5. Branche de Laufenbourg

Armoiries archiducales de Laufenbourg

Pays :

    • Royaume d'Angmar

    • Saint-Empire d'Avaricum

    • Empire de Belondor

    • Saint-Empire d'Edoran

    • Empire de Persis

    • Grand-Duché de Zollernberg

Lignée : Maison de Klausbourg

Titres :

    • Empereur de Maurésie

    • Empereur de Nouvelle-Mésogée

    • Empereur de Persis

    • Empereur des Zindes

    • Roi d'Angmar

    • Roi de Locquetas

    • Archiduc de Bonne-Espérance

    • Archiduc de Laufenbourg

    • Archiduc de Zabrück-Crassauerstein

    • Grand-Duc de Chinisau

    • Grand-Duc de Zollernberg

    • Prince d'Asthénias

    • Prince Klausbourgski (déchu)

    • Prince Klausbourgski-Bordebonski (courtoisie)

    • Prince de Moldavia

    • Duc d'Auclair

    • Duc de Carrignan

    • Duc de Cordilbao

    • Duc de Lessalonique

    • Duc d'Osgiliath

    • Duc de Schypre (contesté)

    • Duc de Torùn (déchu)

    • Marquis d'Entioche (contesté)

    • Marquis de Synance

    • Comte de Malagona

    • Comte de Zunderland

Chef actuel : Louis de Klausbourg (titulature scanthéloise)

Fondateur : Klauvis Ier de Klausbourg, Archiduc de Laufenbourg, Prince royal d'Angmar

Généalogie

Klauvis Ier de Klausbourg, Archiduc de Laufenbourg, Prince royal d'Angmar x Marie-Adélaïde de Fleury, Princesse douairière d'Argentorate, Princesse d'Empire, d'Yrusalem & de Guysenval

= 1) Ethelred de Klausbourg, Archiduc-héritier de Laufenbourg (sans postérité)

= 2) Isabelle de Klausbourg (sans postérité)

= 3) Frédéric de Klausbourg, Régent de Zollernberg, Curateur du Trône (sans postérité)

= 4) Clodomir de Klausbourg, Duc de Torùn, Magnat de Palogne, Grand-Duc Maximilien Ier de Zollernberg (sans postérité légitime)

X liaison avec Elizabeth de Battuta-Valezy. D'où Stanislas Klausbursko-Torùnski (sans postérité)

= 5) Aymeri de Klausbourg, Prince Klausbourgski, Grand-Duc Louis Ier de Zollernberg

d'où rameau grand-ducal de Zollernberg

= 6) Adalbert de Klausbourg, Duc consort de Cordilbao

d'où rameau ducal de Cordibao

= 7) Wilfried de Klausbourg, Carzinal-archevêque d'Elbêröhnit

d'où rameau de Klausbourg-Mérolée

= 8) Adélaïde de Klausbourg (sans postérité)

= 9) Alix de Klausbourg (sans postérité)

= 10) Louis de Klausbourg, Duc consort de Silverstein

d'où rameau ducal de Silverstein

Chefs de la Maison

Klauvis Ier de Klausbourg de Laufenbourg, prince royal d'Angmar, archiduc de Laufenbourg, prince d'Angmar, de Klausbourg & de Persis, duc de Schypre, marquis d'Entioche, baron en Zollernberg, grand d'Avaricum, fondateur de la branche.

Son Altesse Impériale & Royale le Prince Louis, Basileios de Moldavia, Prince de Klausbourg, du Saint-Empire & de Zollernberg, Duc de Carrignan, Pair du Saint-Empire, actuel chef de la Maison de Klausbourg

Louis de Klausbourg.- Arrière-petit-fils du précédant. Né au château de Reichberg (Grand-Duché de Zollernberg). Louis de Klausbourg est le deuxième enfant du Grand-Duc Victor-August Ier de Zollernberg et de son épouse la Grande-Duchesse Marie-Constance, née princesse d'Edoran, aînée des filles de l'Empereur Philippe Ier d'Edoran. Le jeune homme, bien que deuxième dans l'ordre de succession au trône zollernois, après sa sœur la Princesse Charlotte-Marie est pourtant appelé à hériter d'un vaste empire. En effet, si la Couronne zollernoise se transmets suivant un ordre de primogéniture strict, laissant l'aîné hériter de son père sans considération de son sexe. Il n'en ai pas de même pour les autres couronnes de l'immense empire des Klausbourg.

L'éducation de jeune Louis est celle d'un prince de Zollernberg. Après des études primaires sous l'égide d'un précepteur, il rejoint la prestigieuse institution de la Sainte Trinité au cœur de la capitale, avant d'intégrer Zandhurst où il suit une formation d'élève-officier avant d'en sortir diplômé au grade de lieutenant. Officier des armées grand-ducales, c'est pourtant en Edoran, pays de sa mère qu'il va mener une brillante carrière militaire.

