Toute pensée a le mérite d'exister.

Une traduction du disque de Phaestos 2.pdf
La racine. Prolégomène à lalphabet et les liens vers lesquels ils conduisent dans leurs conséquences historiques.pdf
Lecture de la Bible.pdf
Charolles.pdf

Lecture de la bible est le plus récent des ouvrages proposés. Il fait suite naturellement à la Racine qui peu maintenant être prise pour une ébauche savante, non corrigée, mais que je laisse libre au téléchargement afin de montrer les évolutions d'un point à un autre .

Lecture de la bible rejoint l'alphabet grec au monde de l'Egypte antique et de ses hiéroglyphes en passant par le protosinaïtique puis la refonte de l'alphabet grec par Alexandre le Grand . Ce que ne faisait pas la Racine qui se contentait de poser les choses sans autre lien vers quelque chose de connu.

On peut affirmer maintenant , outre que l'alphabet est né de signes afin de pouvoir échanger avec les peuples inconnus et que ceux-ci ont été retenus par la plupart des populations concernées comme fond commun d'échange , grâce ou non aux Phéniciens, comme l'affirme Hérodote. Qu'il a une texture et repose sur une idée plus ancienne, devenue religieuse, avec le monde Egyptien qui plonge ses racines dans le monde néolithique.

Pour que les déductions avancées et l'esprit qui les anime soient réfutés dans leur ensemble, il faudrait qu'il n'y ait pas de solution sur de nombreux points soulevés et que la plupart tombent sur une impasse intellectuelle, mais c'est l'inverse qui advient , tout étant affaire d'interprétation en fonction du contexte. Seul et sans repère historique, le sens n'apparait pas clairement mais fait néanmoins , sens dans l'esprit qu'il défini.

Un exemple parmi tant d'autres: mort est l'instant où il n'y a plus rien pour soi .En Hébreux le mot se prononce Mooth et s'écrit dans notre langue Muwth .Il se lit Thwum, primitivement ,mais on le lit de gauche à droite et donc il donne bien Muwth. Mais si je le lis de droite à gauche ,c'est bien Thwum. Et je lis Toum. Le w se prononce bien o et est à rattacher à ω grec. Mais Toum n'est ce donc pas ce dieu primordial Egyptien qui dit qu'avant lui il n'y a rien , qui a engendré les dieux de lui même à partir de rien, et est plus connu sous le nom d'Atoum représenté par un vieillard? Le mot té ou 𝚻η,ou Θ, en égyptien représente bien la mort d'un ennemi et il est représenté comme un y allongé vers la gauche... Mais en grec la représentation de la mort sera également aussi divine qu'en Egyptien et on aura Thanatos on laisse de côté la finale , on se concentre uniquement sur Thanat (Θανατ) Littéralement Θ est le soufle divin du α, la vague sur la mer, l'eau qui coule et vole ν comme l'oiseau vers l'eau qui coule pour rencontrer le τ du jugement de fin. De Toum (Τουμ) T jugement la balance de la justice ; ou Θ le soufle divin; ο: soleil mais rapporté à l'homme, l'anima grec ; υ le récipient, le contenu du récipient ; μ , en dessous répendu dans le néant , la mer ou l'océan primordial. On passe à Thanat qui défini l'idée de la vie et de la mort contenue dans la vie, en fait partie est un souffle divin , jugé après un temps passé : ανα. Dans tous les cas, l'esprit qui participe au mot mort, n'est pas une fin en soi mais bien un passage où il n'y a rien.

Mais il est évident que j'aurais très bien pu interprèter Toum comme le jugement sur le soleil et le récipent, ou son contenu dans la mer .Et Thanat comme le souffle divin sur la vague qui vol de vague en vague avant de rencontrer la balance de la justice . Mais Toum signifie le jugement de vie ou de néant sur le soleil ou la lumière, de la voute céleste et océan primordial , qui nourrit et retire la vie du plus profond de la mer ou de la terre .

Mais mon interprétation aurait été exactement pareille à celle que je trouvais précédemment....

Glotz a été le premier à en faire état, d'une façon très succincte, un mot : Θηϐη, dans une note de page qu'il ne développe pas, avant de ne s'intéresser qu'à l'aspect scientifique des différentes civilisations en Crétes, à travers leurs poteries, d'une façon méthodique. Il s'est alors contenté de décrire ce qu'il étudiait et de le mettre en perspective dans le temps. Mais pour lui comme pour moi, il y eut une époque où le nom propre désignait le mythe auquel il renvoyait . Θηϐη c'est le Sphinx.


Charolles est une étude sur la ville de charolles et le Charolais . Là aussi, il n'y a pas grand chose pour le développer sinon les noms de lieux , la perspective dans le temps. Quand un Charollais parle de la ville de Charolles il renvoie à l'origine du nom, confirmé par les Cartulaires ,"Carré je détruis". A quoi il répond immanquablement :" Si carré je détruis, c'est donc que je suis ronde!" Il oppose la pierre carré à la terrre ronde. Mais comme on le verra, si ceci ne représente pas grand chose à notre époque, ce n'est plus du tout la même chose pour le monde Celte, pré Celte, puis Romain.


Une traduction du disque de Phaestos est une étude sur les signes qui le composent . S'il prétend en résoudre beaucoup, il est devenu sujet à caution avec le temps. Cependant je le laisse en ligne à cause de ses raisonnements et découvertes. Les courants méditerranéens vont dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Et le disque semble bien montrer les différents moyens et régions traverssées pour parvenir en Crétes.