Entraide Protestante  Reims


Association humanitaire 

reconnue d'utilité publique 


L'Association Entraide Protestante de Reims, est une association régie par la Loi de 1901. Elle est reconnue d'utilité publique par décret du 6 décembre 1906 et a pour mission principale l'aide alimentaire aux familles démunies. Elle participe à la lutte contre l'exclusion sociale et la misère, s'engage activement au service des personnes en difficulté, sans distinction d'origine ou de religion, en proposant une assistance matérielle et morale. 

Nos missions : 










Partenariats : 

L'Entraide Protestante est co-fondatrice de l'Epicerie Sociale et Solidaire (depuis 2011) et de SOS Bébé

Elle est partenaire de la Banque Alimentaire de la Marne depuis 1984.

L'Association héberge dans ses locaux la CIMADE (aide juridique aux réfugiés et migrants). Ses bénévoles reçoivent sur rendez-vous. Pour les contacter : 03 26 50 02 26.

Autres partenaires : 

Le CCAS de Reims, les Circonscriptions de solidarité départementale (CDS), l'Armée du Salut (Foyer Nouvel Horizon), le CADA de l'Armée du salut, le CPH, le CAO, le Foyer Jamais Seul, le Foyer Les Primevères, Résidéis, le CADA de la Croix Rouge, les services sociaux du CHU et de la CAF, le CROUS, le service social du RECTORAT, le MARS, les centres d'addictologie, CMP, CAST, Equilibre, UDAF, CLIC...

Quelques chiffres - en bref 

ACCUEIL DES FAMILLES : 

L'Entraide Protestante accueille 1 160 familles par an, soit 2 800 personnes.

Nos bénéficiaires sont composées de personnes isolées, couples, familles, hommes, femmes et enfants, de tous âges et de toutes origines. 

30% sont des enfants dont 7% ont moins de 3 ans. 70% sont des adultes dont 3% ont plus de 65 ans. 

1 400 inscriptions par an. 

Nous assurons 155 permanences par an à mesure de 3 jours par semaine : lundi, mardi et vendredi.


AIDE ALIMENTAIRE : 

Nous distribuons 245 tonnes d'aliments par an, soit 34 000 colis-repas équilibrés 

Nos colis sont constitués de : 

Les produits frais représentent 60% des aliments distribués dans nos colis. 

Nous nous efforçons de fournir à nos bénéficiaires des colis équilibrés avec des produits de qualité, parfois bio ou labellisé. 


BÉNÉVOLES :

Notre équipe se compose de 68 bénévoles et 2 salariés :

Nos bénévoles s'engagent de manière désintéressée, avec bienveillance, respect et éthique, dans nos actions organisées au service d'autrui. Ils sont accompagnés, formés et valorisés, travaillent en équipe, dans le respect des convictions et opinions de chacun. 

Nos bénévoles, pour certains, sont multilingues (français, anglais, russe, ukrainien, géorgien, arménien, tchétchène, hindi, dialectes africains...) 

Nous accueillons une dizaine de stagiaires par an (collégiens, lycéens, étudiants du secondaire, volontaires du Service National Universel, demandeur d'emploi orientés par Pole Emploi, personnes en formation à l'AFPA ou l'IRTS).

Le Pasteur Pascal Geoffroy est disponible si besoin, sur rendez-vous. 

Inscriptions des familles 

Horaires

JOURS D'INSCRIPTION :

Les personnes doivent se présenter à l'accueil (entrée par le chartil) munies de la demande d'inscription écrite par un travailleur social (CCAS, CSD, service social, foyer d'hébergement habilité). 

Prévoir 15 minutes pour l'inscription et l’obtention d'une carte nominative valable 2 ou 3 mois (renouvelable, selon les cas).

Un premier colis sera remis lors de l'inscription. 

Participation forfaitaire demandée : 2,30 € par passage-personne payable par le bénéficiaire ou la structure d'accueil qui l'envoie. 

Prévoir des sacs de transport (ou caddie) dont un sac isotherme (obligatoire).

Distributions alimentaires 

Horaires

JOURS DE DISTRIBUTION :


Participation forfaitaire demandée : 2,30 € par passage-personne. (en espèces ou carte bancaire). Les chèques ne sont pas acceptés. 

Merci de prévoir de sacs de transport (ou caddie) dont un sac isotherme (obligatoire). Les personnes se présentent sous le chartil et passage par ordre d'arrivée. Le temps d'attente est variable au cours de la journée. Forte affluence à prévoir à l'ouverture à 14H. 

