Maëlig Duval

Maëlig Duval (elle) vue par Cindy van Wilder

Ce qui me vient en tête en premier en pensant à Maëlig, ce sont ses chansons habilement détournées afin de célébrer l’optimisme et la camaraderie de CoCyclics.

Maëlig, c’est l’œil contemporain, la patte élégante, le trait d’humour vif-argent qui fait toujours mouche ! C’est l’observation des oiseaux sur le balcon, la narration des frémissements de la vie au quotidien d’une manière qui intrigue autant qu’elle enchante, c’est l’absurde, parfois féroce, mais souvent tendre, le tout rassemblé en une personne discrète, qu’il n’est pas facile d’apercevoir en salon.

Ses romans :

Ils sont à mi-chemin entre imaginaire et réalisme. La Légende des plumes mortes m’a embarqué dans un monde tragico-burlesque. Ses derniers titres, parmi lesquels le roman contemporain Rêver peut-être et le percutant Anna guidant le peuple, sont disponibles aux éditions Gephyre.

Son profil d’écrivaine :

Une phase d’observation d’abord – prendre des notes, écouter, observer, griffonner. Ensuite la rédaction, à la maison ou au café, dès qu’elle dispose de la concentration nécessaire. Et elle adore les notes de bas de page !

Son habitat naturel :

Une terrasse parisienne, un coin de verdure oublié dans la grisaille de la ville, où les oiseaux viennent picorer à l’abri des chats (et en évitant de saccager les boutures dans les pots !).