Le vendredi 11 à 20h45

FIlm inédit en France

Gratuit dans la limite des places disponibles

84 mn / 2013 / Vietnam / VO sous-titrée en français

Réalisateur : Nguyen Quang Dung

Genre : Arts martiaux

Production : HKFilm, Quang Minh Do, Tran Thi Bich Ngoc, Nguyen Nu Nhu Khue,Louie Nguyen, Nguyen The Phong

C’est en pleine campagne vietnamienne que se trouve Duong Son Quan, une taverne où les voyageurs vont passer du bon temps avant de rentrer en ville. Cette taverne est gérée par une très jolie jeune femme et ses tout aussi séduisantes serveuses, mais sous toutes ces charmantes courbes se cachent des assassins sans pitié pour les hommes d’affaires crapuleux et les membres corrompus du gouvernement. Un jour, alors qu’elles ont terminé leur travail, elles font la découverte d’une jeune femme ligotée dans l'un des coffres de leurs clients. Cette jeune orpheline ne vit que pour une chose : venger la mort de sa famille tuée par le tyrannique général qui règne sur la région. Il n’en faut pas plus pour convaincre les filles de la prendre avec elles et d’en faire un assassin sans merci qui s’attaquera au bourreau de sa famille.

When a kidnapped girl from an elite family is saved by a trio of tavern owners, she slowly realizes they are not what they seem; uncovering their secret training as assassins, she joins them as they use their home base to exact treasure and revenge from visitors.

Le samedi 12 à 16h30

Tarif du Cinéma de la Cité

92 mn / 2019 / France / Version Française

Réalisateur : Thomas Szabo, Hélène Giraud

Genre: Animation, Aventure, Famille

Quand tombent les premières neiges dans la vallée, il est urgent de préparer ses réserves pour l’hiver. Hélas, durant l’opération, une petite coccinelle se retrouve piégée dans un carton à destination… Des Caraïbes! Une seule solution : reformer l’équipe de choc ! La coccinelle, la fourmi et l’araignée reprennent du service à l’autre bout du monde. Nouveau monde, nouvelles rencontres, nouveaux dangers… Les secours arriveront-ils à temps ?

When the first snow falls in the valley, it is urgent to prepare its reserves for the winter. Alas, during the operation, a small ladybug is trapped in a box - to the Caribbean. One solution: reform the shock team.

Le samedi 12 à 20h30

Tarif du Cinéma de la Cité

89 mn / 2010 / USA / Version Française / Interdit aux moins de 12 ans

Réalisateur : Alexandre Aja

Genre: Epouvante-horreur

Alors que la ville de Lake Victoria s'apprête à recevoir des milliers d'étudiants pour le week-end de Pâques, un tremblement de terre secoue la ville et ouvre, sous le lac, une faille d'où des milliers de piranhas s'échappent. Inconscients du danger qui les guette, tous les étudiants font la fête sur le lac tandis que Julie, la shérif, découvre un premier corps dévoré... La journée va être d'autant plus longue pour elle que Jake, son fils, a délaissé la garde de ses jeunes frères et sœurs pour servir de guide à bord du bateau des sexy Wild Wild Girls !

A geological failure on the bottom of Lake Victoria opens a breach and releases prehistoric flesh-eaters piranhas. Meanwhile, it is the Lake Victoria spring party where teenagers arrive in to drink beer and booze, get sun tanning, swim in the lake and have sex. When the local Sheriff Julie Forester and her Deputy Fallon discover how danger the lake is, they unsuccessfully try to avoid the tourists to jump into the water to protect them. After saving many teenagers, Sheriff Forester learns that her family is trapped in a yacht that is stranded in the reef and heads in a boat with an acquaintance to rescue her children and family.

Le samedi 12 à 14h30

Tarif du Cinéma de la Cité

82 mn / 2019 / France / Version Française

Réalisateur : Lorenzo Mattotti

Genre: animation famille

Tout commence en Sicile, le jour où Tonio, le fils de Léonce, roi des ours, est enlevé par des chasseurs... Profitant de la rigueur d’un hiver qui menace son peuple de famine, le roi Léonce décide de partir à la recherche de Tonio et d’envahir la plaine où habitent les hommes. Avec l’aide de son armée et d’un magicien, il finit par retrouver Tonio et prend la tête du pays. Mais il comprendra vite que le peuple des ours n’est peut-être pas fait pour vivre au pays des hommes...

