Ma vie Judo

 Résumé de mes débuts en Judo...

J’avais 14 ans lorsque mon père, qui avait « entendu » parler du Judo (c’était en 1955) m’a emmené assister à une démonstration organisée par le Comité d’entreprise Péchiney à Salindres et donnée par Judo-Club du Gard. J’en suis sorti enthousiasmé au point d’y consacrer ma Vie, puisque j’y suis encore après tant d'années ininterrompues de pratique (et de Licences FFJDA !). C’est trois ans plus tard que je devais entrer au Lycée Alphonse Daudet à Nîmes, j’ai alors couru aussitôt rejoindre le Judo Club du Gard et son Professeur Charles Toni. Mes premiers cours en octobre 1958, à 17 ans, (1 fois/semaine) me semblaient insuffisants, j’ai donc aussitôt monté un tapis dans mon village de St-Ambroix, à 60 Kms au nord de Nîmes, où j’allais passer mes week-ends en famille, et je retransmettais ce que j’apprenais à Nîmes le jeudi après-midi à mon frère et quelques copains qui venaient avec moi sur le tapis (bâche + copeaux, suivant la formule de l’époque !). C’est ainsi que j’enseignais tout en apprenant – j’étais enseignant Ceinture blanche ! – ce qui dans le contexte de l’époque était possible. Appelé au service militaire en Algérie en 1961, alors 1er Dan, j’ai monté un Dojo au Camp d’Instruction de l’Arme Blindée et de la Cavalerie à Alger, avec l’appui logistique du Colonel Lainé, chef de Corps, et j’ai ainsi pu continuer à m’entraîner en enseignant aux quelques judokas présents dans le Régiment. De retour à Marseille pour finir mon service, je suis allé m’entraîner au JC de Provence, chez Jean Zin, où officiait le professeur japonais Mutsuro Nakazono, 7 ème Dan, et j’allais aussi au Jiu-Jitsu Club Marseillais, chez Roméo Carréga, afin de diversifier les partenaires… A l’issue de ma période militaire, j’ai repris mon Club à St-Ambroix que j’animais trois fois/semaine, gardant une soirée/semaine pour continuer mes entraînements et études personnels à Nîmes, au JC du Gard où j’étais licencié. C’est là que j’ai eu l’occasion de travailler avec Me Kenshiro Abbé, 8ème Dan, Michigami, 7ème Dan, Raymond Moreau, 4ème Dan, et d’autres que mon Professeur invitaient souvent sur des périodes d’une semaine. Puis j’ai ouvert un Dojo à Bessèges, petite ville à 12 kms de St-Ambroix, et j’animais les deux centres. Sur l’ensemble de ma carrière, ma mission dominante fut sans nul doute l’enseignement, la retransmission. J’ai toujours ressenti cette nécessité de faire partager ma passion, mon enthousiasme, mes sensations, c’est ainsi que j’ai consacré trente années à animer l’Ecole des Cadres de Ligue au CREPS de Toulouse, d’où sont sortis nombre de Professeurs (voir plus loin…) ainsi que de nombreux Stages officiels ou privés, notamment à l’étranger (Allemagne, Italie, Belgique, Andorre, Antilles etc…). Ce fut ma façon à moi de faire du prosélytisme pour le Judo…. 

Un voyage de dix mille lieues commence toujours par un premier pas. 

     Curriculum Vitae

SEGUIN   Jacques

E.mail : jacques.seguin@laposte.net

Date de Naissance : 23 Décembre 1941 à Alès (30)

Profession :     Professeur de JUDO et JUJUTSU       Ancien Cadre Technique Fédéral FFJDA        Membre du Kodokan Tokyo.

                                 BEES 2ème degré          Juge National            Arbitre National           Label Enseignant National

                                                                                           Médaille de la Jeunesse et des Sports

 

Licencié FFJDA au Club :   Budokan Judo St-Orens (BJSO), et Professeur à ce Club ; Dép Hte Garonne, Ligue Occitanie.

CARRIERE PROFESSIONNELLE :

               Débute le Judo le 14 octobre 1958 à Nîmes, au Judo-Club du Gard, Professeur M. Charles Toni (3ème Dan à l’époque !  ).


