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ÉDITION PERTINAX - LA MACHINE EXISTENTIELLE - L'HOMME QUI RÊVAIT DE PAIX

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POURQUOI AVOIR ÉCRIT CE LIVRE ?

BIOGRAPHIE 

CHARLES DREAMAN WELLS

Charles Dreaman Wells est un pseudonyme. Le nom de plume, un peu long, n’a pas été choisi au hasard. Le prénom Charles est un hommage à son grand-père paternel, Charles Raymond, décédé à 33 ans des suites de la déportation de la Guerre 1939-1945.

Pour le second prénom: «Dreaman», qui signifie «homme qui rêve», car l’auteur du livre: «La Machine Existentielle - L’homme qui rêvait de Paix» est un homme qui rêve vraiment beaucoup, il se souvient très bien de ses rêves, à ce propos, à celles et ceux que cela intéresse, il enseigne dans son ouvrage une technique très simple et infaillible pour s'en souvenir. À bon entendeur !

Et pour finir, le nom: «Wells», c'est un clin d'œil à Herbert George Wells, car le livre «La Machine à explorer le temps» est la première histoire de science-fiction qu'il a lue à l'âge de neuf ans, et même si Charles Dreaman Wells est né en 1963, dans la ville minière de Lens (Pas-de-Calais) (son père était mineur durant quinze années.) 

Le grand rêveur est encore aujourd'hui un enfant passionné et curieux dans son coeur.

Il est difficile d'écrire la biographie d'un homme dont la vie, par ailleurs inachevée, semble être un amalgame d'une trentaine d'existences. Pourtant, de toutes les (nombreuses) voies qu'il a suivies parallèlement durant des années d’apprentissage autodidacte, d’expériences existentielles passionnantes et enrichissantes, ressortent quatre traits marquants de son intégrité: l’opiniâtreté infatigable, l'inventivité débordante, un cœur passionné et la volonté d'aller jusqu'au bout de ce qu'il entreprend. On pourrait évidemment y ajouter d'autres traits de sa personnalité intensément créative, par exemple: celui de son crayon. Déjà enfant, à l’âge de cinq ans, dans la ville de Lens et celle de Meulan Paradis (Yvelines) lorsque les instituteurs et les professeurs lui demandent ce qu’il veut faire plus tard...

... un seul mot vient à l’esprit: «Dessin». 

(La passion pour l'écriture vient plus tard.)

En réalité, il est passionné par toutes les images : depuis le cinéma (il voue au cinéma du monde et au cinéma d’animation un culte fidèle) jusqu’aux planches dessinées de Philippe Caza (son père spirituel) et également au dessinateur Jean Giraud, connu sous le pseudonyme : «Mœbius».

Charles Dreaman Wells s’efforce de comprendre les techniques picturales sous toutes ses formes et de toutes les tailles, illustrations, bandes dessinées...

 Il analyse les graphismes et prend plaisir à dessiner et à peindre sur tous les supports qui lui tombent sous la main: jeans et t-shirts (les vêtements de ses camarades se retrouvent couverts de motifs aux décors fantastiques, provoquant dans toutes les écoles où il passe une sorte de «marché noir» de vêtements colorés et de dessins qu'il vend à tous les professeurs et camarades) casques et réservoirs de motos, planches de bois, tôles d'acier, peintures sur verre, portes et murs, capots et ailes de voitures, camions et remorques, vitrines de magasins, enseignes, fresques murales, trompes l'oeil, faux tatouages, peintures sur corps : «bodypainting», et bien d'autres expérimentations graphiques, car il a une soif insatiable pour l'art.

Mais son père le force impérieusement à trouver «un vrai métier», malgré les prix qu’il remporte dans les concours artistiques, il remporte en 1982 le 2ème Prix Mondial pour la "Paix" au concours d'affiche internationale de Moscou, Russie.) (La Paix Mondiale est déjà un engagement dans son coeur.) Il obtient la même année son C.A.P d’électromécanique.

Dès qu’il est en âge de travailler, c’est-à-dire à dix-sept ans et demi, il exerce un nombre abracadabrant de professions hétéroclites qui, si elles n’entretiennent pas de rapport direct avec sa passion, lui ont toutefois apporté un énorme bagage, et une somme importante de connaissances qui lui servent sans cesse lorsqu’il participe à la conception d’un décor, d’un spectacle, d'une enseigne ou d’une fresque. Si une difficulté surgit, sa polyvalence lui permet de l’envisager sous tous les aspects techniques et d’y apporter une solution. Son leitmotiv existentiel: «à chaque problème une solution !»

