, comme pour les ponts ou les ascenseurs. Leur responsabilité s'est accrue à mesure que les produits sont devenus de plus en plus intelligents grâce à l'ajout de microprocesseurs, de capteurs et de logiciels. Non seulement un nombre croissant de produits s'appuient sur les logiciels pour se différencier sur le marché, mais leur développement de logiciel doit être coordonné avec le travail de développement mécanique et électrique du produit.
Les développeurs de logiciels ont un rôle moins formel que les ingénieurs et peuvent être étroitement impliqués dans des domaines spécifiques du projet, y compris l'écriture du code. Parallèlement, ils pilotent le cycle de développement de logiciel dans son ensemble, notamment en travaillant avec des équipes fonctionnelles pour transformer les exigences en fonctions, en gérant les équipes et les processus de développement, et en procédant aux tests et à la maintenance des logiciels.3
Le travail de développement de logiciel ne se limite pas aux codeurs ou aux équipes de développement. Les professionnels tels que les scientifiques, les fabricants de dispositifs et de matériel informatique créent également du code logiciel, même s'ils ne sont pas principalement des développeurs de logiciels. Il ne se limite pas non plus aux secteurs d'activité traditionnels des technologies de l'information, comme les entreprises de logiciels ou de semi-conducteurs En fait, selon le Brookings Institute (lien externe à bm.com), ces entreprises « représentent moins de la moitié des sociétés effectuant du développement de logiciel ».
Une distinction importante est le développement de logiciels personnalisés par opposition au développement de logiciels commerciaux. Le développement de logiciels personnalisés est le processus de conception, de création, de déploiement et de maintenance de logiciels pour un ensemble spécifique d'utilisateurs, de fonctions ou d'organisations. En revanche, les logiciels commerciaux prêt à l'emploi sont conçus pour un large éventail d'exigence, ce qui permet de les modulariser, de les commercialiser et de les distribuer.
Aussi connu sous le nom d’administrateur en sécurité informatique, l’administrateur système et réseaux est chargé du maintien de la qualité d’un réseau informatique au sein des différentes structures d’une entreprise. L’administrateur système et réseaux est souvent à la tête d’une équipe, et dispose de compétences de pointe afin de pouvoir répondre aux différentes contraintes du terrain, mais aussi de budget, quel que soit l’endroit où l’objectif de l’entreprise.
C’est également lui qui va administrer les infrastructures et les services informatiques qu’il a installées. Il est responsable avec ses équipes non seulement du paramétrage, mais aussi de l’installation/gestion de la sécurisation et de la maintenance de tout l’ensemble (système, réseau, etc…). L’administrateur systèmes et réseaux est en charge de l’application de la politique de sécurité d’une entreprise et va contribuer à renforcer l’entreprise dans le temps en étudiant de nouvelles solutions techniques de sécurité à mettre en place, mais aussi en réalisant des campagnes de sensibilisation afin que les collaborateurs qui utilisent le réseau puissent le faire en toute sécurité sans mettre en péril les données sensibles de l’entreprise. Ce poste est également sujet à travailler en dehors des jours ouvrés de par son haut niveau de responsabilités. Des possibilités d’astreintes peuvent également être mises en place afin d’assurer le bon état de fonctionnement et de gestion du réseau à tout moment, de jour comme de nuit.
Le premier rôle de l’administrateur systèmes et réseaux est d’assurer aux entreprises qui font appel à ses services le bon état de fonctionnement de l’infrastructure et du réseau informatique, mais aussi de tout le système qui est mis en place. Ce poste est souvent associé à une équipe, car l’administrateur doit assurer pour chaque client un support technique et de maintenance qui doit être mis en place et pouvoir intervenir à n’importe quel moment de la journée. Il faut également être en mesure de réceptionner et d’installer les différents équipements informatiques au fur et à mesure de leur arrivée. Il est très sollicité, car les salariés de différents services de l’entreprise le mettent souvent à contribution au moindre problème rencontré ce qui renforce d’autant plus le besoin d’une équipe pour accompagner cet expert.
