GOUVERNEMENT CAYO PÉRICO

HISTOIRE DE NOTRE ILE

L’émergence d’un règne discret
Tout a commencé il y a près de cinquante ans, lorsque Cayo Périco était encore une île déserte visitée seulement par des pêcheurs. Mais à la fin des années 1970, un ancien capitaine de la marine Mexicaine, Santa Anna, a découvert son potentiel stratégique. Après avoir fui son pays d'origine à cause d’une trahison politique, il s’est réfugié sur l’île. Il y a vu une opportunité : loin des lois internationales, sans surveillance des grandes puissances, Cayo Périco pouvait devenir une enclave autonome.

En quelques années, Santa Anna  a établi une sorte de monarchie de l’ombre, se proclamant le premier Roi de Périco. Les habitants locaux, fatigués des conflits sur le continent, ont accepté son leadership. Il a bâti une flotte, creusé des tunnels, et créé des bases secrètes. Ainsi naquit le Gouvernement Invisible de Cayo Périco, une entité qui ne figurait sur aucune carte, mais qui contrôlait discrètement une grande partie des routes maritimes clandestines des Caraïbes.

Le gouvernement de Cayo Périco repose sur trois piliers : 

1. Le Conseil des Ombres : Composé de cinq membres anonymes, ce conseil agit comme un cabinet royal, représentant les intérêts de divers secteurs : commerce, sécurité, environnement, finance, et culture.

2. La Main d’Or : Un système économique basé sur l’or, les diamants, et les crypto-monnaies. Aucun dollar ou euro ne circule sur l’île. Toute transaction se fait sous forme de troc ou via des actifs rares.

3. La Loi du Silence : La première règle de l’île est qu’aucun étranger ne doit révéler ce qu’il a vu ou entendu à Cayo Périco. Ceux qui trahissent cette règle disparaissent sans laisser de trace.

Pour garantir la sécurité, les frontières de l’île sont surveillées par un système de radars avancés, la Guardia Nationale ainsi que Ejército Mexicano , et des drones furtifs. Même les satellites peinent à détecter les activités sur l’île, grâce à une technologie de brouillage financée par des milliardaires alliés au roi.