J'arrête de fumer en toute sérénité
ne pas reproduire ceci.
Hypnose médicale et thérapeutique à Strasbourg et ses environs. Consultations à Strasbourg, Cronenbourg, La Robertsau, Lampertheim et à distance.
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La cigarette vous fait du tort. Votre santé, votre tonus, votre humeur en sont affectés. Vous vous inquiétez peut-être des risques d'AVC, de cancer. Votre portefeuille souffre lui aussi. Votre vie, votre travail est rythmé par la "pause clope", ce qui vous donne parfois l'impression de ne pas être vraiment libre. Vous vous sentez peut-être professionnellement ou socialement discriminé.
Vos enfants expriment parfois de l'inquiétude, et vous culpabilisez d'autant plus. Votre conjoint(e) vous demande instamment d'arrêter, ce qui peut vous irriter.
Tout cela est bien entendu désagréable à entendre. À la peur des conséquences s'ajoute la culpabilité ou la honte de se juger trop faible pour y arriver; parfois la colère de s'être laissé inculquer cette idée qu'on est trop faible, et de s'être ainsi vu priver de sa liberté.
En arrière plan de la dépendance à la cigarette existe un paysage parfois complexe.
Pour une raison ou une autre, en dépit du bon sens et de votre intérêt, vous fumez. Vous êtes convaincu de vouloir arrêter, ou hésitante et vous avez besoin d'un déclic tout simplement.
"J'aimerais arrêter de fumer, mais... j'ai du travail, je vais grossir, ça me détend, la cigarette est mon compagnon depuis si longtemps." C'est ce "mais" qui vous lie.
Il y a tant de raisons de ne pas oser lui dire adieu. Un peu comme à celui ou celle qu'on n'arrive pas à quitter, de peur de lui faire de la peine. La cigarette n'est pourtant pas un être vivant qui a besoin de vous – et quand bien même, serait-ce une relation saine –! Mais elle incarne quelque chose de bien plus fort...
Votre problème n'est pas rationnel. Nous sommes faits de croyances, d'émotions, et la cigarette est un symbole.
Si la volonté ne suffit pas, c'est que tout se joue ailleurs, et vous n'y êtes pour rien. C'est ici que l'hypnose peut intervenir.
Pour que vous retrouviez votre liberté définitivement, nous désactivons tous les mécanismes qui alimentent votre consommation du tabac : le besoin de fumer et toutes vos croyances, conscientes et inconscientes, qui vous lient à la cigarette. Nous allons aussi réactiver vos ressources, l'énergie et le désir de vivre pleinement, sans fil à la patte.
Forfait
— Tarif : 250€
— Durée: 1 mois
Programme
— Entretien
— 1 séances d'hypnothérapie
– 1 enregistrement après 2 semaines
— 1 séance d'hypnothérapie à 3 semaines.
L'arrêt est généralement définitif après la première séance. Une seconde séance permet de consolider l'édifice. Toutefois, chaque situation est unique. Lorsque plus de deux séances sont nécessaires, nous en fixons ensemble la fréquence.
Un entretien nous permettra de brosser un tableau de votre situation : votre consommation de tabac, et vos motivations. Dès la première séance, nous travaillons en hypnose. Vous disposerez d'outils en auto-hypnose que vous pourrez utiliser pour renforcer le processus et qui se poursuivra dans les jours et les semaines qui suivront.
Je traite toute problématique liée au tabac soulevée en séance. Vous n'aurez pas à vous investir dans une réflexion, une analyse, ou des jugements.
Nous effaçons le symbole de la cigarette et toutes les croyances sur vous, conscientes et inconscientes, qui vous lient à elle.
Je prends en charge la dimension affective de votre problématique. Le travail se fait en douceur, en traitant les éventuelles émotions qui pouvaient faire obstacle à votre démarche.
C'est la pensée insidieuse qui se déroule vos hésitations.
Dépendance égale impuissance. Vous pensez devoir lutter avec vous-même. Mais c'est impossible, car si vous gagnez vous perdez. Et comment pouvez-vous gagner, puisque vous êtes faible!
