Association Indépendante d'Aide Citoyenne par le Social et le Logement (AIAC) 

Cette association à pour but: La représentation, promotion et défense d'intérêts économiques .

Objet:

défense des locataires, des usagers du logement et des consommateurs ; réunir les citoyens dans l'intérêt général au sein de la ville et sur le plan social (aide à la recherche du logement, actions humanitaires, culturelles et sportives en France et à l'étranger), de la culture, de l'économie, de l'environnement, de la solidarité, de la sécurité, du civisme, de la médiation, de l'écoute des jeunes, de la recherche d'emplois, de l'aide aux personnes handicapées, de l'information, de la convivialité, du maintien des traditions, des animations ; organisation festives ; établissement d'un relationnel et d'un partenariat avec les collectivités territoriales et d'autres associations de la ville.

Média

Il faut beaucoup pour avoir de courage pour écrire aujourd’hui sur les réseaux sociaux, croyez-moi ! J’assume tous tous mes écrits ma franchise, mon caractère, tout tout tout est toujours sincère. J’espère que mon franc parler va vous plaire. j’ai un franc parler parfois déroutant, car je déteste l’hypocrisie, Tartuffe, et les non dits. Je suis assez franc dans ma vie, j'ai déjà eu affaire à des serpents,Certains points n'échappent pas au radar de l'observateur expérimenté que je suis, et je pense que certaines personnes ressentent le besoin de briser les autres pour exister. je dis ce que je pense et je fais ce que je dis!

Nos efforts ne passent pas inaperçus.


parce qu’on n’a rien sans rien et pour travailler et réussir ensemble.


Statistiques

Cette structure est enregistrée auprès de l’Insee comme appartenant au champ de l’Économie Sociale et Solidaire . 

Cette structure n’a pas de procédure collective (en cours ou clôturée).

 Elle n’a aucune annonce publiée au Bulletin Officiel Des Annonces Civiles et Commerciales (BODACC) 

Cette structure possède 1 annonces publiées au Journal Officiel des Associations (JOAFE), consolidé par la DILA. 

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page de cette association sur le site du JOAFE : Publication N° parution Type d’annonce Justificatif de parution 12/12/2009 200900500935 Création Associations loi du 1er juillet 1901


                                  CARTON  ROUGE

    Au municipale  2026 à la Paillade, on connaît déjà le vainqueur :                                           Jean-Luc Mélenchon  ou  L’abstention

Dans le quartier populaire de la Paillade, à Montpellier, la mobilisation électorale ne prend pas. Face à l’inaction répétée des pouvoirs publics, le clientélisme du passé et le népotisme sont de retour régnant en maître. Les habitants croient peu ou prou à un éventuel renouveau. 


Résumé

Le népotisme et le favoritisme aux niveaux local et régional peuvent compromettre l’efficacité et

l’efficience de la prestation des services publics, affaiblir la confiance des citoyens et nuire à l’image

des autorités publiques locales et régionales en tant qu’entités servant les intérêts de leurs administrés.

Le présent rapport énonce des normes en matière de bonnes pratiques et présente des stratégies de

prévention de la corruption dans les procédures de recrutement des collectivités locales et régionales.

Il propose un examen des effets négatifs du népotisme sur la performance et la culture des

organisations et soutient que des systèmes de gestion des ressources humaines transparents,

impartiaux et fondés sur le mérite permettent d’atténuer ces effets.

Dans sa résolution, le Congrès invite les collectivités locales et régionales à renforcer la transparence

des processus de recrutement et de promotion en adoptant des procédures claires, garantissant

l’égalité et l’équité, et à mettre en place des mécanismes de signalement pour relever les cas éventuels

de favoritisme ou de conflit d’intérêts. Dans sa recommandation, il demande au Comité des Ministres

d’appeler les gouvernements à veiller à ce que la législation nationale contienne des dispositions aptes

à atténuer le risque de népotisme.


Premier Communiqué de Presse

14/05/2023

Font Del Rey: Comme l’écrivait Victor Hugo dans les misérables,<< il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut de l’action>> Font Del Rey Comme l’écrivait Victor Hugo dans les misérables,<< il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut de l’action>> Nous souhaitons signaler la situation des plus anciens locataires de la résidence Font Del Rey victime de discrimination! Cette observation permet de mieux qualifier la discrimination vécue par ces personnes logeant dans cette résidence depuis qu’elle a été acheté par la Métropole de Montpellier. Personne ne comprends pourquoi certains locataires récents dans cette résidence ont été relogés dans des appartements plus grands alors que des locataires de longues date n'ont eu aucune proposition contrairement aux promesses de Monsieur Michael DELAFOSSE Président Maire de MONTPELLIER.Certains de ces locataires renouvellent leur demande de logement social depuis maintenant plus d'une quinzaine d'année !!!! On remarque également que la résidence " sois disant insalubre" sous la direction de l'ancien syndic se dégrade de plus en plus et que l'insécurité grandit entre les squats ( plus de 6 appartements squattées ce jours dans la résidence) AINSI QUE LES PARTIES COMMUNES TOUJOURS PLUS ENCOMBRÉS D'OBJETS N'AYANT RIEN A Y FAIRE. Personne ne comprend dans ces conditions la véritable politique de Monsieur le Maire toujours tout sourire sur les photos journalières dans les médias.... LA COMMUNICATION ..peut être???