                                                                                   1er    Dan    le 3 juillet 1961                                                 

                                                                                   2ème Dan    le 23 juin 1963                                                            

                                                                                   3ème Dan     le  9 Mai 1965                 

                                                                                   4ème Dan    le 18 avril 1971      

                                                                 5ème Dan    le 17 juin 1978

                                                                 6ème Dan    le 13 décembre 1986   

                                                                 7ème Dan    le 10 décembre 2007    

                                                                 8ème Dan    le 8 décembre 2022                                               


  Diplôme signé de la main du petit-fils       de  Jigoro Kano, Yukimitsu Kano,        Président du Kodokan et de la 

   Fédération japonaise (jusqu'en 2008)


            Diplôme 7ème Dan Signé par Jean-Luc ROUGE

                      Président de la FFJDA         

Diplôme 8ème Dan Signé par le Président du Comité National des Grades

                      

  TOKUI WAZA : Ashi guruma (à gauche) Hane goshi (à gauche) Taï Otoshi (à droite)

                                                                           Pratique beaucoup le Ne-Waza.

KATAS PRATIQUES : J’aime pratiquer tous les Katas. J’ai étudié Ju-No-Kata avec Me MICHIGAMI à partir de 1975, avec Me ABE, lors de sa venue en France en 1996, puis au Kodokan en 2002 et 2007. Itsutsu-No-Kata avec Me YAMAMOTO, au Kodokan, avec Me Awazu et Me MURAKAMI en France. J’ai étudié Koshiki-No-Kata avec Me MICHIGAMI à partir de 1978, puis MM. Awazu, Murakami, puis au Kodokan en 1997 et 2002 avec Me Yamamoto Shiro.

Lors de la venue à Toulouse de Me ABE Ichiro en 1996, j’ai pratiqué avec lui Goshin Jitsu, Nage-No-Kata, Koshiki-No-Kata, Ju-No-Kata.

J’ai pratiqué Kime-No-Kata au Kodokan avec Me SATO. Je pratique aussi Nage-No-Kata et Katame-No-Kata régulièrement, ainsi que Gonosen-No-Kata.

Enseigne le Judo à partir de 1961 au Judo-Club du Gard, au Judo-Club Alésien et à St-Ambroix (30)

1968 : Passe le Diplôme d’Etat  de Professeur de Judo, Jujitsu et D.A.  (Diplôme n° 1607)

1970 à 1973 : Professeur au Judo-Karaté Club Biterrois (Béziers).

1973 :        S’installe à Toulouse, invité comme Professeur par le Club LE SAMOURAI.

ACTIVITES PRIVEES : Donne des cours dans les Clubs, Départements ou Ligues qui m’invitent. Dirige des Stages périodiques réguliers l’été à l’Ile d’Oléron, et à Temple/Lot ; en saison sportive, en Italie, Belgique, Allemagne, Martinique… entre autres…..

ACTIVITES FEDERALES( Nationales, Inter-régionales, Régionales et Départementales )

1970 à 1974 : Membre de la Commission Nationale d’Enseignement avec MM. Dardenne et Roche ; participe à l’élaboration de documents pédagogiques fédéraux (6-9 ans) avec MM. Roche , JP. Guez.

                     Responsable Commission Technique Languedoc-Roussillon (Psd M. Boudia, puis M. Fieschi)

1974               Devient Professeur à l’ Ecole des Cadres de la Ligue Midi-Pyrénées (à l’époque, Ligue du Languedoc) mission confiée                            par JL. Juan, CTR ;

                     cette école ne cessera de progresser et dépassait  les 150 inscrits par saison (28 ans d’existence de 1974 à 2002).

1974 à 1996 Responsable Commission Technique Hte Garonne.

1981 à 1996 Président du CDCN Hte Garonne.

1978 à 2001 Actions techniques et pédagogiques constantes sur les départements du Gers, Ariège, Tarn, Tarn-Garonne, Lot et Hte                          Garonne.

1989 à 1995    Expert d’interrégion Sud-Ouest (Interventions aux stages Enseignants et Formation de Juges).

1982 à 1996 Responsable du D.E.P. Midi-Pyrénées.

1983 à 1996 Instructeur régional de Jujitsu., ligue Midi-Pyrénées.

1996 à 2002 Cadre Technique Fédéral attaché à l’ E.R.J.J. ligue Midi-Pyrénées.


 

PROFESSEURS FORMES.

Ö A formé avec l’Ecole des Cadres de Toulouse plus de deux cents professeurs titulaires du BEES 1er degré (1974 à 2002)

Ö Professeur à la Formation Continue des Brevets d’Etat au CREPS de Toulouse de 1994 à 2000.

Ö Professeur à la Formation Modulaire Inter-Région Sud-Ouest depuis sa création (1996) à 2004.