Histoire de l'Entraide Protestante

118 ans d'engagement auprès des familles

L'Entraide Protestante est aujourd'hui un maillon majeur et incontournable au coeur des dispositifs d'action sociale à Reims.

Avant 1900 : 

Au XIXème siècle, Reims vit essentiellement de l’industrie textile. Le négoce du champagne se développe tout comme l’industrialisation, la mécanique et le transport. De nombreux étrangers s’installent à Reims, notamment des entrepreneurs avisés Allemands et Anglais.

Un temple protestant est construit Boulevard Lundy.

L’immigration anglaise et allemande alimente une partie de la communauté protestante en donnant à la ville des familles de notables engagés et actifs.

1905 : 

La Fédération Protestante de France est créée. Elle a pour but de représenter et de rassembler les églises et associations protestantes de France.

1906 : 

L'Association de Bienfaisance parmi les Protestants de Reims est fondée à l'initiative de plusieurs dames de la paroisse très investies. L'Association a pour but d'apporter une aide matérielle et morale aux paroissiens en situation de précarité. Elle est reconnue d'utilité publique la même année. 

    1907 - 1913 :

Les activités d'aide se développent au fil des besoins grâce à l'engagement de paroissiens bénévoles.

1914 - 1918 :

La première Guerre Mondiale, moderne par ses moyens et éternelle par son horreur, laisse la ville de Reims fortement meurtrie. Les habitants sont évacués pendant les six premiers mois du conflit. le Temple protestant est bombardé le même jour que la cathédrale. Une cantine civile est installée par l'Association dans les caves de Champagne. C'est sommaire mais l'accueil y est toujours aimable et empressé. Rapidement, un dortoir y est également aménagé. 

En 1918, il ne reste à Reims que 5 000 habitants sur les 116 000 recensés avant la guerre. 

Fondation de l’association « Retour à Reims » pour venir en aide aux rémois qui reviennent dans leur ville ruinée.

1919 - 1938 :

Une fois la paix revenue, d’autres batailles s’engagent, notamment celle de la reconstruction de Reims. Les conditions de vie sont précaires. La population est affaiblie par la guerre. Les puits sont pollués. Partout des infirmières, médecins, militaires, administrateurs et associations se mobilisent.

La Croix Rouge et le Retour à Reims louent et distribuent du matériel. Les dames tricotent et cousent des vêtements. On sollicite les associations pour des conseils, du travail. Ils servent d’agent de liaison auprès des administrations. C’est ce que l’on nommerait aujourd’hui un « service social ».

D’autres associations voient peu à peu le jour, notamment pour venir en aide aux nourrissons et aux malades. Les sœurs de St Vincent de Paul et la Croix Rouge Française s’investissent peu à peu dans des dispensaires.

Les bénévoles de Bienfaisance parmi les protestants de Reims, sous l’impulsion de femmes d’exception, sont sollicités pour de nouveaux besoins. Ils sont en effet immenses. Il faut trouver logis, meubles, accessoires de la vie quotidienne, linge, vêtements, nourriture et eau. Une cantine est ouverte. Un appel aux dons est organisé.

Le Temple Protestant est reconstruit.

    1939 - 1945 :

La 2nde Guerre Mondiale épargne Reims. Toutefois, dès 1940, la ville est occupée par les Allemands. Les maisons sont réquisitionnées et le rationnement est installé.

La ville est libérée le 30 août 1944.

A l'Association, les conditions de pénurie limitent les distributions aux cas urgents.

   1946 - 1967 : 

Les quartiers populaires de Reims se développent, les cités HLM sortent de terre dans les nouveaux quartiers Wilson, Orgeval, Europe, Châtillons et Croix-Rouge. Les services sociaux s’organisent.

Les premiers exilés du Cambodge arrivent à Reims.

Le champ d’action de l’Association se tourne naturellement vers toutes les personnes en précarité, sans distinction d’origine ou de religion.

Elle rend visite aux personnes hospitalisées et âgées. Elle aide financièrement à l’installation de poêles pour garantir le chauffage chez les familles les plus démunies. Une distribution de vêtements est régulièrement faite.

    1968 : 

L'Association, au 12 rue Andrieux, développe l’esprit familial et l’entraide par tous les moyens en apportant soutien moral ou matériel. L’association défend l’intérêt général des familles.