 MIKTAR JAMAL


                                                                FONT DEL REY

 L'arbre qui cache la forêt insalubre du parc locatif social métropolitaine ACM-SERM-SA3M  ALTÈMED  à  la  paillade



Certains points n'échappent pas au radar des observateurs expérimentés que je suis. Les voici.

                            L'Ars Occitanie et les élus de la Métropole de Montpellier  qui ne voient pas la catastrophe venir pourtant flagrante !

j’ai un franc parler parfois déroutant, car je déteste l’hypocrisie, Tartuffe, et les non dits. Je suis assez fronc dans ma vie, j'ai déjà eu affaire à des serpents,Certaines ressentent le besoin de briser les autres pour exister.

je peux connaître selon sa nature quand je voie l'un d'eux.

Comme l’écrivait Victor Hugo dans les misérables,<< il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut de l’action>> Nous souhaitons signaler la situation  des plus anciens locataires de la résidence Font Del Rey victime de discrimination! Cette observation permet de mieux qualifier la discrimination vécue par ces personnes  logeant dans  cette résidence depuis qu’elle a été acheté par la métropole de Montpellier. Personne ne comprends pourquoi certains locataires récents dans cette résidence ont été relogés dans des appartements plus grands alors que des locataires de longues date n'ont eu aucune proposition contrairement aux promesses de Monsieur Mickaël DELAFOSSE Président Maire de MONTPELLIER.Certains de ces locataires renouvellent leur demande de logement social depuis maintenant plus d'une quinzaine d'année !!!!

Pourtant, l’affaire s’est bien invitée dans les débats du conseil municipal. Le 17 décembre 2014, la Ville adopte la vente de six logements ACM au profit de la société Ciger. Son but ? « Assurer l’équilibre économique et social d’un ou plusieurs ensembles d’habitations ou d’un quartier connaissant des difficultés particulières », affirme Stéphanie Jannin, adjointe au maire, à l’époque en charge de l’urbanisme. Et de prétendre que Ciger « apparaît comme le bailleur le plus à même de gérer au quotidien cette propriété ». Les élus d’oppositions montent alors au créneau. Dans l’assemblée, deux visions politiques et idéologiques se confrontent. Djamel Boumaaz, à ce moment membre du groupe Front national, demande en vain « de retirer cette affaire pour avoir le temps de la réflexion » pointant de la part de la majorité municipale « une forme de déresponsabilisation ». De son côté, Michaël Delafosse rappelle qu’il n’existe pas de fatalité sur les copropriétés sévèrement dégradées. « Je pense qu’il faudrait prendre le temps avant d’engager cette cession, parce qu’ACM, c’est la maîtrise publique, donc c’est vous (Philippe Saurel, ndlr). Je dois avouer que l’engagement de cette société à rénover les logements…(…) sa parole ne me semble pas extrêmement crédible », déclare alors le socialiste. Quant à l’ex écologiste Mustapha Majdoul, qui siège désormais aux côtés de Philippe Saurel, il se questionne : « Pourquoi ACM préfère-t-elle se séparer de ces appartements plutôt que de s’engager dans un processus inverse,


Puisque, Les agents municipaux de Montpellier détiennent le record d’absentéisme, d’après le rapport de la juridiction administrative financière révélé le mardi 6 juin 2023 ,Alors Qui fait quoi à la Paillade ??

Absentéisme : un niveau "atypique" qui coûterait 33 millions à Montpellier, dénonce la Chambre régionale des comptes

Les agents municipaux de Montpellier détiennent le record d’absentéisme en France

Nous devons avoir un absentéisme comparable à celui qui existe dans des collectivités de la même strate”,s’est

exprimé Michaël Delafosse.

Une prime contre l’absentéisme

La mairie a également acté ce mardi 29 mars en conseil municipal la mise en place d’une prime de 1230 euros à 1830 euros par agent et par an.

C’est un triste record que détient depuis plus de 10 ans la ville de Montpellier. Ses agents municipaux sont parmi les plus absents du pays.

La métropole de Montpellier vote ce mardi 6 décembre un plan de prévention et de lutte contre l'absentéisme de ses agents. Parmi les mesures, réduire les primes des salariés à partir du onzième jour d'arrêt-maladie. Les organisations syndicales sont contre et appellent à la grève.

La métropole de Montpellier s'attaque à l'absentéisme de ses agents

La métropole de Montpellier vote ce mardi 6 décembre un plan de prévention et de lutte contre l'absentéisme de ses agents. Parmi les mesures, réduire les primes des salariés à partir du onzième jour d'arrêt-maladie. Les organisations syndicales sont contre et appellent à la grève.

La métropole de Montpellier vote ce mardi un plan pour lutter contre l'absentéisme © Radio France - Elizabeth Badinier

C’est un triste record que détient la ville depuis plus de 10 ans. Ses agents municipaux sont parmi les plus absents du pays. Pour y faire face, la métropole de Montpellier met en place un plan de prévention et de lutte contre l'absentéisme. Parmi les mesures annoncées, une fait réagir les syndicats : à partir du 1er janvier 2023, les agents verront leur prime baissée au bout du onzième jour d'arrêt-maladie. L'intersyndical CFDT, FO et SUD est contre et appelle à la grève ce mardi avec un rassemblement à 9h devant l'hôtel de la métropole.