Ö A participé avec les Formations modulaires (IRSO) ou Continue  (CREPS de Toulouse) à la formation de plus de 180 B.E.

Ö Actions suivies Enseignement International en Andorre pour le compte de la FFJDA (avec le DTN  de l’époque JL. Juan.)

Ö Nombreuses interventions d’encadrement technique en Italie, Belgique, Espagne, Allemagne, Martinique, République dominicaine.

CEINTURES NOIRES FORMEES.

Environ 800 Ceintures Noires formées dans les divers Clubs où j'ai officié :

   Judo-Club du Gard - Nîmes (30) et Alésien de 1961 à 1970.

   Samouraï de Béziers de 1970 à 1973

   Samouraï de Toulouse de 1973 à 1978.

   J.C. de Cugnaux (31) de 1978 à 1980.

   J.C. Ramonville de 1980 à 1990.

   J.C. St Orens de 1978 à 1990, puis reprise en 2006 jusqu'à nos jours.                 

   J.C. Pamiers (Ariège) 1978 à 2000.

   J.C. Balma St-Exupéry 1990 à 2006  (3ème Club français avec 860 licences  ( en 2003) ).

   J.C. Aucamville (banlieue nord de Toulouse) depuis 2000.

MES PROFESSEURS, MA FORMATION.

1958 :          Débute à Nimes, Judo-Club du Gard, avec M. TONI Charles, 3ème Dan. Le Gard comptait à l’époque 2 clubs !! (Nîmes et Alès)

1959 à 1961 Kenshiro ABBE, 8ème Dan

1961 à 1963 Mutsuro NAKAZONO, 7ème Dan Judo, 8ème Dan Aïki-Do. ( à Marseille, au Judo-Club de Provence, chez Jean ZIN )

Après 1960   Successivement nombreux stages avec MM. Awazu, Ichiro Abe, Baudot, Courtine, Fuji, Fukami, Hirano, Katanishi, Le Berre, Matsuda, Michigami, Murakami, Okano (69 au Central, puis au Japon), Pariset, Pelletier, Rougé, Sekine, Shinomya, Toriumi, Yamamoto,Yasumoto.

A participé à de nombreux STAGES FEDERAUX, pour ne citer que les principaux :

   INS entre 1965 et 1973.  (Stages périodiques d’enseignants)

  Stage préparation au Professorat 1968 Clermont-Ferrand avec G. Baudot, Brondani J.C.

  Tous les Colloques de Hauts Gradés depuis leur création par Henri Courtine (1972) à Beauvallon, en Corse, à La Londe les Maures, Arles.

  Stage à Auxerre pour le coup d’envoi du Ju-Jitsu avec Bernard Pariset, Eugène Domagata.(16-17 octobre 1982).

  Stage national Jujitsu à Vichy (5 jours) en février 1983.

  Stage national Jujitsu à Toulouse (11 au 15 février 1985), Eric Pariset.

  Trois Stages à Boulouris pour le Jujitsu avec Eugène Domagata.(1988,89,90).

  Stages des Cadres Techniques.

  Stages de formation des Juges nationaux.

 

STAGES AU JAPON.

                     1977, Stage au Kodokan, Université de Tsukuba, Dojo de la Police à Tokyo.

                     1980, Stage au Kodokan, Université de Nichidaï, Dojo de la Police à Tokyo.

                     1984, Retour au Kodokan, et Dojo de la Police.

                     1988, Kodokan et Tokaï Université.

                     1997, Stage Université de Tsukuba, puis au Kodokan (avec la FFJDA).

2002, Stage Université de Tenri, 8 jours avec Yamamoto, Fuji, Hosokawa, Shinohara, Masaki (Shimbachira Nakayama, de Tenrikyo).

                     2002, Stage Kodokan, Katas avec Ichiro Abé, Tadashi Sato, Yamamoto.

                     2007, Stage Kodokan, puis Tenri.

CARRIERE SPORTIVE.

Ma conception du Judo, de par la culture de base que j’ai reçue, de par mon caractère personnel aussi, est plus orientée vers l’Art Martial, la recherche Technique, Didactique et Pédagogique que vers la Compétition sportive. Celle-ci constitue néanmoins  pour moi une épreuve nécessaire à la recherche de l’efficacité, un test incontournable dans la période de jeunesse ; mais elle ne m’a jamais excité outre mesure, car si le « jeu » qu’elle représentait me passionnait, si son utilité dans la recherche de l’efficacité ne m’a pas échappée,  je n’ai jamais ressenti non plus le besoin pressant de dominer les autres par ce moyen. Le Randori me passionnait davantage, car l’expression mentale et physique s’y libèrent beaucoup plus que dans le Shiaï et les progrès induits sont donc plus conséquents, grâce à des sensations plus subtiles, plus palpables, plus libres.

