Axes de recherche

Structuration

Pour les cinq prochaines années, le programme de recherche du CRS s’articule autour des quatre axes suivants en référence aux trois composantes de Formation et de Recherche de l’IUS :


Axe 1 : « Leadership, Aménagement, Tourisme et Développement durable »

Animateur de l’Axe 1 : Dr Jude-Mary ST-MARTIN


Axe 2 : « Droit, Justice, Régulation et Gouvernance publique »

Animatrice de l’Axe 2 : Dr Kiria DESPINOS


Axe 3 : « Société civile, mouvements sociaux, Éducation et Sociologie du développement »

Animateur de l’Axe 3 : Dr Nelson SYLVESTRE


Axe 4 : « Mathématiques, Technologies de l’Information et de la Communication »

Animateur de l’Axe 4 : Dr Fred CELIMENE


Chacun de ces axes du laboratoire prenant en compte les approches disciplinaires, interdisciplinaires, Intradisciplinaires, Transdisciplinaire et Pluridisciplinaire.

Objectifs

L’Institut Universitaire des Sciences cherche à maintenir l’attrait du CRS, ainsi que l’équilibre entre son unité, son développement et sa pluridisciplinarité.

Les membres du CRS conviennent de :

 

 

 

 

 



L’un de nos principaux objectifs scientifiques pour ces cinq prochaines années est de poursuivre dans cette politique d’approfondissement et de développement du CRS. Cette politique d’approfondissement devra rassembler des chercheurs volontaires et de talent souhaitant s’ouvrir à des champs de recherche que les outils qu’ils utilisent sont susceptibles de creuser pour de nouveaux résultats visibles contribuant aux avancées de la recherche et à ses applications au service de la société et de la création de richesse. À partir des quatre axes de recherche retenus par le CRS, on notera à cet effet l’imbrication très forte de disciplines fondamentales de sciences dures avec des projets de sciences humaines et sociales ayant un potentiel applicatif très important : les mathématiques, l’informatique et les technologies de l’information et de la communication, la sociologie, la science économique, les sciences de l’éducation, le tourisme, le droit, la science politique, le droit des affaires, les politiques publiques, la gouvernance, le développement durable, etc. L’histoire récente de la recherche l’a montré : ces disciplines distinctes peuvent travailler ensemble et produire des résultats communs d’envergure, visibles et reconnus.


À une époque où même les plus grands laboratoires de recherche de par le monde nouent des alliances très fortes avec des structures diverses pour accroître leur emprise, leur visibilité, la quantité, la qualité et les applications des résultats qu’ils produisent, il nous appartient aussi de développer l’influence du CRS à l’extérieur même de ses murs. C’est notre second objectif scientifique, que nous comptons développer en partenariat avec des structures multiples avec lesquelles nous collaborons déjà et que nous devons approfondir et développer. Nous devons en effet, approfondir les relations déjà tissées avec les institutions publiques et privées. En particulier nous devons poursuivre le développement de réseaux et de collaborations de recherche que nos compétences sont susceptibles d’assister dans la résolution de problèmes difficiles, auquel seul un laboratoire ayant une stature locale, nationale et une visibilité internationale peut contribuer.


Enfin, nous comptons nous développer également activement au niveau local, pour alimenter l’offre de formation de contenus originaux et en phase avec l’état, les évolutions et les attentes de la société et de ses acteurs. Là encore, l’ouverture disciplinaire dont nous faisons — et ferons davantage — preuve nous autorisera une originalité et une efficience unique.

Moyens et méthodes

Pour compenser la faiblesse des moyens (en personnels, équipements, budgets) alloués par l’IUS ou des ministères, des ressources extérieures sont nécessaires en provenance de la valorisation de la recherche et des travaux du CRS. 

Le CRS considère en particulier que la recherche appliquée, proche des besoins des institutions, des entreprises et des territoires permet d’accroître les ressources financières pouvant faire vivre et pas simplement survivre une équipe de recherche, d’attirer les talents et/ou de les maintenir sur notre territoire, et permet aussi in fine d’« irriguer » les enseignements dispensés et d’améliorer leur qualité et leur adéquation aux besoins de la société haïtienne et de son économie. 

Tout membre du CRS a donc pour mission, entre autres chose, de concourir à l’équilibre financier du Laboratoire par la recherche appliquée.