Supports pédagogiques
créations du CSC
Supports pédagogiques
créations du CSC
le joueur prend la carte du dessus de la pioche et l’ajoute aux 6 cartes qu’il a déjà en main. Il se trouve donc momentanément en possession de 7 cartes.
Début de partie
- S’il a un « non », il pose alors la carte devant lui, et pourra commencer sa progression au tour suivant.
- S’il a un « point de vente », il peut le placer devant un adversaire, même si celui-ci n’a pas encore commencé d’avancer.
- S’il a une botte, il peut la poser devant lui. Le fait de poser une botte lui donne alors le droit de rejouer. Il prend donc une autre carte dans la pioche et rejoue. La botte « police » permet au joueur de démarrer sans poser de carte « non » tout au long de la partie.
- S’il n’a aucune de ces cartes, il doit en jeter une de sa main dans la défausse en attendant de piocher une carte lui permettant d’avancer. Le tour passe ensuite au joueur suivant. etc..
La carte « point de vente » empêche un joueur de poser des cartes
« bonnes actions » supérieures à 50. Elle peut être contrée par une carte « habitants engagés » ou par la botte « police ». Une fois cette botte posée, toutes les cartes «point de vente » deviennent inutiles contre le joueur qui la possède.
La carte « on te propose de la drogue » arrête la progression d'un joueur, qui devra poser une carte « non » pour repartir. Elle peut être contrée par la botte police. Une fois cette botte posée, toutes les cartes « on te propose de la drogue » deviennent inutiles contre le joueur qui la possède.
La carte « consommation: personne en danger » arrête la progression d'un joueur, jusqu'à ce que celui-ci pose une carte « pompier ». Elle peut être contrée par la botte « centre de prévention ». Une fois cette botte posée toutes les cartes « consommation: personne en danger » deviennent inutiles contre le joueur qui la possède.
La carte « déchets dangereux » arrête la progression d'un joueur, jusqu'à ce que celui-ci pose la carte « service propreté ». Elle peut être contrée par la botte « respect de l’espace public ». Une fois cette botte posée toutes les cartes « déchets dangereux » deviennent inutiles contre le joueur qui la possède.
La carte « accusé » arrête la progression d'un joueur, jusqu'à ce que celui-ci pose la carte « avocat ». Elle peut être contrée par la botte « irréprochable ». Une fois cette botte posée toutes les cartes « accusé » deviennent inutiles contre le joueur qui la possède.
Conditions de fin de partie
- Un joueur atteint exactement 1000 bonnes actions, il gagne la partie. La partie s’arrête immédiatement.
- Aucun joueur n’a atteint les 1000 bonnes actions avant la fin de la pioche.
Le joueur qui en est le plus proche sans les dépasser, l’emporte.
Jeu réalisé par les jeunes du club ados
dans le cadre d'un appel à projet Mildeca 2021
Celle de Mara, jeune fille immigrée de France, enfermée dans un appartement. Elle devine la vie s'écouler sans elle, à l’extérieur, juste quelques étages en dessous.
Il lui suffirait pourtant de tirer le rideau..
Une fiction dont le scénario bâti à partir d'un travail documentaire sur l'émancipation des femmes immigrées nous invite à l'échange et à la réflexion.
Une journée exceptionnelle dans la vie de quatre familles étrangères d'un quartier de banlieue française dont les destins s'entrecroisent, s’influencent ou s'affrontent sur le chemin de la citoyenneté...
Rabah, chauffeur de taxi, partage pendant sa journée, le quotidien de femmes et d'hommes confrontés aux incidences du fondamentalisme religieux.
Film
Allons enfants
Au centre culturel des Fossés-Jean à Colombes, Nadia, professeur d’histoire a convié un petit groupe d’adolescents à participer à des ateliers retraçant l’histoire franco-algérienne et les liens qui unissent et divisent ces deux pays depuis plus d’un siècle.
Inas, Melinda, Medhi, Youcef, Abdelkhalek et Nadir ont décidé de prendre sur leur temps de vacances pour apprendre cette histoire qu’ils connaissent très peu. Au fil des jours et des rencontres avec des témoins et des historiens de ce conflit, ces adolescents vont aller à la découverte d’un événement mais aussi de leurs familles et de leurs histoires personnelles.
Au-delà de la simple pédagogie, c’est aussi pour eux, enfants de l’immigration algérienne, une façon de questionner leurs places et leurs identités dans cet espace flou qu’est la “France-Algérie“.
Ces adolescents d'origine algérienne s'interrogent sur leur statut de doubles immigrés : Algériens en France, Français en Algérie. Différentes questions sont soulevées : les vacances d'été en Algérie et les différences culturelles, la place des femmes dans la société algérienne, la guerre d'Algérie qui reste un tabou dans de nombreuses familles comme dans les manuels scolaires.