En plus de ces tâches, l’administrateur systèmes doit être en mesure d’anticiper et de résoudre les différentes pannes du réseau, d’assister les utilisateurs en restant pédagogue, de veiller continuellement à la sécurité du réseau et de connaître parfaitement chaque installation afin de pouvoir réaliser une veille technologique tout en définissant les besoins d’évolution des équipements (Souvent à l’aide d’un audit réseau) . Il est réactif, autonome et passionné par son métier. Son rôle est également de se former continuellement et de rester informé des avancées technologiques afin de ne pas se faire dépasser à l’heure où de nouvelles innovations apparaissent tous les ans.
La cybersécurité est un ensemble de processus, d’outils et de cadres visant à protéger les réseaux, les appareils, les programmes et les données des cyberattaques. Les cybercriminels lancent de telles attaques pour obtenir un accès non autorisé à des systèmes informatiques, interrompre des opérations d’entreprise, modifier, manipuler ou voler des données, réaliser de l’espionnage industriel ou extorquer de l’argent aux victimes.
Les cyberattaques affectent actuellement un Américain sur trois chaque année, sachant qu’une attaque a lieu toutes les 39 secondes. Elles entraînent souvent des préjudices financiers ou une atteinte à la réputation, endommagent l’infrastructure informatique, et découlent sur des amendes réglementaires. Pour protéger leurs précieuses ressources et données des pirates, les entreprises et les individus ont besoin d’un solide dispositif de cybersécurité.
En 2021, le cybercrime a coûté au monde 6 000 milliards de dollars américains. D’ici 2025, ce coût passera à 10 5 00 milliards de dollars. Le cybercrime est un problème de plus en plus sérieux, et pour s’y attaquer, il est essentiel de disposer d’un excellent dispositif de cybersécurité.
Les individus, les gouvernements, les entreprises, les organismes à but non lucratif et les établissements d’enseignement risquent tous de subir des cyberattaques et des violations de données. À l’avenir, le nombre d’attaques se multipliera, avec l’évolution des technologies numériques, l’augmentation du nombre d’appareils et d’utilisateurs, les chaînes logistiques mondiales de plus en plus complexes, et le rôle de plus en plus stratégique des données dans l’économie numérique. Pour minimiser le risque d’une attaque et pour sécuriser les systèmes et les données, un solide dispositif de cybersécurité devient vital.
D’après IBM, 77 % des entreprises ne disposent pas d’un plan de réponse aux incidents de sécurité, et certaines tardent plus de 6 mois ne serait-ce qu’à détecter une violation. Pendant ce temps, les pirates peuvent faire ce qu’ils veulent, du vol de données aux dommages de systèmes et à la demande de rançons, en passant par la surveillance de conduite.
La cybersécurité d’entreprise est une approche plus complexe que la cybersécurité classique, et implique la protection de toutes les ressources d’entreprise, tant sur site que dans le Cloud. Elle implique aussi d’autres aspects :
Vérification des fournisseurs tiers et de leurs contrôles de sécurité
Compréhension de l’environnement de risque
Mise en œuvre de solides contrôles d’accès dans l’ensemble de l’entreprise
Évaluation des vulnérabilités et menaces existantes
Sauvegarde régulière de données
Protection des ressources vis-à-vis de tout accès non autorisé ou de toute fuite de données
Mise en œuvre d’un plan de correction
Bien que les termes de cybersécurité et de sécurité des systèmes d’information (SI) soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ne couvrent pas exactement la même réalité car chacun correspond à différents types de sécurité. Les termes de sécurité informatique et de cybersécurité sont aussi souvent confondus.
La sécurité informatique est la protection des ressources informatiques telles que les terminaux, les bases de données, les serveurs, les réseaux et les données pour éviter tout accès non autorisé, et donc le risque d’utilisation abusive ou de vol. Il s’agit d’un processus global qui s’intéresse à la façon dont les données d’entreprise sont gérées au quotidien. Ces attaques peuvent provenir de l’intérieur ou de l’extérieur d’une entreprise. La sécurité des systèmes d’information fait référence à la protection de la confidentialité, de l’intégrité et de la disponibilité des données en empêchant tout accès non autorisé, mais aussi toute modification, manipulation ou destruction.