    1970 : 

Dans les années 70, des braderies de vêtements sont organisées par l'Association afin de collecter un maximum d’articles. Un soutien financier pour payer le loyer ou la facture de chauffage est apporté aux familles les plus nécessiteuses. Des collectes s’organisent pour venir en aide aux réfugiés du Cambodge qui arrivent sur la ville.

   1977 : 

Le nom de l’association change. Elle devient l’Association Protestante d’Entraide et d’Action Familiale de l’Eglise Réformée de Reims.

Occupant une salle du Foyer Protestant du 22 rue Camille Lenoir, l’association propose tout d’abord des sandwichs puis des repas chauds préparés par les paroissiennes bénévoles. Les repas sont servis sur place aux personnes qui se présentent. Convivialité et partage fraternel sont mis en avant.

L’aide financière pour payer le loyer s’arrête progressivement car les APL sont mises en place. L’association continue toutefois à verser des aides pour financier le chauffage de certaines familles.

   1984 : 

Certains quartiers de Reims s’appauvrissent. Des immigrés affluent dans la ville. Dans les vieux quartiers se posent des problèmes de dégradations, de salubrité, de délinquance, d’illettrisme, d’isolement, de chômage.   Des termes nouveaux apparaissent : quart-monde, Rmiste, SDF, exclus.

Le service social devient compétence du Département.

Les besoins augmentent. Pour y faire face, l’Entraide se tourne vers La fondation de la Banque Alimentaire. Celle-ci permet d’organiser la collecte d’aliments auprès des producteurs ou distributeurs afin de les redistribuer aux associations partenaires. Une convention de partenariat précise, fixe les règles et modalités de réception, stockage, gestion et distribution des aliments.

Ce nouveau partenariat avec la Banque Alimentaire de la Marne assure à l’Association une continuité d’approvisionnement et place son action dans un contexte rigoureux et professionnel.

Des dispositifs d’urgence sont mis en place pour les personnes en situation de pauvreté et de précarité durant l’hiver 1984-1985.

Certains bénévoles participent au Noël de la prison et apportent des petits colis lors des visites de Noël aux personnes âgées. Les paroissiens continuent à faire des dons d’aliments non périssables afin de préparer les repas dominicaux « dimanche accueil », ouverts à tous.

1988 : 

Des aliments secs de base sont distribués aux familles par l'Entraide

    1990 :

L’association ajoute à ses activités l’aide aux devoirs grâce à quelques bénévoles investis.

Les aliments collectés envahissent peu à peu les locaux de la paroisse afin de préparer 100 puis 200 colis-repas, trois fois par semaine. Les files d’attente s’allongent et des problèmes de voisinage apparaissent.

   1991 : 

Les douches de la rue Camille Lenoir sont utilisées par les SDF. On leur permet également de laver leur linge.

   1992 : 

D’importants travaux sont entrepris afin de créer un accès indépendant de celui du presbytère. L’entrée de l’association se fait dorénavant par le 18 rue de Clicquot-Blervache. Le secrétariat de l’association reste ouvert rue Camille Lenoir. Des permanences de distribution sont mises en place trois fois par semaine. Elles permettent de distribuer 200 colis-repas.

   1995 : 

L’Armée du salut rejoint la Fédération Protestante de France, tout comme la Cimade.

  1997 : 

Les Restos du Cœur et le Secours Populaire ouvrent une antenne à Reims.

L’association « Le Retour à Reims », est dissoute.

Les statuts de l’Association Entraide ne font plus état de l’Action Familiale.  L’association prend simplement le nom d’Entraide Protestante de l’Eglise Réformée de Reims.

Un partenariat avec le chantier d’insertion EPIS permet de récupérer des légumes en échange du pain rassis collecté dans le container placé à l’entrée du Temple.

   1999 : 

L’association se dote d’un camion J9 racheté à EDF. Auparavant, les bénévoles utilisaient leurs propres véhicules pour récupérer les aliments à la Banque Alimentaire. L’association sert 220 à 250 colis-repas par permanence, préparés par les bénévoles.

  2000 : 

La dévolution d’une partie des biens du « Retour à Reims » permet à l’Entraide Protestante de s’installer dans le bâtiment du 19 rue Raymond Guyot et de le rénover pour en un faire un lieu de stockage, d’accueil, de distribution et d’écoute. Ce qu’il est encore aujourd’hui. L’association est enfin dotée d’un lieu adapté à ses activités, avec une véritable cuisine, une salle à manger (l’actuelle salle pause-café) où sont servis une quinzaine de repas chauds le soir.