En compétition, le niveau Régional me convenait parfaitement, étant donné que j’habitais la province, loin de Paris, et que je n’avais aucune envie de m’expatrier sur la Capitale pour être pris en mains par les entraîneurs nationaux. Je me suis donc entraîné par mes propres moyens, tout en enseignant le Judo. J’ai connu plusieurs succès régionaux qui m’ont conduit à participer 12 fois aux épreuves nationales, où après avoir passé un, ou deux, ou trois tours, je tombais contre les « quasi-professionnels » beaucoup mieux entraînés que moi, contre lesquels la lutte devenait inégale. Mais le plaisir n’en a jamais été altéré, et j’ai gardé beaucoup d’amis parmi l’élite des compétiteurs de mon époque, avec lesquels je m’entraînais fréquemment lors de mes séjours à Paris. Ca, c’est une vraie victoire !

Je me suis rapidement aperçu, par ailleurs, que si les grands champions sont indubitablement de grands sportifs, ils ne sont pas forcément, pour certains tout au moins, de grands judokas au sens pur, profond, technique et historique du terme.

A l’époque, il n’y avait pas de phase interrégionale ; le Championnat était directement Ligue, puis National.


1963 :  Champion IX ème Région Militaire individuel et par équipes.

Championnats de Ligue Roussillon  MOYENS,                     ð Premier en 1965, 1966, 1967, 1969, 1970, 1971, 1972  ð Deuxième en 1968

Championnats de Ligue Roussillon TOUTES CATEGORIES   ð Premier en 1965, 1967, 1969, 1970, 1971.

Participation 13 fois au  National Seniors   (suite à ces 13 sélections).

1968 :     3ème aux Championnats de France par Equipes de Clubs (3 cadets, 3 juniors, 3 seniors),

               l’Equipe du Judo-Club du Gard (Nimes) dont j’étais à la fois membre (senior moyen) et Entraîneur par délégation de M.  Toni, 

               termine 3ème en  National.

1969 :     7-8 décembre, Vainqueur du Tournoi de Barcelone (surclassé en mi-lourds).

 

DOCUMENTS ECRITS ET VIDEO.

Ö Un livre-photos ( par Claude Fradet ) en 1989 sur Katame-No-Kata, Ju-No-Kata, Koshiki-No-Kata avec mon ami

                                 Jean-Jacques FLERCHINGER, 6ème Dan. (distribué par SFJAM, Noris Sports).

Ö     Trois cassettes vidéo avec Technique Debout, Sol, Katas, en 1989

Ö     Deux DVD comportant les sept Katas de Judo plus le Goshin Jitsu (Démonstration puis explications)

Ö     Un  DVD comportant les Techniques Supérieures du Judo :

                                 (techniques de champions, étude sur Kumi-Katas, étude sur « la Défense et le Contre », Ne-Waza)

Ö     Publications Vidéos sur You Tube :

                                                           http://www.youtube.com/watch?v=rBxD5U9NjH0

                                                                        http://www.youtube.com/watch?v=KH4uyVrcWyE

                                                                     http://www.youtube.com/watch?v=RzY16LTjmzo

                                                                        http://www.youtube.com/watch?v=FEEEGE7IQq0

                                                         

Vous trouverez ci-après un descriptif détaillé sur l’exécution des Vingt Techniques Imposées de Jujitsu, avec les ripostes imposées de Tori.

Ce document peut être imprimé et servir d’aide-mémoire pour les Professeurs ou pour les élèves.

 

        LES VINGT TECHNIQUES IMPOSEES DE JUJITSU 

 

PRESENTATION :     Tori à dr, Uké salue avec les armes, (couteau int judogi), va les poser devant le joseki , genou droit au sol,  puis Kamae.

                                   Attaques :Uké prend les armes genou dr au sol, et attaque directement.

                                   FIN : Uké va chercher le couteau qu’il place dans sa veste, reprend le bâton et va saluer.

 

1 / Uké attaque Tori, (garde les deux p dr en av.) Katate Dori sur poignet droit : Tori pivote à dr, Té gatame sur br dr descendu en contrôle au sol, + tekubi osae.