To rescue his son who was kidnapped by hunters in the Sicilian mountains, Léonce, the King of Bears, decides to invade the land of men with the help of his clan.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - samedi 12 octobre à 10h

8 min / 25 décembre 1953 / USA / Dialogues en anglais STF

Réalisation : I.Sparber & Seymour Kneitel

Casper le petit fantôme visite la lune.

L’animation et la 3-D ressemblent à deux petits pois en apod si vous regardez la boîte moderne d’aujourd’hui, ou la réussite avec laquelle Famous Studios (l’entité indépendante sous le contrôle de Paramount) l’a fait avec Boo Moon. Mais en 1953, réaliser un dessin animé en 3D signifiait secouer une machine bien huilée.

Dans les années d'après-guerre, les dessins animés célèbres ne sont généralement pas sortis avant deux ans. Lorsque la production en 3D a commencé, il a été décidé très tard que le dessin animé Casper et Popeye devaient permettre à l’as de l’espace de se transformer avec succès en épopées de science-fiction en trois dimensions sur grand écran.

Paramount souhaitait que les dessins humoristiques fassent des ravages, aucune dépense n'était donc épargnée et la production accélérée. En moyenne, les dessins animés de Famous Studios des années 50 coûtent environ 32 500 $. Famous a reçu des fonds supplémentaires pour la saison 1953-1954, ce qui a permis au budget des deux dessins animés en 3D de grimper au nord de 70 000 $ chacun.

Comme vous le constaterez dans cette fantastique restauration de Boo Moon, les paramètres lunaires grandioses et les effets spéciaux épiques montrent que l’argent a bel et bien atteint l’écran. Célèbre spécialisé dans un public d'enfants, et il ne fait aucun doute que le dessin animé, publié à l'apogée de la popularité de Casper, a été approuvé.Mais la profondeur et l'étendue du 3D dans Boo Moon garantissent qu'un public de tout âge le trouvera aussi amusant et satisfaisant comme quoi que ce soit jamais fait dans le processus.

Animation and 3-D seem like two peas in apod if you look at today’s modern box officelineup, or at how successfully Famous Studios (the independent entity underParamount’s control) did it with Boo Moon. But in 1953, making a cartoon in 3-D meant shaking up a well-oiled machine.

In the postwar years, Famous cartoonsgenerally didn’t see release until two yearsafter they were started. When 3-D did roll around, it was decided very late in production that both the Casper cartoon andPopeye, the Ace of Space could transform quite successfully into widescreen, three- dimensional sci-fi epics.

Paramount wanted the cartoons to knock socks off, so no expense was spared and production was expedited. On average, anearly ‘50s Famous Studios cartoon costaround $32,500. Famous received extra money for the 1953-54 season that allowed the budget for the two 3-D cartoons to climb north of $70,000 apiece.

As you’ll see from this fantastic restoration of Boo Moon, the grandiose lunar settings and epic special effects show that the money did indeed reach the screen. Famous specialized in a children audience,and there’s no doubt the cartoon, released at the height of Casper’s popularity, passes their approval.But the depth and extent of the 3-D in Boo Moon ensures that an audience of any age will find it as fun and satisfying as anything ever done in the process.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - samedi 12 octobre à 10h

9 mn / September 1960 / USA / Dialogue en anglais STF

Réalisation : Ted Okuda

Deux garçons, Chuck et Sam trouvent une capsule dans une grotte et la confient au professeur Seateck.

"On vous emmène dans un vol passionnant à travers le temps et l'espace!"

Dans des annonces de revues spécialisées (3 juillet 1953), Robert Angus et James Banks, de Volcano Productions, envisagèrent The Adventures of Sam Space comme le premier d'une série de dessins animés de marionnettes théâtrales en 3D, utilisant l'animation vue dans Puppetoons de George Pal. . En fait, le scénariste et réalisateur Paul G. Sprunck avait travaillé sur les Puppetoon et des courts métrages similaires. Il a également conçu le personnage de Sam Sawyer en 1950 pour Sawyer’s Inc.

La production a débuté le 22 juillet 1953 aux studios General Service avec “Photography and Special Effects” de la société Howard A. Anderson, utilisant un système de caméra stéréoscopique. Arthur C. Pierce, alors acteur auprès de la société Anderson, a reçu le crédit "Superviseur de production et d'adaptation d'écran". Des voix de personnages ont été fournies par le légendaire Paul Frees (Boris Badenov, Ludwig Von Drake, Pillsbury Doughboy), avec animation de Herb Price et musique partition de Clarence Wheeler (Puppetoons). Le tournage a pris fin la semaine du 17 octobre.