La cybersécurité est un « sous-ensemble » de la sécurité informatique. Elle vise à protéger les ressources du piratage ou des cyberattaques, c’est-à-dire des menaces provenant d’Internet ou survenant via Internet.
Le risque de cybersécurité correspond au potentiel de perte ou de préjudice résultant de l’endommagement d’une ressource informatique, susceptible d’entraîner un vol de propriété intellectuelle, une perte financière, une atteinte à la réputation, et des amendes légales ou réglementaires. En mesurant les risques, les entreprises peuvent optimiser les actions permettant de mieux les gérer, et s’assurer ainsi qu’il n’y a pas d’obstacles aux objectifs commerciaux.
La mesure du cyberrisque implique généralement toutes les étapes suivantes :
Identifier les ressources et définir leur priorité. L’évaluation des risques de cybersécurité commence par la compréhension des ressources de l’entreprise et la définition de leur priorité, en établissant celles dont la perte, l’exposition ou l’endommagement pourrait avoir un impact sur les opérations.
Identifier les vulnérabilités. Toutes les vulnérabilités susceptibles de laisser une menace causer des dommages sont identifiées à l’aide de l’analyse automatique des vulnérabilités, des tests d’intrusion, ou de l’utilisation d’une base de données de vulnérabilités telle que la base de données nationale des vulnérabilités du NIST.
Évaluer la probabilité d’un incident de sécurité. La probabilité qu’une vulnérabilité puisse être exploitée est évaluée, et la vulnérabilité en question est alors classée comme élevée, moyenne ou faible.
Calculer l’impact de la menace. L’impact probable ou le dommage que pourrait causer une menace à une ressource est calculé et classé comme élevé, moyen ou faible.
Calculer le risque.Risque = Menace x Vulnérabilité x Ressource. À partir de cette équation, l’entreprise peut mesurer chaque risque.
Créer une matrice de risques pour la planification des corrections. Enfin, la matrice de risques est établie, les deux axes représentant la probabilité et l’impact.
Risque = Probabilité x Impact. À partir de cette valeur, chaque risque est classé comme élevé, moyen ou faible, à la suite de quoi les stratégies de réduction appropriées sont mises en œuvre.
En 2021, le coût moyen mondial de la violation de données était de 4,24 millions de dollars américains. Le meilleur moyen de maintenir ce coût le plus bas possible est d’empêcher les cyberattaques en ayant recours à un solide dispositif de cybersécurité. Toutefois, les systèmes de sécurité peuvent être complexes et nécessitent des experts en interne, ce dont manquent beaucoup d’entreprises. Elles ne parviennent donc pas à mettre en œuvre un bon système de cybersécurité et restent vulnérables aux cyberattaques.
L’intelligence artificielle (IA) peut aider à lutter contre les cybermenaces plus efficacement et à réduire leur impact. Ces solutions collectent et analysent de gros volumes d’informations de surveillance des menaces provenant de sources multiples, permettent aux équipes de sécurité de répondre rapidement aux menaces, et minimisent les dommages.
Certaines solutions d’IA peuvent « apprendre » de manière continue et à partir des données des menaces, à identifier plus rapidement les menaces. L’IA automatise également l’identification et l’analyse des risques, afin que le personnel de sécurité puisse non seulement supprimer les tâches répétitives ou chronophages, mais aussi catégoriser rapidement les menaces et les corriger.
Il n’existe pas de méthode ou d’outil de cybersécurité capable de défendre de tous les types d’attaque. Voilà pourquoi la cybersécurité avec défense en profondeur (DEP) est essentielle. Avec la DEP, également connue sous le nom d’ « approche forteresse » en matière de cybersécurité, des mécanismes défensifs multiples sont mis en œuvre pour protéger les ressources d’entreprise. Cette approche multicouche renforce la sécurité globale. De plus, si un mécanisme échoue, les autres fonctionneront pour prévenir ou stopper les cyberattaques.
