Cinq cents kilomètres plus loin, avec un passage montagneux, nous arrivons aux abords de White Sands. Comme la veille et l’avant-veille, le ciel s’obscurcit et de gros cumulonimbus d’orage commencent à bourgeonner dès le début d’après-midi. La route toute droite des cent derniers kilomètres est traversée de gros buissons comme dans les films.

Un nuage de poussière arrive sur nous rendant la visibilité quasi nulle puis continue son chemin. Impressionnant quand même le phénomène.

Arrivés dans le parc de White Sands que nous devions commencer à visiter en soirée pour la « belle lumière », les éléments se déchaînent. C’est un déluge de nature à rendre jaloux Noé. Les rangers ferment le parc !

Nous n’avons pas d’autres choix que de renoncer et de nous diriger vers la ville la plus proche : Alamogordo .

Pour noyer cette petite déconvenue, nous décidons tout naturellement, après l’installation au motel, de manger … mexicain -> tentative N° 2. Rien de plus facile, car si la ville n’a pas un charme fou, les restaus y pullulent. Enfer et putréfaction, nous subissons la même punition que la veille : vers vingt et une heures nous sommes en décalage horaire et plus personne ne veut vous servir. *$ ?!% Ambiance de la brousse dans le village Grisemote qui fait grise mine. Ceux qui ne se sont pas couchés par dépit, ont quand même grignoté …. dans un fast food plus ou moins mexicain, Grommel, grommel !

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