Après l'achèvement, il est resté non libéré, une victime du marché en train de mourir. En septembre 1960, Banks le vendit au producteur Edward L. Alperson. Re-intitulé Space Attack, il a été publié comme une «attraction spéciale ajoutée» avec Alperson’s September Storm, le dernier long métrage tridimensionnel double 35 mm. Photographié comme mat ouvert selon un rapport d'aspect de 1,37: 1, Space Attack était terriblement recadré à 2,35: 1.

Les éléments d'origine n'existent plus. Le collectionneur 3D David Janzow a acheté l'unique gravure gauche / droite de 35 mm qui a survécu à la fin des années 1960. La Cinémathèque 3-D a acquis l’imprimé très flou et le résultat est cette restauration saisissante, présentée pour la première fois dans son format prévu de 1,75: 1.

“Takes YOU on a Thrilling Flight through Time and Space!”

In trade-journal announcements (July 3, 1953), Robert Angus and James Banks, of Volcano Productions, envisioned The Adventures of Sam Space as the first in a series of theatrical 3-D puppet cartoons,utilizing the animation seen in George Pal’s Puppetoons. In fact, writer-director Paul G. Sprunck had worked on the Puppetoons and similar shorts. He also designed the character of Sam Sawyer in 1950 forSawyer’s Inc.

Production began on July 22, 1953 at General Service Studios with “Photography and Special Effects” bythe Howard A. Anderson Company, utilizing a stereoscopic camera system. Arthur C. Pierce, then acameraman with the Anderson firm, received “Screen Adaptation and Production Supervisor” credit.Character voices were supplied by the legendary Paul Frees (Boris Badenov, Ludwig Von Drake, Pillsbury Doughboy), with animation by Herb Price and music score by Clarence Wheeler (Puppetoons). Filming wrapped the week of October 17.

After completion, it went unreleased, a victim of the dying 3-D market. In September 1960, Banks sold it to producer Edward L. Alperson. Re-titled Space Attack, it was released as a “Special Added Attraction” with Alperson’s September Storm, the last dual-35mm 3-D feature. Photographed open-matte at an aspect ratio of 1.37:1, Space Attack was horribly cropped to 2.35:1.

Original elements no longer exist. 3-D collector David Janzow purchased the sole surviving 35mm left/right print in the late 1960s. The 3-D Film Archive acquired the badly-faded print and the result is this stunning restoration, presented for the first time in its intended ratio of 1.75:1.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - vendredi 11 octobre à 20h45

16 mn / 2 juillet 1953 / USA / Dialogue en anglais STF

Réalisation : Alen H. Miller

Un documentaire fiction sur les essais nucléaires américains du début des années 1950.

Le premier documentaire en trois dimensions, Doom Town, a été réalisé par le producteur indépendant Lee Savin, intrigué par les tests de la bombe atomique à Yucca Flats, dans le Nevada. Le tournage a commencé le 17 mars 1953. Photographié avec le procédé tridimensionnel de Dunning, qui enregistrait les effets dévastateurs d'une explosion atomique.

Doom Town a été écrit par le scénariste-réalisateur-auteur Gerald Schnitzer, dont les crédits comprenaient des scripts pour Bela Lugosi (The Corpse Vanishes, Bowery à minuit) et The Bowery Boys. Schnitzer a également créé plusieurs publicités télévisées à succès pour Kodak («Kodak Moment»), Chevrolet et Clairol.

Doom Town a été présenté en avant-première le 30 avril au Paramount Theatre à Hollywood et à Los Angeles le 2 juillet avec The Maze et le court métrage en 3D de Lippert, College Capers. Le lendemain, il a été présenté aux théâtres Telenews de San Francisco et d'Oakland. Après ces représentation, il a été mystérieusement retiré de la circulation. Bien que le projet ait été approuvé par les voies officielle, la position contre les essais atomiques n’était pas un message que le gouvernement voulait promouvoir. Est-ce que Doom Town a été supprimé? Personne ne semble le savoir, mais le film a disparu sans laisser de traces en juillet 1953.