Une stratégie de cybersécurité avec DEP inclut différents éléments :
Logiciel antivirus. Les solutions antivirus comportant des fonctionnalités heuristiques qui recherchent et signalent les activités suspectes offrent une plus forte protection que les solutions classiques basées sur des signatures.
Contrôles de sécurité du réseau. Les pare-feu et les systèmes de protection contre les intrusions peuvent identifier des menaces de sécurité potentielles, et les bloquer à partir de règles de sécurité.
Solutions d’intégrité des données. Ces produits vérifient les adresses IP sources pour confirmer que les fichiers entrants proviennent de sources connues et de confiance uniquement.
Analyse comportementale. Ces systèmes analysent les comportements des fichiers et des réseaux en fonction de comportements « normaux » prédéfinis. Ils envoient ensuite des alertes ou effectuent des actions automatiques pour bloquer une violation ou l’empêcher de se poursuivre.
Stratégies et procédures. Les stratégies de gestion des risques, de gestion de la chaîne logistique, de la réponse aux incidents, etc. permettent de renforcer la cybersécurité.
Le panorama des cybermenaces est en constante évolution. La mise en œuvre d’un solide dispositif de cybersécurité peut donc s’avérer être un véritable défi. Elle n’est toutefois pas impossible, si les entreprises suivent une approche systématique en intégrant les éléments suivants :
Analyse et gestion des risques. Une approche basée sur les risques garantit que les équipes de sécurité auront connaissance des risques les plus critiques pour l’entreprise, et pourront adopter l’intervention adéquate pour réduire leur impact éventuel.
Inventaire et gestion des ressources. Il est essentiel de comprendre les ressources d’une entreprise pour appréhender et gérer les risques qui menacent ces ressources.
Identification et gestion des vulnérabilités. Les vulnérabilités doivent être identifiées et corrigées dès que possible, en particulier si elles sont critiques et peuvent véritablement nuire à l’entreprise.
Déploiement de la gestion des accès et identités. Pour éviter à la fois les attaques de l’intérieur et de l’extérieur, il est essentiel de protéger et de contrôler l’accès aux services, aux systèmes et aux données.
Sécurité des données. L’ensemble des données organisationnelles doit être protégé de tout accès ou utilisation non autorisés.
Gestion des incidents. Une bonne gestion des incidents peut réduire l’impact et les dommages causés par les incidents de sécurité.
Sécurité de la chaîne logistique. Il est essentiel d’identifier et d’appréhender de manière cohérente les risques et vulnérabilités sur les réseaux tiers.
Formation des salariés. Selon une étude IBM, l’erreur humaine est responsable de 49 % des violations. Une autre étude de la Stanford University estime que les erreurs humaines, en particulier celles des salariés, est à l’origine de 88 % des violations. Les salariés utilisent souvent des mots de passe faibles, se font avoir par les e-mails d’hameçonnage, ou n’installent pas les mises à jour de sécurité sur leurs appareils. Il est vital de former le personnel aux bonne habitudes de cybersécurité pour bénéficier d’une solide protection.
L’identification, l’évaluation et la mesure des risques sont des composantes importantes de la mise en place d’un programme de cybersécurité. Sans ces étapes essentielles, les entreprises ne pourront sans doute pas mettre en œuvre un dispositif solide, ni améliorer leur posture de sécurité.
Un plan de continuité d’activité (PCA) permet à une entreprise de poursuivre ses opérations en cas de survenue d’un événement inattendu tel qu’une cyberattaque ou une violation des données. Mais pour cela, il est essentiel de disposer d’un excellent écosystème de cybersécurité. Lorsque les outils et technologies de cybersécurité adéquats sont en place, l’entreprise peut rapidement réagir à un événement perturbateur, réduire les risques et minimiser les dommages.
