orphelinats et pensionnats du diocèse

de Limoges

Outre la Cité de l'enfance de Nieul le Limousin compte de nombreux pensionnats et orphelinat a la charge du diocèse de Limoges et de ces membres dont monseigneur renouard ÉVÊQUE de limoges

Recherches effectuaient aux archives de Haute-Vienne

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 à Limoges en 1913 il y a Cinq orphelinat catholique pour les filles et trois pour les garçons

D'autres ont vu le jour par la suite. J'en ai retrouvé quelques-uns dont voici le résultat de mes recherches 

il y a aussi quatre écoles paroissiales de filles et trois écoles paroissiales de garçon

Les pensionnats et orphelinats a limoges


Beaucoup de ses orphelinats porte le nom de Sœurs de Saint-Vincent de Paul dont voici l'origine. Instituées en 1633 par saint Vincent de Paul, et dont la formation fut confiée à Louise de Marillac, elles se consacrent au service des malades et au service corporel et spirituel des pauvres. Les Filles de la charité forment le groupe de religieuses numériquement le plus important dans l'Église catholique. Les sœurs se dédient au service des malades, à domicile ou dans les hôpitaux, aux soins aux personnes handicapées, aux personnes âgées dans des maisons de retraite, aux orphelins, aux foyers pour femmes et enfants en difficulté, et à l'enseignement. à partir de 1920, elles furent remplacées peu à peu par des infirmières, des infirmiers psychiatriques et par des aides soignantes laïques. Elles cesseront toutes activité a partir de 1960.

Toutes ses œuvres passeront l'une après l'autre sous l'autorité du diocèse de Limoges a partir des années 1950 et bien avant pour d'autres et cela jusqu’à la fin des années 1970

Juste en face du bureau de l'abbé Fayaud se trouvait l'orphelinat des filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul, dont l'entrée était située 2 rue des Allois à Limoges  

Créé dans les années 1890 

Dirigé par les Sœurs de Saint-Vincent de Paul. 

Reçoit des garçons entre 6 et 10 ans, les garde jusqu'à 18 ans, ceux de la ville moyennant une pension annuelle de 240 francs, les autres moyennant une pension do 360 francs, et pour tous une entrée de 50 francs. 

Les place en apprentissage en ville, et met de côté, pour la leur donner à leur sortie, la moitié du produit de leur travail. — 60 places, dont un certain nombre gratuites. 

a la charge de l'abbé Fayaud et du diocèse de Limoges dans les années 1950 a 1980

vue coté rue Neuve St Étienne a Limoges

Photo ci-dessus 

"Orphelinat des filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul" vue coté 2 rue des Allois à Limoges 

Deux orphelinats rue des Vénitiens a Limoges ou peut etre le meme avec les changement de numéro de rue au cour des années

Dans les années 1896  dans le livre  "La France charitable et prévoyante"

Orphelinat Maison Saint-Pierre, à Limoges (7, rue des Vénitiens a l'époque). Fondée en 1783. Dirigée par les Sœurs de Saint-Vincent de Paul. Reçoit à tout âge, surtout de 3 à 5 ans, et garde jusqu'à 21 ans les orphelines de familles ouvrières, celles de la ville et des environs gratuitement, les autres, admises par exception, moyennant une pension annuelle de 100 francs. Leur apprend la lingerie, la confection et le repassage.  Les place, à leur sortie, comme femmes de chambre ou lingères. 100 places.  

Orphelinat des filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul 33 rue des Vénitiens à Limoges  qui lui fermera a la fin des années 1970

Photo ci-dessus 

"Orphelinat de Nazareth", à Limoges Fondé en 1856 par Mme Rose-Félicité Rullier. En 1896 dirigé par les Sœurs de Saint Alexis. Reçoit de 4 à 10 ans et garde jusqu'à 21 ans les filles, même illégitimes, moyennant une pension annuelle de 120 francs, plus un trousseau. Leur apprend la couture et la lingerie.  A leur sortie, si leur conduite a été bonne, leur donne un. trousseau.  60 places. 

Devenu Orphelinat Petites Sœurs des pauvres rue de Nazareth à Limoges (Mes deux grandes sœurs y étaient pensionnaire entre 1960 et 1975)

Comme on peut le voir sur l'affiche dans le jardin (+ de 5000 m²) de l'orphelinat va être construit des résidences c'était en 2014, le maire de l'époque a promis qu'il ne toucherait pas à l'orphelinat

Photo ci-dessus 

"orphelinat de Saint-Joseph" de la Providence 1 place de la Cité à Limoges

Ce fut tout d'abord un monastère photo du haut. 

Orphelinat de Saint-Joseph de la Providence, à Limoges (place de la Cité). Fondé en 1860. Dirigé par les Sœurs de Saint-Joseph de la Providence. Reçoit de 7 à 15 ans les orphelines, semi-orphelines ou indigentes de bonnes familles du pays, moyennant une pension de 15 francs par mois payée jusqu'à 15 ou 16 ans. Garde les orphelines jusqu'à 21 ans (engagement à prendre), les autres pouvant partir à 18 ans. 66 places a l'époque. 

