Philippe HERVOUET

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Tout commence à l’âge de 6 ans où Philippe HERVOUËT découvre le chant, la danse et la langue bretonne en intégrant la troupe « La Bretagne qui chante » qui demeure juste en face de chez ses grands-parents en région parisienne. Il y apprend les bases du spectacle et découvre les instruments celtiques, c’est son premier environnement musical. Et c’est à ce moment qu’on lui explique l’origine de son nom - HERVOUËT - qui signifie « vaillant au combat ». Il prend alors conscience de la fierté d’appartenir à cette richesse culturelle et devine que ce monde celtique qui l’attire déjà déterminera ses choix de vie.

Il découvre la guitare à 11 ans grâce à son frère Olivier qui débarque à la maison avec une guitare irlandaise. Il commence ensuite à se produire sur scène avec des copains et sa soeur Nath HERVOUËT au chant, puis il se met à composer à 14 ans. A 16 ans, il comprend qu’il doit faire de la guitare son métier, il travaille avec des professeurs comme François Rolland qui lui mettait sous les yeux des partitions de guitariste de métier et qui lui a permis de rentrer dans le monde du bal et des soirées privées. En parallèle il est en CAP construction métallique et notamment travaille le métal à la forge et à la soudure. 

A 18 ans il rencontre Jean-Pierre Vimont et découvre avec lui différents styles de jeu comme le blues et le jazz fusion. En parallèle il rentre en tant d’éducateur au centre de la Gabrielle à Claye-Souilly où il joue de la guitare pour les enfants handicapés. A l’âge de 20 ans, il prend son premier cours de guitare jazz avec Pierre Cullaz avec qui il approfondit l’harmonie. Mais depuis le début de son parcours, Philippe HERVOUËT a ce désir de créer et de proposer un univers de chansons, parce que pour lui, chanter c’est un besoin vital. D’ailleurs, la première chanson qu’il enregistre en studio sous son nom à 14 ans s’appelle « it’s all gone », il chante et enregistre tous les instruments les uns après les autres, au studio de René Lefevre, démonstrateur des synthés Moog. A ce moment, il fait aussi partie du groupe Impact avec son ami Jeff Bernicchia, où ils se retrouvent Découverte du Printemps de Bourges.

A 21 ans, Philippe Hervouët travaille avec Xavier Escabasse qui était l’ingénieur du son du Studio Damien et d’Artistic Palace, grâce à qui il rencontre le pianiste et compositeur de musiques de film Jean-Michel Bernard (Michel Gondry, La Science des rêves, organiste de Ray Charles…) avec qui il collabore toujours depuis. Jean-Michel qui l’appelle en remplacement pour faire une séance télé pour les années Tubes (Jean-Pierre Foucaut), où Carolin Petit était chef d’orchestre, il se retrouve alors plongé dans cet univers, parmi les meilleurs musiciens français. Lors de cette séance, il rencontre alors Marc Chantereau qui le conseille sur les enjeux du placement musical, c’est la révélation pour Philippe qui prend la balle au bond et lui répond « apprends-moi ». En même temps Philippe fait la rencontre des frères Guillard qui montent leur groupe Pazapa et qui lui demandent de l’intégrer.

Vers 25 ans Philippe commence à se faire connaitre en tant que guitariste professionnel avec Gérard Blanc qu’il accompagne sur scène, en studio et en télé. Il travaille aussi en promo télé avec les Cherche-midi (fils de Souchon et Voulzy), en émission de télé avec Céline Dion, Maurane par exemple. Il lui manque le réseau des séances de guitariste de studio et pour prendre de l’expérience, lui vient une idée, contacter les studios, les arrangeurs et réalisateurs d’albums pour leur proposer de venir enregistrer leurs guitares bénévolement, ce qui ensuite lui a permis d’être rappelé pour des projets rémunérés.

Vers 30 ans, avec Xavier Escabasse au studio Ornano, il rencontre la chanteuse Nourith pour qui il compose sur mesure une chanson qui s’intitule « Opaline » (auteur : Jean Fauque ; compositeur : Philippe Hervouët) qui sera single chez Universal Music, Pépite RFM.

En 1994, Philippe Hervouët rencontre Jean-Jacques Goldman lors de la soirée de départ en retraite de la célèbre programmatrice de radio Monique Le Marcis au restaurant Le Doyen, Champs Elysées, Paris. Philippe fait écouter ses chansons à Goldman et lui pose une question sur le fait d’utiliser son nom comme nom d’artiste, ce à quoi il répond, je m’appelle bien Jean-Jacques Goldman et de toute façon les gens associeront ton nom à ce que tu fais.

Philippe Hervouët rencontre Isabelle Mayereau par Jean-Michel Bernard, en 1999, pour la conseiller sur l’achat d’une guitare. Cette rencontre est décisive car Isabelle poussera Philippe à écrire ses propres textes de chansons.

Alors que Jean-Michel Bernard était début des années 2000 l’organiste de Ray Charles, Jean-Pierre Grosz, son manager en Europe confie à Jean-Michel la réalisation de son nouvel album. Jean-Michel s’entoure de son équipe de musiciens et appelle Philippe pour enregistrer les guitares pour Ray Charles.

