Au sommaire :
- Paradoxes du Beau – En guise de présentation : p.2 ;
- « Beauté et monstruosité du Christ » (frère Pavel Syssoev, o.p.) : p.6 ;
- « Le primat de la beauté dans la théologie de Balthasar » (Jacques Bardou) : p.8 ;
- « L’argument esthétique dans la pensée du mal, chez Saint Augustin et Leibniz » (Arnaud Lalanne) : p.20 ;
- « L’amour du monde à la Renaissance : de la philosophie de l’amour chez Ficin et Léon Hébreu au Théâtre de la Nature Universelle de Bodin » (Gabriel Germon) : p.32 ;
- « Une erreur peut-elle être belle ? » (Timothée Coyras) : p.49 ;
- « L’exigence d’impersonnalité, dans l’art » (Marc Conturie) : p.55 ;
- « Le beau comme privation et ouverture, selon Kant » (Véronique Berton d’Argouges) : p.69 ;
- « La philosophie de l’art de Schelling » (Adrien Gretter) : p.72 ;
- « Objectivité et intersubjectivité sociale du goût » (Raphaël Vilarrubias) : p.83 ;
- « Ce que peut apporter la conception plotinienne du beau à l’objet du droit d’auteur français » (Alexandre Portron) : p.89 ;
- « Le profane, le sacré et l’obscène dans La Ricotta et L’Évangile selon saint Matthieu de Pier Paolo Pasolini » (Ariane Loraschi) : p.100 ;
- « Les Fleurs du mal de Baudelaire : un chemin de rédemption vers l’Absolu » (Christian Loubère) : p.108 ;
- « Noli me tangere – ou la beauté au risque du toucher » (Éric Trelut) : p.115.