2/  Uke attaque en Migi éri dori (garde : les deux p dr en av.): Tori répond par décrochage de dessus, suivi de Kote Ineri amené jusqu’au sol vers l’arrière par contrôle de main droite sur épaule dr puis Tori tire vers arrière, poids sur j dr arr .

3/  Uke attaque (garde : les deux p dr en av.) en Mae kubi dori : tori pivote avec Sode tsuri komi goshi, retourne Uke à plat ventre en tirant sur bras dr puis Ude garami, (m dr saisit poignet, m g fait plier coude dr de Uké en ramenant par int vers côté) Tori écrase le bras retourné dans le dos par genou g et atémi tête de poing dr.

4Yoko kubi dori (Uke j g en av.): atémi de m dr à bas ventre, O uchi gari avec teisho, Tori tombe en avançant genou dr au dessus cuisse g de Uké, en pont, garde j dr Uke sous son br g, avance j g au-dessus de Uké pour le retourner à plat-ventre, puis installe clé de jambe avec mollet g dans creu de genou dr de Uke, relève ensuite col-nuque de m dr pour contrôle final, j dr relevée, p dr contre flan dr Uké.

5Yoko sode dori (Uké j dr en av.) : (niveau bras g de Tori) Tori pivote à g, prend br dr de Uke, pare coup de poing circulaire de br g que donne Uke en enveloppant pour Ippon seoï à dr sur les deux bras de Uke, puis au sol donne atémi tête Uke avec poing dr.

6/  Garde : les 2 j dr en av : Mae dori SOUS les bras : (sen-no-sen) : Tori donne double atémi sur oreilles, renverse à g avec clef de cou, monte sur le dos de Uké qui tombe en quadrupédique, l’écrase au sol avec le ventre et va chercher étranglement avec m dr, qui saisit son propre col g  par dessous (katate jime).

7/  Garde : les 2 j dr en av : Yoko Dori SUR les bras (sur avant-droit): Tori écarte bras pour empêcher saisie, atémi de genou dr, suivi de O goshi à dr, Tori saisit m dr de Uké, « relève » et avance jambe g  loin par dessus Uke, puis genou dr qui descend au sol pour att de Hara gatame (Tori « assis » sur coude dr de Uké, j.g. « ouverte » sur la gauche).

8/ Yoko (atama) dori (à g) : Uké vient attaquer en donnant d’abord teisho de m dr à nuque Uké, puis saisit tête sous son br dr ; Tori avance j droite pour atémi de poing dr à bas-ventre, glisse dessous par devant en avançant j g et en prenant à 2 mains poignet dr de Uké pour projeter en Uki otoshi en ramenant j dr arrière pour tirer sur br dr de Uké, puis applique contrôle en Ude nobashi (tiré arr) Tori au-dessus tête Uké (int du bras) m dr à poignet, m g au coude.

9/ Mae (atama) dori : Uké garde j g en av, de face donne mae géri (p dr) pour faire pencher Tori, puis le saisit en collier av sous son br g ; Tori atémi de poing g, saisit poignet g de Uké en sortant tête sur l’ext dr, se retourne en amenant le br g de Uké dans son dos, en ude garami, m g va chercher étranglement par côté g de tête Uké, Tori descend Uké assis au sol, pose genou g au sol, de j dr va chercher br dr de Uké par devant pour contrôle, puis étrangle (tête de Tori à g de tête Uké).

10/ Uké j dr en av, att arr en tsugi ashi avec Hadaka jime : Tori hiji até coude dr, puis coude g, glisse côté dr de Uké pour att de sukui nage à dr, (forme « glissée devant ») Uke allongé au sol, Tori engage son genou g sur br dr de Uke, pour contrôle, engage br g sous tête, de m g va chercher et ramène br g de Uke, et ramène en même temps de m dr jambes de Uke vers l’arrière : clef de cou avec contrôle en yoko shiho gatame.

11/ Garde : les 2 j g en av : Uké att en Jodan oï tsuki : Tori pare (en se déplaçant dr-g) de m g par int, atémi de poing dr à plexus, puis projette avec Shiho nage (reculant j dr), et descend en contrôle au sol, genou dr écrase br dr de Uké sur triceps, puis Tori tire le bras vers ext et arrière pour clef, m dr à poignet, m g qui tire avant-bras.

12/ Uké garde j g en av, att en tsugi ashi Chudan giaku tsuki : (poing plexus) : Tori (j dr en av) pare de br dr par ext style Gedan baraï, remonte br dr de Uké pour prendre contrôle en Kata gatame, se retourne et projette en Koshi nage (br dr pris), retourne Uké à plat ventre par clé de br dr sur tibia dr, restant debout, (main dr tordant poignet dr de Uké en Tekkubi osae) puis contrôle au sol par Ashi gatame sur br dr de Uké plié en Ude garami, g dr au sol, j g relevée vers l’arrière, m dr en appui sur le dos de Uké.

