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MON AMBITION
"Laisser un monde meilleur que celui que nous avons trouvé". C'est celle de Steve Jobs, que j'ai eu le privilège de côtoyer. Je l'ai suivi, je suis en quelque sorte l'un de ses très nombreux disciples.
BIO RESUMEE
Present : Uses of Artificial Intelligence, Human-computer Interaction, Behavioral Robotics, for the rest of us (DeAetna)
Past : Product marketing (Apple), consulting in disruptive innovations (Tebaldo Lab), UX design (Lirobia, Ganaxa)
Education : DESS in econometrics (Master of science, Paris X), Apple University (Apple), Uses of Artificial Intelligence, Human-computer Interaction, Behavioral Robotics (Stanford, distant learning)
CONTACT
LinkedIn, Instagram, Facebook, ResearchGate, x.com/messages X (de moins en moins)
ETUDES
J'étais destiné à la mise en scène de cinéma. Dès 12 ans, je tournais mes premiers films. Le plus connu reste sans conteste Enlèvement au Château de Versailles, dont seul le début de la première scène a vu le jour. L'actrice principale, magnifique, décida de quitter le plateau après mon insistance pour tomber une dixième fois. Espérant protéger sa peau de mouton, d'un blanc immaculé, de la boue d'une pluie récente, elle évitait que le haut de son corps ne touche le sol, rendant mon futur chef-d'œuvre grotesque.
Une démarche mal entreprise lors de l'inscription à la Fémis mit fin à mon rêve. Mon père souleva la délicate question des mathématiques et de la physique au concours sous les yeux d'une secrétaire au nombril découvert. Elle me lança des oeillades prononcées, et, sans un regard pour mon géniteur, elle répondit: "non, rien de tout cela, nous vérifions seulement", clin d'œil, "les qualités artistiques de nos jeunes", clin d'œil. Fini terminé, je fus orienté vers la voie que je considérais la pire, l'économie. Dire qu'une inscription en ligne m'aurait sauvé!
La piste se révéla bénéfique, grâce au DESS économétrie et informatique, que je suivis suite au conseil salvateur, c'est rien de le dire, d'un bon ami. Son directeur, Maurice Desplas, mettait un point d'honneur à se faire rencontrer universitaires et entrepreneurs fiers de leur parcours. J'y ai appris les rudiments de la programmation, discipline des disciplines, et du marketing produit. Cela déclencha des revenus réguliers et quelquefois très importants, des échecs cuisants, mais surtout des rencontres exceptionnelles. Fort de ce bagage, j'ai pénétré l'univers sans limites des nouvelles technologies, sous la forme de machines hexadécimales, puis d'ordinateurs, le plus fantastique d'entre eux étant l'Apple II, puis de l'objet d'art qui a changé ma vie, comme celle de centaines de millions de personnes, le Macintosh. J'eus le privilège d'être l'un des directeurs produits d'Apple, de 81 à 86.
PARCOURS PROFESSIONNEL
Comme pour tout bon Japonais, ma formation professionnelle m'a été dispensée dans l'entreprise/famille:
Ce fût en premier lieu à la maison, par l'entremise de mon père, sur Akio Morita qu'il avait eu la chance de rencontrer en 1975, et qui lui avait exposé la stratégie de Sony à 25 ans, elle s'est vérifiée pile en 2000,
par Apple. J'y reçus les enseignements de Steve Jobs, alchimie technologie, design, marque, et stratégie Apple, la première fois en 82 à 27 ans, nous avions le même âge, et à plusieurs reprises par la suite sur les UI/UX,
par les laboratoires de la région d'Osaka, avec Minoru Asada, dès 2003, sur la robotique cognitive développementale, le deep learning, la réalité augmentée,
par Dominique Beau, sur tant de sujets, le dernier en date intellect et âme, mais aussi sur la méthodologie temps réel pour anticiper l'impact des innovations de rupture;
par Fanny Vielajus, chez CLM/BBDO et par Mark Kwamme, sur la marque et le e-commerce.
Après cinq années passées chez Apple, quelques structures et activités dans le numérique auxquelles le projet des Apple Store mit fin, puis une expérience de publicitaire nouveaux médias en future-ex filiale de CLM/BBDO et de CKS, j'ai créé en 2001 Tebaldo, un observatoire stratégique sur les tendances et usages des nouvelles technologies. J'ai adapté pour la détection de disruptions une méthode américano japonaise unique, créé le premier livre/reader électronique digne de ce nom, à base d'encre électronique, pour le Groupe Les Echos, Citroën et SFR, doté d'un format de documents de mon invention, fortement inspiré d'HyperCard, du génial Bill Atkinson, et le concept d'une plate-forme minimaliste de robotique cognitive.
