Transcription de textes en wallon aclot
Il est obligatoire de respecter :
– Les exposants n, nt et ns, exemples : n... nin (ne... pas) , i vint (il vient), c’est promins (c’est promis).
– Les apostrophes : celles-ci ne doivent jamais être renversées quand elles se trouvent devant une consonne, exemples : ’l, ’m, ’s,
– Les accents aigus d’accentuation qui peuvent se trouver derrière une consonne, à l’intérieur ou à la fin d’un mot, exemples : in pan´ti, in mur´.
Ils peuvent se trouver également sur la lettre u : du feú.
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La forme élidée de l’article indéfini ène (traduction du français une) peut présenter deux graphies différentes : ’ne (le e final étant toujours muet) ou ’n. Les deux formes d’écriture se lisent donc de la même façon. Elles peuvent se retrouver indifféremment chez un même auteur.
Chez Joseph Coppens, la forme élidée de l’article indéfini ène est ’n (voir les dictionnaires et la grammaire de Joseph Coppens).
Selon l’enseignement de Willy Chaufoureau, la forme élidée devrait s’écrire ’ne, le e final ne se prononçant pas.
Pour respecter l’enseignement de ce dernier, le Cours de wallon a gardé cette dernière graphie pour la plupart des textes encodés. Rien n’empêche quiconque d’utiliser la graphie de Joseph Coppens.