Communications

Communications dans des conférences, colloques ou workshops


 

○   Conférence internationale


•   Congrès de SMAI – France, La Grande-Motte, mai-juin 2021 -PDF-

•   Workshop Toulon-Berlin – France, Toulon, Novembre 2019 -PDF-

•   Ecole d’été et sessions de recherche sur les fluides géophysiques (CEMRACS 2019) – France, Marseille, juillet-août 2019 -PDF-

•   Congrès de SMAI – France, Guidel, mai 2019 -PDF-

•   Colloque de la société mathématique de la Tunisie – CSMT, Sousse, Mars 2019 -PDF-

•   Colloque de la société mathématique de la Tunisie – CSMT, Thabarca, Mars 2018 -PDF-



○   Séminaire


•   IDP, Orléans, – 19 novembre, 2020. -PDF-

•   IMATH, Toulon, – 29 octobre, 2020. -PDF-

•   FSS, Sfax (Tunisie), – 14 novembre, 2019. -PDF-



 

○   Conférence nationale


•   Comité de suivi de thèse, Toulon, Novembre 2018

•   journées des doctorants de la société Mathématique de Tunisie, Tunisie, Mai 2018

•   Mi-thèse, Sfax, Octobre 2017

 


Participation à des colloques scientifiques


•   Colloque Numerical Advances on Wave Propagation in Shallow Waters – NUMWAVE, Montpellier, Décembre 2017

•   Colloque Modélisation et Analyse des phénomènes dispersifs, Bordeaux, Novembre 2017

•   Journées Nice-Toulon-Marseille – NTM, Porquerolles, Mai 2017

•   Journées Nice-Toulon-Marseille – NTM, Porquerolles, Mai 2016



Participation à des groupes de recherche


•   Ecole d’été et sessions de recherche sur les fluides géophysiques (CEMRACS 2019) – France, Marseille, juillet-août 2019 -PDF-

Lors de cette session de recherche, j’ai développé un code de calcul pour la simulation de propagation de la houle, écrit en fortran. L’objet de l’étude est le système de Serre–Green-Naghdi afin de modéliser des écoulements incompressibles à surface libre en eaux peu profondes, tout en tenant compte les effets de la pression non-hydrostatique et les phénomènes dispersifs qui jouent un rôle important en particulier en océanographie côtière. Le schéma numériques est basé sur une méthode de splitting, en séparant la partie hyperbolique et la partie non-hydrostatique. L’algorithme est comparé à travers des simulations avec des ondes solitaires. Le modèle est également validé avec des données expérimentales concernant les ondes de Favre.