Le gendarme des comptes publics pointe un niveau d'absentéisme élevé voire atypique et orienté à la hausse. 

Faire face à la propagande, à la désinformation et aux fausses nouvelles

La propagande, la désinformation et les infox peuvent polariser l'opinion publique, promouvoir l'extrémisme violent et les discours haineux et, en fin de compte, saper les démocraties et réduire la confiance dans les processus démocratiques. 

Qu’entend-on par propagande, désinformation et fausses nouvelles ?

Les termes « propagande », « désinformation » et « fausses nouvelles » ont parfois des significations qui se recoupent. Ils sont utilisés pour désigner les diverses formes sous lesquelles le partage de l’information peut - intentionnellement ou non - causer un préjudice - généralement en lien avec la défense d’une cause ou d’une vision morale ou politique particulière.

On distingue à ce titre trois utilisations bien différentes de l’information :

Faits & chiffres

Deux tiers des citoyens de l’Union européenne déclarent lire ou entendre des fausses nouvelles au moins une fois par semaine.[1]

Plus de 80 % des citoyens de l’Union européenne considèrent que l’existence de fausses nouvelles constitue un problème pour leur pays et pour la démocratie en général.[2]

La moitié des citoyens de l’Union européenne âgés de 15 à 30 ans déclarent que des compétences en matière d’information et d’analyse critique leur sont nécessaires pour les aider à combattre les fausses nouvelles et l’extrémisme dans la société.[3]


Le désarroi face à l'injustice sociale : Le nouveau visage du quartier de la Paillade à Montpellier 

Face à l'injustice sociale, On se demande si les bailleurs sociaux et leurs dirigeants ont encore conscience de devoir donner l'exemple. 

Le 8 mars 2023 

À propos de la résidence

          Font Del Rey

Plus d’un an après le changement du syndic « historique » de Font Del Rey  à  MONTPELLIER, la résidence gérée par le Bras séculier depuis la Mairie de Montpellier

( l’ACM SYNDIC) est dans un état de dégradation incroyable. Que fait le préfet pour déclarer un nouvel arrêté d’insalubrité ?

               A moins

Que Monsieur le maire n’y vois plus d’intérêt politique ! Enfin l’ascenseur est lui aussi en panne depuis plus d’une semaine! Ne pourrait on pas demander à l’ancien syndic de revenir pour le bien être des occupants ?? 

Clientélisme, atavisme et dégénérescence politique. Le clientélisme politique et non ethnologique, tel que nous l’avons connu dans notre histoire lointaine sous la forme de « la corruption» (d’où le terme «le marché d’échange de biens et de services»), désigne le mécanisme sociopolitique par lequel on obtient une faveur injustifiée, en échange d’un soutien politique et électoral. Quand il s’agit d’un soutien financier, cela a un nom: la corruption. Aussi, le clientélisme et la corruption constituent-ils des phénomènes jumeaux avec tout ce que cela implique comme dépendance, mimétisme et complémentarité. Ce «marché» d’échange de biens et services existe et il intéresse aussi bien les individus que les groupes, ce qui induit la concussion, l’arbitraire et la domestication de la société. En effet, dès que l’arbitraire prévaut sur toutes les règles «normatives», les décisions touchant aux individus ne peuvent plus résulter d’un ordre préétabli ou d’une raison qui s’impose à tous, mais du fait du prince et d’un certain rapport de force. C’est ainsi que le fonctionnement du système démocratique se dégrade peu à peu et que la société elle -même devient inique et corrompu, générant encore plus de passe-droits et de clientélisme. A l’observation, on constate que le clientélisme politique perdure Si l’on veut asseoir la pratique démocratique, nous souhaitent que les médias ne soient plus à la solde des intérêts financiers ou partisans. Pour que tout cela va dans le bon sens, mais ce n’est pas suffisant. Dans la mesure où le marché d’échange de biens et de services existe et qu’il constitue l’origine fondamentale du clientélisme, c’est à ce marché qu’il faut s’attaquer en premier lieu. Au reste, la chaîne de causalité en matière de clientélisme et de corruption n’est pas unidirectionnelle. Pour que le clientélisme existe, c’est que les citoyens et des collectivités y recourent et que les politiciens et des détenteurs du pouvoir y voient leur intérêt. Dans ce cas, les «acteurs» directement concernés vont à l’encontre de la consolidation des institutions démocratiques, institutions d’autant plus fragiles que les motifs et les sources de leur contestation sont indéniables et nombreux. Le clientélisme qui nous accable depuis plus de depuis des lustres constitue bien une forme de reliquat de la tradition. N’empêche, l’actuelle pratique «démocratique» le remet au goût du jour. Sa survivance et même son développement au cours de ces trois dernières années dénotent le dysfonctionnement de notre démocratie naissante. Du fait même de leur déficit «idéologique», les partis politiques recourent sans états d’âme au clientélisme, un clientélisme appelé à moins intéresser les intérêts particuliers de la société que les intérêts personnels et partisans des politiciens eux-mêmes. Compte tenu du mode de scrutin et de la carte politique, c’est bien ce scénario qui est en train de s’installer, au détriment de l’Etat de droit et de la démocratie. Une bonne analyse du mal qui ronge la société et l´empêcherait d´avancer. Tout le monde connait le problème. C´est une chaine qui va du clientélisme à la négation de soi, et qui abouti a l´économie de rente que tout le monde cherche. Il faut, je pense, s´ attaquer au problème en allant en avant dans la voie de la démocratie avec tout ce que cela implique: c´est à dire donner aux gens une méthode de vivre en comptant sur soi, le travail, l´innovation, la créativité, et aussi l´l attachement à des organisations, syndicat et autres mais elles doivent aussi être nettoyer de l´esprit de clientélisme et la corruption. Les électeurs devraient refuser ces pratiques de la part des politique et les engager dans la direction de la gestion efficace de la société et de la responsabili 