Il a été perdu pendant des décennies jusqu'à ce que les négatifs, censés être mis au rebut, aient été découverts et récupérés par la Film Archive 3-D en 1985. Les bobines séparées contenant les explosions atomiques couleur manquait ; en 2003, Peter Kuran a fait une refait cette partie manquante en utilisant des images réelles 3Dombe atomiques. Le "multi-son" original a été recréé par Greg Kintz.

Des années en avance sur son temps, Doom Town est une déclaration sociale prémonitoire et un excellent exemple de réalisation de films en 3D.

The first 3-D documentary, Doom Town was made by independent producer Lee Savin, who was intrigued by the atomic-bomb tests at Yucca Flats in Nevada. Filming began March 17, 1953. Photographed with the Dunning Three-Dimensional Process, it captured the devastating effects of an atomic blast.

Doom Town was written by screenwriter-director-author Gerald Schnitzer, whose credits included scripts for Bela Lugosi (The Corpse Vanishes, Bowery at Midnight) and The Bowery Boys. Schnitzer also created several acclaimed TV commercials for Kodak (“Kodak Moment”), Chevrolet, and Clairol.

Doom Town was sneak-previewed on April 30 at the Paramount Theater in Hollywood and opened in Los Angeles on July 2 with The Maze and Lippert’s 3-D short, College Capers. The next day it opened at the Telenews theaters in San Francisco and Oakland. After these bookings, it was mysteriously pulled from circulation. Although the project was approved by proper channels, the anti-atomic testing stance was hardly a message the government wanted to promote. Was Doom Town suppressed? Nobody seems to know but the movie disappeared without a trace in July 1953.

It was lost for decades until the negatives, slated to be junked, were discovered and salvaged by the 3-D Film Archive in 1985. The separate reel with the color atomic bomb shots was missing; a recreation was done in 2003 by Peter Kuran, using actual 3-D atomic bomb footage. The original "multi-sound" has been recreated by Greg Kintz.

Years ahead of its time, Doom Town is a prescient social statement and an excellent example of 3-D filmmaking.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - samedi 12 octobre à 16h30

9 mn / 11 mai 1940 / USA / Sans dialogue

Réalisation : Jack Theakston

La construction d’une Plymouth en stop Motion.

Avec plus de 250 000 téléspectateurs chaque mois à l’occasion de la foire New York World de 1939-1940, Chrysler a une nouvelle fois invité Loucks & Norling à se surpasser avec un autre film stéréopromotionnel. En développant les brèves animations montrées dans le premier court métrage, New Dimensions serait entièrement consacré à Plymouth et à sa fabrication. Tourné en stop-motion, en taille réelle et en couleur, John Norling disposait d'un budget considérablement plus important, mais créait des défis supplémentaires pour la production. "Notre problème en produisant New Dimensions était de simuler la fabrication d'une berline Plymouth en faisant en sorte que chaque pièce se déplace à sa place dans la voiture sans support visible", a-t-il écrit dans Business Screen Magazine. En utilisant un pont roulant construit spécialement pour le court-métrage, la solution pour masquer les fils était un vieux tour d’animation: peignez les fils du piano en tenant les parties dans la couleur de fond correspondante juste avant chaque prise. À l’aide des propres caméras de Norling, des séparations d’animation séquentielles rouge, verte et bleue ont été effectuées à travers des filtres de couleur montés à l’avant de chaque objectif.

Une partition entraînante qui suit la photo est l'œuvre du compositeur vétéran George Steiner. Norling a expliqué le minutage: «Chaque mouvement a été planifié à l’avance. Premièrement, la musique a été écrite et enregistrée. chaque battement et la plupart des notes ont été marquées sur la piste musicale et mesurées exactement selon le cadre pour fournir les données de synchronisation maître ... Nous avons suivi cette partition de manière religieuse afin de garantir le maintien d'un synchronisme exact sur toute l'image. "

Il a fallu neuf semaines pour photographier un court-métrage de 890 pieds. Norling et son équipe tournaient au mieux 9 pieds de film par jour.

Ouverture pour la saison de mai 1940, New Dimensions était encore plus populaire que son prédécesseur. Le théâtre de 339 sièges de Chrysler était souvent rempli à pleine capacité, comblant la vision périphérique des spectateurs avec son écran de 60 x 40 pieds. En octobre 1940, environ 4,5 millions de personnes avaient vu l'exposition.

