Pour publier dans les Cahiers

Les conférencières et conférenciers qui souhaitent rédiger un article, même court, illustré ou non dans les Cahiers du Carrefour des Humanités Paul Ricœur, sont invités à suivre les normes rédactionnelles téléchargeable et par ailleurs exposées ci-dessous. 

 Dans le cas contraire, et dans la mesure du possible, les Cahiers publient un compte rendu de la conférence, à la manière des proceedings des revues anglo-saxonnes. Ce compte rendu est réalisé par un membre du conseil d’administration ou un adhérent de l’association. Sa longueur est variable. Si nécessaire, il peut être relu par l’auteur, le directeur de la publication en assumant la publication.

Texte

– Fournir un texte sans mise en page particulière. Arial, Corps 12.

– Fournir une version word et si vous en ressentez la nécessité, sous pdf.

 Si possible : 

– Accentuer les majuscules (exemples : État, Überlieferung)

– Utiliser les guillemets typographiques (chevrons) « ». Un espace insécable doit systématiquement être inséré après le guillemet ouvrant et avant le guillemet fermant.

– Ajouter des espaces insécables ([ctrl]+[majus.]+[espace]) avant les signes de ponctuation double (deux-points, point-virgule, point d’exclamation, point d’interrogation)

Titres et intertitres

– Bien distinguer leur hiérarchie (possibilité de les numéroter) : ne pas faire plus de 3 niveaux.

Abréviations

– Ordinaux (en français) : XIXe siècle (et non pas XIXème), 2e partie, VIIes rencontres internationales, 1re année.

– Page(s) est abrégé p., même au pluriel ; il en va de même pour fig. (figure[s]), pl. (planche[s]), s. (suivant[s]), etc.

– L’usage actuel est de ne pas mettre de points entre les lettres. Ex. : DCNS (non D.C.N.S.).

Appels de notes

– Placer les notes en bas de page et non en fin d’article.

– L’appel de note se place avant tout signe de ponctuation, juste derrière le mot ou groupe de mots auquel est accrochée la (ou les) référence(s) bibliographique(s) cité(es) en note de bas de page. 

Exemple :

« La mer Méditerranée, qu’entourent vingt-sept États et qui s’étend d’ouest en est sur 4000 km entre le sud de l’Europe et le nord de l’Afrique, est de nos jours une zone de très grave tensions géopolitiques[1] ».

 [1] Lacoste Y., Atlas géopolitique. Pour comprendre le monde de demain, Paris, 2013, p. 125.

Bibliographie pour les notes de bas de page

– Ne mettre de majuscules qu’aux initiales des noms propres.

– Vos références bibliographiques doivent être homogènes et cohérentes

– Vous pouvez utiliser une « présentation classique »…

Exemples :

•   Monographie : Vigarié A., La mer et la géostratégie des nations, Paris, Economica, 1995.

•   Contribution à un ouvrage collectif et article de revue :  Bellec F., « L’imaginaire marin », dans Miossec A. (dir.), Géographie des mers et des océans, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. Didact Géographie, 2014, p. 21-36. 

•   Fillon J.-L., « Le ‘fiasco de Montego Bay’, uchronie juridico-maritime », dans La Revue Maritime, décembre 2012, n°495, p.60-71.

– … ou bien préférer les références « à l’américaine » du genre : Vigarié 1995, p. 35-42. 

Mais dans ce cas, il vous faut obligatoirement prévoir une bibliographie en fin d’article : Vigarié A. (1995), La mer et la géostratégie des nations, Paris.

Illustrations

– Les illustrations doivent être fournies sous format numérisé et avec une définition suffisante pour l’impression papier (300 dpi au minimum)

Droit de reproduction

– Les auteurs ont la charge de demander les autorisations de reproduction des illustrations ou de prendre des illustrations libres de droit ; la revue ne publie que des images libres de droits et se réserve de ne pas accepter les illustrations qui pourraient être l’objet de contestation. 

Responsables de publication : 

Directeur de publication : Jean-Christophe Couvenhes -  jccouvenhes@gmail.com

Secrétaire de rédaction :