En 2020, le vol de données et les cyberattaques arrivaient à la 6e et à la 7e place des risques mondiaux les plus importants en termes de probabilité de survenue. En 2021, les hackers continuent d’exploiter la pandémie de COVID-19 et le passage au télétravail opéré en conséquence. Ainsi, les cyberattaques ont augmenté de 21 % dans le monde entier. La cybersécurité joue un rôle crucial pour se tenir à distance de telles menaces et des personnes malveillantes.
Les cybercriminels recherchent constamment le talon d’Achille des systèmes informatiques d’entreprise. Pour éviter d’être victimes de cyberattaques, les entreprises doivent mettre en œuvre les outils, les technologies et le personnel adéquats en matière de cybersécurité.
Le Data Analyst a pour mission d'exploiter et interpréter les données pour en dégager des observations business utiles. Ainsi, les rapports fournis permettent d'orienter les prises de décision du Management et améliorer les performances et les stratégies Marketing.
Le Data Analyst créé, administre et modélise la base de données et s'assure d’une mise à jour régulière pour en faciliter l’exploitation par les équipes métiers. En effet, il joue un rôle clé car il est souvent amené à travailler avec plusieurs équipes et les résultats fournis vont avoir un impact sur la croissance de l’entreprise. Les développeurs vont lui faciliter l'analyse des données qu’il mettra ensuite à la disposition des équipes Marketing, Finance, Commerciaux et de la Direction.
Les missions du Data Analyst sont variées :
Recueil et extraction des sources de données pertinentes et de qualité qu’il traduit ensuite en données statistiques ;
Traitement, exploitation et intégration des données dans un data warehouse (entrepôt de données) ;
Création de dashboards, mise en place de KPIs et reporting des performances pour donner une vision cohérente des résultats aux différentes équipes ;
Mise en place de process/requêtes et automatisation ;
Production d’analyses métiers et de recommandations aux managers ;
Gestion des outils d’analyses pour que les décideurs internes et les clients puissent suivre l’évolution de leurs produits ;
Veille technologique des nouveaux outils visant à l’améliorer l’analyse des données
Le Data Analyst est généralement issu d’une formation Bac+5 universitaire ou d’une grande école. Les profils qui ont suivi un cursus en mathématiques, statistiques, économie, marketing ou en informatique sont parmi les plus privilégiés par les entreprises.
Le Data Analyst possède des compétences techniques avec la maitrise de divers outils et logiciels (Excel, Web Analytics, BI, SAS, VBA, Python etc.), ainsi que des langages de programmation tel que R. Il doit à la fois faire preuve d’une grande aisance rédactionnelle et avoir une passion pour les chiffres et les statistiques. Son orientation business et son aisance relationnelle avec les métiers lui permettent de réaliser des recommandations pertinentes et de simplifier les problématiques techniques. Rigoureux, organisé, réactif et d'esprit analytique, le Data Analyst pourra ainsi être capable d’apporter une vision cohérente des tendances d’activité de l'entreprise. Un anglais courant est très apprécié pour ce type de poste.
Englobant de multiples situations, toutes différentes les unes des autres, la gestion de projet informatique constitue aujourd’hui une priorité pour une très grande majorité d'entreprises. Qu’il s’agisse d’accompagner ou d’accélérer la transformation numérique ou que ce soit pour offrir de nouvelles solutions à ses clients ou à ses collaborateurs, les entreprises recourent massivement au management par projet, qui répond aux nouvelles façons de travailler d’une part et aux aspirations des jeunes générations d’autre part. La gestion de projet informatique implique cependant une organisation et une méthodologie rigoureuse, et le chef de projet informatique apparaît être le garant d’un pilotage réussi.
Omniprésent, le projet informatique concerne toutes les entreprises, quelle que soit leur taille (de la start-up aux multinationales, en passant par les PME-PMI) et indépendamment de leur secteur d’activité (Commerce & Retail, Santé et services à la personne, …). Cette tâche récurrente dans le quotidien de tous les acteurs économiques consiste à élaborer, planifier et gérer un projet, défini notamment par des objectifs à atteindre.
