INFORMATIONS MEMBRES

Le lieu de départ de nos sorties du dimanche et jours fériés se situera sur le parking situé entre les entrées du Parc et de la Cour d’honneur du Château d’Hélécine, à 200 mètres du "Musée Armand Pellegrin, rue du Moulin 15 à 1357 Hélécine. 

SORTIE DU DIMANCHE 19/06/2022, UN NOUVEAU RECORD A 40,3 DE MOYENNE.

Il était de coutume d'essayer de battre le record du circuit de Zolder (circuit de 98 km) comme chaque année mais cette année était une année spéciale car depuis 2,3 ans, il était venu à l'esprit de leur capitaine vétéran de passer le cap des 40 km/heure l'année de ses 60 ans. Les gars étaient super motivés et le résultat est là, 40,3 de moyenne malgré la pluie sur le retour de Zolder !

L'équipe de 2022.

SORTIE DU DIMANCHE 02/08/2020 "Cela ne s'arrêtera donc jamais..."

Un nouveau record  de plus a été atteint ce dimanche 2 août 2020 sur le parcours vers Zolder. 39,8 de moyenne sur 91 km, il était de 37,6 en 2014, quelle belle progression !

L'équipe d'août 2020

SORTIE DU DIMANCHE 14/06/2020, "Célébrer dignement la reprise officielle de nos sorties après la période de confinement" Nouveau record pour le groupe A.

Un nouveau record pour la reprise après cette triste période que fut le confinement. On attaquait par le circuit de Zolder et comme de coutume le groupe était super motivé, 

le nouveau record est fixé à 39,1 de moyenne sur 91 km. 

L'équipe de 2020 a terminé à quatre.

SORTIE DU SAMEDI 21 JUILLET 2018, "Célébrer la Fête nationale dignement!" Nouveau record pour le groupe A.

Il devient de coutume pour le groupe "A" de se motiver à essayer de battre le record du tour le plus rapide de la saison. Neerheylissem – Laar – Neerwinden – Landen – Neerlanden – Dormaal – Zoutleeuw – Runkelen – Binderveld – Nieuwerkerken – Wijer – Stevoort – (╬) – Stokrooie – Bolderberg – Zolder – Viversel – Lummen – Linkhout – Halen – Geetbets – (╬) – Budingen – Drieslinter – Neerlinter – Oplinter – Wommersom – Overhespen – Eliksem – Ezemaal – Neerheylissem – (+/- 90 Kms). Lors de ce samedi 21 juillet 2018, nouveau record fixé à 38,63 de moyenne sur 91,36 km ! Et à quatre, svp. Bravo les gars!!!

L'équipe de 2018.

L'ancien record était de 38,4 et datait du 24/07/2016 et celui encore avant de 37,6 km/h en  2014.

L'équipe de 2016.

L'équipe 2014


Photos prises lors de notre participation à la sortie de Berloz le dimanche 11/09/2016

VIDÉOS:

Cliquez sur la date pour voir les vidéos réalisées par Eric Lalmand lors de la sortie du 17/12/2015, du 31/12/2015 , du 13/03/2016 groupe A   du 10/04/2016 groupe B , du 21/07/2016 et par Benoit Dumont 13/03/2016 groupe A, 03/04/2016 groupe A, 17/07/2016

Et une nouvelle vidéo faite par Benoit et Eric lors de la sortie d'Ezemaal groupe A: 01/05/2016 nouveaux maillots

Et enfin le teaser du Vélo Club Hélécine

Le Vélo Club Hélécine a obtenu le  Mérite Sportif Communal 2014 pour ses 40 ans d’existence. Ceci s'est déroulé lors d'une cérémonie qui délivrait les différents mérites communaux. Les membres actuels du comité, ainsi que les fondateurs du club encore en activité dans le club, étaient invités à la cérémonie. 

ARTICLE PARU DANS: 

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Comment rouler en peloton ? Quelles règles respecter ?

Pour tous les cyclistes qui ont l’habitude de rouler en solitaire, les premières sorties en groupe peuvent être stressantes. La peur de la chute peut inciter certains à rester à quelques mètres derrière le peloton. Mais dans ce cas, ils perdent les bénéfices du peloton.