Nous y avons instauré des Rencontres, des laboratoires d'usage (le plus fameux, visité du monde entier, le Labo BnF), des blogs et micro blogs sur les outils collaboratifs, iMode, Apple, le papier électronique, les robots/agents de nouvelle génération, les grandes innovations et la santé, Twitter pour dirigeantes(ts), l'AR/VR/Deep Learning, la marque et les nouveaux médias. Nous nous sommes amusé à créer le Festival International des Pléiades, compétition de petits bijoux diffusés simultanément en salle dans le monde entier, pour comprendre la révolution du cinéma à l'ère du tout numérique, et parce que je n'ai cessé d'adorer le cinéma. La fiction en apprend plus que la vie.
J'ai assuré pendant deux ans la R&D et le marketing stratégique de Lirobia, structure que j'ai co-créée pour fabriquer une preuve de concept de robotique apprenante, Pio. Elle n'est pas passée au stade d'industrialisation.
En 2013, j'ai initié en marge de Tebaldo une nouvelle activité philantropique passionnante autour de l'autisme et des troubles/talents cognitifs, AVC, burn out, Alzheimer, etc.
J'ai pris ensuite un congé sabbatique de 4 ans, bien mérité, durant lequel je me suis mis à niveau sur l'intelligence artificielle générative et ses nouvelles interfaces, et la robotique comportementale. For the rest of us".
En juillet 2025, j'ai ouvert petit lab, DeAetna, pour communiquer sur les usages de ces technologies, et les expérimenter avec un public restreint (en priorité les personnes souffrant de troubles cognitifs).
EDITION
Coté écriture, en 1997, mon premier ouvrage, Internet et la Pub, fut interdit in extrémis de sortie. L'un de ses chapitres « Internet, les femmes et le lavoir », qui anticipait l'arrivée des réseaux sociaux et leurs bénéfiques échanges, avait été pris pour une apologie du machisme par la femme de l'éditeur.
J'avais entrepris Jeunesse éternelle, mais pas trop, pour promouvoir la télé prévention et les bonnes habitudes alimentaires, une version avait même commencé à circuler, mais après les premiers avis, je crois bien qu'il ne sortira jamais.
Ma première docufiction Aldo Manuzio, passions et secret d'un Vénitien de génie, porte sur l'invention du livre moderne en 1501 par ce héros de Steve Jobs, d'Alan Kay et de tous les philosophes, les vrais, à la fois amoureux du savoir et technologues.
ONE LAST THING
Je n'ai pas retenu les dernières leçons de ma coach de vie, j'aurais dû commencer par: que faites-vous? et, pour les plus proches, comment allez-vous? de quoi souhaiteriez-vous me parler?
A bientôt, en virtuel sans doute, ou en réel, c'est comme vous voulez, je n'ai aucune préférence. J'aime discuter aussi bien de plongée sous-marine ou de cinéma, que de la survie de l'humanité ou de Woody Allen, que de Ravages, de Barjavel, ou de la Formule de Dieu.
Hug,
@brunorives
LIENS
SITE &BLOGS
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MICRO BLOGGING , PUBLICATIONS & RESEAUX SOCIAUX
OUVRAGE
ELLES(ILS) M'ONT DONNE LEURS GÈNES OU CHANGÉ LEUR EXPRESSION
Jeannette Ducluzeau de Chabreuil, ma mère, aux racines anarchistes, laïques, républicaines, royalistes, religieuses, subtilement réparties, pour m'avoir protégé de l'intellect assassin
Jean Rives, mon père, pour la preuve que tout être est fragile, poète, artiste, et pour la transmission de son savoir
Marie Boulant, mère de mes enfants, pour son exigence de vie, sa foi en l'esprit; pour la bonne éducation qu'elle a donnée à trois enfants fantastiques, et qu'elle distille aux tout petits
Eugénie, Jean-Baptiste et Jeanne Rives, les conquérants, ils savent ce que je leur dois, à eux et à leur moitié
Les tout petits, ils m'en apprennent
Christine Géhin, pour m'avoir fait redevenir auteur de ma vie
Johanna Hoffman, pour m'avoir adoubé dans le saint des saints d'Apple à Cupertino, peuplé de gens inoubliables, entraînant passions personnelles et professionnelles infinies
Haruko Tsujita, pour m'avoir donné accès au monde des consortiums japonais de la technologie, de l'ergonomie et du design. Celui des humains et des machines, faites d'atomes, qui ont aussi une âme.