Par nature, cette mission conduit les managers de projets à devoir s’adapter aux spécificités et aux contraintes singulières. Chaque cas apparaît alors unique, même si le pilotage de projet conduit inéluctablement à devoir faire face à des difficultés, des obstacles, qu’il faut nécessairement surmonter.
Au-delà des aspects techniques qui sont à évaluer pour chaque situation, trois grandes difficultés sont récurrentes en la matière : le manque de préparation, la gestion des retards et la juste et précise définition de la charge de travail.
Bien définir le management de projet, la garantie de pouvoir atteindre son objectif
Bien des difficultés naissent du manque de préparation dans l’élaboration même du projet à réaliser. Gérer des projets doit commencer par une évaluation précise des objectifs à atteindre (des indicateurs clairs et objectifs doivent être choisis) mais aussi des moyens à allouer à cette conduite de projets.
Cette attention doit se concentrer autant sur les moyens financiers (les problématiques de budget ne doivent pas freiner l’avancement du projet) qu’humains et matériels (identifier les compétences nécessaires à l’avancement et à la réussite, lister les outils requis, …). Quelle que soit la méthodologie de conduite, la gestion en mode projet nécessite donc une phase préparatoire conséquente sous peine de voir les difficultés et les obstacles se multiplier.
Les retards, des incontournables du management par projets
Par définition, le management par projet implique la succession de multiples étapes, faisant intervenir des spécialistes d’un grand nombre de domaines (développement informatique, Content Manager, UX/UI Designer, …). Chacune de ces étapes constitue un risque de voir apparaître un retard, qui entraînera alors des conséquences sur l’ensemble du processus de réalisation du projet. Il faut donc que la méthodologie de conduite de projet intègre cette gestion des retards, afin qu’ils n’impactent pas toutes les étapes ultérieures.
Bien évaluer la charge de travail liée à la gestion de projets
La troisième grande difficulté du management de projets réside dans la charge de travail nécessaire pour parvenir à ses fins. Celle-ci ne doit pas être sous-évaluée (cela entraînerait nécessairement un dépassement de budget voire un arrêt de la mission) et doit donc être parfaitement maîtrisée par le directeur de projet.
Bien qu’il soit délicat de fournir une définition précise de la digitalisation des PME, on peut dire ceci :
La digitalisation des entreprises consiste à prendre un virage numérique dans la stratégie et l’organisation interne de votre société.
Cette dernière, grâce aux outils du digital, fait en sorte de connecter les employés entre eux, à l’entreprise et au monde extérieur. Dans la dimension de digitalisation des entreprises, on inclut aussi l’utilisation systématique du numérique à tous les usages professionnels.
Cette transformation digitale est une véritable révolution, quel que soit votre secteur d’activité. Ceci nous amène à vous présenter les avantages indéniables à aborder le virage numérique.
Découvrez ce cas client pour mieux comprendre la digitalisation …
Ils ont réussi leur digitalisation
Intégrer les outils numériques dans votre entreprise est un grand pas. Mais que peuvent-ils vous apporter au quotidien ?
Seulement 16 % des entreprises disposent d’un e-commerce et proposent la vente en ligne de leurs produits ou services. Avant Internet, vous aviez à votre disposition des moyens limités pour atteindre une cible locale (publicités, flyers, portes ouvertes, publicité TV, etc.). Internet vous offre la possibilité de faire du business avec le monde entier ! La condition est d’être présent sur les canaux webmarketing : site web, réseaux sociaux, emailing etc.
Aujourd’hui, le développement des objets connectés et des outils issus de l’intelligence artificielle est impressionnant. Les agents conversationnels sont en plein essor… Face à toutes ces nouveautés, il est important pour les entreprises de prendre le virage numérique rapidement pour ne pas se laisser distancer.
Nous savons que 84% des français ont internet et 85% des internautes français achètent en ligne. Le comportement des consommateurs a bel et bien changé. Tout comme le rôle des commerciaux. Il faut savoir qu’aujourd’hui 80% des consommateurs se renseignent sur Internet avant d’effectuer un achat.