Puis au début des années 1900, il accueillit les enfants de la première guerre, puis ceux de la seconde. il devint ensuite un orphelinat pour jeune fille jusqu'à la fin des années 1970. aujourd'hui c'est des logements qui ont pris la place

Deux rue derrière se trouver l'orphelinat des filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul 2 rue des Allois et le siège social a l'enfance de l'abbé FAYAUD 2 rue Neuve St Étienne

Photo ci-dessus

"Orphelinat du Bon Pasteur", à Limoges (3, rue des Pénitents-Blancs). Fondé en 1830.  En 1896 dirigé par les Sœurs de Marie-Thérèse dites du Bon Pasteur. Reçoit, vers 12 ans et garde jusqu'à 21 ans les filles orphelines abandonnées ou naturelles, moyennant une pension variable (ordinairement de 150 francs par an). A leur sortie leur donne un trousseau, les place comme domestiques ou les rend à leurs familles. 

Les recueille quand elles sont sans place ou malades. 

A une certaine époque devient une maison de correction 

Reçoit des filles acquittées comme ayant agi sans discernement, qui lui sont adressées par l'administration pénitentiaire.  

Côte à côte se trouvait le refuge Sainte-Madeleine a droite, qui accueillait les jeunes filles enceintes et l'orphelinat de jeune fille du bon-Pasteur rue des Pénitents Blancs à Limoges. 

Aujourd'hui c'est une maison de retraite

Il y avais aussi un orphelinat des filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul rue F. Chénieux à Limoges.

Je n'ai pas retrouvé le bâtiment

Photo ci-dessus

D'un bout a l'autre de la photo le Patronage Saint-Étienne, à Limoges (rue Saint-Affre) au pied de la cathédrale et non loin du bureau de l'abbé Fayaud

il y a encore quelques années c'étais une école (école Louise de Marillac) bâtiment appartenant à la compagnie des filles de la charité de Saint-Vincent-De-Paul

il y avait aussi le Patronage Saint-Joseph, à Limoges (3, rue des Augustins).  

Le bâtiment n'existe plus rasé et remplacé par un dispensaire de santé

Photo ci-dessus

"Patronage Saint-Joseph" de la paroisse Saint-Michel des lions, à Limoges. 

Se trouver surement dans l'un des bâtiments ci-dessus

il y avait aussi le Patronage Sainte-Marie, à Limoges (anciennement rue de la Caserne)  

Je pense qu'il s'agit du centre départemental de l’enfance et de la famille qui à une époque pas très lointaine c'est appelé villa Robert  et surement patronage Sainte-Marie bien longtemps avant (rue Chinchauvaud derrière l'ancienne caserne Marceau de l'autre coté de la voie ferré )

Les pensionnats et orphelinats aux alentours de Limoges sous la direction du diocèse de limoges 

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En même temps que sera créée la Cité de l'enfance de Nieul cette colonie deviendra un pensionnat et ils accueilleront tous deux les enfants de la guerre de 39/45 

Photo ci-dessous
"Bonnac-la-Côte"  

Orphelinat de Bonnac, près Ambazac. Fondé en 1856.  Dirigé par les Soeurs de la Croix.  

Les enfants reçus peuvent rester jusqu'à 21 ans. 

Pension annuelle de 150 francs. 

Deviendra vers 1910 la colonie de vacance "Les Hirondelles Parisienne" sous direction du diocèse de Limoges et des abbé GOGUYER puis PATIER et plus tard FAYAUD

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Orphelinat du Dorât 1826-1940 

Fonde par la famille Robert et la R. M. Saint Augustin. a partir de 1890 dirigé par les Soeurs de Marie-Joseph. 

Reçoit gratuitement les filles orphelines de la ville et les garde jusqu'à 18 ans. 

25 places. 

j'ai pas trouvé de photos

Photo ci-dessous

"École de Réforme de Saint-Éloi, à Chaptelat" 

Dirigée par les Soeurs de Marie-Thérèse (dites du Bon Pasteur). 

Fondée en 1846 comme orphelinat par M. le chanoine Ferrot, transformée en école de réforme par Mgr Duquesnay, évêque de Limoges, en 1876. 

il reçoit des enfants, entre 7 et 12 ans et garde jusqu'à 20 ans des garçons acquittés comme ayant agi sans -discernement, qui lui sont adressés par l'administration pénitentiaire  et, moyennant une pension variable à fixer de gré à gré, des garçons insoumis qui y sont placés par leur famille. 

Place en apprentissage quelques-uns de ses pupilles les plus méritants, qui sont logés et nourris au patronage spécial de Sainte-Valérie. 

320 places. 

L’Ecole de réforme cesse d’être en 1902-1903, époque à laquelle la ville de Limoges en devient propriétaire. 

Au cours de la guerre 14-18, le Mas Eloi change de destination. Il est appelé « hôpital complémentaire », « hôpital dépôt », ou « hôpital militaire de prisonniers allemands ».

 En 1920, le site devient laique et est loué à l’Union Coopérative de Limoges qui s’engage à y organiser des colonies de vacances de garçons et filles jusqu'a la fin des années 1990

Aujourd’hui, cet établissement accueille un centre aéré pour la ville de Limoges.