Voici quelques conseils qui vous permettront de mieux appréhender cette pratique. Et ne vous en faites pas si vous n’arrivez pas tout de suite à rester au milieu du peloton, il faut y aller progressivement et chez certains, la peur est telle qu’elle en devient insurmontable. Certains coureurs professionnels sont ainsi des « abonnés » à la queue du peloton.

Quels sont les avantages de rouler en groupe ?

Le premier avantage de rouler en groupe est de pouvoir discuter avec des gens ayant la même passion que vous pour la pratique du vélo de route. Ca ne semble pas grand-chose, mais le temps passe beaucoup plus vite quand on discute que seul face à son guidon qui, avouons le, n’a pas beaucoup de choses à vous dire !

Second avantage, et non des moindres, rouler en groupe permet de se protéger du vent. Les cyclistes qui sont devant vous vous protègent du vent de face. Quand on sait que dans la roue d’un cycliste, on économise 30% d’énergie, ce n’est pas négligeable. Voilà pourquoi on peut rouler beaucoup plus vite en groupe que seul. Même sans vent défavorable, à partie de 40km/h, 80% de l’énergie du cycliste est employée pour contrer les forces aérodynamiques. Vous ne produirez pas plus d’effort à 40km/h en peloton que seul à 30km/h.

Mais pour être bien protégé du vent, il faut savoir se placer à quelques centimètres seulement du coureur qui vous précède.

Est-ce dangereux de rouler en peloton ?

Il est certain que cette pratique est un peu plus dangereuse que de rouler seul. Mais avec des cyclistes habitués à rouler en peloton, il n’y a en général pas plus de chutes à l’entraînement. Sur des courses en revanche, les chutes sont plus fréquentes et font partie « du métier cycliste ».

Mais pour que cette pratique ne soit pas dangereuse, il y a quelques règles à respecter « par tous ».

Les règles respecter

Roulez de façon régulière

La régularité est primordiale. Si vous cessez de pédaler (surtout dans une bosse) ou pire, si vous freinez d’un coup, le coureur qui vous suit se fera au mieux une belle frayeur…et au pire, viendra vous percuter.

Maintenez la distance

Si vous êtes trop loin du coureur qui vous précède, vous ne bénéficierez pas de l’abri qu’il peut vous procurer et à chaque accélération, vous aurez un trou à combler…et les coureurs qui vous suivent devront eux aussi combler ce trou.

Mais il ne faut pas non plus être trop près. L’idéal est d’être à 30cm environ en étant légèrement décalé (15/20cm environ) du vélo qui est devant vous. Ainsi, s’il freine, votre roue avant ne viendra pas percuter sa roue arrière et vous serez déjà décalé pour faire une manœuvre d’évitement.

Prévenez les autres coureurs de tout obstacle

Si vous êtes à l’avant du groupe, il ne faut pas oublier que tous les coureurs qui vous suivent ne voient pas les obstacles (pierres, trous, branches, …). Ce seront donc les premiers coureurs qui, d’un signe de la main, vont prévenir tous les autres. Les cyclistes qui suivent devront bien sûr reproduire le geste afin que les derniers du groupe soient aussi au courant.

En général, on tend le doigt vers le sol du côté où l’obstacle se trouve. Le premier coureur qui voit par exemple un nid de poule sur la droite de la route tendra la main vers le sol du côté droit. Tous ceux qui suivent sauront ainsi qu’un danger se trouve à cet endroit et pourront se décaler légèrement vers la gauche.

Si c’est une voiture qui est garée sur le côté ou des piétons qui marchent, faire aussi un signe de la main dans votre dos pour indiquer qu’il faut se déporter.

Bien sûr, vous pouvez aussi indiquer oralement le danger !

Ne zigzaguez pas !

On reconnaît les coureurs qui ont l’habitude de rouler en peloton car ils roulent en ligne droite. Rien de plus désagréable que de suivre un coureur qui n’arrête pas de zigzaguer, au risque de vous faire chuter.

Mais la seule façon de rouler en ligne droite, c’est d’avoir une totale confiance en tous les coureurs qui vous précèdent. Eux aussi doivent donc rouler en ligne droite et prévenir les autres des obstacles (voir conseil précédent) pour que vous ayez l’esprit tranquille.