Communiqué de Presse

Deuxième Communiqué de Presse

11/05/2023

Residence Mercure ACM : une des habitantes de la résidence Mercure de La Paillade. Depuis des années maintenant, elle habite dans ces immeubles insalubres. Les dégâts des eaux y sont fréquents, l’humidité pourrit les murs de la plupart des appartements… « On a de nombreux problèmes dans ces immeubles. L’isolation thermique par exemple, c’est une catastrophe ! Je chauffe toute la journée, et je suis obligée d’attendre le début de soirée pour être à peu près à l’aise chez moi ! »,témoigne Mme K. « Au niveau de la facture d’électricité, surtout pendant un hiver froid comme cette année, c’est à peine gérable… » Rappelons que le parc locatif des bailleurs sociaux est destiné à un public aux faibles revenus, et qu’il est censé lui permettre de réduire ses charges en lien avec l’habitat… Alors, comme dans la résidence Aigoual-Dourbie, les habitants ont monté un collectif, pour mettre en branle des travaux de rénovation conséquents. « Quand on a eu des rencontres avec ACM, on a rien réussi à obtenir d’autre que des travaux de façade, on vient vous repasser une couche de peinture, sans pouvoir isolant particulier, dans les parties communes », raconte Mme K. A cette époque, ACM promet des travaux d’ampleur dans les bâtiments, mais argue de la nécessité de faire détruire d’autres immeubles de la même résidence avant. Horizon fixé pour les rénovations dans l’immeuble de Mme K : 2024-2025. Même son de cloche qui sonne dans le vide quand les membres du collectif rencontrent les équipes d’élus municipaux : « On avait rencontré le maire il y a quelques années, compatissant devant le constat d’insalubrité totale. Il nous avait promis des actions publiques rapides et efficaces : on a rien vu passer ! », s’indigne l’habitante. Reste l’option de l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANRU). Pour les habitants de la résidence Mercure, le flou est resté intégral pendant bien longtemps, alors même que la mairie indiquait sur son site internet une clôture du périmètre des projets de l’ANRU à Montpellier pour l’hiver 2020-2021. « On a eu des rumeurs contradictoires, certains proches de personnes travaillant à ACM nous disaient qu’on ne serait pas inclus dans le plan de rénovation, d’autres affirmaient l’inverse… » Alors Le Poing a cherché à contacter ACM Habitat et l’ANRU, pour éclaircir la situation. ACM n’a pas souhaité nous répondre, et l’ANRU nous a confirmé la présence de la résidence dans le périmètre de rénovation. Entre temps, les membres du collectif d’habitants réussissent à avoir eux aussi des informations. Mme K reprend : « On a pu enfin en parler un peu plus concrètement avec un responsable d’ACM, qui nous a montré le dossier de l’ANRU, avec la liste des travaux qu’ACM planifie dans ce cadre. Déjà, on a une réponse, mais ça s’est fait d’une drôle de manière, entre deux couloirs, d’une manière quasi-officieuse. On n’a même pas été convoqués dans les bureaux d’ACM. » Pourtant l’ANRU et les bailleurs sociaux se targuent très régulièrement de leur intense communication avec les locataires concernés par la rénovation urbaine… D’autant qu’il reste un gros bémol à cette nouvelle : ACM maintient devant les locataires qu’il est nécessaire de détruire certains immeubles avant d’entamer la rénovation. Et l’échéance s’en voit donc encore repoussée, par rapport à l’objectif 2024-2025. Sans précisions. Alors même que les propositions de relogement pour les personnes habitant les immeubles en instance de destruction ne convainquent pas. « ACM propose aux gens des solutions de relogement complètement excentrée de la ville, pour lesquelles il faudrait avoir un vrai budget essence, que beaucoup n’ont pas vraiment. Et ici on trouve tout un tissu de petits commerces de proximité, on est près de tout ce dont on a besoin. Du coup seul quelques familles ont accepté pour le moment. Vu que nous on dépend pour la rénovation de l’avancement des relogements pour que les tours puissent être détruites, je sais pas quand est-ce qu’on verra nos immeubles remis aux normes. On va quand même pas attendre dix ans ! En vérité, on attendra peut-être plus ! Je vois avec la Tour d’Assas, depuis 1991 que j’habite Montpellier on parle de sa destruction, et c’est seulement maintenant que ça devient concret. », s’impatiente Mme K. ACM n’a pas non plus voulu répondre au Poing, sur le pourquoi de la nécessité d’attendre les destructions pour rénover d’autres immeubles par ailleurs. Le collectif des habitants de la résidence Mercure compte donc poursuivre sa mobilisation dans les semaines et mois à venir. Des modalités d’action sont à l’étude. Aux dire des membres du collectif, une manifestation montpelliéraine serait envisagée pour regrouper les locataires victimes de l’insalubrité. Reste que Mme K et ses amis ont une hydre à affronter dans ce projet, celle du sentiment d’impuissance. Après des années et des années de tractations autour du logement insalubre à Montpellier, et des promesses politiciennes dans tous les sens, beaucoup d’habitants semblent sceptiques quant à l’issue d’une mobilisation franche. Mme K s’en rend compte en essayant de propager l’idée autour d’elle : « C’est un bémol à l’organisation de cette manifestation, quand on évoque cette possibilité, certains sont motivés, d’autres disent qu’on aura rien, qu’ils ne peuvent pas perdre leur temps avec des manifs dans tous les sens… » Comment rendre l’espoir aux montpelliérains locataires de logements insalubres ? Le collectif de la résidence Mercure -avec celui de la résidence Aigoual-Dourbie, l’inter-collectif La Paillade, et éventuellement d’autres groupes de locataires de la région, comme le tout-récent Collectif de Locataires de Sète– parviendra-t-il à renverser la vapeur ?