Louis, petit-fils du gargantuesque Louis Ier dont il porte le nom, est également le petit-fils de Philippe Ier d'Edoran. C'est au sein des armées de son grand-père maternel qu'il va faire ses premières armes. Il entend alors compléter sa formation d'officier, donner l'exemple de la coopération entre armée alliée et s'émanciper de la tutelle zollernois dont il entrevoit qu'elle pourrait être préjudiciable à son métier de souverain. Nommé lieutenant de la Garde impériale, le Prince Louis sert dans le bataillon d'intervention équestre, d'abord comme chef de l'escadron blindée, puis comme chef de bataillon. Il est alors commandant. Lors des manifestations de novembre, contre le pouvoir impérial et le gouvernement, il reçoit l'ordre de protéger le Parlement et de disperser les manifestants à ses abords ; mission dont il s'acquiert remarquablement, sans effusion de sang. La crise que traverse le Saint-Empire n'est pourtant pas terminée.

L'Empereur, malade, est alors incapable d'assumer le pouvoir. La Régence est confié à son parent le Prince de Saint-Maurice-les-Lions. Un nouveau gouvernement se forme, sous la direction du général de Hauteville nommé Chancelier. Louis reçoit le portefeuille de la Défense. Comme ministre délégué à la Défense auprès du Chancelier, Louis poursuit la construction de la ligne de défense fédérale chargé de protéger les Saint-Empire et ses vassaux de l'invasion étrangère. La mort de son père le Grand-Duc Victor-August mettra fin à cette expérience gouvernemental.

La mort de son père place Louis à la tête d'un vaste ensemble territorial qui s'étend du Golfe de Locquetas jusqu'aux Golfe d'Angmar. Il s'installe alors à Kroenenberg, capitale de l'Archiduché de Zabrück-Crassauerstein, état enclavé au cœur du Zollernberg dont il est le Souverain. La fastueuse cérémonie du sacre archiducal dans la cathédrale Saint Ziegfried de Kroenenberg réunie un grand nombre de chefs d'état et du gouvernement, au premier rang desquels sa sœur, devenue Grande-Duchesse de Zollernberg. Son autorité sur les états dont il est le chef n'est pourtant parfois que nominale : le Locquetas s'est proclamé Commonwealth et subit la dictature du Duc de Kervagan autoproclamé Lord-Protecteur, Angmar, Persis, sont ingouvernables et en proie aux luttes intestines, le Zabrück-Crassauerstein est un protectorat zollernois laissant au Grand-Duché la direction de sa politique étrangère, quant au Laufenbourg enfin, état de quelque 5 200 km², il est si dépendant économiquement et diplomatiquement du Zollernberg que son gouvernement prend ses ordres directement à Wilhelstaufen. Souverain sans pouvoir, Louis va bientôt connaître l'occasion d'affirmer ses talents de chef d'état.

Après une rémission, l'Empereur est atteint d'une forme grave de flémingite, qu'il a contracté ainsi que son fils, lors d'un voyage aux colonies. L'Empire est une nouvelle fois sans tête alors qu'il connaît une période d'affaiblissement économique et géopolitique sans précédant. Louis, ayant succédé à son père au titre de Duc de Carrignan qui avait été offert par l'Empereur Philippe à son gendre, est désormais Pair d'Edoran, et membre de la Chambre qui doit désigner le futur Régent. Il est présents lors de la séance qui doit décider du nom de celui qui assumera le pouvoir à la place de Philippe Ier. Encore jeune mais bénéficiant du soutien de l'impératrice et du général de Hauteville, Louis est désigné à l'unanimité des pairs présents comme Régent du Saint-Empire, fonctions à laquelle il va démontrer ses qualités de gouvernant et de diplomate.

Devenu Régent du Saint-Empire, Louis s'installe au Palais de la Réunification, au cœur d'Allancia, capitale de l'Empire. Ils convoquent alors nouvelle élection générale qui voit la victoire du parti impérial et confirment Hauteville au gouvernement. Disposant de la haute main sur les affaires étrangères, il mène, en collaboration avec le Vice-Chancelier d'Haudricourt, une politique d'ouverture vers les Etats du Sud de l'Archipel, ouvre une ambassade à Prya, signe un traité de reconnaissance mutuelle avec Mézénas. Une crise diplomatique va montrer aux yeux du monde ses qualités de chef d'état, au cours de deux crises majeurs du micromonde.