Une zone de distribution permet aux familles de récupérer 260 colis-repas par permanence. Le local stock, créée sur la cour ainsi que les nombreux réfrigérateurs/congélateurs permettent de conserver les aliments de manière optimale.

Les activités se diversifient : les salles de l’étage permettent des actions de vie quotidienne, alphabétisation, informations sociales, peinture sur bois, couture. On organise également des cours de cuisine.

   2003 :

La fermeture du camp de Sangatte a pour conséquence l’arrivée massive de réfugiés politiques à Reims. Ils sont logés par le foyer Sonacotra, le foyer Jamais Seul et le CADA.

De 100 familles bénéficiaires, l’Entraide doit faire face à l’arrivée du double de personnes. Il y a un besoin vital de bénévoles supplémentaires. Les repas distribués le soir sur place augmentent peu à peu. 

Pendant ce temps, des bénévoles continuent à assurer les collectes de vêtements, jouets, pain et également des lunettes pour envoyer en Afrique. Des cours de français FLE pour les étrangers sont dispensés à quelques familles.

  2004 : 

Une camionnette est offerte à l’Entraide par INNERWHEEL (la branche féminine du ROTARY). Le J9 est donné à l’EEUF.

  2006 : 

L’association fête ses 100 ans. De nombreux articles paraissent dans la presse.

  2007 :

A Reims, la construction du Tramway révolutionne les déplacements des familles et transforme profondément les quartiers populaires de la ville. Certains immeubles des années 70 sont rénovés ou détruits avant d’être reconstruits.

Des stagiaires commencent à venir découvrir l’Entraide.

Les repas continuent à être servis le soir et les colis repas distribués sur les 3 permanences de la semaine.

L’Entraide accueille la Cimade dans une partie de l’étage, tout comme l’association des Alcooliques Anonymes qui vient y faire des permanences.

  2008 : 

Grâce à une subvention de la Caisse d’Epargne, l’association peut acheter un camion neuf. Des travaux sont également entrepris dans les locaux afin de les adapter aux nouvelles activités. La salle à manger ne sert plus de repas chauds le soir. Elle devient la salle Pause-Café. Elle permet de recevoir les familles qui ont besoin de passer un moment convivial et d’être écoutées. La zone d’accueil est également réaménagée pour plus de fonctionnalité. Les bénévoles, au nombre dorénavant de 60, sont conviés plus tôt dans la matinée afin de préparer au mieux les colis des bénéficiaires.

  2010 : 

La gestion du bâtiment de la rue Raymond Guyot est confiée Fondation du protestantisme qui l’entretient désormais et le gère comme elle le fait pour les biens matériels des autres Entraide et associations sociales de l’église Protestante Unie de France.

  2011 : 

La Ville de Reims créé une Epicerie Sociale et Solidaire (le marché des Salines) et y associe les principales associations actives dans la distribution alimentaire.

Partenaire fondateur de cette Epicerie Sociale et Solidaire de Reims, l’Entraide s’est vu confier la mission d’assurer la distribution d’aide alimentaire transitoire aux familles en attente de décision sur leur dossier d’accès au magasin Espoirs de l’Epicerie Sociale.

Les repas du soir sont stoppés, tout comme les colis-repas cuisinés par les bénévoles depuis plusieurs années déjà. Des colis d’aliments sont distribués aux familles. Des colis comme ils le sont aujourd’hui, composés d’aliments frais et secs que les familles peuvent cuisiner elles-mêmes.

  2012 : 

A la création de l’Epicerie Sociale, les CHRS (centre d’hébergement et de réinsertion sociale), dont les familles ne pouvaient pas y accéder, se sont tournées vers l’Entraide. C’est une nouvelle étape à franchir.

  2013 : 

Des associations de forme CHRS comme le Foyer Nouvel Horizon de l’Armée du Salut, le Foyer Jamais Seul, le Pôle Social de la Croix Rouge (CADA), etc… signent des conventions de partenariat avec l’Entraide pour la délivrance d’aide alimentaire à certaines familles qu’elles hébergent. En effet, ces associations ne peuvent pas assurer tous les repas sur place. Ces partenariats concernent, en autres, les familles de migrants dont l’Etat a confié le soin à l’Armée du salut. Ainsi, l’Entraide sert-elle aujourd’hui des familles qui ressortent du dispositif mis en place par la Ville de Reims avec l’Epicerie Sociale et d’autres familles qui ressortent des foyers CHRS soutenus par l’Etat.