Pourtant, seulement 65% des entreprises possèdent un site internet et 41 % sont présentes sur les réseaux sociaux avec une stratégie de visibilité et/ou d’acquisition de trafic.
La digitalisation des entreprises permet une interaction directe avec les clients. L’avantage ? Vous pouvez intervenir dès que les consommateurs ressentent le besoin d’acheter vos produits, pour les guider, les conseiller et les convertir à l’achat. Vous êtes aussi présents en cas de problème ou d’insatisfaction, pour régler rapidement la situation et accroître vos chances de fidélisation.
L’entreprise digitalisée est également plus transparente vis-à-vis de ses clients. Vous exposez votre façon de travailler, vous mettez en avant vos valeurs et vous arrivez mieux capter vos prospects.
Mécaniquement, le virage numérique vous permet d’acquérir des clients et de les fidéliser à moindre coût.
On constate que le volume d’achat sur Internet a doublé en seulement 5 ans !
53% des entreprises qui ont pris le virage numérique ont amélioré leur rentabilité. Certaines entreprises affichent même des taux de croissances à deux chiffres… alors pourquoi pas la votre ?
Cette croissance du chiffre d’affaires est aussi la possibilité d’embaucher ! Ce fût déjà le cas pour 26% d’entre elles.
Quant à l’e-commerce, il a largement le vent en poupe :
16% de progression annuelle
835 millions de transactions
65 milliards de chiffre d’affaires
Votre chiffre d’affaires doit obligatoirement se diversifier pour pérenniser votre activité. Si, pour l’instant, les PME ayant pris le virage numérique sont peu nombreuses, n’attendez pas que vos concurrents ne vous laissent plus le choix. Soyez un précurseur et augmentez votre part de marché dès maintenant !
👉 découvrez si votre entreprise à un potentiel e-commerce
On compte environ 3 millions de petites et moyennes entreprises en Afrique quoi , ce qui représente environ 50 % des emplois, tous domaines confondus. On sait aujourd’hui que 2 PME sur 3% possèdent un site Internet en Afrique alors que l’on compte 3 PME sur 4 (en moyenne) dans les pays européens.
Devant l’ampleur du travail, il semble évident qu’on ne digitalise pas une entreprise d’un claquement de doigts. Cette opération a un coût important, suppose de faire parfois de gros changements structurels et surtout, d’ajouter de nouvelles compétences dans le panel actuel.
Dans un premier temps, vos collaborateurs sont votre meilleure ressource. Plus vous parviendrez à les impliquer dans cet ambitieux projet, plus il vous sera facile de la mettre en place. Commencez par sensibiliser vos collaborateurs sur les enjeux du numérique. Ils doivent pouvoir découvrir rapidement leurs avantages (nouvelles compétences, nouveaux projets, nouvelles missions, etc.) tout en faisant tomber les résistances aux changements.
Détectez les employés qui pourront devenir les ambassadeurs de ce virage numérique : c’est-à-dire ceux qui ont une prédilection à l’utilisation des nouvelles technologies et qui amorcent la digitalisation avec enthousiasme.
Pour les plus réticents, restez à leur écoute et prévoyez des formations supplémentaires. N’oubliez pas de leur dire que 52 % des sociétés avancées dans la transition digitale considèrent que les outils numériques renforcent la satisfaction et le bien-être au travail.
Dans un second temps, entourez-vous de professionnels et d’experts de la digitalisation des entreprises. Les écueils sont nombreux dans les nouveautés, mais il est possible de les éviter si vous vous entourez correctement.
Vous pouvez, par exemple, faire le choix de l’agence masterweb. Nous vous accompagnons dans ce virage numérique et nous vous aidons à créer un e-commerce performant pour booster votre activité.
Inutile donc de rappeler l’utilité et l’urgence de mettre en place une digitalisation de votre entreprise, dans de bonnes conditions, avec l’aide de professionnels. La marge de manœuvre commerciale est fantastique. Le marché du digital est encore tout neuf et de nombreux domaines sont encore peu fournis en concurrence. Ces marchés n’attendent que votre entreprise… digitale !