With Arun Advani and Andy Summers
The UK is unusual amongst international peers in not levying any tax on people who leave the country after making substantial capital gains whilst living here. We provide the first quantitative evidence on UK nationals who leave the UK after building a UK business, studying where they went and how much CGT revenue is potentially lost. We recommend that the UK should follow the approach of Australia and Canada by levying a ‘deemed disposal on departure’ (DDD) for people who leave the UK, accompanied by ‘rebasing on arrival’ (ROA) for people arriving in the UK.
With Arun Advani, Sebastian Gazmury-Barker, Sanaya Mahajan and Andy Summers
‘Carried interest’ (or ‘carry’) is one of the main forms of pay in the private equity (PE) industry. Only around 0.01% of the UK population (6,440 individuals) reported any carried interest between 2017 and 2023, but over that period their total carry exceeded £22 billion. Carried interest is extremely concentrated amongst top executives. In 2020, the top 100 executives received an average of £15 million in carry each and paid an average effective tax rate of 29% on their total income and gains (including gains on co-investments taxed at 20%). Carried interest is currently taxed as a capital gain at a rate of 28%. In June 2024, the FT quoted the then Shadow Chancellor Rachel Reeves as saying: ‘“I don’t think it is right that … what is essentially a bonus is taxed at a lower rate than employment income, when you’re not putting your own capital at risk”. Since entering government, Labour has reiterated its Manifesto pledge to “take action in respect of the ‘carried interest’ loophole” by taxing carried interest like other ‘performance-related rewards’ and has said it will announce reforms in the upcoming Autumn Budget.
L’objet de ce Focus est de mettre en évidence un lien statistique entre les politiques culturelles à l’échelon le plus local d’une part et la vie des territoires et le bien-être individuel d’autre part. Il dresse le constat d’une offre culturelle inégale sur le territoire et tente d’en identifier les implications. Nos analyses mettent en évidence les effets des pratiques culturelles sur le bien-être, à une double échelle. À l’échelle des communes et intercommunalités, nous montrons que l’environnement culturel local est lié à la participation à la vie politique mesurée via l’abstention. L’étude se concentre ensuite sur l’échelle individuelle, en mobilisant des données d’enquête en panel nous permettant de croiser des métriques de bien-être, de pratiques culturelles et d’accès à l’offre culturelle locale. Dans les deux cas, nous exploitons à la fois la dimension spatiale et la dimension temporelle des données.
Avec ÉTIENNE FIZE ET TITOUAN LE CALVÉ
La crise sanitaire liée au Covid‐19 a eu un impact fort sur la consommation des ménages ainsi que sur leurs habitudes du fait des fermetures administratives et des restrictions de déplacement. Comme dans le secteur de la restauration, les entreprises des secteurs culturels ont fait partie des entreprises les plus affectées par la crise. Alors que le premier choc de cette épidémie s’estompe, ce Focus vise à faire le point sur la situation de certains secteurs culturels, telle qu’elle peut être appréhendée par l’exploitation de données bancaires. Nous étudions en particulier la situation financière des entreprises, via leurs données bancaires, et les transactions par cartes bancaires des ménages pour des achats de livres, de musique, de films, de séries et de spectacle vivant. Nous étudions également les transactions pour des sorties dans des lieux culturels tels que des musées, des expositions ou des galeries d’art, ainsi que la consommation de jeux vidéo.