L’Entraide a repris, au fil du temps, la distribution alimentaire au bénéfice des familles qui étaient précédemment accueillies par d’autres associations qui ont souhaité arrêter cette activité (Secours catholique, Croix Rouge Française). L’Entraide accueille donc des familles suivies par les travailleurs sociaux du Département de la Marne, du CCAS de Reims (Centre Communal d’Action Sociale) et des Associations partenaires qui dépendent de l’état.

   2016

Peu à peu les réglementations liées à la l’hygiène et à la sécurité alimentaire alourdissent le travail des bénévoles, provoquant de nombreux départs.

Les bénévoles ne sont plus uniquement issus de la Paroisse. Des bénévoles-bénéficiaires s’engagent peu à peu.

  2018 : 

Un nouveau chapitre s’ouvre dans la vie déjà très riche de l’Entraide. Afin de pérenniser son action sociale au cœur du tissu associatif rémois et s’engager pour affronter les défis de l’avenir, l’association s’inscrit dans une dynamique de projet et développe de nouvelles actions d’insertion. L’Entraide franchit donc une étape importante en accueillant à bord Elodie FRANCK, Directrice - Responsable Déléguée Organisation et Administration. 

  2019 : 

La reconnaissance par les pouvoirs publics de la place et de l’action de l’Entraide au cœur du dispositif d’action sociale à Reims, se traduit par un soutien financier accru et précieux de la part de l’Etat (DDCSPP), de la Ville de Reims et du département de la Marne.

2020 - 2021 : 

La crise sanitaire (COVID19) a un impact sur la vie de l'Association. La Salle Pause-Café est momentanément fermée et les règles de circulation dans les locaux sont modifiées. Toutefois les bénévoles (aidés par de nombreux étudiants, notamment de Sciences Po Reims) sont motivés et encore plus impliqués dans leurs missions. 

L'arrivée de nouvelles familles précaires ont contraint les équipes d'étendre les horaires de distribution. Les colis sont donc distribués de plus en plus tôt dans la journée afin de servir un plus grand nombre de personnes. 

2022 - 2023

Des travaux de rénovation des locaux sont entrepris afin de limiter les consommations énergétiques (changement des fenêtres et des luminaires). 

2024 : 

Les denrées alimentaires fournies par les donateurs habituels ne suffisent plus à assurer convenablement les distributions. Grâce à la Fédération des Entraides Protestantes d'autres financements sont cherchés afin de permettre l'achat de marchandises. Dans le cadre de la loi Egalim, des produits bio, labellisés en circuit court sont dorénavant proposés aux familles bénéficiaires. 



Aujourd’hui, l’association distribue les colis aux bénéficiaires sur 3 permanences par semaine tout au long de l’année.

Cela représente 33 000 colis soit 245 tonnes d’aliments, pour 1 086 familles (soit 2 250 personnes).

La présidence de l’association au fil des années :

1906 – ? :           Mme Jeanne KRUG

1955 – 1966 :    Mme KRIEGK

1967 – 1976 :    Mme Lucile ARDON

1977 :                  Mr Pierre VALLOTTON (Pasteur), président par intérim

1978 – 1979 :    Mme Lucile ARDON

1980 – 1982 :    Mme Odette POIRET

1983 – 1985 :    Mme Denise OUDOT

1985 – 1996 :    Mme Annie STAAT

1996 – 2002 :    Mme Geneviève THEPENIER

2003 – 2009 :    Mme Chantal VAN ZYL

2009 – 2021 :    Mr Rémi KRUG

2021 - à ce jour : Mr Honoré RANAIVOSON

Nous contacter 

Adresse : 

19 rue Raymond Guyot - 51100 Reims

Téléphone : 

03 26 61 76 70  (répondeur en dehors des heures d'ouverture)

E-mail : 

Pour toute demande d'inscription, renouvellement, informations générales : distribution@entraide-protestante-reims.org

Pour contacter la direction : administrateur@entraide-protestante-reims.org

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Adresse de l'Entraide Protestante de Reims :

19 rue Raymond Guyot

51100 Reims

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