13/  Uké j g en av. frappe Tori au cou, sous oreille g, avec Jodan naname shuto de m dr : Tori jambe dr en avant, pare par int à deux mains en pivot, projette avec Taï otoshi, relève br dr de Uké, passe pied dr devant br et derrière tête, descend en flexion puis avance j g loin devant, poussant avec le pubis sur le coude de Uké, posant genou dr au sol et att Hara gatame (assis sur le br).

14/ Garde : Uké j g en av., Tori j dr en av. :Uké att en Chudan mae géri keikomi : Tori pivote en avançant j g pour esquive par ext en chassant de m g, puis br dr par dessous saisit jambe Uké, Ko soto gake par ext sur jambe d’appui, projette puis, restant debout, croise br dr Uké int cuisse dr, m dr de Tori tire poignet dr de Uké pour faire clé de br int sur cuisse dr de Uké, m g Tori tire vers le haut et l’arr j dr Uké pour verrouiller (doigts sur l’ext de cheville dr, et jambe gauche arrière).

15/ Garde : les 2 j g en av : Uké att en Chudan mawashi géri : Tori pivote int et repousse des deux mains quadriceps, puis att à son tour avec Mae géri (jambe g), (Uké recule en parant…) Tori pivote sur sa droite et att Ushiro géri (j dr ) (Uké recule en parant…)  puis Yoko géri (j dr) ench Haraï goshi à dr, relève br dr de Uké au sol pour passer j dr devant br, pied sous tête, avance j g, s’assied en arr pour retourner Uké sur le ventre avec pied dr qui relève tête en cercle, puis Ashi garami sur br dr de Uké.

 

3 Couteaux : (Noter qu’après chaque technique Tori reprend la  «  posture » , puis rend l’arme à Uké…)

 

16/: Uké att en Naname tsuki, Tori pare de m g par ext, repousse br dr de Uké en cercle par dessous et va chercher Kote mawashi avec m dr, amène Uké au sol en Te gatame en tirant vers l’avant, contrôle debout bras dr de Uké au sol avec pied g (« écraser le triceps ») et attitude « prêt à frapper »…(Uké perd le couteau dans l’action, Tori le ramasse ensuite pour le lui rendre…)

 

17/ Uké att Chudan tsukkomi, p g en avant, (comme Kime-No) : Tori pare comme Kime No, puis m dr prend poignet dr de Uké pouce par dessus et repousse vers arrière pour ramener le br dans le dos de Uké en Ude garami, m g désarme et va contrôler tête Uké en étranglement, br dr toujours maîtrisé dans le dos, contrôle debout…. (m g Tori étrangle en contrôle, gardant le couteau).

18/ Uké att en Naname uchi (en revers) : Tori bloque de m g à coude, m dr saisit poignet dr Uké pouce dessous, remonte  br en « Ude garami » vers le haut, et renverse Uké sur l’ arrière avec aide de Ko soto gari, contrôle au sol en écrasant poignet dr au-dessus de l’épaule dr, et désarme.

2 Matraques : (Uke va poser le couteau, genou dr au sol, prend la matraque et revient devant Tori)

19/ Uké att en Kiri oroshi, p dr avancé : Tori pare de m dr par ext en pivotant, se retourne sur ext pour clé prise en extension sur l’épaule, fait lâcher l’arme, atémi de coude derrière, recule p dr pour atémi ventre, puis atémi teisho, tout en contrôlant br dr de Uké derrière tête, puis Tori pivote sur sa dr, dans le dos de Uké, pour aller chercher étranglement, tout en contrôlant br dr de Uké avec son br dr, tiré vers le haut, puis applique Kata Ha jime (br dr dessous) en descendant en Jigotaï (Uké assis « pendu »).

20/ Uké att en Yoko uchi, sous oreille g de Tori, p g avant, Tori pivote int, pare de m g, teisho de m dr, puis enveloppe poignet dr Uké par dessous en cercle et reprend de m dr en Koté gaeshi, projeter en tournant arr, puis Tori ramène Uké à plat ventre, étire le br dr de Uké pour appliquer Tekkubi osae sur br tendu arr, contrôle par « écrasement » du bras tendu (jambe dr arrière) et désarmer.

 

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