Troisième Communiqué de Presse

27/04/2023

Monsieur DELAFOSSE, Vous détruisez l'immeuble URANUS à LA PAILLADE car cet immeuble était insalubre ( d'après vous) . Vous détruisez la TOUR D'ASSAS car insalubre Vous détruisez aussi l’immeuble Mercure pour insalubrité Vous étiez propriétaire ( ACM ALTEMED ETC) de ces immeubles et vous avez dit que les propriétaires de FONT DEL REY étaient de marchands de sommeil et qu'il fallait détruire ce bâtiment . On peut en déduire que VOUS ÊTES UN MARCHAND DE SOMMEIL ( en tant que propriétaire de ces quatre bâtiments) , d'autant que depuis le rachat de FONT DEL REY, l'immeuble est encore plus insalubre qu'avant votre achat ( avec l'argent du contribuable bien sûr pas avec le vôtre!) Voir les photos des parties communes de FONT DEL REY jointes ! 

LES IMAGES PARLENT D'ELLES MÊMES

FINANCE

L’Association, Avait comme objectif de ne pas recevoir d'aides publiques Pour ne pas dépendre du bon vouloir politique. Rappelant que jusqu'au jour d’aujourd’hui l’association n'a eu aucune Subvention.

Seule une vie vécue pour les autres est une vie qui en vaut la peine. 



Merci de nous avoir contacté. Nous avons reçu votre message et nous vous répondrons bientôt. 


                                                                                                            Stratégies urbaines d'Altémed 

Cinq millions de personnes vivent dans un logement suroccupé Recensements de la population 1999 et 2010 Le mal-logement peut recouvrir de multiples formes. L'une d'entre elles est la suroccupation des logements, en référence à la place disponible ou à l'intimité pour un ménage (cf. définitions dans l'onglet documentation). Le recensement permet de mesurer cette dimension de l'intimité en rapprochant le nombre de pièces du logement de la composition du ménage qui l'occupe. Par définition, cela ne concerne pas les personnes vivant seules, mais les ménages de deux personnes ou plus. Pour qu'un logement ne soit pas trop petit pour ses occupants, il doit se composer d'au moins une pièce de séjour, une pièce pour chaque couple, une pièce pour chaque autre adulte ayant 19 ans ou plus, une pièce pour deux enfants s'ils sont de même sexe ou ont moins de 7 ans, et une pièce par enfant sinon. Ainsi, en France, en 2010, 1,4 million de logements sont suroccupés. Ceci concerne 5,1 millions de personnes, soit 9,5 % de la population des ménages d'au moins deux personnes. Quels sont les indicateurs du mal-logement ? Les cinq dimensions, aujourd'hui constitutives du mal-logement, seront décrites dans cette première partie : l'absence de logement personnel (1), les difficultés d'accès au logement (2), les mauvaises conditions d'habitat (3), les difficultés de maintien dans le logement (4), le blocage de la mobilité résidentielle et ... 

Résidence l’Espérou


L’investissement social, bien que régulièrement remis en cause, continue à être une réalité. de toutes les-résidences sur le Grand Mail

                                                                                  Est dans l’ensemble des quartiers de  la PAILLADE à Montpellier 

Le film rend hommage à cette « expertise d'un citoyen », à tous ces membres de l’association qui pendant des dizaines d’années luttent dans l’espace public comme dans les détails bureaucratiques contre le rouleau-compresseur mobilitaire. Avec une admirable persévérance. Avec quelques belles victoires, parfois. L'urbanisme est l'ensemble des sciences, des techniques et des arts relatifs à l'organisation et à l'aménagement des espaces urbains. Ce projet peut être sous-tendu par une volonté d'assurer le bien-être de l'homme et d'améliorer les rapports sociaux en préservant l'environnement.invoquant les droits des animaux, des plantes, des paysages. 