Le film était si populaire qu’il a fait l’objet d’une brève tournée à travers le pays après son passage à la World’sFair. En 1953, RKO Pictures l'a repris pour une distribution en salles, le renommant Rhythm Motor. Nous avons restauré le short du seul tirage au format Technicolor 35 mm qui se détériore et se contracte avec le syndrome du vinaigre. Les serre-livres coupés pour être réédités provenaient de la seule gravure 16 mm connue.

With In Tune with Tomorrow averaging over 250,000 viewers a month during the 1939-40 New YorkWorld’s Fair, Chrysler once again enlisted Loucks & Norling to top itself with yet another stereopromotional film. Expanding upon the brief animations shown in the first short, New Dimensions would be all about the Plymouth and how it was made. Shot stop-motion, full-scale and in color, John Norling had a significantly expanded budget to work with, but added challenges to the production. “Ourproblem in producing New Dimensions was to simulate the manufacture of a Plymouth Sedan by havingeach part travel to its proper place in the car without visible support,” he wrote in Business Screen Magazine. Using an overhead crane built especially for the short, the solution to hiding the wires was an old animation trick: paint the piano wires holding the parts up the corresponding background color just before each take. Using Norling’s own camera rig, red, green and blue sequential animationseparations were taken through color filters mounted on the front of each lens.

A rousing score that follows the picture was the work of veteran composer George Steiner. Norlingexplained the timings: “Each movement was planned in advance. First, the music was written and recorded; every beat and most notes were marked off on the music track and measured exactly to theframe to provide the master synchronizing data...We followed this music score religiously in order to assure the maintenance of exact synchronism throughout the picture.”

For an 890-foot short, the picture took nine weeks to photograph, with Norling and his crew eking out nine feet of film a day at best.

Opening for the May 1940 season of the fair, New Dimensions was even more popular than its predecessor. Chrysler’s 339-seat theater was often filled to capacity, filling the peripheral vision of spectators with its 60x40-foot screen. By October 1940, an estimated 4.5 million people had seen the exhibit.

So popular was the film that it enjoyed a brief tour throughout the country after its run at the World’sFair. In 1953, RKO Pictures picked it up for theatrical distribution, retitling it Motor Rhythm. We have restored the short from the only surviving 35mm Technicolor print which is deteriorating and shrunken with vinegar syndrome. The bookends that were cut for its re-issue came from the only known 16mm print.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - samedi 12 octobre à 10h

5 mn / 1935 / USA / Sans dialogue

Réalisation : Jack Theakston

Une suite de séquences démonstratives et humoristiques.

Formant Visual Pictures, Inc. pour poursuivre les expériences tridimensionnelles de Leventhal, Leventhal et John Norling ont réalisé ces tests au début de 1935. La plupart des gags sont des reconstitutions des effets les plus populaires des précédents courts-métrages Stereoscopiks.

Les emplacements incluent Riverside Drive et le pont George Washington récemment achevé (effets reproduits dans A Runaway Taxi), les montagnes russes Thunderbolt à Coney Island (similaires à ceux de Luna-cy) et un match de baseball à Dexter Park. Queens, NY, domicile du club de baseball Bushwick et de l’équipe de la ligue de baseball nègre, les Royal Giants de Brooklyn. Regardez de plus près, comme dans l'un des plans du film, un frappeur noir joue dans une équipe intégrée au moins dix ans avant que "Jackie" Robinson joue pour les Dodgers de Brooklyn et rompe la ségrégation dans les ligues majeures.

Les tests bien répétés ont suffi à convaincre le producteur de courts métrages de la MGM, Pete Smith, de se lancer sur cette idée. Le studio a publié Audioscopiks le 11 janvier 1936. Il a été nominé pour le meilleur court métrage de nouveauté à la 8e cérémonie des Oscars en mars 1936.

This short film, produced by Bob Furmanek, features demonstrations of John Norling and Jacob Leventhal's Stereoscopics shots.

Forming Visual Pictures, Inc. to continue Leventhal's 3-D experiments, Leventhal and John Norling shot these tests sometime in early 1935. Most of the gags are re-enactments of the most popular effects in the earlier Stereoscopiks shorts.

Locations include Riverside Drive turning onto the newly-completed George Washington Bridge (re- enacting effects seen in A Runaway Taxi), the Thunderbolt rollercoaster on Coney Island (similar to the effects seen in Luna-cy) and a baseball game in Dexter Park, Queens, N.Y., home of the Bushwick Baseball Club and the Negro Baseball League team, the Brooklyn Royal Giants. Look closely, as in one shot in the film, a black batter can be seen playing on an integrated team at least ten years before "Jackie" Robinson would play for the Brooklyn Dodgers and break segregation in the Major Leagues.

