Healey a examiné la composition d'échecs comme un véritable art, en le comparant à la poésie dans le domaine littéraire. Dans son livre « »Une collection de 200 problèmes d'échecs (Londres, 1866) écrit:

« Les problèmes sont en effet la poésie d'échecs. La même profondeur de l'imagination, la même perception rapide de la belle, la même fécondité d'invention, que nous exigeons du poète, se trouvent, sous une autre forme, dans les humbles travaux du problémiste. Certes, sans appuyer sur l'analogie trop loin, on peut dire que les trente-deux pièces forment l'alphabet du compositeur, alors que le conseil d'échecs est le papier, et les positions peuvent finalement assez résultant être comparé à tant de strophes. »

(Les problèmes sont vraiment la poésie d'échecs. La même profondeur de l'imagination, la même perception rapide de la beauté, de la même fertilité d'invention que nous attendons d'un poète sont ritrovabili, sous différentes formes, dans le travail humble de problemista. Pas avec cette poussée trop loin l'analogie, on peut dire que les trente-deux pièces d'échecs sont l'alphabet du compositeur, alors que la planche est la feuille de papier, et des positions qui en résultent peuvent être comparées à versets créé par tant de poètes).

Le thème Bristol

Son nom est lié à une manœuvre qui est apparue dans un tournoi de trois coups problemistic Bristol 1861, connu sous le nom thème Bristol: « Une pièce est déplacée le long d'une ligne afin de passer d'une maison (home critique) qui doit être dépassé par un morceau de la même couleur, le long de la même ligne dans la même direction (l'ouverture de la ligne). »

Ce problème nous a été proposé et dédicacé par notre ami Guy Meissonnier, un grand merci à lui.