Early History
The first Tondreau to come to North America was Pierre Tondreau “dit la Souche.” Born in Orchaise, Loir-et-Cher, France (parish of St. Barthélémy) around 1648 to parents Sylvain Tondreau and Jacquette Audette, he arrived around September or October of 1684 near St. Anne de Beaupre, Quebec on the boat “L’Emerillon.” He was a navy soldier in the company “Crisafy,” sent by the French king to fight the Iroquois and to colonize the new world in the name of France.
The first official document of Pierre’s existence here was in February of 1691 when he marries Marie-Anne Frechet at St. Anne de Beaupre.
Pierre and Marie-Anne had five children - three boys and two girls - between 1691 and 1725. All of the children except the first were born in or near Cap-St-Ignace, a very small village between Montmagny and L’Islet. All of the Tondreaus (and the Tondreaults and the Tondros) who live in North America and also Chile are descendents of this family.
Being French Catholics, most families had many children - generally between six and ten, but sometimes more. With such large families, land eventually became difficult and very expensive to obtain, except for the first-born son, who typically inherited the family farm. As a result, people went to look for jobs elsewhere. With the growth of the textile industry in places like Maine and Rhode Island, many French Canadians would go there to work. In 1860, the first Tondreaus arrived in the USA. The first family was Pierre Augustin Tondreau and his wife, Esther Labonte. They had their first child in Pierreville, Quebec in 1859 and their other children in Rumney, New Hampshire between 1862 and 1871. Ironically, Pierre Augustin was the eldest son in a family of eight children.
Other Tondreaus left Quebec for Northern Ontario where they worked for the railroad. Some people returned to Quebec, while others (like my great-grandparents) stayed in Ontario.
The Tondreaus in Chile arrived from Quebec in 1861. Louis Joseph Ferdinand Tondreau was born 26 November, 1831 in St. Hyacinthe, Quebec. There, he married Adele Valin in 1850 and they had nine children, but only three of them survived. Louis Joseph, it is said, built boats and wagons. Their oral history says that they left Quebec en route to California by boat. The Panama Canal had not yet been built, so they went around the point of South America. They were near Chile when their final child - a son - was about to be born. They stopped in Chile to have the baby and stayed there.
There are Tondreaus in Haiti but I do not yet know for sure how they arrived there. Their oral history says that a soldier (or maybe a pair of soldiers; maybe a doctor/s) from Napoleon’s army had a family/families with a Haitian woman/women and then stayed in Haiti. There are no documents that I have found, however.
The name Tondreau appears sometimes as “Tondro” or “Tondeereau.” Usually, this is the result of poor spelling. It appears as Tondreault around 1885 with another Pierre Tondreau (brother of my second-great-grandfather) and Adele Caouette after their arrival in the USA. The name Caouette also changes at this time to Kirouac (yes, like the author). Only three of their fifteen children - Joseph (1863-1921), Cleophas (1864-1941) and Albert Pierre Euloge (1871-1943) - use the spelling “Tondreault” while the other children used “Tondreau.” Nearly all the people who use the spelling “Tondreault” today are descendents of Pierre and Adele and their three children.
Les origines
Le premier Tondreau à venir en Amérique du Nord est Pierre Tondreau, « dit la Souche ». Né à Orchaise (paroisse de Saint-Barthélémy), Loir-et-Cher, en France, vers 1648, fils de Sylvain Tondreau et Jacquette Audette. Il est arrivé vers septembre ou octobre 1684 près de Sainte-Anne-de-Beaupré (Québec), sur le bateau l'Émérillon. Il était soldat de la marine dans la compagnie « Crisafy », envoyée par le roi de France pour combattre les Iroquois et coloniser le Nouveau Monde en son nom.
Le premier document officiel attestant de l'existence de Pierre en Nouvelle-France est daté de février 1691, alors qu’il épouse Marie-Anne Fréchet, à Sainte-Anne-de-Beaupré.