En 2002, Philippe Hervouët donne des masterclass de guitare à l’Ecole Funambule à Nyons en Suisse, c’est alors qu’il apprend que dans la salle voisine, Claude Lemesle donne un atelier d’écriture. Philippe demande à y assister et c’est ainsi qu’il a ensuite intégré les ateliers d’écriture de Claude Lemesle à Paris.

Ensuite, en 2005, Philippe travaille avec Richard Bohringer, pour des concerts. Et se retrouve à participer au tournage de son film « C’est beau une ville la nuit », dans lequel il joue son rôle de guitariste. Dont un duo avec Paul Personne sur scène. Il co-compose également quelques musiques qui intègrent le film.

A la fin du tournage, un ami Jacky Delance (pianiste de la Chance aux Chansons) l’appelle pour rentrer comme guitariste dans la nouvelle émission de Pascal Sevran (Chanter la Vie) jusqu’en 2007.

Nicolas Montazeau (percussionniste), appelle Philippe pour enregistrer les guitares du deuxième album d’Agnès Bihl produit par Gérard Davoust chez Naïve. C’est alors qu’il rencontre Sergio Tomassi (accordéoniste) qui décide de lui proposer d’enregistrer les guitares de l’album de Serge Lama « l’Âge d’horizons » en 2008. Serge Lama avec qui Philippe Hervouët collaborera en tournée et en studio jusqu’à la fin de sa carrière. Philippe est également appelé à faire des remplacements à la guitare sur scène et en télé auprèsd’artistes comme Michel Fugain, Enrico Macias.

Philippe Hervouët réalise enfin son rêve d’incarner son univers personnel de chansons, après de longues années de création, il sort son album « Mabden » (« fils de l’homme » en breton) en 2012 au New Morning. Il collabore avec le producteur de spectacles Michel  Knyf (MK Evénementiel) qui décide comme objectif de produire Philippe à l’Olympia (Bruno Cocquatrix) en tant qu’artiste. C’est alors qu’une course contre la montre se déclenche et le rétro-planning se compose de concerts dans les plus belles salles de la région ainsi qu’une programmation au festival Interceltique de Lorient. Le 16 février 2014, Philippe Hervouët est inscrit en lettres rouges sur la façade de l’Olympia et le spectacle est un succès. Philippe Hervouët décide de collaborer avec l’harmoniciste et chanteuse Rachelle Plas en réalisant son album et en co-composant les titres. Ils jouent en duo d’artistes en France et à l’international, notamment aux Etats-Unis à l’été 2022.

Philippe Hervouët, après s’être plongé à nouveau dans un cycle de création, revient aujourd’hui sur scène avec un nouvel album concept qui sortira en fin d’année 2023 : « Testament d’un Papillon ».

Rachelle PLAS

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Rachelle PLAS commence l’harmonica et le judo à l’âge de 5 ans. Elle est une ancienne sportive de haut niveau membre de l’équipe de France de Judo. Une expérience déterminante qui l’a amenée à devenir multiples fois championne de France, vainqueur du Tournoi de France et vice-championne du monde. Elle a toujours mené en parallèle sa carrière de sportive de haut niveau avec l’exercice de sa passion, la musique.

Harmoniciste et chanteuse française, elle surprend par sa créativité, l'excellence de son jeu d'harmonica et sa voix à la fois feutrée et dynamique. Son parcours est atypique et elle se consacre intégralement au développement de ses projets artistiques. Différentes réalisations voient le jour : 

- l'EP "Cyclone"

- le single "Open your eyes"

- Le nouvel album éponyme, pop-blues-rock, représentatif de l'énergie des concerts

Les chansons sont co-écrites avec l'artiste guitariste-chanteur Philippe HERVOUËT, également réalisateur des chansons.

Elle sort en parallèle le single jazz-pop "Bubbles" qui s'inscrit dans un style suave et féminin où elle dévoile ses talents de siffleuse, et un album de bibliothèque musicale centré sur l'harmonica "Library of contemporary harmonica and songwriting music". Une de ses musiques est choisie pour illustrer des génériques de webinaires internationaux.

Rachelle PLAS est Artiste HOHNER (1er fabricant mondial d’harmonica) et a l'honneur d'être présente à l'international sur les packages de son modèle de prédilection le “Golden Melody” depuis 2013.

Rachelle PLAS DRSL (HONS) a reçu un diplôme avec honneurs « for services to music » par la Rockschool RSL Awards. Elle est ambassadrice de l’organisation HarmonicaUK.

En partenariat avec HOHNER, elle propose les spectacles "l'Harmonica avec Rachelle PLAS" dédiés au jeune public, et fait la promotion de l'harmonica et de la musique live à l'occasion de tous types d'évènements.

Elle se produit en spectacle en formation "Rachelle PLAS & Philippe HERVOUËT", en France et en Europe, ainsi qu'aux Etats-Unis à l’été 2022 en partenariat avec HOHNER.

Activités :

- Artiste musicienne et chanteuse

- Prestations musicales jeune public

- Concerts & masterclasses