The well-rehearsed tests were enough to sell MGM short subject producer Pete Smith on the idea, and the studio released Audioscopiks on January 11, 1936. It was nominated for the best Novelty Short Subject at the 8^th Academy Awards in March 1936.

Cinéma de la Cité - Salle Nemo - samedi 12 octobre à 10h

9 mn / 1922 – 1923 / USA / Sans dialogue

Réalisation: Jack Theakston

Une liste des Washington DC, et quelques séquences démonstratives.

En prévision de la sortie de l'émission "Teleview" de Laurens Hammond au Selwyn Theatre, William van Doren Kelley (Prizma, Inc., film couleur) a réservé le premier film en 3D largement diffusé, Films de l'avenir au Rivoli Theatre de New York. Ville pendant la série de Noël 1922 de Back Home and Broke avec Thomas Meighan. Paru le 23 décembre chez "Music Films, Inc." bannière: société produisant des courts métrages utilisant une matraque à l'écran pour rester synchronisés avec l'orchestre (inventée par le pionnier 3D, Jacob Leventhal et vue d'un coup dans ce film), le court-métrage Plasticon de Kelley a été présenté aux côtés de Toddling Tots de Music Films. avec les Hastings Twins. Ayant précédemment présenté la première projection d’un film stéréoscopique aux États-Unis, William E. Waddell, qui avait réalisé les tests 3D avec Edwin S. Porter en 1915, était également partenaire de Music Films, Inc.

Les louanges des journaux pour Movies of the Future étaient plutôt bonnes. "Les personnes habituées à visionner des images plates ordinaires ne peuvent pas facilement prévoir l'effet de voir chaque objet de la scène se distinguer par sa longueur, sa largeur et son épaisseur, comme dans la vie", écrit le New York Times. "C'est exactement ce que fait le court métrage de M. Kelley, composé de scènes de la ville de New York et de ses environs." Le programme populaire a été transféré au théâtre Rialto pour une deuxième semaine.

Ce film de démonstration, comprenant le film suivant Thru 'the Trees - Washington, DC (tourné cette fois par William T. Crespinel - partenaire commercial de Kelley à Prizma), a été préparé pour une réunion technique à Swampscott, MA, le 27 juin suivi d'une réunion à Ottawa, Canada, de la Society of Motion Picture Engineers du 1 er au 4 octobre 1923. Il est probable, mais non confirmé, que la partie d'ouverture et la partie de fermeture de ce court-métrage survivant est Movies of the Future in totem ou peut-être une version tronquée du court métrage présenté au Rivoli.

Anticipating the release of Laurens Hammond's "Teleview" show at the Selwyn Theatre, William van Doren Kelley (Prizma, Inc., color films) booked the first widely-seen 3-D film, Movies of the Future at the Rivoli Theatre in New York City during the Christmas 1922 run of Back Home and Broke with Thomas Meighan. Released on December 23 under the "Music Films, Inc." banner—a company that produced color shorts utilizing an on-screen baton to maintain sync with the orchestra (invented by 3-D pioneer Jacob Leventhal and seen in one shot in this film)—Kelley's Plasticon short was featured alongside Music Films' Toddling Tots with the Hastings Twins. Having previously presented the first showing of a stereoscopic film in the U.S., William E. Waddell, who had produced the 3-D tests with Edwin S. Porter in 1915, was also a partner in Music Films, Inc.

Newspaper praise for Movies of the Future was quite good. "Persons accustomed to viewing ordinary flat pictures cannot easily anticipate the effect of seeing every object in the scene stand out with length, breadth and thickness as it does in life" wrote The New York Times. "They do just this, in Mr. Kelley's short film, which is composed of scenes in and about New York City." The popular program moved to the Rialto Theatre for a second week.

This demonstration reel, including the follow-up film Thru’ the Trees – Washington, D.C. (this time specifically shot by William T. Crespinel - Kelley's business partner at Prizma) was prepared for a June 27, 1923 technical meeting in Swampscott, MA, followed by a meeting in Ottawa, Canada of the Society of Motion Picture Engineers from October 1-4, 1923. It is likely, but unconfirmed, that the opening portion and closing portion of this surviving short is Movies of the Future in totem or perhaps a truncated version of the short shown at the Rivoli.