Le tour est joué... Jamais vous ne pourrez gagner ! Ce "mais" qui vous bloque apparaît. Et ce conditionnel si élégant signifie quelque chose. Pourquoi demander la permission pour vouloir cela ? Et à qui ?
Vous n'avez pas à lutter avec vous-même. Ce n'est pas un combat, et encore moins un combat contre vous : il s'agit de vous faire du bien, pour ne pas dire, vous aimer.
Vous n'êtes pas faible. C'est une croyance. Vous êtes, ni plus ni moins. Couper ce lien signifie : "je fais ce qui est bon pour moi, je le mérite et j'en suis capable". Vous avez besoin que votre volonté puisse s'exprimer.
Rappelons ce bébé qui se lève pour marcher. Le manque de confiance s'inculque tôt, à l'école, comme au foyer. Il brise notre autonomie et notre amour propre, et sème en nous le germe de la culpabilité.
Nous restaurerons aussi votre sentiment de sécurité intérieure, et votre confiance en ce que vous avez de plus précieux : vous. Ce sont les fondements de votre liberté.
Que ce lien soit physiologique, rituel, psychologique, affectif, je vous aide à retrouver votre liberté, votre énergie et votre sérénité.
Le travail se fait en toute confiance, rapidement. Je veille à ce que votre retour à la liberté soit durable, définitif.
Ce désir de changement est déjà votre victoire. Avec l'hypnose, vous laisserez votre désir prendre le dessus.
Vous oubliez vos croyances sur vous et la cigarette Vous vous défaites du sentiment de dévalorisation et de culpabilité dont la dépendance se nourrit. Le pincement au cœur à l'idée d'arrêter de fumer disparaît.
Vous arrêtez sereinement, sans compenser, définitivement. Vous trouvez les ressources pour vivre de manière sereine et épanouie. Vous reprenez le contrôle et vous revivez à travers le plaisir de vous faire du bien.
Vous retrouvez votre liberté. Vous passez de la croyance que vous n'êtes pas assez fort à la certitude que vous êtes libre.
Le lien avec la cigarette semble plus fort que votre désir. C'est la définition de l'esclavage, ou plus précisément de la servitude volontaire. Un esclave se voit privé de la possibilité de suivre son désir fondamental. Et en dehors de cette servitude, il n'aura pas les moyens d'assurer sa survie. C'est parfois exact. C'est parfois ce qu'il croit.
C'est là que tout se joue. Si en dépit du bon sens nous persistons dans une habitude nocive, c'est que nous croyons que nous ne pouvons pas, ne devons pas, que nous n'avons pas intérêt, pas droit, à exercer notre liberté.
Vous pouvez effacer cette croyance.
Comme tout être vivant, vous avez vocation à vous épanouir par la liberté. Vous possédez les moyens, les capacités d'adaptation, et les ressources que lui apporte le monde pour y parvenir. En être pleinement conscient est synonyme de confiance retrouvée, et vous conduira à la liberté.
La dépendance n'est pas un crime, ni une honte. Vos pensées et vos actes sont tournés vers un objet qui est sensé assouvir un besoin non identifié. Cet objet n'est pas le bon, et ce besoin reste inassouvi. C'est un puits sans fond. Changer d'objet n'y remédiera pas.. Cela n'est ni votre faute, ni une faiblesse, mais un problème à résoudre.
La dépendance est avant tout affective. Elle relève de l'émotion.
La dépendance est un poids qui rassure. Elle émane d'un besoin de sécurité et d'amour fondamental qui n'ont pas été satisfaits. En résulte une angoisse et une souffrance que l'on cherche à calmer par un substitut.
La dépendance a pris la place de ce sentiment de sécurité, sans pour autant vous la donner. Et par la même occasion, elle vous a pris votre liberté, car votre esprit et votre conduite quotidienne visent à assouvir ce besoin qui ne le sera jamais, au lieu de vous permettre de vous réaliser.
Vous pouvez renverser la situation, la remplacer par un vraie sentiment de sécurité qui vous permettra de vivre librement. Vous pouvez, et avez droit à recevoir quelque chose qui vous fait du bien, de façon saine, et non de la souffrance.