Anticipez

Comme en voiture, l’anticipation est le maître mot pour votre sécurité. Vous ne devez pas vous focaliser seulement sur la roue arrière du cycliste qui vous précède. Bien sûr, au début, on a tendance à ne fixer que ce bout de gomme durant toute la sortie. Mais avec l’habitude, vous arriverez à ne plus la fixer et rouler en profitant du paysage.

L’oreille est aussi un bon moyen de savoir ce qui se passe autour de vous. Les coups de freins sont souvent entendus avant d’être vus. Pensez-y.

Ne pensez pas qu’à vous

Ayez toujours à l’esprit que vous avez du monde derrière vous. Avant donc de vous écarter, de faire une pause pipi, de vous moucher ou autre, vérifiez que vous n’allez pas gêner les collègues qui sont derrière vous.

Comment prendre un relais ?

On n’accélère pas dans un relais, on ralentit

Voici l’erreur la plus courante dans un relais. Quand le premier de la file s’écarte, le second a bien souvent tendance à accélérer (quand ce dernier a bien voulu attendre que le premier de la file s’écarte).

Mais si chacun accélère à sa prise de relais, on a vite fait de rouler à 40, puis 45km/h et ce sont les derniers coureurs qui en feront les frais avec de possibles cassures.

L’idéal est de vérifier votre vitesse quand vous êtes second et de garder cette vitesse quand vous prenez votre relais. C’est le premier qui s’écarte qui va ralentir afin que vous puissiez passer.

Quand le premier coureur s’écarte, il devra donc réduire sa vitesse de 2 à 3km/h afin de se reposer et descendre la file.

Comment se placer et de quel côté « descendre » ?

La seule chose à prendre en compte, ça va être la direction du vent.

Si le vent vient de face,  les coureurs seront en file indienne, les uns derrières les autres. Le premier coureur s’écartera à droite ou à gauche une fois son relais terminé, mais il faut à tout pris s’être entendu au préalable pour savoir de quel côté le coureur devra s’écarter.

En cas de vent qui vient de gauche (3/4 ou 90°), les coureurs devront former une file (chacun étant légèrement abrité par son prédécesseur en se décalant donc légèrement à droite). Le coureur qui s’écarte devra le faire sur la gauche du relais.

Si le vent vient de droite, ce sera le contraire avec le premier coureur qui s’écartera à droite pour s’abriter une fois qu’il aura produit son effort. Attention, dans ce cas, le coureur qui s’écarte devra jeter un coup d’œil pour voir si une voiture ou un vélo de course autre que le groupe n’est pas en train de doubler.

Fluidité

Un bon relais, c’est un relais fluide. Il ne doit pas y avoir d’à-coups ou d’accélérations, à moins que le but soit de faire lâcher les plus faibles.

Le cycliste qui s’écarte une fois son relais terminé ne devra pas changer de file brusquement. Il pourrait très bien y avoir un coureur à cet endroit. Et une fois sur sa ligne, il devra y rester jusqu’à la fin du groupe pour reprendre sa place dans la file « montante ».

Si vous ne voulez pas participer au relais

Si vous êtes trop fatigué pour participer au relais, vous avez deux solutions :

Mais quoi qu’il en soit, si vous intégrez la file montante, prenez un relais. Car si arrivé en seconde position, vous refusez de le prendre, tout sera désorganisé et le rythme sera cassé.

Le cas des longs relais

Il peut arriver que les coureurs aient envie de faire de longs relais à l’avant, d’au moins 1km.

Dans ce cas, il faudra faire bien attention à maintenir son rythme pour que tout le monde suive sans trop de soucis. Mais maintenir le rythme, ce n’est pas maintenir la vitesse. Car si la route remonte légèrement, il faudra ralentir.

Le mieux sera dans ce cas de vous caler sur votre fréquence cardiaque à partir du moment où vous aurez trouvé la vitesse de progression adéquate.

Si vous vous calez à 160 pulsations par exemple, il faudra maintenir ce rythme même si la route remonte un peu.

Mais des coureurs peuvent aussi profiter du vent pour créer une bordure et ainsi éliminer des concurrents. C’est ce que nous verrons dans le prochain article.

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