Utilisateurs de fauteuils roulants.
Les athlètes doivent utiliser le handbike (vélo à bras) couché sur le parcours de vélo et un fauteuil de course sur la partie course à pied.
Il y a 2 sous-classes, H1 (handicap plus important) et H2 (handicap moins important).
PTS2 : Handicaps sévères.
Handicaps impactant le plus sévèrement la pratique du triathlon
PTS3 : Handicaps significatifs
PTS4 : Handicaps modérés
PTS5 : Handicaps légers
Handicaps impactant le moins la pratique du triathlon
PTVI (Para Triathlon Visual Impairment)
Déficit visuel partiel ou total (IBSA / l’IPC définit des sous-catégories B1, B2 et B3).
Inclut les athlètes non voyants (B1) et les athlètes mal voyants (B2-B3).
Un ou une guide du même sexe que l’athlète est obligatoire pendant toute l’épreuve.
La partie vélo se fait obligatoirement en tandem.
Pour être éligible à cette catégorie, l'athlète doit avoir au moins une des déficiences suivantes : déficience mentale, déficience psychique, ou troubles autistiques.
L'athlète doit justifier de son handicap par la fourniture d'une attestation de son établissement d'accueil spécialisé, ou d'un certificat médical d’éligibilité à la classe sportive PTS7 en para triathlon (modèle de document FFTRI) rempli par son médecin.
Pour évaluer l'impact du handicap éligible sur la performance en para triathlon, les classificateurs pourront demander à évaluer, à travers un questionnaire, les aptitudes de l’athlète dans les domaines suivants : socialisation, autonomie, motricité, communication, aptitude aux spécificités du triathlon.
Les athlètes peuvent avoir un accompagnant.
Inclus les athlètes ayant une perte d’au moins 55 dB de la meilleure oreille sur 3 fréquences déterminées : 500, 1000 et 2000 hertz. (défini par l’International Committee of Sport for the Deaf)