Montpellier : les habitants de la résidence Léonard de Vinci

                               font de la résistance

Publié le 04/06/2021 à 10h23

A Montpellier, les habitants de la résidence Léonard de Vinci font de la résistance. Le bailleur social ACM leur a annoncé un projet de démolition-reconstruction. Les habitants refusent la  démolition de leurs logements et veulent une réhabilitation de leurs appartements. 

A Montpellier, dans le quartier du Millénaire, les habitants de la résidence Léonard de Vinci font de la résistance . Le bailleur social ACM leur a annoncé un projet de démolition-reconstruction car les logements ont notamment des problèmes d'infiltrations et d'isolement thermique et une réhabilitation coûterait plusieurs dizaines de milliers d'euros par appartement. Mais les habitants ne veulent pas de démolition et ils ont créé une association pour se faire entendre des élus montpelliérains.

Depuis des décennies, Dina et Marie-Jacqueline habitent la résidence Léonard de Vinci. Leur vie, leurs amis sont ici. Alors quand le bailleur ACM projette de construire des immeubles de 250 logements à la place de leur habitation, leur monde s'écroule.

" Ça nous a surpris ! Depuis 33 ans que je suis ici, je ne veux pas déménager !

Dina Rivière, résidente depuis 1988 .

" C 'est une petite famille ici , et c'est ce qui est agréable. J'ai peur que l'on nous mette ailleurs et que cela soit différent , " poursuit Marie-Jacqueline Vidal, résidente depuis 2001.

Les habitants de la résidence ont tissé des liens forts. Pour préserver ce cadre de vie, ils se mobilisent jusque devant l'hôtel de ville de Montpellier où ils interpellent par écrit le maire Mickaël Delafosse avec une lettre signée de tous les locataires. 

Dans la foulée, les résidents se rendent chez ACM, le bailleur social.  Suite à l'entrevue, ACM  décide de consulter les habitants fin juin pour jauger leurs attentes.

" Est-ce qu'ils veulent un jardin ? Un balcon ? Quelles sont leurs attentes en terme de surface ? Ils n'ont pas tous les mêmes besoins. Donc, on va les écouter individuellement par rapport à leurs besoins. A l'issue de ces 73 rendez-vous individuels, on essaiera de voir quelle est la meilleure solution : soit réhabilitation, soit démolition-reconstruction,  " explique  Cédric Grail, directeur général ACM.

 
ACM devrait présenter son projet en octobre à l'ensemble des habitants de Léonard de Vinci. Ce premier pas soulage les habitants qui restent fermes : "  Oui à la réhabilitation des logements, non à la démolition ! "


C'est quoi parler sans langue de bois ? La langue de bois est une expression pour qualifier une expression ou une parole dénuée de réalité, préconçue, qui ne répond pas au problème posé. Message intentionnellement truqué. Exemple : La langue de bois est un langage si cher aux politiciens qu'on se demande s'il n'est pas enseigné à l'ENA. Qui utilise la langue de bois ? En France, la langue de bois est souvent associée à la façon de parler des énargues (les anciens élèves de l'ENA). C'est une forme d'expression employée par les hommes politiques, les responsables d'entreprises, les technocrates,... Parlez-vous la langue de bois ? 

Quand les images parlent d'elles-même. Les images parlent mieux que des mots. Si une image vaut mille mots et qu’un film est composé de plusieurs centaines de milliers d’images, le film devient le meilleur outil pour transférer pleinement au spectateur l’idée que le cinéaste veut véhiculer. Quand les images parlent d'elles-même. « Les œuvres d'art de la politique de l'autruche parlent d'elles-mêmes » 

Soutenir  AIAC

Merci de nous apporter votre aide. elle nous permettra de mener à bien nos activités dans les communautés. avec vous on avance surement et efficacement et les communautés deviennent autonomes. 

libre et indépendante, affranchi de toute pression industrielle ou financière, AIAC participe à la lutte anti-discrimination, à la défense de la liberté d’expression et de la démocratie. AIAC est au service des citoyens et de l’intérêt général. 

Communiqué de la Presse Indépendante



La Métropole et la Mairie de Montpellier sont

                             LOIN DE JOUER  LA TRANSPARENCE 

La Métropole et la Mairie de Montpellier sont LOIN DE JOUER LA TRANSPARENCE (on parlerait plutôt d'ENFUMAGE des Médias) !

Première question : à qui peuvent bien profiter les sanctions demandées contre les copropriétaires de FONT DEL REY accusés d'être des (LE) marchand de sommeil ????

Deuxième question : pourquoi ces accusations sont-elles SÉLECTIVES ? (Pourquoi tous les copropriétaires ne sont pas convoqués devant la justice ??)

Troisième question : pourquoi la SERM, ACM ( ALTEMED), MAIRIE, ne sont pas convoqués devant la justice sachant qu'ils sont copropriétaires dans FONT DEL REY depuis plus de vingt ans ?

