Le temps perdu mène le monde
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Marine Westphal
Auteure
C’est à 27 ans que mon premier roman « La téméraire » est publié aux éditions Stock. L’histoire d’une femme confrontée au coma brutal de son mari victime d’une accident vasculaire cérébral. Une histoire d’amour qui casse les frontières de la réalité et de la maladie et promeut l’imagination en rempart contre l’abattement.
L’écriture est entrée dans ma vie à l’adolescence. Comme la danse à l’époque, il s’agissait d’un exutoire. J’écrivais surtout de la poésie et de courts textes dans un cahier de brouillon. Puis j’ai écrit des nouvelles et participé à des concours sans prévenir personne. Un jour, une femme me téléphone : je suis l’heureuse lauréate du Prix de la nouvelle George Sand 2014 pour le texte « Ou bien sombrer ». Cette première reconnaissance extérieure et les retours positifs du jury m’encouragent à poursuivre avec l’écriture d’un roman. Trouver un éditeur alors que je ne fais ni partie du milieu éditorial ni ne réside à Paris est un parcours du combattant où la ténacité et la remise en question sont essentielles.
Ce sont finalement les éditions Stock qui me font confiance. « La téméraire » remporte le Prix de l’académie rhénane en 2017 et est finaliste des prix Folire et Orange 2018.
Depuis je continue de participer à des concours de nouvelles (Prix Gérard de Nerval de la nouvelle en 2018 pour le texte « A double tranchant ») et mon second roman "Olympe, mauvaise graine" est paru en mars 2022, aux éditions Stock.
Tout nouveau, tout chaud !Vous l’attendiez ?Peut-être pas autant que moi !
La période difficile de confinements et de restrictions a repoussé la publication demon second roman et aujourd’hui je suis très fière et heureuse de vous annoncer sa sortie officielle dans toutes les librairies de France !
Son nom ? « Olympe, mauvaise graine », aux Editions Stock, avec un bandeau auxcouleurs magnifiques de coucher de soleil illustré par Rohan Eason (UK).L’histoire ? Lisons ce qu’en dit l’éditeur :« Olympe, mauvaise graine » a tout du conte. Un univers onirique, fantaisiste, noir, quitrouve l’éclaircie. Des personnages très attachants ou parfaitement rebutants. Une langue imagée, captivante. Un contexte contemporain mais dont l’imagination s’affranchit aussitôt.Et d’abord, une enfant.Olympe est orpheline. Elle grandit parmi les malfrats. Son prénom, Olympe, lui a été donné par Luis, le patron, qui l’a trouvée bébé dans un carton d’appareils photo Olympus. Pour survivre, il faut voler. Elle apprend le silence, la bagarre, la solidarité – rare –, la trahison – récurrente. Un jour Luis, piégé par une autre bande, meurt. S’ouvre alors une page de violence tous azimuts. Les flics. L’hôpital. Et alors qu’Olympe erre dans sa chambre intubée et solitaire, arrive un étrange homme, un homme dont la peau semble faite d’écorce d’arbre, qui répare les plantes en danger, et qui va soigner cette « mauvaise graine ». Fuite de l’imagination ? Rêverie de réparation ? Une odyssée improbable et initiatique s’engage. Vers d’autres contrées, vers la liberté.
Un roman porté par une écriture poétique, qui rappelle Boris Vian, Edward aux mainsd’argent, un Miyazaki foutraque dans un univers pluvieux et industriel, Chihiro chez les Triplettes de Belleville. »
Ce que je peux ajouter : une histoire qui vient des tripes, où se mêlent la noirceur dela nature humaine et la poésie de l’imaginaire. Qui prendra le dessus ? Une enfant qui va grandir sans se débarrasser de sa sauvagerie, dans sa quête de liberté et de connaissance d’elle-même. Olympe, c’est un peu moi : une seule tête et plusieurs mondes qui cohabitent à l’intérieur. Je vous laisse la surprise, une chose est sûre, que vous l’apprécierez ou pas du tout, ce roman ne vous laissera pas indifférent !
N’hésitez pas à en parler autour de vous, à partager des photos, des extraits, desavis… C’est entre vos mains que le livre commence à vivre !
La période difficile de confinements et de restrictions a repoussé la publication demon second roman et aujourd’hui je suis très fière et heureuse de vous annoncer sa sortie officielle dans toutes les librairies de France !
Son nom ? « Olympe, mauvaise graine », aux Editions Stock, avec un bandeau auxcouleurs magnifiques de coucher de soleil illustré par Rohan Eason (UK).L’histoire ? Lisons ce qu’en dit l’éditeur :« Olympe, mauvaise graine » a tout du conte. Un univers onirique, fantaisiste, noir, quitrouve l’éclaircie. Des personnages très attachants ou parfaitement rebutants. Une langue imagée, captivante. Un contexte contemporain mais dont l’imagination s’affranchit aussitôt.Et d’abord, une enfant.Olympe est orpheline. Elle grandit parmi les malfrats. Son prénom, Olympe, lui a été donné par Luis, le patron, qui l’a trouvée bébé dans un carton d’appareils photo Olympus. Pour survivre, il faut voler. Elle apprend le silence, la bagarre, la solidarité – rare –, la trahison – récurrente. Un jour Luis, piégé par une autre bande, meurt. S’ouvre alors une page de violence tous azimuts. Les flics. L’hôpital. Et alors qu’Olympe erre dans sa chambre intubée et solitaire, arrive un étrange homme, un homme dont la peau semble faite d’écorce d’arbre, qui répare les plantes en danger, et qui va soigner cette « mauvaise graine ». Fuite de l’imagination ? Rêverie de réparation ? Une odyssée improbable et initiatique s’engage. Vers d’autres contrées, vers la liberté.
Un roman porté par une écriture poétique, qui rappelle Boris Vian, Edward aux mainsd’argent, un Miyazaki foutraque dans un univers pluvieux et industriel, Chihiro chez les Triplettes de Belleville. »
Ce que je peux ajouter : une histoire qui vient des tripes, où se mêlent la noirceur dela nature humaine et la poésie de l’imaginaire. Qui prendra le dessus ? Une enfant qui va grandir sans se débarrasser de sa sauvagerie, dans sa quête de liberté et de connaissance d’elle-même. Olympe, c’est un peu moi : une seule tête et plusieurs mondes qui cohabitent à l’intérieur. Je vous laisse la surprise, une chose est sûre, que vous l’apprécierez ou pas du tout, ce roman ne vous laissera pas indifférent !
N’hésitez pas à en parler autour de vous, à partager des photos, des extraits, desavis… C’est entre vos mains que le livre commence à vivre !
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