Pierre et Marie-Anne ont eu cinq enfants - trois garçons et deux filles - entre 1691 et 1725. Tous les enfants, sauf le premier, sont nés au Cap-Saint-Ignace ou dans les environs, un tout petit village situé entre Montmagny et L'Islet. Tous les Tondreau (ainsi que les Tondreault et les Tondro) qui vivent en Amérique du Nord et au Chili sont des descendants de cette famille.
Étant catholiques françaises, la plupart des familles ont eu beaucoup d'enfants - généralement entre six et dix, mais parfois plus. Avec des familles aussi nombreuses, les terres sont devenues difficiles et très chères à obtenir, sauf pour le fils aîné, qui hérite généralement de la ferme familiale. En conséquence, les gens allaient chercher du travail ailleurs. Avec la croissance de l'industrie textile dans des endroits comme le Maine et le Rhode Island, de nombreux Canadiens français s'y rendaient pour travailler. En 1860, les premiers Tondreau sont arrivés aux États-Unis. La première famille était composée de Pierre-Augustin Tondreau et de son épouse, Esther Labonté. Ils ont eu leur premier enfant à Pierreville, au Québec, en 1859, et les autres à Rumney, dans le New Hampshire, entre 1862 et 1871. Ironiquement, Pierre Augustin était le fils aîné d'une famille de huit enfants.
D'autres Tondreau ont quitté le Québec pour le nord de l'Ontario où ils ont travaillé pour le chemin de fer. Certains sont revenus au Québec, tandis que d'autres (comme mes arrière-grands-parents) sont restés en Ontario.
Les Tondreau du Chili y sont arrivés à partir du Québec en 1861. Louis Joseph Ferdinand Tondreau est né le 26 novembre 1831, à Saint-Hyacinthe, au Québec. Là, il a épousé Adèle Valin en 1850 et ils ont eu neuf enfants, mais seuls trois d'entre eux ont survécu. Louis Joseph, dit-on, construisait des bateaux et des chariots. Leur histoire orale raconte qu'ils quittèrent le Québec en route pour la Californie par bateau. Le canal de Panama n'ayant pas encore été construit, ils contournèrent la pointe de l'Amérique du Sud. Ils se trouvaient près du Chili lorsque leur dernier enfant - un fils - était sur le point de naître. Ils se sont arrêtés au Chili pour accoucher et y sont restés.
Il y a des Tondreau en Haïti mais je ne sais pas encore avec certitude comment ils sont arrivés là. Leur histoire orale raconte qu'un soldat (ou peut-être deux soldats, ou un médecin) de l'armée de Napoléon a eu une ou plusieurs familles avec une ou plusieurs femmes haïtiennes et qu'il est ensuite resté en Haïti. Je n'ai cependant trouvé aucun document.
Le nom Tondreau apparaît parfois comme « Tondro » ou « Tondereau ». En général, c'est le résultat d'une mauvaise orthographe. Il apparaît comme Tondreault vers 1885 avec un autre Pierre Tondreau (frère de mon deuxième arrière-grand-père) et Adèle Caouette, après leur arrivée aux États-Unis. Le nom Caouette change également à cette époque pour Kerouac (oui, comme l'auteur). Seuls trois de leurs quinze enfants - Joseph (1863-1921), Cléophas (1864-1941) et Albert Pierre Euloge (1871-1943) - utilisent l'orthographe « Tondreault » alors que les autres enfants utilisent « Tondreau ». La quasi-totalité des personnes qui utilisent aujourd'hui l'orthographe « Tondreault » sont des descendants de Pierre et Adèle, et de leurs trois enfants.
Photo below: The church that Pierre Tondreau and Marie-Anne Frechet were married in stood on this site at Ste. Anne de Beaupres from 1676-1876, when it was demolished. This photo shows a reconstruction, on the same foundation, to commemorate the original structure.