L'Empire de Russlavie vient de subir un coup d'état institutionnelle à sa tête. Alexandre de Klausbourg, son propre oncle, ancien président du gouvernement russlave et ministre du Tsar, parvient à se faire proclamer Régent du Trône. Après quelques mois de pouvoir, l'opposition constitutionnelle ranimé par le colonel Karénine, soutenu par les vassaux et le Tsar lui-même parvient à reprendre le pouvoir. Le Zollernberg et la Grande Alliance sont sur le banc des accusés. La Russlavie se retire de la Grande Alliance, ordonne le retrait des troupes édoranaise stationnée et ferme le canal Bordeleau-Opessa, si vitale pour l'économie de l'Ouest édoranais. Alors que son état-major lui conseille la guerre et ordonne la mobilisation des troupes et l'envoie d'un corps expéditionnaire en Petite-Russlavie, Louis va à l'encontre de son état-major et de son Feld-Maréchal, rappelle ses troupes et met fin à la mobilisation, sauvant ainsi la paix sur le continent Nord. Il entend traiter avec le gouvernement russlave et envoie son plénipotentiaire le ministre d'Haudricourt. Partisan d'une politique d'équilibre, Louis accepte la révision du traité d'Avril, sur les bases du respect du principe de Souveraineté. Les troupes édoranaises sont rappelés de Russlavie, mais le canal Bordeleau-Opessa et le Transterranovien sont de nouveaux ouverts aux navires et aux trains édoranais.

La seconde crise concerne la principauté de Travnà. Enclavé dans la République de Kolozistan, ce petit état a pour chef d'état deux co-princes dont l'un est l'Empereur d'Edoran et l'autre l'Empereur de Belondor. Profitant de la crise russlave, au prétexte d'incidents de frontière, le Kolozistan ordonne l'invasion du petit état qui est contrôlé en quelques heures à peine par l'armée kolozistanaise. Le Régent dénonce fermement une intervention illégale et rappelle les droits souverains de la petite principauté. Refusant de se lancer dans une aventure militaire, il parvient à force de diplomatie et avec le soutien de la communauté internationale à obtenir l'évacuation des troupes kolozistanaises et la tenue d'un référendum. Désormais Louis est un chef d'état reconnu par ses pairs. Il poursuit sa politique d'ouverture internationale, réintégrant son pays dans l'ONA, envoyant des missions diplomatiques en Libéristant et en Ostaria. Très actif à l'extérieur ne néglige pas pour autant le champ de la politique intérieur.

Sur le plan intérieur, Louis peut compter sur le très respecté général de Hauteville, Feld-Maréchal des Armées et Chancelier impérial. Ainsi il valide et participe à l'élaboration d'une constitution impérial unissant les provinces, les territoire de l'Empire et ses vassaux au sein d'une même fédération d'état. Sa régence est une période de redressement, qui voit une réorganisation de l'armée, la création de la Bibliothèque, la réapparition du pluralisme démocratique et l'extension de la sphère d'influence édoranaise au Zanziland.

A l'avènement de l'Empereur Charles IV, en sa qualité d'héritier de la Couronne, il devient archiduc d'Edoran et prince de Bonne-Espérance. La fédéralisation de l'Empire en fait le chef de ce petit état insulaire fédéré du Nord de l'Empire. La naissance du prince François, fils aîné de Charles IV, lui fait perdre la qualité d'Archiduc. Il reçoit en compensation et en mérite des services rendus à la Couronne impérial, les titres édoranais de prince de Klausbourg et de Duc de Port-Royal, tout en conservant, au nom du jeune prince François encore enfant, la régence de la principauté de Bonne-Espérance. Sur le plan politique, il occupe dans les différents gouvernement Hauteville, les fonctions de Vice-chancelier et de Ministre des affaires étrangères et de la défense.

En novembre 2018, il se retire de la vie publique édoranaise et installe sa résidence principale à Aarosia où il participe à la vie politique locale. Il continue de participer à des événements officiels de la Cour de Zollernberg. En avril 2019, il sort de sa retraite pour concourir aux élections générales, devient député, ministre de l'Intérieur et Vice-Chancelier. Le 1er mars 2021, à la suite d'un différend avec la Basileia, il renonce à ses fonctions officielles en Moldavia et s'exile en Eperonie. Peu de temps après son arrivée à Mont Carrignan sa villégiature, il déclare se lancer dans la course à la présidence de l'Etat fédéré.

Aujourd'hui âgé de quatre-vingt ans [mars 2021], le prince Louis est marié à la princesse Antonia-Esméralda de Moldavia et père de quatre enfants, les princes Louis-Philippe (46 ans) et Procope (44 ans), la princesse Sibylle (39 ans) et le prince Jules-Ezéchias (38 ans). Il est l'actuel chef de la Maison de Klausbourg

Le Prince Louis est également un sportif invétéré. Ainsi, dans sa jeunesse, le prince a participé aux Jeux Microlympiques d'Allancia dans l'équipe zollernoise de hözkey. Il a également été pilote de rallye et a assumé durant de longues années la présidence de la Fédération zollernoise de fuzzball dont il a soutenu le développement.

Membres éminents