Depuis plus de trente-cinq ans, il parvient à concevoir des fresques murales, des couvertures de livres de science-fiction, fantastique, polar, des illustrations et des logos pour des agences de publicité, agences de voyages, magazines de jeux de rôles: chroniques d'outre-monde, Albin Michel, Options, Olivetti, revue 813... mais également des volumes publicitaires «Wilson» à Roland-Garros...

... des enseignes, des affiches et des bandes dessinées publicitaires... et tout cela en marge des inévitables métiers alimentaires, dont voici quelques exemples pris au hasard dans une très longue liste qui ne cesse de grossir au fil de l'existence: électromécanicien dans l’industrie, glacier (dans la fabrication), menuisier, électricien du bâtiment, installateur de cuisine, agent de télésurveillance dans les alarmes et dans les sociétés d’ascenseur, agent de sécurité IGH, installateur de salle de bains, plombier, conducteur de chien, chauffagiste, serrurier, technicien polyvalent en maison de retraite, technicien polyvalent, parquettiste, poseur de fenêtre et de véranda, responsable de sécurité à l’aérospatial (véridique !) téléphoniste, création de stands, responsable graphique, et tant d’autres emplois si différents et atypiques!)

En fait, Charles est un manuel, il sait: organiser, construire, élaborer, inventer, ce dont il fait usage tant dans ses pratiques artistiques que dans ses constructions, telles que l’aménagement (de A à Z) de sa péniche de 39 mètres (sans l’aide d’aucune entreprise !) C’est ainsi, à 28 ans, il a un coup de foudre pour une péniche vide de 1956, il passe le permis péniche, prend trois crédits sur le dos, avec un taux d'intérêt à 16% (une folie !), se serre allègrement la ceinture, voguant dès lors en direction de travaux titanesques pendant de très (très) longues années. 

Charles est capable durant sa quête identitaire de tronçonner, souder, meuler, oxycouper, isoler, aménager, électrifier, vernir, et porter à bout de bras 15 tonnes de matériaux. 

L'optimiste Charles Dreaman Wells est une entreprise à lui tout seul !

Véritable alchimiste autodidacte, il n’est pas encore parvenu à changer le plomb en or, mais après des efforts assidus ses mains ont su transformer les 80 tonnes d’acier en une péniche de 180 mètres carrés habitables.

Dans son rapport aux choses, comme dans son rapport aux gens, c’est quelqu’un de ponctuel, de présent et de simple (mais la simplicité n’est après tout pour un grand rêveur que le plaisir d’apprendre. On cesse d’être simple lorsque l’on croît en savoir assez.)

Mais alors, et l'écriture dans tout ça ?

Étant un grand rêveur depuis sa plus tendre enfance, il écrit ses rêves dans ses cahiers, et aime les raconter à ses amis. En 1998, il s'attelle à l'écriture de nouvelles, d'après ses rêves. Il participe à des concours de nouvelles et remporte de nombreux Prix.

En 2001, son rêve: «Le Temple de l'illusion» obtient le 1er Prix au concours de Nouvelles à Dieppe (76 - Seine-Maritime) une histoire fantastique sur le thème du cinéma. Les années d'écriture prennent corps et les concours se succèdent... 

Et en 2008, à Montrouge (92 - Hauts-de-Seine) il reçoit des mains du dessinateur Jean Giraud «Mœbius» le 3ème Prix pour sa nouvelle fantastique: «LeTemps perdu». 

Qu'on le qualifie de locomotive ou de bulldozer, il est certain que Charles Dreaman Wells est une «Machine Existentielle» qui ne manque pas de souffle.

Et puis,au milieu de la nuit, à 2h30, en 2014, il fait un rêve étrange, un songe étourdissant, un rêve de Paix Mondial. Il note tous les détails sur son cahier.

Les rêves s'accumulent au fil des années. 

Il décide d'écrire l'histoire (la première version fait 280 pages.)

D'autres rêves se greffent à son histoire humaniste. Sa femme, l'encourage à écrire la version définitive. Durant cinq ans et demi, Charles Dreaman Wells écrit assidûment, huit à onze heures par jour (l'autodidacte est opiniâtre) Lorsqu'il termine " La Machine Existentielle - L'homme qui rêvait de Paix", le livre fait 648 pages. Il dessine la couverture (on est jamais si bien servi que par soi-même.)

Si vous désirez en savoir davantage sur le contenu narratif de : "La Machine Existentielle - L'homme qui rêvait de Paix", je vous invite à cliquer sur:

"POURQUOI AVOIR ÉCRIT CE LIVRE". 

Les détails de l’histoire ne manqueront pas de vous surprendre.

POURQUOI AVOIR ÉCRIT CE LIVRE ?

Biographie de François Debas (conteur et improvisateur) écrite en 2002 et réactualisée et améliorée en 2022 par l'éditeur.

site d'origine: http://artcreatorvision.free.fr/index4.htm

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