Quatrième Question : Comment expliquer les liens entre les responsables d'ARS ( partie civile au procès dit des marchands de sommeil de FONT DEL REY, la directrice du SCHE ( service d'hygiène)  de la mairie de Montpellier ( partie civile également), par ailleurs ex salariée de l'ARS, les liens avec les associations satellites de la Mairie ( Comme HABITER ENFIN ...ETC), la direction de la CAF ( dirigée par Mr MATHIEU, membre du parti socialiste et conseiller régional auquel on a confié la Sécurité ! (Qui n'est même pas dans les responsabilités de la région, mais cela permet de mieux rémunérer les conseillers ayant une délégation) et les liens avec Monsieur le Procureur de la république ??

Monsieur, Vous détruisez l'immeuble URANUS à LA PAILLADE car cet immeuble était insalubre (d'après vous). Vous détruisez la TOUR D'ASSAS car insalubre Vous détruisez aussi l’immeuble Mercure pour insalubrité Vous étiez propriétaire (ACM ALTEMED ETC) de ces immeubles et vous avez dit que les propriétaires de FONT DEL REY étaient de marchands de sommeil et qu'il fallait détruire ce bâtiment. On peut en déduire que VOUS ÊTES UN MARCHAND DE SOMMEIL (en tant que propriétaire de ces quatre bâtiments), d'autant que depuis le rachat de FONT DEL REY, l'immeuble est encore plus insalubre qu'avant votre achat (avec l'argent du contribuable bien sûr pas avec le vôtre !)

Retenez bien Monsieur le Maire Président, que les PAILLADINS ne sont pas dupes et qu'ils ont de la mémoire…

« Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. »

MIKTAR JAMAL 

                                      Faut-il s’inquiéter 

Faut-il s’inquiéter de la soudaine communication directe des politiques avec leurs électeurs ? Sans le philtre protecteur de la critique, donc des médias, quelle est la place et le statut de l’information transmise ? Les médias sont-ils désormais court-circuités et privés de leur pouvoir de médiation ? Ce dernier point soulève beaucoup d’interrogations, aussi bien quant au public-cible des médias que pour les hommes politiques. Pris dans le tourbillon interactif, il arrive aux politiques de ne pas être assez précis ou rigoureux sur certaines informations communiquées. La photo controversée représentant Nicolas Sarkozy au pied du Mur de Berlin sur son profil Facebook en a été la preuve. Datée par le Président du 9 novembre 1989, une polémique autour de la date réelle de la prise de cette photo s’est emparée de la presse. Nicolas Sarkozy cherchait-il à réécrire l’histoire ?

On est en droit de se demander comment, à l’avenir, les lecteurs pourront se faire une opinion éclairée en l’absence de philtres médiatiques sur ce qui leur est communiqué. Le risque est réel d’une confusion entre une information d’amateur ou partisane et une information rigoureuse et professionnelle. 

Vers une nouvelle relation entre médias et politiques ?

À l’heure où Internet fait bouger les frontières et les définitions, la notion de média est à réinterroger. Est-ce toujours une structure employant des journalistes professionnels ? Ou un simple support sur lequel chacun peut s’exprimer ? Un blog, un post sur Twitter ou un site web sont-ils des médias ? Le bouleversement des nouveaux médias nous amène-t-il à ne plus avoir de médiateurs professionnels, tout le monde étant susceptible de le devenir ?

La fameuse photo de Neda, jeune femme tuée en 2009 pendant la révolution verte en Iran, qui a fait le tour du monde en quelques minutes, est un exemple emblématique de la confusion des informations qui circulent quand elles ne sont pas maîtrisées 

La mutation des médias et la multiplication des sources d’information sont un fait. Soyons toutefois attentifs au risque qu’une disparition des médias professionnels, avec la déontologie qui doit les caractériser, ouvre la porte à une guerre des influences où le citoyen pourrait être instrumentalisé et manipulé par les politiques, les commerciaux, ou les amateurs de tout poil. En effet, le rôle des médias comme contre-pouvoirs, offrant une information rigoureuse et fiable à même de former l’esprit critique des individus, reste essentiel au bon fonctionnement de la démocratie. 

                                                         Notes


Au moment des troubles en Iran, la vidéo de la mort d’une jeune fille filmée en direct a beaucoup ému l’opinion. La photo de la jeune fille a par la suite circulé sur tous les médias. Or cette photo n’était pas celle de la jeune fille tuée figurant dans le film mais celle d’une autre jeune fille, du même profil et du même prénom, mais bien vivante. Cette dernière a été contrainte de quitter l’Iran sous la menace et s’est réfugiée en Allemagne.




La fameuse "langue de bois" si courante dans les interviews, débats électoraux et conseils municipaux… 

Clientélisme, atavisme et dégénérescence politique.