Limiter l'addiction à la cigarette aux effets psycho-physiologiques des substances qu'elle contient est superficiel et primaire. Cela revient à dire : – "mon corps s'est habitué à la nicotine, et sans elle, je ressens des symptômes désagéables". Alors un "sevrage" progressif avec des patches suffirait. Parfois c'est le cas. Rappelons qu'il suffit de trois semaines pour se défaire d'une habitude.
Mais ce sevrage signifie plus: vous avez trouvé les ressources pour arrêter à travers cette décision. Un changement en vous s'est opéré. Cela signifie, et heureusement, que nous avons en nous des forces d'adaptation que nous pouvons mobiliser par nous même. Mais parfois, un coup de pouce extérieur est nécessaire. C'est là qu'intervient le ou la thérapeute.
Derrière la dépendance – au tabac ou autre – se trouvent parfois des racines, des liens qui puisent leur force dans un terreau plus ou moins épais, complexe, irrigué par un ruisseau, ou un réseau de sources différentes. Il faut parfois de l'aide pour nourrir autrement ces racines.
Le lien avec la cigarette semble plus fort que votre désir. C'est la définition de l'esclavage, ou plus précisément de la servitude volontaire. Non seulement un esclave se voit privé de la possibilité de suivre son désir fondamental. Mais en plus, en dehors de cette servitude, il n'aura pas les moyens d'assurer sa survie. C'est parfois exact. C'est parfois ce qu'on lui fait croire
Dans le cas de la dépendance, les liens se sont installés sans coercition physique, mais de manière insidieuse. Les chaînes sont fictives. Mais elles sont tout aussi puissantes.
Un esclave peut se sentir révolté, apeuré, malheureux, honteux, du fait de sa condition. Parfois, un esclave brise ses chaînes, part, et retrouve sa liberté de lui-même. Il peut trouver de l'aide en chemin. Parfois, un esclave trouve quelqu'un sur son chemin pour lui donner la clé qui va défaire ses entraves, reconstruire sa vie hors de sa prison.
La clé était à votre portée, mais cachée, par des œillères. L'hypnothérapeute vous permet de la voir, et de vous en saisir. Puis il vous aide à vous débarrasser définitivement des chaînes, à ne plus les remettre, et à voir autour de vous ce que le monde, sans elle, vous offre.
Pour lui montrer que le maître n'est plus là, que tout va bien et que vous possédez tous le moyens pour vivre libre et heureux.
La différence entre un esclave réel et vous, c'est qu'un esclave a au pied des chaînes bien réelles et risque la mort s'il tente de s'enfuir. Et, s'il prend la fuite seul, sans personne vers qui se tourner, comme toute personne en exil, ses chances de survie son inexistantes. Mais dans votre cas, les chaînes sont fictives et vous n'êtes pas seul. Cela ne veut pas dire que ces chaînes n'ont pas un pouvoir réel, bien entendu...
Le maître peut d'ailleurs être parti depuis longtemps. Mais l'esclave ne le savait pas, ne le voyait pas. Pire, les chaînes étaient défaites, mais il pensait que sans son maître, il ne saurait pas comment faire, et ne pourrait pas quitter sa prison. Il pensait qu'accepter cette privation de liberté était la seule condition pour être heureux, aimé, et en sécurité.
Pourtant, son maître ne lui donnait rien en retour, ni affection, ni respect, ni nourriture. Il tirait du plaisir, ou pensait que son rôle était de priver cet être humain de sa liberté. Et alors, est-ce votre problème?
Quelles qu'en soient les raisons, cela n'est plus votre problème. Vous n'êtes pas responsable de ce maître, qui s'est attribué ce rôle sans vous demander votre avis mais vous a fait croire que si vous n'étiez pas d'accord, c'est que ne valiez rien. Ce maître qui ne vous respecte pas, ne remplit pas vos besoins fondamentaux, ce n'est pas lui qui dicte les règles. Tant pis pour le maître, qu'il se débrouille tout seul. S'il est si puissant, il n'a pas besoin de vous.