 Le clientélisme politique et non ethnologique, tel que nous l’avons connu dans notre histoire lointaine sous la forme de « la corruption» (d’où le terme «le marché d’échange de biens et de services»), désigne le mécanisme sociopolitique par lequel on obtient une faveur injustifiée, en échange d’un soutien politique et électoral. Quand il s’agit d’un soutien financier, cela a un nom: la corruption. Aussi, le clientélisme et la corruption constituent-ils des phénomènes jumeaux avec tout ce que cela implique comme dépendance, mimétisme et complémentarité. Ce «marché» d’échange de biens et services existe et il intéresse aussi bien les individus que les groupes, ce qui induit la concussion, l’arbitraire et la domestication de la société. En effet, dès que l’arbitraire prévaut sur toutes les règles «normatives», les décisions touchant aux individus ne peuvent plus résulter d’un ordre préétabli ou d’une raison qui s’impose à tous, mais du fait du prince et d’un certain rapport de force. C’est ainsi que le fonctionnement du système démocratique se dégrade peu à peu et que la société elle -même devient inique et corrompu, générant encore plus de passe-droits et de clientélisme. A l’observation, on constate que le clientélisme politique perdure Si l’on veut asseoir la pratique démocratique, nous souhaitent que les médias ne soient plus à la solde des intérêts financiers ou partisans. Pour que tout cela va dans le bon sens, mais ce n’est pas suffisant. Dans la mesure où le marché d’échange de biens et de services existe et qu’il constitue l’origine fondamentale du clientélisme, c’est à ce marché qu’il faut s’attaquer en premier lieu. Au reste, la chaîne de causalité en matière de clientélisme et de corruption n’est pas unidirectionnelle. Pour que le clientélisme existe, c’est que les citoyens et des collectivités y recourent et que les politiciens et des détenteurs du pouvoir y voient leur intérêt. Dans ce cas, les «acteurs» directement concernés vont à l’encontre de la consolidation des institutions démocratiques, institutions d’autant plus fragiles que les motifs et les sources de leur contestation sont indéniables et nombreux. Le clientélisme qui nous accable depuis plus de depuis des lustres constitue bien une forme de reliquat de la tradition. N’empêche, l’actuelle pratique «démocratique» le remet au goût du jour. Sa survivance et même son développement au cours de ces trois dernières années dénotent le dysfonctionnement de notre démocratie naissante. Du fait même de leur déficit «idéologique», les partis politiques recourent sans états d’âme au clientélisme, un clientélisme appelé à moins intéresser les intérêts particuliers de la société que les intérêts personnels et partisans des politiciens eux-mêmes. Compte tenu du mode de scrutin et de la carte politique, c’est bien ce scénario qui est en train de s’installer, au détriment de l’Etat de droit et de la démocratie. Une bonne analyse du mal qui ronge la société et l´empêcherait d´avancer. Tout le monde connait le problème. C´est une chaine qui va du clientélisme à la négation de soi, et qui abouti a l´économie de rente que tout le monde cherche. Il faut, je pense, s´ attaquer au problème en allant en avant dans la voie de la démocratie avec tout ce que cela implique: c´est à dire donner aux gens une méthode de vivre en comptant sur soi, le travail, l´innovation, la créativité, et aussi l´l attachement à des organisations, syndicat et autres mais elles doivent aussi être nettoyer de l´esprit de clientélisme et la corruption. Les électeurs devraient refuser ces pratiques de la part des politique et les engager dans la direction de la gestion efficace de la société et de la responsabilité. 

En tout cas, j’admire ta franchise et ta liberté d’expression, car la vérité doit être dite, même si ça ne plaît pas au plus grand nombre. Bravo et continue comme ça, je suis avec vous et je partage le plus possible tes vidéos afin que les endormis se réveillent


« Les œuvres d'art de la politique de l'autruche parlent d'elles-mêmes » 

Parlez-vous la langue de bois ? 

  Parlez-vous la langue de bois ?


@marioncotillard on Instagram: "Ce qui se passe dans notre pays est extrêmement grave et je pense que l’on doit se poser les questions suivantes : Où se situe la véritable violence ? Qui sont les véritables criminels ? Des arrestations d’une brutalité sans nom aux gazages lors de manifestations pacifistes blessant parfois grièvement de nombreuses personnes, en passant par des assignations à résidence de celles et ceux qui se battent pour l’intérêt commun… la liste des violences policières et, de ce fait, gouvernementales contre les mouvements écologistes donne le vertige et la nausée. Celles et ceux qui alertent sur la dérive éminemment dangereuse de notre monde et de notre humanité, les activistes qui demandent une action du gouvernement à la hauteur de l’urgence, sont aujourd’hui qualifiés de criminels ou d’écoterroristes. Pendant ce temps, de grandes multinationales, de grandes banques, continuent à investir massivement dans les énergies fossiles, à construire des infrastructures qui contribuent à réchauffer le climat et à provoquer des morts, des catastrophes à travers le monde, à mettre en péril les conditions de vie sur notre planète. Est-ce que ces actes ne sont pas infiniment plus violents, plus graves, plus criminels ? Pourtant ces entreprises ne sont jamais inquiétées. La dérive sécuritaire de ce gouvernement, couplée à son incapacité à nous protéger des conséquences du changement climatique, est effrayante. Mais ces intimidations n’arriveront pas à nous faire taire. Aujourd’hui, dans notre pays, la liberté est en danger. Cela provoque naturellement l’indignation. Soutien absolu au @soulevements.de.la.terre"30K likes, 1,742 comments - @marioncotillard on Instagram: "Ce qui se passe dans notre pays est extrêmement grave et je pense que l’on doit se poser les q..."