Lorsqu'une plante n'est pas en bonne santé, on peut lui donner un traitement. Mais on peut aussi la replanter, s'assurer que le terreau est sain, que l'irrigation est bonne. Que la plante ne vas pas aller rechercher le terreau et l'irrigation d'avant.
Nous sommes avant tout des êtres symboliques, émotionnels, dotés d'une pensée abstraite : arrêter de fumer n'est pas remplacer un conditionnement par un autre.
Pour vous apporter un changement réel et durable, il faut veiller à défaire le geste et tout ce qui l'alimente en arrière plan, les mémoires, les apprentissages implicites sur lesquels repose ce qui a déclenché, favorisé, entretenu la consommation de la cigarette. Travailler cet arrière plan, dans le respect du patient. Cela est tout à fait possible de la faire sans imposer une analyse, raviver des mémoires douloureuses, imposer un travail psychothérapeutique de longue durée.
Certaines personnes m'expliquent d'emblée que leur relation au tabac est liée à certaines composantes problématiques de leur vie. Cela peut, ou pas, signifer qu'elle veulent résoudre problématique, indirectement. Il y a à cela au moins deux raisons possibles selon moi :
— elles souhaitent maximiser leurs chances de réussite, sans pour autant vouloir aller au-delà de l'arrêt du tabac.
— elles perçoivent que des éléments non résolus les entravent. La cigarette étant un symptôme de leur problématique parmi d'autres Elles sont intéressées à l'idée d'aller plus loin.
Il serait donc idiot de ne pas prendre en compte ces éléments précieux fournis à l'anamnèse – entretien préalable. Nous en discutons le cas échéant. Mon rôle est alors de donner un fil conducteur au travail mené ensemble, du tabac à ces problématiques sous-jacentes.
— Certaines personnes ne souhaitent pas aller explorer certains versants de leur relation au tabac.
— Elles n'y avaient jamais songé.
Cette démarche doit être respectée.
Mon rôle est de vous aider à arrêter de fumer définitivement, sans faire un travail psychothérapeutique dont vous ne voulez pas. Il m'appartient de veiller à ce que toute problématique que je pourrai détecter, que vous la formuliez ou pas, ne soit pas un obstacles à votre réussite.
La guérison par l'hypnose ne repose pas sur l'analyse des causes d'un problème. Elle peut occasionner des prises de conscience, mais cela n'est pas un préalable à la guérison.
Libre à vous de chercher à comprendre si vous le souhaitez.
Dans tous les cas, nous nous inscrivons dans un travail rapide et durable. A travers l'entretien préalable que nous menons ensemble, je pose un cadre et vous propose nombre adapté de séances, quelle que soit votre démarche. Mon rôle est de vous aider, en respectant ce cadre et votre demande.
Vous êtes juge de ce qui est bon pour vous. En effet, peut-être ne tomberez-vous jamais malade, et peut-être votre entourage s'en accomode-t-il. Dans ce cas, pourquoi envisager de consulter?
— Première remarque: c'est votre droit absolu. Arrêter de fumer, l'est aussi. Vous envisagez d'ailleurs de consulter pour cela.
— Deuxième remarque : personne ne s'autodétruit pour exercer sa liberté – ormis dans les cas de maladie incurables, ou lorsque le très grand âge rend la vie trop lourde à porter. Dans ce cas, la cigarette est un choix peu pragmatique, coûteux, et relativement aléatoire.
Ainsi, personne ne devient volontairement esclave. C'est un droit, mais ce n'est pas un choix fait librement, pas une volonté innée chez l'être humain, ni même chez les animaux. La servitude volontaire existe bien, en effet. C'est un apprentissage. Un apprentissage très subtil et puissant, qui se fait parfois dès les premières années de la vie. L'esclavage réel se fait dans la coercition, contre le gré d'autrui. Personne ne vous met une cigarette dans la bouche de force, et dans la violence, à chaque fois que vous fumez. Mes les croyances qui vous conduisent à le faire, elles, sont bien le résultat d'une violence que vous avez subie, sans pouvoir vous y opposer.